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 so pink and black and blue ─ amber.

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Invité
Sujet: so pink and black and blue ─ amber. so pink and black and blue ─ amber. EmptyDim 13 Nov - 12:02


I TRIED TO DO HANDSTANDS FOR YOU, BUT EVERYTIME I FELL FOR YOU. I'M PERMANTLY BLACK AND BLUE, PERMANTLY BLUE FOR YOU.
• Pseudonyme : Amber
• Nom : Blanco
• Prénom(s) : Angelina, Romane.
• QI : 167
• Date de naissance : 12 Septembre.
• Âge : 16 ans.
• Sexe : ✔F
• Origine : Italienne.
• Ancienneté : Environ un mois.
so pink and black and blue ─ amber. Cornealevangelion005


BUT FROZEN THINGS THEY ALL UNFREEZE AND NOW I TASTE LIKE ALL THOSE FROSEN STRAWBERRIES I USED TO CHILL YOU BRUISY KNEES. HOT JULY AIN'T GOOD TO ME, I'M PINK AND BLACK AND BLUE.
• Couleur des cheveux : ROUX (je joue enfin une rouuusse yeah)
• Couleur de la peau : Plutôt pâle.
• Tatouage/Piercing ? : HAHAHA. Non.
• Couleur des yeux : Bleus.
• Taille en centimètres : 1m64
• Corpulence : Mince, fine, légère, youpee.


I GOT BRUISES ON MY KNEES FOR YOU, AND GRASS STAINS ON MY KNEES FOR YOU, GOT HOLES IN MY NEW JEANS FOR YOU GOT PINK AND BLACK AND BLUE FOR YOU.

so pink and black and blue ─ amber. Tumblr_ltfgheu6Ul1qfnq1do1_500_large

délicate
inventive
astucieuse
affectueuse
curieuse
vive
    calculatrice
    lunatique
    capricieuse
    superficielle
    égocentrique
    naïve
Elle vit au jour le jour. Les choses sont ce qu'elles sont, elle le répète à qui veut l'entendre, ardemment, si bien que vous finirez par lui donner raison. Ce n'est pas elle qui essaiera de changer le monde, elle l'apprivoise juste à sa façon, son joli minois en avant. Vous l'écoutez, charmés par ses traits angélique, elle est jolie la petite Angie, elle et son regard bleu, ces deux bouts de ciel coincés sous sa chevelure flamboyante, elle est mignonne celle-là, avec sa peau veloutée, ses petits rires légers qui résonnent dans les airs comme le tintement argentins des clochettes, ses petites attitudes magnérées teintées d'insolence.

─ Tu me le donnes ?

N'essayez pas de lui échapper lorsqu'elle réclame quelque chose. Elle va vous suivre, vous harceler, vous assomer d'arguments qu'elle tourne avec adresse pour vous faire entendre raison. Inévitablement, vous trouverez logique qu'il faille se plier à sa volonté. Manipulatrice ? Non. Personne n'ignore ses petits stratagèmes et ne s'y laisse prendre. Elle essaie d'être hypocrite, elle affiche un détachement surfait d'actrice qui croit berner d'un jeu médiocre. Pardonnez la de ne pas se rendre compte qu'elle est une piètre menteuse, avec ses intonations aisément déchiffrables, excusez-la de faire transparaître ses pensées à même ses traits fins, vraie malgré sa volonté d'abuser. Sa naïveté met en lumière la puérilité de ses exigences tout en la rendant adorable, on lui accorde ce qu'elle réclame ; comment lui en vouloir ? Offrez-lui ce qu'elle veut, à cette petite chose, faites-lui plaisir, où est le mal ? Elle ne sait pas ce qu'elle fait, ce n'est qu'une enfant, après tout.
Ses mots sont emplis d'une force de persuasion tranquille, et ils finissent de ce fait presque toujours par atteindre leur but. Elle ne doute pas d'elle même, ni de ce qui lui est dû, et prend possession sans aucun scrupules des bonbons, doudous, fournitures scolaires, éléments de toutes sortes ayant attiré sa convoitise à un moment où un autre. Gare à vous si vous lui tenez tête ou vous montrez désobligeant, désagréable ou injurieux. Elle montre alors un aspect de sa personnalité peu reluisant. Voilà une vraie peste, une furie, une démone prête à vous démonter, à vous briser et à se délecter du spectacle, cruelle comme le sont les enfants entre eux. Caractère infantile, expressions infantiles, vengeances infantiles non dénuées d'une certaine perversité. Attention, elle mord. C'est la tempête qui fait rage à l'intérieur de ses deux aigue-marines. Cependant, l'ouragan s'apaise la plupart du temps aussi vite qu'il est apparu. Angie est versatile, changeante comme la marée. Tantôt gaie, bientôt triste, une véritable équilibriste. Un jour elle vous frappe, l'autre elle vous étouffe de son affection débordante. Un distributeur à câlins sur pattes, un bisounours dans un corps de fillette, fournissant mille et une petites marques d'attention destinées à attirer vos faveurs.

─ Reste avec moi.

Arme redoutable, apte à destabiliser à peut près n'importe qui. Vous pensiez qu'elle était insupportable au moment où vous lui déplaisiez ? Détrompez-vous. Il est bien pire qu'elle veuille vous connaître, passer du temps avec vous, partager vos centres d'intérêts. Avoir une fillette collée à soit partout où l'on va, babillant un flot interrompus de paroles plus ou moins décousues, sautillant de ci, de là, racontant sa vie dans les moindres détails et exigeant un câlin toutes les trente secondes, ça peut vous rendre hystérique un homme connu pour son calme et sa patience exemplaires. Elle s'excuse, l'air faussement contrit.

─ Je suis hyperactive, ce n'est pas de ma faute, j'ai besoin de bouger, de m'agiter, tu comprends ?

Elle papillone des cils, candide. Ses mains tressaillent parfois, animées d'une volonté propre, il semble qu'elle brûlent de s'activer. Les brusques accès d'adrénaline auxquels elle est sujette devraient la pousser à faire du sport, à suivre un traitement spécifique peut-être. Il n'en est rien. Il est tellement, tellement plus amusant pour Angie de décharger son énergie sur vous, pile électrique survoltée qu'elle est, et si cela insupporte certains jusqu'à la folie voire la dépression, elle ne cessera pas pour autant, elle ne sait se comporter autrement. Elle veut être acceptée, choyée, chérie, elle ressent l'envie d'être importante et de compter pour ceux qu'elle côtoie. Eux sont bons à lui prodiguer petits soins et caresses, à l'écouter, à sécher ses larmes. Elle vous aime, elle s'attache vite la petite Angie, et elle veut tout pour elle. Simplement, elle en fait trop. Trop exagérée, trop bornée, Angie est un tas de sentiments exacerbés en permanence, d'émotions qui s'agitent tumultueusement jusqu'à l'implosion. Dépourvue de réelle méchanceté, son égoïsme de gamine pourrie-gâtée est toutefois assez flagrant pour dégoûter ne serait-ce qu'un peu les personnes voyant plus loin de sa gueule d'ange. On lui pardonne, au final, elle pleure de manière touchante, ce sont des torrents de larmes qui s'échappent de ses yeux rougies par le chagrin et votre nom de sa gorge secouée par les sanglots. Elle supplie, désespérement, avant d'arborer un petit sourire victorieux dès que l'on lui cède. Soupirez donc, déjà lassés ou attendris ?

Voilà ce qu'elle est, du haut de ses dix huit ans, rien de plus qu'une gosse, malgré les formes que l'on devine sous ses habits et ses accessoires colorés, sa panoplie de poupée. Elle est intelligente, mais innocente et inconsciente des problèmes graves qui se pose, des questions existentielles auxquelles on est appelés à répondre, tôt ou tard. Il faut avouer que son propre comportement est le seul qu'elle ne parvient absolument pas à décrypter, assimiler, décortiquer. Elle ne se comprend pas elle même et cela l'effraie. Alors elle avance, fuit l'embarras qu'apporte cette chose ennuyeuse et encombrante appelée raison, que les adultes se plaisent à arborer pour justifier sévérité et réprimandes. La bulle réconfortante de l'enfance est un refuge, où tout devient plus facile, plus simple. Elle se complaît à y être, à vivre avec les égards que les gens ont pour les plus jeunes, les précautions qu'ils prennent pour les contenter. Entendre des adultes agacés dire encore et encore qu'il faut qu'elle grandisse, à la fin, ne fait que la conforter dans l'idée qu'elle ne doit pas changer, par pure envie de contradiction, et continuer à s'émerveiller des petits bonheurs de chaque jour, les yeux brillants, sans s'inquiéter de l'avenir.
Elle est si sombre, en revanche, si concentrée quand ses pinceaux barbouillés de couleurs étallent sur la toile des étoiles et des pleurs. Des taches de couleurs qui se répandent et s'accordent comme les notes d'une symphonie. Elle caresse la toile frénétiquement, l'arpente de long en large, repasse, rature, estompe des heures durant. Ballet hypnotisant. Elle n'accorde pas un regard au reste du monde avant que son tableau ne soit terminé. Ne lui demandez aucune explication, à moins que vous ne teniez à être submergés d'expressions techniques qui sonnent comme des injures hors de sa minuscule bouche aux lèvres roses. Ne soyez pas surpris qu'elle ait développé ce talent ; Debussy l'a bien dit, l'art est le plus beau des mensonges. Oh, Amber inhale un air souillé de sottises, elle évolue au coeur d'une atmosphère polluée par la douceur sirupeuse des illusions. Truth, son grand amour, son prince charmant l'homme qui réalise les fantasmes d'un nombre incalculable de donzelles, et qui l'a choisie, elle.
Ils sont bien ensemble, ses deux là, fréquemment dans les bras l'un de l'autre, se susurrant mots d'amours et promesses de fidélité éternelles. A première vue, ce n'est qu'un couple parmi d'autre, plus surprenant peut-être. Truth arrive donc à la supporter ? Pire, il l'encourage, exalte ses espoirs et colore ses rêves, lui fait des petits signes, lui envoie des mots doux dégoulinants de bons sentiments. Elle est au paradis. A la proximité du jeune homme, elle s'apaise miraculeusement et saisit son bras en rayonnant du bonheur dans lequel ils nagent. Il n'y a rien qu'elle ne fera pas pour un regard de lui. Son amour est pur, brûlant, ils sont liés par le destin, rien ne pourra les séparer. Même la mort ne peut y parvenir.

─ On se mariera, on aura cinq enfant, une maison immense, un chien, un chat et deux chinchillas.

Bien sûr. Jamais elle n'imaginera qu'il puisse en être autrement. Il lui a tant répété, encore et encore, qu'il était fou d'elle. Ce tissu de mensonge enveloppe Amber comme un cocon, la tenant à l'écart du monde extérieur pour une romance factice. Combien de temps Truth va-t-il continuer à se jouer d'elle ? Un de ces jours, il est possible, qui sait, qu'il craque et l'abandonne.
Sûr qu'elle en crèverait.



WE SAY, WE DO, THE LIES, THE TRUTH, AND ALL I NEED IS NEXT TO ME.

• Définissez vous en une phrase.
Anthropologiquement parlant ou bien ?

• Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une corde.

• Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Harry Potter de J.K Rowling.

• Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! » à égalité avec « Je comprends ce que tu ressens...»

• La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Câliner tout le monde.

• Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.


WRAP YOUR ARMS AROUND ME TIL YOUR KNUCKLES ARE BURNING WHITE. YOU KNOW, IT'S HARD, I TRIED ; I COULD NEVER SAY GOODBYE.
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- Regarde Maman, je suis debout !
- Angelina, enfin ! Fais attention, s'il te plaît !
- Oui, oui !

Elle aquiesca sans y penser, par automatisme, un sourire joyeux collé aux lèvres devant la féérie de ce qui s'offrait à elle. Sa menotte bien accrochée à la barre torsadée, fière comme celles qui viennent de terrasser leur plus terrible ennemi ou de conquérir un royaume, elle observait la ville qui tournait autour d'elle de son regard d'enfant émerveillé. Un, deux, trois, ne tombe pas Angelina, ne chute pas de ton cheval de bois. Sous les regards protecteurs de ses parents, toute à son excitation, elle ne songea pas à une seule seconde à être prudente, sautillant presque sur l'échine de l'équidé. Là-bas, accroché aux murs, brillaient les premières décorations de Noël, scintillantes, perles blanches qui dégoulinent sur le plastique à l'infini et viennent éclairer d'une lumière pure les prunelles de ses demoiselles. Entre les bâtiments s'étendaient quelques bannières d'étoiles, posées là, dominant les passants, les poussant à lever la tête un bref instant lorsqu'ils les aperçevaient. Très peu d'entre eux s'arrêtaient ; les gens étaient pressés, bougons, anxieux et se hâtaient de retrouver la chaleur d'un domicile plutôt que de s'attarder dans les ruelles d'un froid glacial. Le caroussel, îlot d'innocence et de rires en cascade qui résonneraient presque encore, poli par les caresses d'un nombre incalculable de bambins, en paraîtrait presque inopportun, avec sa peinture déjà un peu délavée ou écaillée des espoirs qui s'en allaient mourir au bout d'un énième tour. Il rayonnait pourtant, de sa propre lumière, petites étincelles dorées au bout de petits doigts de fées, accrochées de ci, de là, magnifique écrin de poupée.
Et Timothée. Timothée qui, bref frémissement d'étoffes, étend son bras pour toucher celle qu'Angelina n'est pas, et qu'il ne peut désormais plus atteindre. Ses doigts frôlent les cheveux soigneusement lissés, geste incertain, emplis d'une incompréhension éperdue, sursaut de vie, d'espoir lorsqu'on croit voir rennaître ce qui au creux de sa paume s'est éteint. Elle pousse un petit hoquet de surprise, se retourne et, accroche le regard du garçon qui déjà disparaît, yeux verts coup de poignard, il l'a laissé la poitrine ouverte, le souffle coupé, oh mon aimé j'ai vu quelque chose d'insoupçonné, comme la mort qui se secoue pour passer de son regard dans le sien, et jouer à la vie. Une impression qui s'estompe et laisse une trace, dis mon Timothée, offre-moi donc cette chose affreusement belle.
Elle flanche, dérape, s'écrase en bas du cheval de bois, le coeur battant.

─ Angelina !
─ Hm... Je... J'ai perdu l'équilibre...
─ Mon Dieu, je t'avais bien dit d'arrêter ça ! Tu es blessée ? Tu as mal quelque part ? Dis-moi quelque chose, mon bébé !

Inquiétude enflammée de figures surprotectrices, mots marmonnés, en réponse aux cris angoissés de la mère.

─ C'est bon, ça va... Ca va...

Elle se relève, un petit noeud de douleur dans le dos, mais se tait. Elle pleurera, quémandera réconfort et tendresse parentale plus tard. Et la voilà qui s'élance déjà, voir s'il est toujours là, ce garçon qui semblait lui vouloir quelque chose. La conversation s'engage, elle le tutoie gentiment, lui demande son nom, pourquoi a-t-il fait cela, tout à l'heure. Il ne répond pas, la complimente plusieurs fois sur ses cheveux ou ses yeux, mirettes fixés l'un sur l'autre et joues légèrement rougies par autre chose que le froid, rire de la fillette qui s'élève au milieu de la grisaille, quel individu étrange, elle ne sait que penser. Il déclare qu'il aimerait la revoir, puis s'en va en courant avant d'avoir pu lui donner un quelconque moyen de le rencontrer à nouveau. Figée par la stupeur, elle demeure debout, tournée vers la direction dans laquelle il s'en est allé, il a fuit trop vite le garçon de ce jour d'hiver, en ravivant l'éclat cruel de quelques rêveries à demi fânées.

Oui il est parti, Timothée.
Partie en lui laissant pour seul souvenir la chaleur d'un baiser rapide, qui fait encore trembler ses lèvres, un ou deux mots pour s'expliquer qu'elle n'assimila pas, stupeur suivi d'un immense refus. Ah, j'aurais bien aimé le retenir, je ne sais pourquoi ma main est retombée alors qu'elle désirait tant rester nichée dans la sienne, timide Timothée, magicien patenté, talentueux créateur de ciels, de petits nuages sur-mesure quand il te parle de l'amour en disant nous. Et que tourbillonnent les méandres cachés de ses sourires tarabiscotés, allez, moi je crois que je l'aime, Timothée le taré.



─ Je suis désolé, Mademoiselle. Le pronostic vital est engagé. Les dommages sont sévères, et si l'autre conducteur s'en est sorti, ils... Ils ne tiendront pas longtemps dans cet état. Quelques heures, un ou deux jours au maximum.

Le silence s'abat. Elle ne réagit pas immédiatement, demande enfin d'une voix mourante dans laquelle perce déjà les sanglots :

─ Menteur... C'est faux... Ca ne ne se peut pas... Ils ne peuvent pas me laisser toute seule !

Elle hurle, se débat, pleure pour finir devant l'infirmier embarassé. Le désespoir éclate, se répand tel un poison violent. Ses cris reprennent pour ne plus cesser, il semble qu'elle en veut au monde entier, mes parents m'ont laissée tomber, ils m'ont laissée derrière, ils n'avaient pas le droit, pas le droit de faire ça. Elle se met à frapper le mur, rageusement, prise à la gorge par un élan de colère qui la laisse vide, disloquée, sur le pavé froid de l'hôpital.
Et les larmes silencieusement, brûlantes, chuchotent des jamais plus et des toujours et encore en ruisselant sur le sol. Plic, ploc. Angelina ne se résoudra pas à devoir vivre sans eux. Eternellement elle sera l'enfant qui réclame l'attention de ceux qui s'occupent d'elles, quels qu'ils soient, recherchant à chaque nouvel relation l'écho de ce qu'elle connut jadis. Rien d'autre ne laissera suppose qu'elle fut blessée si profondément. Aux yeux de tous, elle s'est remise. Elle va bien. Il est vrai qu'à part ce changement profond, qu'ils ne peuvent comprendre, son comportement ne fut pas altéré. Elle est et sera la presque angélique Angelina que son père et sa mère ont connu.

─ On a trouvé un endroit où tu peux aller. Un orphelinat.
─ Ah ? Est-ce que... ce serait celui où Thim-...
─ Son nom n'est plus connu, là où il est. Tout comme le tien doit être ignoré. Il te faut un pseudonyme.
─ Okaay... Amber ? Ca irait ?
─ Oui.

Tandis qu'il s'éloigne, une seule phrase tourne en boucle dans la tête d'Angelina : Je vais le revoir, mon Thimotée. Il m'a manqué, tellement, lui et ses phrases qu'ils prononce comme s'illuminent des bouts d'arc-en-ciel.
Car elle ne veut rien, à présent, si ce n'est être étouffée par ses soupirs de damné si prompt à rêver d'accorder le septième ciel.



HELLO ! I'M A POTATO.
• Surnom(s) : Une fille chelou, un prénom en A... Easy. Rina~
• Date de naissance : Error 404, no found.
• Âge : Unknown. (¼ x 60).
• Sexe : ... Hum ? Je vais faire comme si je n'avais rien lu, pure et innocente que je suis.
• Avatar : Asuka Langley, Neon Genesis Evangelion.
• Découverte du forum : ... certaines personnes (qui se reconnaîtront) ont fini par me convaincre de me ramener. et puis ça a l'air d'être un forum trop koul.
• Est-ce votre premier forum RPG ? Nope /o\
so pink and black and blue ─ amber. Minolta-vowelbattle28




Dernière édition par Amber le Sam 3 Déc - 1:35, édité 3 fois
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Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: so pink and black and blue ─ amber. so pink and black and blue ─ amber. EmptyDim 13 Nov - 16:07

Bienvenue sur Wammy's House *w*

Alors ton Amber est donc une Alter ! Et ça rime, si c'est pas beau la vie.

Et puis lancer de dés effectué.

Et puis bon courage pour finir ta fiche =D
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Pure Pure
so pink and black and blue ─ amber. 384660Alter2

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Wammy’s: H / A
Double Compte:
Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: so pink and black and blue ─ amber. so pink and black and blue ─ amber. EmptyDim 27 Nov - 21:51

    Bonjour, la fiche est-elle toujours en cours ?
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Invité
Sujet: Re: so pink and black and blue ─ amber. so pink and black and blue ─ amber. EmptyLun 28 Nov - 0:41

Oui ! /o/ pardon, je suis lente ;; je la termine au plus vite.
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Invité
Sujet: Re: so pink and black and blue ─ amber. so pink and black and blue ─ amber. EmptyVen 2 Déc - 7:34

C'est court, et probablement moche, mais je n'ai pas le temps de faire mieux. Fiche terminée, je suis contente d'avoir pu la finir à temps malgré tout. ;w;

pardon pour le double post D:
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Pure Pure
so pink and black and blue ─ amber. 384660Alter2

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Wammy’s: H / A
Double Compte:
Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: so pink and black and blue ─ amber. so pink and black and blue ─ amber. EmptyMar 6 Déc - 12:27

    C'est tout chou, tout parfait, je valide.

    Et désolée j'avais pas vu que tu avais fini. D8
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Sujet: Re: so pink and black and blue ─ amber. so pink and black and blue ─ amber. Empty

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