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 James Adams - Bad boys, watcha gonna do ?

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Jesse James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 307590186352Jesse1
Jesse
Sujet: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptyVen 3 Mai - 18:20

NOBODY NOW GIVE YA NO BREAK

James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 796670Sanstitre2 James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 279754Sanstitre1
Jesse ■ James Adams


âge : 22 ans
date de naissance : 24 mars
ancien de wh ? Non
cheveux : Bruns
yeux : Bleus
peau : Mate
origine : Anglais
sexe : Masculin
taille : 192cm
tatouages : Rose fanée sur l’omoplate gauche, une spirale en forme de cible de tir dans la nuque, et un random dessin sur le bras droit.
corpulence : Elancé et musclé

you're gonna go far, kid.


Jesse vient d’être engagé à la Wammy’s Agency comme agent de sécurité. Il a été choisi pour son jeune âge, sa faculté à ne jamais poser de question, sa grande taille s’accompagnant d’une bonne musculature, et sa capacité de défense (aka casser la gueule des agresseurs).  


WHY DID YOU HAVE TO ACT SO MEAN ?

Réactif ■ Généreux ■ Volontaire ■ Déterminé ■ Courageux ■ Franc
Familier ■ Colérique ■ Peu réfléchi ■ Trop actif ■ Aspirateur à bouffe ■ Impulsif

Quand vous le croisez dans la rue, Jesse vous fait peur. Ou du moins, disons qu'il vous impressionne. C'est bien simple, il fait tout d'abord plus d'un mètre quatre-vingt-dix, et ses bras font deux fois les vôtres. Ensuite, il ne porte que des sur-vêtements de wesh. Et pour finir, il n'a pas une gueule aimable. Bref, vous changez de trottoir, juste pour être sûr qu'il ne tente pas de vous voler votre téléphone portable.

Laissez moi vous dire que, comme le lion, si vous ne chercher pas Jesse, il ne vous attaquera pas. En effet, malgré son air de banlieusard agressif, le jeune homme n'embêterait personne sans raison, sans compter qu'il ne fait jamais vraiment attention à ceux qui l'entourent, pour la simple et bonne raison qu'ils ne l'intéressent pas. Son passé douloureux lui a appris à ne faire confiance qu'à lui-même, et il est du genre à préférer rester seul plutôt qu'à s'encombrer d'inconnus qui pourraient le décevoir, à nouveau. Mais ne généralisons pas ce fait à l'ensemble de la population terrestre, non. Comme tous les êtres humains, Jesse a besoin de compagnie, qu'il trouve auprès de quelques maitresses et rares amis qui l'ont aidé à se relever à sa sortie de prison.
Car oui, le jeune homme à la peau mate est un ex-taulard qui en a pris pour un an ferme pour détention d'armes à feu. C'est triste à dire, mais il a toujours eu le profil du type qui va finir ses jours dans une cellule, et c'était un avenir que beaucoup de ses responsables aux foyers lui avaient prédit. En effet, depuis son plus jeune âge, Jesse est une personne colérique, nerveuse, qui ressent un besoin incroyable de se défouler. La rage qui grandit en lui depuis le départ de son frère, alors qu'il n'avait que onze ans, a fait de lui quelqu'un d'impulsif, et généralement d'incontrôlable.
Ce défaut s'ajoute au fait que Jesse n'est pas un garçon très réfléchi. Nous ne dirons pas qu'il est débile, loin de là. Il n'a simplement jamais reçu d'éducation, et a quitté l'école depuis ses douze ans. Jesse ne s'est nourri que de la culture populaire, n'a pas lu un seul bouquin depuis dix ans, ne regarde que les blockbusters et le sport à la télé, a une orthographe plus que médiocre, un vocabulaire relativement pauvre et donc une manière de s'exprimer familière. Quand on grandit dans la rue, la priorité n'est pas aux études et à tout ce qu'il nomme "ces trucs de bourgeois". A vrai dire, il aurait aimé grandir comme son frère, devenir un génie, s'en sortir sans avoir à faire brûler des voitures, être capable de lire sans buguer toutes les trois phrases, savoir faire plus que de diviser deux nombres en mathématiques, apprendre qu'autres langues que l'anglais. L'éducation est un privilège que Jesse n'a pas reçu.

Son séjour en prison lui a appris un grand nombre de choses sur la vie en communauté, et la vie en général. Il a eu le temps de réfléchir à sa situation, à son passé, à ceux qu'il avait connu. Entre récidiver et se reprendre en mains, il a décidé de s'en sortir. C'est ainsi qu'il a développé une détermination à toutes épreuves, une réelle volonté de se reconstruire et d'aller de l'avant, de ne plus se laisser porter par le courant, comme il avait toujours fait jusque là. C'est pourquoi il prend son travail à la Wammy's Agency très - trop - au sérieux. Il y voit une opportunité de laver le passé, et d'avoir une situation stable. D'être enfin un homme. Malgré sa maladresse due à sa mauvaise éducation, il tentera toujours de bien faire afin de réaliser ce que l'on attend de lui, de ne faire aucun faux pas. Ce job représente sa nouvelle vie.
S'il n'avait pas été brisé au plus jeune âge, on aurait pu voir sa principale qualité plus précisément, et elle n'aurait pas à être caché derrière une coquille craintive et colérique. Jesse a ce qu'on appelle le coeur sur la main. Il possède une générosité démesurée, ce qui en fait un ami plus que fidèle. Malheureusement, cette bonté de coeur ne s'applique désormais plus qu'à ceux qui lui sont chers et qui, selon lui, le méritent réellement. Car oui, ses rares amis ont de la chance de l'avoir. S'ils ont eu du mal à obtenir sa confiance et son amour, les épreuves qu'ils ont du endurer pour qu'il s'ouvre à eux sont mille fois récompensées. Jesse est quelqu'un d'extrêmement dévoué en amitié, car les amis sont la famille que l'on choisi, tout simplement.

N'ayez pas peur de Jesse, il suffit juste de gratter un peu pour voir en lui le petit garçon brisé qui ne voulait que jouer au basketball. Et de ne pas s'en prendre à ceux qu'il aime. Un coup est si vite parti.


When you were eight and you had bad traits, you go to school and learn the golden rule. So why are you acting like a bloody fool, if you get hot then you must get cool


Citation :
Robyn,
T’es où ? Bientôt un mois que je t’écris, et tu ne me réponds toujours pas. On t’empêche de me répondre à la Ouamiz Ous (je ne sais pas comment on l’écrit) ? Essaye de t’enfuir, et retrouve-moi. Je suis toujours à Londres, toujours dans cette famille d’accueil de merde. Le mec passe son temps à regarder la télé, à boire des bières en rigolant fort. La meuf me file un sandwich par jour, j’ai faim. Je suis loin du collège alors je n’y vais plus. Hier, un gars du quartier m’a tabassé, comme ça, sans raison. Je te jure, j’étais à deux doigts de le battre !
Réponds-moi s’il te plait Robyn, j’ai peur tout seul.
James.
Les frères Adams sont nés dans une famille typiquement british, au cœur de Londres, dans une maison à la devanture blanche et bordée d’un jardin fleuri, été comme hiver. Mr. et Mrs. Adams ont un sourire parfait, une photo de Lady Diana dans la salle à manger, une croix de Jésus au-dessus de chaque porte, un langage courtois, de bonnes manières, un revenu annuel convenable, un caniche et un persan qui lambine la dentelle des coussins du canapé à longueur de journée. Ils se rendent tous les dimanches à la messe, tous les jeudis soirs aux cours de danse de salon, tous les vendredis chez Pat’ pour Mr. Adams où il va regarder le match de foot, aux kermesses de l’école primaire, aux fêtes organisées par les voisins dès qu’il y en a une, auxquelles Mrs. Adams amène toujours ses délicieux petits fours, dont toutes les voisines demandent la recette. Ils ont pour passion commune le golf, la cuisine, le jardinage, les meubles Ikea, la propreté et la religion.
Ils y a deux manières d’évoluer dans la vie. Soit vous suivez le schéma parental, soit vous tentez de vous en éloigner le plus. Pour le malheur du couple Adams, leurs deux fils ont toujours cherché à suivre la voie opposée.
James, né trois ans après Robyn, a depuis sa naissance un lien particulier avec son aîné. Petit, c’est à lui qu’il adresse son premier sourire, et il apprend à dire « Robyn » avant même de savoir prononcé « Mum » et « Dad ». D’ailleurs, le jeune grand frère refuse d’appeler son cadet par le prénom que lui ont donné ses parents, et le surnomme affectueusement depuis toujours « Jesse ».
Les deux frères grandissent ainsi dans cette famille faussement parfaite, et Mrs. Adams, qui s’occupe pleinement de leur éducation, a du mal à les formater, à aller à l’encontre de leur lien fusionnel, à lutter contre leur deux personnalités caractérielles. Peut-être que si Robyn avait suivi le schéma parental, James aurait lui aussi été plus docile et plus doux. Mais Robyn est un excentrique, un garçon haut en couleurs qui parle beaucoup pour ne rien dire, qui ne cesse de se faire remarquer, qui fait le pitre, qui ne travaille pas à l’école, et qui est sans cesse suivi par le petit James. Car James adule son frère si différent des autres, si joyeux et si énergique. L’enfant tire sa force de la joie de vivre de son aîné. Mais ce qui lui brise le cœur, c’est qu’ils ne seront jamais, jamais, jamais semblables.
Robyn a ce charisme naturel qu’il tire d’une intelligence démesurée. Même si c’est un clown, il respire le savoir, et la sympathie. Jesse, lui, avec sa peau mate qu’il a hérité d’une grande tante du côté de sa mère, n’a clairement rien de tout cela, et surtout pas l’adresse d’esprit. Il est le genre de gamin nerveux, qui lorsqu’il se fait mal contre une chaise va aller frapper la chaise, et se faire encore plus mal. Il a une sorte de colère en lui, depuis tout petit, qui s’est matérialisée sous forme d’un côté rebelle et insolent. Il frappe, avant de parler. Et peut-être est-ce pour cela qu’il admire autant Robyn. Parce qu’ils sont opposés sur tous les points. Et qu’ils vivent le même enfer familial, la même frustration face à ces parents clichés.

S’ils avaient su qu’un banal accident de voiture faucherait la vie de leurs deux parents, peut-être que les frères Adams leur auraient porté plus d’attention, et pourquoi pas plus d’amour. Mais la vie est imprévisible, et c’est suite à un simple coup de fil que Robyn et James apprennent qu’ils sont orphelins. Ils ont respectivement quatorze et onze ans, l’un n’a pas fini le collège, et l’autre n’y est même pas encore. Et ils sont désormais seuls, livrés à eux-mêmes. James n’est pas du genre à montrer ses sentiments, il veut faire le dur à cuire, et tente de retenir ses larmes, pendant que son frère parle activement avec les services sociaux. Aucun membre de leur famille ne veut les accueillir – car trop insupportables – et ont les place en foyer, car ils sont trop vieux pour aller en orphelinat, le temps de leur trouver une famille d’accueil. James est plus attaché à Robyn que jamais, car il n’a plus la présence parentale pour le rassurer, quelque part. Non, il ne peut plus faire confiance qu’à son frère. Ils ne les sépareront pas.
Trois mois passent, et on fait passer des tests aux fils Adams. Des questions compliquées, des suites logiques de nombres. Peuh, des maths, James laisse tomber dès la dixième question et répond au hasard, pour être débarrassé au plus vite afin de retrouver son frère dans la chambre qu’on leur a attribué à leur entré au foyer. Lorsqu’il y retourne, Robyn fait ses valises en souriant, comme toujours. Il explique calmement au petit qu’on l’envoie dans un pensionnat pour surdoués, ce qu’il est. Et ce que James n’est pas.

« NON »

L’enfant hurle, renverse la valise de son frère, le frappe au visage, pleure, l’insulte. Parce qu’il ne veut pas être abandonné. Pas de l’être qu’il aime le plus au monde, pas de celui qui le comprend le mieux et qu’il comprend le mieux, pas de sa seule famille, pas de son frère, pas à onze ans. Robyn lui explique qu’il lui écrira, qu’il n’a pas le choix, que ce sont les services sociaux qui décident de leur sort désormais, et qu’il n’a pas à s’inquiéter. Et James regarde son frère s’en aller, puis court à son bureau pour lui écrire une lettre.

Peu après le départ de Robyn, on affecte le jeune frère dans une famille d’accueil. Il tente d’agresser la mère avec un rouleau à pâtisserie. Puis une autre. Il incendie le garage. Puis une autre. Il leur vole leurs bijoux. Puis une autre. Il tente de conduire la voiture et écrase le chien. Puis une autre. Il s’enfuit et est retrouvé à cinquante kilomètres de Londres. Puis dans un foyer. Il tabasse son camarade de chambre.
James est le sac à merde de maintenant treize ans dont plus personne ne veut, et qu’on tente de refiler au voisin, de peur de choper la peste. Certains le comparent à Taz des Loony Toons, d’autres lui prédisent un avenir radieux en prison jusqu’à la fin de ses jours. Parce qu’ils ne comprennent pas que James fait absolument tous les efforts du monde pour être insupportable, car ils les détestent tous, et qu’il veut fuir tous ces gens bienveillants qui essayent de l’aider. Il n’a pas besoin d’aide. Il n’a besoin de personne. Il souffre, et il est du genre à souffrir seul et en silence. Il est un chien enragé en pleine crise d’adolescence mordant quiconque voulant l’approcher.

Citation :
Robyn,
J’te déteste. Je te hais. Dire que pendant des mois j’ai essayé de travailler leurs foutus tests de merde pour rentrer à ton pensionnat pourri. Mais heureusement que j’ai échoué à chaque fois. Parce que j’veux pas être comme toi. J’veux pas être un intello péteux et lâche. Parce que t’es lâche, ouais. Je t’idéalisais, pour moi t’étais un mec génial. Et plus j’y repense et plus je me rends compte d’à quel point tu fuyais dès que t’avais un problème. Tu me réponds pas parce que je suis un problème ? J’espère que t’es malheureux. Au moins malheureux de savoir que ton petit frère crève la dalle, n’a pas toujours un toit au-dessus de la tête, et encore moins un lit pour dormir. Putain, mais crève. J’ai plus besoin de toi.
James.
Clairement, maintenant que James a quinze ans, il a plus ou moins fait tous les foyers et toutes les maisons d’accueil de Londres et de sa banlieue, et on ne s’occupe plus de lui. Il est l’échec des services sociaux, et ils ne veulent plus en entendre parler. Et ils ont tort. Ils auraient dû voir en lui l’adolescent brisé plutôt que le rebelle délinquant, ou encore l’encourager à améliorer son talent remarquable pour le sport, surtout le basket. James est déjà très grand pour son âge, et il passe son temps dehors, à jouer avec les autres. On ne le craint qu’un peu, car les gars du foyer savent qu’au fond, il n’est pas du tout quelqu’un de mauvais, et encore moins de méchant. Il fait juste un refus de l’autorité.
Et la vie de James prend un tournant, change considérablement. En passant dans une ruelle pour rejoindre un groupe d’amis, un type le bouscule et l’agresse. Ils s’insultent, se toisent du regard, se crachent dessus, et commencent à se battre violemment en criant des injures. Un groupe d’individus, alerté par le bruit, débarque mais n’intervient pas. L’agresseur se faire littéralement assommer à coups de poing enragés, et ne réagit même plus, le visage en sang. James lâche son « adversaire » qui tombe au sol inconscient, et regarde ses mains couvertes du liquide rouge. Et il ne ressent que de la colère.

« C’est quelqu’un comme TOI, dont on a besoin ! »

Il se retourne et voit le groupe qui n’a pas intervenu lors de la bagarre. Un homme, la quarantaine ou plus, deux types tatoués et une jeune femme, à peine la vingtaine. Et pas n’importe quelle jeune femme. Une blonde aux formes attirante, au regard turquoise provocateur, et au sourire radieux. Le cœur de James s’arrête de battre tandis que les quatre inconnus s’approchent de lui en ricanant, enjambant l’agresseur qui git au sol, et l’homme de quarante ans lui serre la main.

« Je suis Lip. Je te présente Joe et Karl. Et voici ma fille, Elena. »

Le soir même, James quitte le foyer pour s’installer avec la bande dans une vieille maison aux alentours de Londres, ressemblant plutôt à un réel squat. Et c’en est un. Sous les canapés, on trouve des briques de cocaïnes, des valises remplies d’armes à feu et le seul est un réel cendrier. Bref, l’attirail parfait des trafiquants de drogue qu’ils sont, et que James est, désormais. Il n’a pas vraiment réfléchi avant de prendre sa décision, il a dit oui sans même hésiter, à vrai dire. Car tout est mieux que d’être trimballé de foyer en foyer. Et peut-être un peu pour Elena, aussi, pour qui il a eu le coup de foudre. Du haut de ses quinze ans, il rêve de serrer son corps contre le sien, de la faire sienne. Mais il a bien compris qu’on ne touche pas à la fille du boss, et qu’il n’a donc aucune chance.
Dans cette bande de dealers un peu détraqués et loufoques, il retrouve un semblant de famille, et de solidarité. Quelque part, ce sentiment l’étouffe, et il est ainsi souvent ailleurs pour vendre sa marchandise, ou pour jouer à son sport favori où il devient très bon : le basket. Mais il leur appartient quand même, ils l’ont d’ailleurs marqué d’une rose fané noire sur l’omoplate, signe de reconnaissance du « gang ».

Et un soir, alors que James a déjà fêté ses seize ans, Elena débarque dans le salon où il dort depuis un an et demi. Il se redresse et la fixe. Tandis qu’il remarque qu’elle est complètement nue sous sa chemise, elle lui fait signe de se taire et s’allonge sur lui. Cette première nuit d’amour ne sera pas la dernière. Secrètement, ils vivent  cette liaison, qui ne doit être que sexuelle pour Elena, mais bien amoureuse pour James. Ils n’en parlent jamais. La jeune femme l’ignore la journée, devant son père, et le rejoint le soir pour s’adonner aux plaisirs de la chaire. Et quelque chose brûle au fond du cœur de l’orphelin adolescent, qui le réchauffe et le rassure, mais le torture tellement à la fois.

Citation :
Robyn,
Je vais brûler ton pensionnat. Je vais brûler tous tes amis les intellos. Je vais te brûler toi et ta petite vie qui doit être parfaite. Et je vais bien rigoler de ta souffrance, comme toi tu fais avec la mienne depuis sept ans. Quand je passe devant la WH, je crache sur les grilles. Parce que c’est tout ce que tu mérites. Connard. Si je te croise un jour, je te tue.
James.
Le temps passe, et James devient un homme. Quand il étouffe de sa relation secrète avec Elena, il dort chez d’autres maîtresses. Cela fait maintenant cinq ans qu’il vit dans ce taudis, vend de la drogue pour Lip, joue au basket pour se défouler, est envoyé pour tabasser la concurrence et se balade toujours avec une arme sur lui. Dans ce milieu, si tu ne descends pas l’autre, c’est l’autre qui te descend. Règle de base.
Vous allez rire, mais c’est le jour de ses vingt ans qu’il s’est fait choper. Simple contrôle d’identité, des papiers qu’il n’a pas, mais un pistolet dans la poche cousue à l’intérieur de son jogging. Putain, mais quel con. On l’emmène au poste et on le juge la semaine d’après. Il ne donne le nom d’aucun de ses partenaires, il s’est procuré cette arme seul et il vit dans la rue depuis ses quinze ans. La sentence tombe.

« Un an de prison ferme, et deux ans avec sursis. »

Et c’est étrangement en prison que James apprend à refouler sa colère. Parce qu’il a eu le temps de réfléchir. A sa vie, à sa famille, à son frère, à son gang, à Elena, à son avenir. Il ne peut continuer comme ça, mais il doit avancer, aller de l’avant, et faire une croix sur l’existence qu’il a vécu jusque-là. Parce qu’il a bientôt vingt-et-un ans, qu’il a bientôt purgé sa peine, et qu’il ne peut recommencer à faire le con, au risque de retourner en prison. Parce qu’il a trop longtemps été un rebus de la société. Il est temps de te prendre en mains, James.

Citation :
Robyn,
J’ai compris. Alors, où que tu sois, et qui que tu sois devenu, adieu.
James.
En sortant, il n’a pas recontacté son gang, car ils ne lui ont pas rendu visite, pas même Elena sur laquelle il a fait une croix. Il se trouve un appartement miteux vers Londres, qu’il paye grâce à des allocations. Sa vie se résume à fréquenter le terrain de basket, et à rendre visite au service de réinsertion qui met un an avant de lui trouver un vrai job. Et putain, ça pour un job. La nana du service le prévient, aucun faux pas ne sera toléré, étant donné le prestige de la boîte et l’état de son casier judiciaire. Agent de sécurité à la Wammy’s Agency. Il connait l’histoire de l’agence, et qui y sont les employés. Une nouvelle vie commence. Hein, Robyn ?



YOU CHUCK IT DOWN ME

emploi civil : /
formation : /
ancienneté à l'agence : Une semaine.
poste à l'agence : Agent de sécurité.


YOU'RE A HUMAN BEING

James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 454884367
pseudonyme : Jool (Arpy)
âge : 17 ans o/
sexe : Non.
avatar : Aomine Daiki
découverte du forum : Il y a moultes années.
est-ce votre premier forum rp ? TROP PAS WSH


Dernière édition par Jesse le Dim 22 Sep - 21:01, édité 9 fois
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Blossom Blossom
James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 187937Word1

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Wammy’s: H / A
Double Compte:
Âge: 16 ans
Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptyVen 3 Mai - 20:15

Bienvenuuuuuuuue ! ♥
Et, oh, ton vava est... Just awesome. o/
Edit ; Nah mais j'ai pas fais mon cri de fangirl devant Aomine-sama, alors... KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH, Aomine-kun ! *^*
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Pure Pure
James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 384660Alter2

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Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptyVen 3 Mai - 20:27

Désolée Blossom mais tu n'es pas autorisé à poster sur les fiches, même pour souhaiter la bienvenue. :3

Mais ça ira pour cette fois *pat pat la tête*
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James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 490550Shape3

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Double Compte:
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Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptyVen 10 Mai - 11:49

Re bienvenue ♥

Bon alors c'est la première fois que je m'occupe une fiche de wa donc j'espère que je ne vais pas faire de bourde, sois doux hu hu.

Bref, agent de sécurité Jesse est clairement un shape

Je te laisse écrire le caractère ~ en attendant tout va bien etjesseesthot

Petite modification, on avait oublié de mettre l'origine et le sexe dans la fiche de présentation, si tu pouvais juste les rajouter avec l'âge et le reste :3 merci et désolée
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Pure Pure
James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 384660Alter2

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Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptyVen 17 Mai - 12:20

Bonjour ! : D Fiche toujours en cours ?
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Arpège
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Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptySam 18 Mai - 11:59

    Oui, désolée de la lenteur, je suis en révisions de bac, mais j'essaye de la finir dans la semaine :3
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Pure Pure
James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 384660Alter2

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Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptySam 25 Mai - 21:42

Toujours en cours ?
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Arpège James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 767573Arpge3A
Arpège
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Double Compte: Screen, Jesse
Âge: 17 ans / 25 ans
Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptyDim 26 Mai - 13:33

Hmmm, serait-il possible de mettre ma fiche en attente ? J'ai peu de temps avec mes révisions malheureusement. Mais je compte bien finir Jesse :3 Merci.
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Jesse James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 307590186352Jesse1
Jesse
Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptyDim 22 Sep - 21:01

ENFIN TERMINE AMEN. Voilà voilà, ainsi s'achève la fiche de Jesse, et désolée de l'attente ;w;
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Dreamy James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 895584AvatarDreamy
Dreamy
James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? 240137minus

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Wammy’s: H/A
Double Compte:
Âge: 15 ans/23 ans
Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? EmptyDim 22 Sep - 21:17

Écoute, moi je trouve absolument rien à redire, alors je me ferait peut-être taper dessus après, mais tu es VALIDE !
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Sujet: Re: James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? James Adams - Bad boys, watcha gonna do ? Empty

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James Adams - Bad boys, watcha gonna do ?

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