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 hammer. i'm fine, i'm just not happy

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Hammer hammer. i'm fine, i'm just not happy 771063hammer3
Hammer
hammer. i'm fine, i'm just not happy 399817Expert1

Feuille de personnage
Wammy’s: H & A
Double Compte:
Âge: 17 ans /25 ans
Sujet: hammer. i'm fine, i'm just not happy hammer. i'm fine, i'm just not happy EmptyMer 26 Juin - 21:38


PAIN IS INEVITABLE.
hammer ■ sarajevo hayley

hammer. i'm fine, i'm just not happy 2vtzm6f hammer. i'm fine, i'm just not happy Zy68va


âge : 24 ans
date de naissance : 22.10
qi si arnomal : 196
sexe : masculin
origine : anglaise
ancien de WH ? oui
manie : effeuiller des cigarettes
cheveux : bruns
yeux : bleus
peau : blanche
taille : 181cm
tatouage/piercing : aucuns
corpulence : sec

and normal.



EXPERT
spécialisation médecine générale et pédiatrique et analyses médico-légales



SUFFERING IS OPTIONAL.

charismatique ■ sûr de lui ■ observateur ■ persuasif ■ meneur ■ efficace
arrogant ■ incorrect ■ acerbe ■ lunatique ■ caustique ■ frustré

Hammer n'as pas envie de vous connaître ou de vous comprendre. Vous n'êtes que du bruit, des sentiments et des événements qui le font souffrir. Oui Hammer est resté un adolescent attardé, fragile et méfiant. Bien qu'ayant fini ses études avec succès, il est absolument persuadé que sa vie ne vaut rien. Et pour cause, il n'a jamais réussi à se lier avec qui que ce soit après que Shark soit sorti de sa vie.

Et pourtant le feu de l'adolescence s'est bel et bien éteint. La rage a laissé place à un calme malade, à un endormissement progressif de l'animal qu'il était jusqu'à présent. Hammer ne parle plus autant qu'avant, sauf si c'est absolument nécessaire. Sa voix est devenue rauque, basse. Les épaules bases, le regard lointain, il restera toujours en retrait, discret, presque invisible. Mais son caractère bien trempé reste le même. La moindre provocation ou vexation entraînera de graves conséquences, même si moins virulentes que dans ses jeunes années.

Hammer reste Hammer. Triste, agressif, froid et pourtant sensible et en attente de quelque chose de plus, quelque chose pour le soutenir.

and i've already chosen.


S'étant levé étonnamment tôt, il avait tout le loisir d'observer la rosée recouvrir les jeunes et tendres brins d'herbes, contempler le ciel aux teintes hétérogènes, et même de voir les femmes de ménages, d'ordinaire invisibles aux yeux des orphelins, s'affairer autour des locaux de béton. Mais rien ne semblait le détourner de ses pensées, qui semblaient par ailleurs plus tumultueuses que jamais.

Si Sarajevo était de nature indifférente, quoique soupe au lait quand on le titillait sur un plan personnel, jamais les perspectives futures ne l'avaient autant préoccupé et le rendez-vous d'orientation l'avait conforté dans ses inquiétudes.

Quand il y repensait, quand finalement il se décidait à réfléchir à son passé et donc à son comportement présent, Sarajevo découvrait les raisons de pareille peur. Avec un considérable train de retard. Son corps, sa musculature étaient ses seuls trésors. Avant, il était le Temple. Avant, il n'avait jamais bu une goutte d'alcool, jamais tiré une bouffée de cigarette. Il ne se masturbait jamais avant une course, histoire d'être le plus agressif possible, déversant sa frustration dans le sport. Il mangeait sainement, dormait dix heures pas nuit. Tout tournait autour du sport. Prendre des médicaments lui semblait sacrilège et admettre une faiblesse, un crime.

Il avait toujours cette idée bien ancrée en tête, le fait d'intégrer une école d'athlétisme de l'État quand ses genoux s'étaient entrechoqués, à la sélection nationale, avant de s'écraser au sol. Il s'était vu tomber, mais n'avait pas compris. Et puis la douleur, la blessure, la mort. Et puis soudain il s'était retrouvé entouré de cauchemars aux uniformes verts et aux visages anonymes.

Une main sur sa canne, désormais en imitation bois, l'autre frottant son crâne récemment rasé à blanc, il soupira puis jeta sa cigarette, fumée jusqu'au filtre dans l'étang adjacent. Se laissant tomber contre le tronc, il repensa ensuite au moment où Stephen était entré dans la chambre, bouillant d'une excitation amusante à voir.

    — T'es finalement plus puceau ou ça va se faire dans l'heure, ou quoi ? — avait lâché Sarajevo, fumant à la fenêtre.
    — J'ai été pris.
    — Pas trop de bobo ? C'dur la première sodom-
Son colocataire l'avait interrompu, lui ayant lancé un paquet de Marlboro vide, sans se défaire de son sourire habituel, un peu tordu sur son visage émacié.

Quand Sarajevo comprit, alors qu'il n'écoutait pas un traître mot de son ami qui déblatérait au sujet de sa future carrière de boxeur, il fut emprunt de sentiments contradictoires qu'il eut du mal à démêler tant il était si peu habitué à en ressentir.

Désormais au calme il les réfléchissait aussi loin cette détestable analyse pouvait le permettre. Certes il y avait une pointe de joie, qu'il s'étonnait en plus d'avoir ressentie, peu enclin à l'empathie. Mais surtout il y avait cette mise en perspective des ses propres objectifs, et cela tenait en une seule phrase, qui tournait en boucle dans son esprit fatigué : et maintenant quoi ? Quoi sans le sport, sans son seul ami, sans la Wamm'ys House, enfin l'orphelinat renommé par euphémisme. Alors quoi, seul, dans la vraie vie ?

Sarajevo avait fêté ses dix-huit ans la veille, de paire avec la fin ses études secondaires.

Et au fur et à mesure que se dessinait un futur, un monde adulte qu'il avait toujours cherché à éviter, il s'étonna de sentir ses yeux gris s'embrumer, des larmes s'accrochant à ses cils. Il jura entre ses dents, plaçant ses mains sur son crâne, ripant sur les quelques cicatrices laissées par le rasoir jetable ayant mis fin au chaos capillaire qu'il entretenait depuis son arrivée.

Mais ce fut bien plus tard, alors que le soleil dardait ses rayons au travers des branches de son arbre, que Sarajevo l'aperçu. C'était une porte, simple, banale, en bois. Pourtant elle n'était pas là quelques secondes auparavant et semblait l'attendre, entre-ouverte.

Ses pensées devenues simples images et associations d'idées, presque animales dans son désarroi, ne le poussaient même pas à l'étonnement. En simple spectateur, il se vit se redresser, lisser un pli invisible son pantalon à pinces, et se diriger vers la porte ouverte sur rien. Plus il s'approchait plus l'impression de se quitter lui-même s'imposait à lui, le dédouanant ainsi de l'obligation de penser, de réfléchir sur lui-même. Il comprit pour la première fois Quinn, d'Auster, et la sensation s'intensifia.

Mais la main sur la poignée, qu'il sentit distinctement entre ses doigts et contre sa paume, tout lui revint en pleine face et il sut.

Avec une violence qui lui seyait bien mieux que la mélancolie, Sarajevo claqua cette porte imaginaire, si fort qu'il sentit son coude sous son menton. Et il resta ainsi un moment, ses sourcils comme des accents circonflexes et la lèvre supérieure retroussée.

La porte disparue, l'esprit léger, Sarajevo lâcha un mollard sur la mousse, entre ses pieds. Il s'apprêtait à rentrer, faire ses cartons, s’accrocher, encore un peu, à cette vite bien vide de sens.

...


    — J'ai pas de montre, notez l'heure de la mort pour moi.
Le claquement de ses chaussures vernies résonna sèchement dans la salle de gym. Le silence était si profond qu'on discernait même le frottement de l'arbre de la cours contre le toit du bâtiment. Quelqu'un éclata en sanglot, plus loin, peut-être une professeur. Lentement, l'urgentiste arrangea le petit corps sur la civière. Hammer sortit sur le parking, ouvrant lourdement la porte, sa canne en bois calée sous son aisselle. Il contempla un instant l'ambulance maintenant muette avant de rentrer dans sa voiture. Quand il posa les  mains sur le volant, il remarqua qu'elles étaient légèrement tâchées de sang.

La cloche de l'école sonna dans le vide et il partit au bar.

...


Il ne sut jamais si c'était l'odeur du vomi ou le claquement de la porte qui l'avait tiré de son coma. Sa nudité fut toutefois la première chose qu'il remarqua, sans vraiment s'en étonner. Toujours le visage à même le parquet, le bruit du trafic s'insinuant avec fracas dans son esprit brumeux, il attrapa une cigarette à moitié fumée et la cala entre ses lèvres sèches. Finalement il se releva avec maladresse, les mains sur sa cuisse déformée de sa bonne vieille cicatrice. Boitant lourdement, il attrapa un briquet sur le billot de boucher de la cuisine et l'actionna avec peine.

Il jeta un regard à son reflet, le mégot puant pendant au coin de sa lèvre gonflé. Son œil droit semi dissimulé par une paupière violacé et gonflée semblait lui faire un clin d’œil.

    Hello beautiful, fit-il tandis qu'il attrapait ses anti-douleurs et une bouteille rescapée.
L'appartement avait plutôt bien survécu à la nuit dernière. Il ouvrit grand la fenêtre, aperçu distinctement sa voisine fermer ses rideaux avec hâte et s’apprêtait sur cette introduction à passer une journée tranquille.

Mais son portable émit deux courtes vibrations.

...


Il hocha la tête d'un air fort peu convaincu, tâta les ganglions de la gosse, lui mima la grimace pour qu'elle ouvre grand la bouche.

    — Je pense qu'elle est hyperactive, elle est intenable.
La mère claqua sa langue contre son palais, dans un signe d'agacement profond qui contribuerait sûrement à des problèmes d'estime de soi à sa propre gamine. Il recula sur son tabouret à roulette, ouvrit un tiroir et en sortit une sucette. Immédiatement les yeux noirs de la fillette se mirent à briller et la mère à brailler.

    — Pas de sucre ! Ça va être encore pire.
Ses paupières s'alourdirent un instant tandis qu'il enlevait l'emballage de la friandise. Il la fourra dans la bouche de l'enfant et, avant que sa génitrice ne puisse se plaindre, lâcha :

    — Si vous avez fait des enfants pour faire comme les copines, vous êtes mal barrée. Il se releva, attrapa sa canne et boita jusqu'à la porte, qu'il ouvrit, et continua. C'est une enfant. Ça crie, ça pleure, ça fait caca et y'a pas de bouton arrêt. Rien dans son dossier et son rapport scolaire ne corrobore l'hypothèse d'un THDA.
Il ne fit pas vraiment attention à son indignation, ni même à sa sortie fracassante. Il se contenta de donner une pichenette sur le sommet du crâne de la gosse, en passant.

    — Continue à bien faire chier maman.
Le pire c'est qu'elle hocha la tête.

...


Sepherd le remercia et sortit. Il sortit une bouteille du tiroir à clef de son bureau et se servit dans sa tasse. On toqua à la porte. Il rangea la bouteille, soupira et jura tout haut, signe tacite que l'on pouvait entrer.





EVERYBODY DOES STUPID THINGS.

emploi civil : pédiatre en clinique privée
formation : études de médecine
ancienneté à l'agence : un an après l'ouverture
poste à l'agence : médecin généraliste et laborantin


ESPECIALLY ME.


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pseudonyme : Fiamou — Zee
âge : 22 ans
sexe : féminin
avatar : random
découverte du forum : y'a longtemps
est-ce votre premier forum rp ? non
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Hammer hammer. i'm fine, i'm just not happy 771063hammer3
Hammer
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Sujet: Re: hammer. i'm fine, i'm just not happy hammer. i'm fine, i'm just not happy EmptyJeu 5 Déc - 20:04

Fini ! o/
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Dreamy hammer. i'm fine, i'm just not happy 895584AvatarDreamy
Dreamy
hammer. i'm fine, i'm just not happy 240137minus

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Sujet: Re: hammer. i'm fine, i'm just not happy hammer. i'm fine, i'm just not happy EmptyVen 6 Déc - 19:06

Blublublu, et moi qui suis à fond sur Dr.House en se moment, j'aime

Si c'est fini, c'est validé ! Rien à redire comme d'hab'.

Love on you o/
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