Sujet: Seth - You're never going home. Ven 25 Mar - 1:24
Left the girls of Tuam, Nearly broken hearted.
PSEUDONYME : Seth. NOM : Esaias. PRÉNOM(S) : Samaël. DATE DE NAISSANCE : 11/08. ÂGE : 20 ans. SEXE (?) : ✔ M. ❒ F. ORIGINE : Islandaise.
I'd like to get to know you.
Couleur des cheveux : bruns Couleur de la peau : blanche (le terme exact serait hyalin, blafard, en fait, disons le clairement, cadavérique) Piercing ? : à l'oreille. ainsi qu'un tatouage en forme de barbelé autour du poignet gauche.
Couleur des yeux : vert Taille en centimètres : 183cm Corpulence: maigre.
Oh, that boy's a slag.
s'adapte charmeur optimiste drôle détendu peu prise de tête
hypocrite je m'en-foutiste nonchalant cynique violent opportuniste
On ne soupçonne pas les pulsions qui m'animent.
VIENS-TU DU CIEL PROFOND OU SORS-TU DE L'ABÎME Ô BEAUTÉ ? TON REGARD, INFERNAL ET DIVIN, VERSE CONFUSÉMENT LE BIENFAIT ET LE CRIME, ET L'ON PEUT POUR CELA TE COMPARER AU VIN.
“This is over, I don’t love you anymore. Goodbye.”
Le cœur sur les lèvres, et les mots tordus, vicieux qui tournaient en boucle dans sa petite tête. Samaël Esaias n’était pas un connard comme les autres, Seth ne se contentait pas de venir prendre votre vertu pour partir comme un voleur une fois les premiers rayons de l’aube arrivé. Samaël était un serpent provocateur, qui s’enroulait autour de votre cœur pour y planter ses crocs vénéneux et infecter votre chair et votre âme. Il ne pouvait se satisfaire de votre corps, il voulait tout, absolument tout. Seth est mauvais, Seth est infect, Seth est un vrai poison. Il s’empare de votre cœur, vous couvre d’attention, vous aime, oh oui il vous aime, il vous adore, il vous béni. Il est bien prêt à tout pour vous, évidement. Il vous le fera croire autant de temps qu’il le faut, pour qu’enfin vous soyez siens. Pour que vous ne pensiez qu’à lui, pour que vous l’aimiez désespérément, pour qu’il soit votre monde, votre souffle, votre raison de vie. Et seulement à partir de là, vous deviendrez enfin intéressant à ses yeux. Seulement à partir de là, l’Enfer commencera. Seth, Samaël ou Satan qu’importe, il est le serpent qui vous fait croquer la pomme et vous renvoie du Paradis, il est le Tentateur et il vous exècre. Il exècre votre condition de petite princesse parfaite, votre condition de femme, de grande Catin. Il vous déteste, ô tellement.
Le jeu est enfin lancé.
Et il entend bien votre cœur se briser, quand il vous dit que tout est terminé. Il en jubile, l’enfoiré, le salopard, il jubile de vous voir vous morfondre, de vous voir détruite, débris de vie, d’amour étalé sur le sol comme ça, qu’il écrase encore et encore en vous murmurant d’une voix tendre « Je t’aime mon ange, je t’aime mon amour, mais je ne te supporte plus, comment fais-tu pour te supporter toi-même, pauvre petit catin, pauvre petite naïve que j’aime tellement, qui a vendu son cul au premier venu. Je t’aime, je t’aime pour tous ces défauts qui te rendent immondes, mon ange, je t’aime parce que tu es humaine, mon ange, et que tu en crèves. » Il souhaite que vous en creviez, de son amour pour lui. Il souhaite vous voir souffrir, vous voir ramper à ses pieds, que jamais vous ne vous remettiez de sa perte, qui pourtant n’est pas si grande, au final.
C’est toujours plus facile ainsi, plus drôle aussi. C’est sans doute parce qu’il complexe, sans doute parce que sa mère ne l’a pas assez aimé qu’il traite toute les femmes ainsi, sans doute parce qu’il a besoin, au fond, de se sentir indispensable, qui sait. Mais il n’est pas bon, trouvez lui toutes les excuses du monde, Samaël n’est pas bon et ne le sera jamais. Son plaisir, sa petite personne passe avant tout le reste, avant le monde entier. C’est ça, la recherche ultime du plaisir, car il ne sait bien faire que ça, ce pauvre échec ambulant, la rage léchant ses entrailles derrière un masque d’apparent je-m’en-foutisme. Vous n’êtes rien pour Seth, pas grand-chose, au mieux la même merde organique que lui, et vous ne valez pas mieux, vous ne valez pas qu’on s’attache à vous tout comme ça ne vaut pas qu’on s’attache à lui. Il se fout tellement de tout, de toi, de lui, de sa réputation, des cours, tout est plus facile quand on n’a pas d’attache, pas même son égo.
Alors Seth est aux premiers abords sympathique oui, marrant, exquis, charmeur, ô oui. Seth sera bien tout ce que vous souhaitez qu’il soit pour vous plaire, mais tout ceci n’a que nulle importe, tout ceci n’est que pour son amusement et sa délectation personnelle. Il aime à vous taquiner, vous embrouiller, vous sourire, puis vous manipuler, vous faire entrer dans son petit jeu vicieux, et puis vous détruire pour ne laisser de votre cœur que des restes froids dont mêmes les plus amoraux charognards ne voudront pas.
Et si par malheur il en venait à s’attacher à vous, à vous aimer un peu, vous estimer, il vous faudra alors fuir car ce ne sera plus votre intégrité morale qui sera en danger, mais votre intégrité physique. Lui n’aime que la violence, n’aime que l’amour crasse, tout ce qui fait mal, qui brise, qui casse et qui dépasse.
My motherfucking heart does click clock ding dong.
Définissez vous en une phrase.
Non.
Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
Anthropologiquement parlant ou bien ?
Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
Je suis un.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une bataille navale.
Les hauts de Hurle-vent.
Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
Un poisson rouge.
Une corde.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Finnegans Wake de James Joyce.
H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Totem et Tabou de Sigmund Freud.
Harry Potter de J.K Rowling.
Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement. « Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
« Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
« D'un point de vu biologique... »
« Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Câliner tout le monde.
N'avoir aucune notion du temps.
Faire des private jokes.
Accro au high five.
Caser des citations partout.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme.
Pour le plaisir qui s'y consume, Dans la toile ou dans le satin.
ONLY KISS HER LIPS BUT SHE SAW IT.
Qu’est-ce qu’elle fuyait ? Non, c’était faux, elle ne fuyait pas. Elle n’était pas comme les autres, lâches, pleutres, implorantes. Elle attaquait, elle se débattait. Elle n’était pas comme les autres, il en était hors de question, elle ne périrait pas indigne, pas dans ses bras. Ce serait avec les honneurs, si le sort avait décidé d’en finir, elle ne l’acceptait pas si facilement, et si elle savait la bataille perdue d’avance alors que ses dents se plantaient dans la chair pâle alors qu’elle se cambrait, elle ne s’abandonnait pas si facilement. Pas avec lui, pas pour lui.
Elle n’était pas assez débile pour croire qu’on pouvait résister à Samaël, mais elle avait assez d’arrogance pour vouloir le marquer à vie.
ALLEZ LES OISEAUX DE MON CORPS, FERMEZ-VOS BELLES GUEULES A PASSION. LES ACCIDENTS D'AMOUR A LA PELLE NE M'ONT PAS TOUJOURS DONNÉ RAISON.
« Ne dis pas les quatre mots qui suivent. Je t’en supplie. - Voulez-vous m’épouser ? - Samaël, j’ai l’âge d’être ta mère ! - J’en ai rien à foutre. Voulez-vous m’épouser ? - Tu as dix sept ans ! - Tu n’en as rien à foutre. Voulez-vous m’épouser ? - Je ne peux pas. - S’il te plait. Nadechiko, s’il te plait. Je te rendrai heureuse. - Samaël. Ecoute-moi, s’il te plait. Je ne peux pas. »
Il lui passe la bague au doigt, embrasse doucement ses phalanges, genoux à terre et ses putains de yeux qui la supplient d’accepter. Nadechiko, sa sublime, sa merveilleuse. Nadechiko, sa propre dame Papillon, sa beauté exotique. Elle est bien belle, sa petite blonde, qui jure dans le paysage nippon. Et elle le repousse de la main, et ce monstre hurle dans sa poitrine. Il se relève, elle recule. Dans ses yeux, elle lit la haine. Dans les siens, il lit la peur.
Jamais il ne se le pardonnera, quand elle se jette à ses pieds et le supplie d’arrêter.
Jamais il ne se le pardonnera, quand elle embrasse à nouveau sa peau marquée.
Jamais il ne se le pardonnera, quand elle accepte, le cœur sur les lèvres.
« Samaël. Il faut qu’on parle. »
Il repose le journal et hausse un sourcil. Elle a les mains qui tremblent, la pauvre enfant. Elle s’approche nerveusement, s’assoie sur ses genoux, embrasse maternellement son front.
« Tu dois rentrer chez toi… - Jamais. - Samaël. Vigdis, elle ne supporte plus ton absence. »
Et la tasse de café se brise en même temps que son bras frêle.
Fini, c’est fini, tout est fini. Fini, ça l’est depuis longtemps, pas vrai ? Son amour te donne envie de gerber. Sa grâce te dégoute, ses bras tendre t’étouffent. Elle est trop bonne, elle Célicole, et toi damné. Elle est trop vertueuse, ta petite catin comme tu l’appelles quand la haine s’empare de toi, elle est trop vertueuse, ta Sainte. Elle te répugne, à t’accorder ainsi l’absolution. Et pourtant tu ne cesses de revenir dans ces bras que tu as trop de fois cassés. C’est fini, pas vrai, tout est fini, foutu, ça s’est cassé la gueule sans que tu ne contrôle plus rien. Qu’est-ce qui s’est passé putain de merde.
ET DU SEL SUR LAPLAIE DE CE COEUR TATOUÉ A SON NOM QUE L'ON CRIE AU FOND DES VERRES DE VINS A SE DIRE QUE LA VIE, OUI N'ÉTAIT QU'UNE PUTAIN
Djupivogur était un petit village islandais sans histoire. Ou du moins, il l’avait toujours été jusqu’à la naissance des jumeaux Esaias. Le premier se prénommait Lucifel, le second, Samaël. On avait bien traité la mère de folle, d’appeler le fruit de ses entrailles par de tels noms de démon, mais elle s’était contentée de répondre avec un sourire fatigué. Vidgis était une femme sans histoire. Institutrice dans la maternelle du village, elle avait épousé Sveinn, jeune architecte allemand venu prendre un congé sabbatique dans les terres volcaniques.
When I was young I was a jedi.
SURNOM(S) : Miru DATE DE NAISSANCE : 14 / 10 ÂGE : 18 ans. SEXE (?) : ❒ M ✔ F AVATAR : Cain Heargreaves • Comte Cain / God Child. DÉCOUVERTE DU FORUM : Moi-même. NOTE SUR 20 DU FORUM : Duh, whatelse.