HRPG : Pardon c'est pas super et j'ai pas fait avancé l'action et y a des fautes je crois. Faudra que je corrige Dx

Oyez oyez braves gens prêtez donc une oreille attentive à cette histoire. Ecoutez donc l'histoire des valeureux chevaliers qui vivaient sur les terres du grand Wel l'Houssiayer où on ne manque de sottards et de maroufles. Mais ce n’est pas une troupe de traîne-misère qui nous intéresse en ce jour de l’an 1123. Non mes amis aujourd’hui vous allez découvrir les aventures d’une troupe de chevaliers aussi valeureuse que ridicule.

Oh mais diantre voilà le premier membre de cette communauté : Muse la Poiscaille. Fichtre pourquoi diable un tel nom à une donzelle dans son genre ? Ca par exemple ! Par ma foy l’histoire de la Poiscaille vous serez inconnus ?! Eh bien nobles messieurs et nobles dames, sachez que la Muse doit son joli surnom à sa naissance peu commune et peu glorieuse. Mais contons plutôt.

La mère de Muse, belle matrone ronde comme un tonneau était grosse. Le père était un homme avec qui elle avait festoyé avant de fortrer joyeusement. Hoplà mes compagnons Muse fut enfantée mais sa gouge de mère ne voulait point d’un mioche à nourrir…alors un jour où il y avait marché, la petite Muse fut mise au monde. Devant un tel problème sa mère l’abandonna dans un bac de sardine, criant et pleurant devant une telle demeure. Quelle malaventure ! Enfin Muse n’est plus une enfant, la voilà une donzelle pleine de charme pour ceux qui savent s’accommoder de l’odeur de sardine qui embaume à chaque pas et respiration qu’elle fait. Eh oui mes amis Muse la Poiscaille put comme un étalage de poissonnerie en plein mois d’août. Petit détail qui rappelle à ses amis et à son entourage que sa mère l’a mise au monde parmi les sardines et non à l’hôpital. Enfin soyons joyeux pour elle mes enfants : Muse trouve son bonheur avec les marins et les pêcheurs qui retrouvent la savoureuse odeur de leur métier en fortrant avec elle.

Muse souriait donc, donzelle pleine de joie devant la magnificence de sa quête. Aujourd’hui elle allait affronter un dragon ! Diable quelle perspective excitante, elle en frétillait de bonheur. C’était là une aventure épique comme elle les aimait. La Poiscaille était donc l’une des premières des hardis chevaliers à être arrivée devant la la forêt des Garols. Peur elle ? Que nenni ou du moins pas pour le moment. Avec un grand sourire Muse regarda les abords de la forêt avant de se tourner d’un air décidé vers ses compagnons (qui avaient un don pour retenir leur respiration en sa présence/out). Toujours son sourire éclatant, son odeur de poiscaille imprégnant son corps (de la tête jusqu’à sa coquille), son épée sur son épaule elle s’exclama :

« Ahahah compagnons ! Je vous le dis ; ce dragon ne sera qu’un pleutre face à nous ! On lui fera manger ses coilles ! Foy de Poiscaille ! »

Elle sautilla joyeusement, agitant son épée dangereusement pour ses compagnons de voyage, ne se rendant même pas compte des envies de l’emspoigner qui pourraient venir aux autres chevaliers en la voyant dans cette état. Tellement infantile et inconsciente. Au bout de quelques secondes, Muse se tourna vers le chef de la troupe et quémanda avec un grand sourire :

« Fichtre c’est pas tout ça mais moi je veux manger de la rondelle de Dragon. Où doit-on aller Fatal ? »

Le voilà chef, le petit cul.
Mais il n'avait rien demandé.
Charognard de bête sauvage, féroce et inutilement effrayante! Parlons bien du dragon, évidemment, qui est un peu l'ultime créature qu'il faut vaincre.
Ainsi se dressait le but de la quête. Il devait diriger la troupe pour mener à bien leur devoir. Un devoir loyal, qui consistait donc à trouver ce gueux de dragon, afin de mettre nos chers paysans en sécurité. Parce que oui! La créature effrayait bien tout le pays, sans pour autant vouloir extrapoler les choses. Bien que ce conet eut été servi maintes et maintes fois de coureuse de remparts et de breuvages – non sans exclure la bibine et le guiguet. Il ne mit pas une éternité à se décider, de toute façon, il n'avait pas trop le choix que d'accepter après tous les biens qu'il avait reçu. Tous les biens qui lui tombaient sous le nez, entre les jaunets, pouvoir étancher sa soif de boisson de qualité, et pouvoir affaire aux puterelles à sa guise, ce ne pouvait qu'être un charmement, une telle curation qui nettoyait l'homme de ses pêchés. Il n'avait pas le guignon, alors il savait que ses compagnons étaient aussi des êtres loyaux. Ainsi le petit cul se retrouvait devant la forêt des Garols.
Mais qui voilà! Muse la Poiscaille. Ô joie et... Non, que dis-je. Elle était fichtrement sur ses gardes, et fichtrement excitée. Elle utilisait un langage à mon goût peut être un chouilla médiocre, brut, grossier, très quelconque. Mais il ne voulait pas avoir maille à partir à tout bout de champ avec ses compagnons, sur ce fait, il répliqua simplement, la saluant au passage. « Par la barbe de Merlin! Muse la Poiscaille, c'est donc un honneur pour moi de vous mettre sur le droit chemin. » Par là, il entendait bien évidemment qu'il ferait tout pour réussir sa quête, sans vouloir l'offenser et surtout sans lui chercher noise. Il se tourna ainsi donc vers ses autres chevaliers débordant de magnificence et de somptuosité. Quoi qu'il en soit, il leva son épée vers le ciel comme pour faire preuve de sa fidélité envers ses compagnons du jour. « Oyez, mes chers valeureux chevaliers! Vous avez été élus pour mener cette quête avec moi-même. Je vais me permettre de vous promettre que je veillerai à chacun de vous, mais que je ne perdrai pas de vue la mission qui nous a été confié, peu importe sa difficulté. » D'accord ou pas d'accord, tout se jouait sur leurs réponses. Il était certes, très certains que notre ami le petit cul, Fatal, n'était qu'un beau parleur et qu'il n'avait absolument pas ce genre de caractère vaillant et aussi charismatique. Il n'en était pas moins que Fatal n'était qu'un être, un chevalier quelconque qui s'était retrouvé chef d'une troupe. Sûrement qu'il ne penserait qu'à son petit cul, aussi ironique soit-il, il se rangerait du côté du dragon s'il se sentait en danger. Bref. Mais un fait est un fait, ce serait déloyal dans tous les cas.

[504MOTS]
C'est minable, i know.

hrp ; omg. mais. non! vous êtes cruels serious. je sais pas si je vais assumer d'écrire comme ça tout le long. c'est tellement pourri que j'ai envie de me pendre. (mais je vous stopperai pas dans l'event, that's why je réponds)

SHARK PASSE SON TOUR. C'EST AU TOUR DE OCEAN.

En nosse saintes ter de Wel l Houssiayer
Un sottard de dragon s en vint un jour troubler
Des belins et paysans la seyrénité
Qui de toutemp sou mon roy viveires en paix
Le dragon de la plus coriasse cuirée
En tranches dusse estre fendu sans menacer
Mon seigneur juste et bon qui du fair appeler
De tous les chevaliers les cinq plus forcenés
Afin de calmer leurs esprits lourds malmentés
Par l humeur néfaste de la peur du décès
Je bercions leurs coeurs de chants hardis d odyssées
Sur leurs levrès glissions vins et femmes esnuées
Et les voilà dans la gueule du Garol jetés
Fatal ptit cul à la teste de leur armée
Grognant comme il se doit pour les encourager
Iceux se groupaient forts autour de son parler
Dame Muse la poiscail ne pouvons s empêcher
En ouvrir son bec de jurer et de puer
Quand ocean la vuicieuse susse empoisonner
Icelles ne manquons pas de zêle pour tuer
Anthem coeur de Lion et son oeil d enfant agé
Restions en retrait pour aiguiser son épée
Lui que gloire de mille succes précédait
Fut peut estre le moins enclin a bavarder
Si nosse seigneur à ce jour le protégeait
Icelui crut meyeur de fer pudicité
Il trouvons estrange d avoir femme coéquipier
Et voulons en silence à ce fait méditer

HRP : j ai... voulu jouer à la trobairitz, si c est trop incomprehensible \ chiant à lire dites le, je reprends mon francois hihi