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 l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction.

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Rocket
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Sujet: l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. EmptyJeu 7 Mar - 20:10

je le poste ici parce que Rocket est un peu arrivé il y a presque 6 mois. 8D /se tue


l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. Tumblr_ls1lubPDWl1qbw75zo1_250 l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. Tumblr_ls1lubPDWl1qbw75zo4_250
ever since we met.


Cela faisait trois jours.
Trois jours, quatre heures et sept minutes très exactement depuis que tu étais arrivé à la Wammy's House.

Et ça ne pouvait plus durer.


Tu as beaucoup observé le gars avec qui tu partageais ta nouvelle chambre - tu l'as observé bien plus que tu ne voudrais l'admettre. Et c'en était énervant tant c'était perturbant. Tu n'as jamais vu Dave - et c'en est presque honteux parce que tu es certain que n'importe quels amis aussi proches savent à quoi l'autre ressemble au bout de cinq putain d'années - et pourtant absolument tout en ce Deejay te rappelait ton best bro.

Tu es ok pour croire aux coïncidences, mais il y  a des limites.

A force de l'observer, tu t'es rendu compte d’énormément de ces soit-disant coïncidences, la plus notable étant qu'il semblait toujours écrire au même moment que Dave - et ça, c'est vraiment, vraiment perturbant. Tu ne lui as pas énormément parlé parce que tu es un peu monomaniaque sur les bords et que tu étais beaucoup trop occupé à l'observer, à analyser ses faits et gestes soit disant pour reporter son emploi du temps au "coolkid original" pour pouvoir réellement taper la discut' avec ton nouveau colocataire. Tu n'as pas besoin de deux Dave.

Alors tu te questionnes.
Tu es ok pour croire aux coïncidences, mais dans un cas pareil tu es soit face à une coïncidence telle qu'on en voit dans très très peu de films, soit face à un Dave qui a très légèrement oublié de t'annoncer qu'il avait immigré en Angleterre.

Sachant que Dave est capable de tout, la balance pencherait plutôt vers la deuxième option.

Alors nous y voilà, trois jours quatre heures et huit minutes après ton arrivée à la Wammy's House, il est 17h22, tu es dans ta chambre avec ton nouvel ordinateur portable et tu parles à Dave. Jusque là rien d'anormal, tu passes la plus grande partie de ton temps à parler à Dave en ce moment, un peu pour compenser les deux semaines où tu as brusquement coupé le contact à ton tour. Deejay est là aussi, et comme à chaque fois qu'il est dans ton champs de vision, tu l'observes de la façon du type qui voudrait se faire discret mais qui n'y arrive pas. De toute façon tu t'en fiches un peu, si ça le dérange il n'a qu'a te le dire.
17h23.
Il est temps de vérifier si l'équation Deejay = Dave est réellement si fausse que ça.


    « Hé mec, hm, Deejay c'est ça ? »

Ou comment commencer une conversation de façon awkward en une leçon, par John « Rocket » Johnson.


    « Je me disais, puisqu'on est partis pour se côtoyer un moment, autant essayer de se connaître un minimum pas vrai ? »

Et tu lui souris légèrement, comme un « non non je ne me sens pas du tout awkward mec tout va bien. ».
Tu ne te sentais pas awkward avant d'ouvrir la bouche, putain.




Dernière édition par Rocket le Lun 9 Déc - 0:41, édité 1 fois
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Sujet: Re: l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. EmptyJeu 28 Nov - 19:56


l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. 1d11 l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. 1r12
If I could go back when I was a stupidass I'd do it all again



Ça va faire approximativement une bonne moitié de semaine.

Trois jours et des poussières que deux évènements relativement importants ont eut lieu, et cela au même moment. Tout d’abord, l’heureuse louange qu’était ton anniv, aussi suprême que les 60 ans de McDonald’s, ou les 70 ans, mais toi comme moi on sait que la spécialité barbec’ de l’époque ne vaudra jamais les putains de promo que tu peux te faire grâce au ciné sur des ptits wraps de nos jours. En l’occurrence, l’époque actuelle nous accorde pas mal d’avantages sur lesquels tu ne peux pas te permettre de marcher. Et ouais, avec la crise, tu chopes tes wraps comme tu peux. Mais, quoi qu’on en dise, malgré toutes les surprises de malade que Ronald t’avait fais dans ta vie, s'il y’avait une chose à laquelle tu ne t’attendais pas, c’était bien la venue de ton meilleur pote dans la piaule.

Voire dans l’orphelinat pour surdoués de Winchester. Sauf qu’à côté, ce n’était qu’un détail. Tu étais là depuis quoi, un mois ? Tu aimerais pouvoir simplement te dire ça. En fait, tu en rigolerais presque, si toute cette histoire ne ressemblait pas à une machination du Professor Pyg. Tu te rappelais précisément du jour de ton arrivée, tout comme tu te rappelais du sien. Vos anniversaires. Tu avais pourtant bien géré, jusque-là. Tu t’étais pratiquement fait une réputation. Snoop t’abaisserait son chapeau. Il sacrifierait sa barbiche. Il se raserait la crinière pour ton statut. Tu te marres mais en fait tu commences à te dire que l’histoire t’a laissé une espèce d’irrépressible traumatisme. Ça fait un an que tu vois des clebs se métamorphoser en lions dans tes rêves et honnêtement, même la gueule de Napoléon le roi des viocs parmi tes canassons serait plus charmante que ça. Dans tous les cas, la gosse qui était venue te demander où était ta chambre n’était pas qu’une illusion chimérique de ton cerveau de génie. C’était peut-être une fan de dix piges qui voulait fêter Halloween en avance avec LA personne la plus fabuleuse du patelin, mais c’était toujours une fan. Tant qu'il n'y a pas trente pecnos s’empilant devant ta porte pour que tu signes chacune des fesses présentes ou autres parties pas forcément alléchantes, aucun contretemps n’est là pour mettre en danger ta petite vie tranquille.

Enfin, ça, c’était avant. Tu as beau dire, voir le légitime et confirmé homo sapiens qu’était John, c’était même mieux que Hawk et Alva sortant d’un gâteau surprise avec une invitation pour le rodéo du siècle à dos de requin mako. Néanmoins, plutôt qu’un roulé boulé des meilleurs potes de tout le cosmos à la Owen Wilson et Ben Stiller dans une ambiance très hétérosexuelle, tu avais plutôt eu la réaction ne serait-ce qu’un peu désarçonnée du mec qui s’attendait à tout sauf à ça. Sur laquelle tu avais dû enchaîner avec une Jam Session de malade. Tu aurais d’ailleurs préféré faire péter les rimes et le son. Ça aurait été beaucoup plus approprié et, dans le cas présent, beaucoup moins gênant par la suite. Mais non. Tu n’avais pas cherché à te manifester. Lui non plus. Le fait était que, tu l’avais reconnu et que lui non. C'était pourtant difficile de lui en vouloir. Après tout, tu étais censé être une espèce croisée entre Miley et Woutter, doublée de dons de chanteur extraordinaires et doté de qualités qui feraient de toi un monstre de charisme tout en étant affublé de caractéristiques de vieille poule, une bête de légende enfantée par Miley, un truc certes particulier mais majestueux ET sa putain de collection de carottes. Sauf qu’il avait capté depuis longtemps qu’il n’y avait rien à prendre au sérieux, puisque raconter des conneries était une partie de plaisir pour toi comme pour lui. Plus que ça, c’était John. Ou Rocket, désormais. C’était le même, pas de doute là-dessus. « Candide » serait le mot mignon que tu n’oserais même pas employer en termes de blague pour décrire ton meilleur pote. Et malheureusement, ça n’avançait personne.

Tu étais tout de même coincé entre deux sentiments plus ou moins opposés qui étaient le malaise permanent que tu ressentais de savoir alors que lui non, et la satisfaction absolue d’être celui qui savait. Le voir te regarder d’un air soupçonneux comme s’il était embarqué dans une supercherie de malade menée à bien par D. Jensen et ses partenaires Michael Kyle et Robert De Niro, une équipe de choc qui détrônait la team R. avec un son jazzy pour l’ambiance et des cols de pète-culs pour le côté malintentionné donnait lieu à des instants mémorables à graver à jamais sur pierre avec peau de singe papou en déco.

Tu n’irais tout de même pas jusqu’à dire que les circonstances te faisaient plaisir. En fait, plus le temps passait, et plus la situation devenait pesante. En plus d’être naïf comme pas deux, il fallait qu’il prenne plaisir à jouer les inspecteurs Gadget et honnêtement, même en ayant jusqu’ici plutôt réussi à déjouer les assauts soupçonneux avec une attitude détachée hors-pair et une gueule d’autoroute, tu sentais que ton temps de gloire était au bord de la falaise, prêt à te balancer avec une ancre dans les bras et un t-shirt "Je suis Dave Jensen" à la flotte. Et tu n’aurais rien à dire pour ta défense, puisqu’au final, tout ceci n’avait absolument aucune utilité. Mais avec les paroles que t’avaient inspiré Cénobite et Anachorète qui étaient aujourd’hui dans une ferme sur un tout autre continent, tu ressortirais de la flotte avec un slip par-dessus des collants et l’ancre ne tenant que sur un petit doigt. C’était ce que tu t’étais dit. Des phrases de motivation à coller sur tous tes cahiers et probablement aussi sur certaines des faces des gens de ta classe. Et puis, tu ne pouvais décemment pas fuir ton pote pour l’éternité. Par respect pour lui et pour l’enquête de malade qu’il menait sur ton dos, mais pas vraiment, puisqu’il te racontait tout via pesterchum et que tu étais en fait au courant de toutes les manœuvres employées au préalable.

    « Hé mec, hm, Deejay c'est ça ? »

Ou du moins tu croyais. Tu prends trois secondes pour vérifier ton portable, afin de regarder si l’action était à prévoir, même si tu sais parfaitement que vous aviez eu pendant ces dix dernières minutes un débat vivifiant sur le lapin des îles Amami, qui est soit dit en passant un truc tout à fait improbable et cela dans tous les sens du terme. Une chose que tu dois penser à noter en gros sur la face du prochain pecno qui se retrouvera dans ta situation : au moins 60% des gosses qui trainent sur internet se font aussi plaisir que les gens qui tirent le beau paquet de pognon au loto deux fois dans leurs vies, puisqu’il leur suffit de souhaiter être un beefsteak ambulant pour l’être, et que personne n’ira leur dire qu'il n'y a pas moyen qu’ils soient de délicieux morceaux de viande parce qu'ils ont clairement des gueules de babybels périmés. Tu n’as décemment pas assez réfléchi à ce que tu allais devoir faire quand tu te retrouverais de nouveau en tant que chewing gum gerbé devant la grille de ton école primaire.  

    « Je me disais, puisqu'on est partis pour se côtoyer un moment, autant essayer de se connaître un minimum pas vrai ? »

Des fois, tu repenses à ton frangin et tu te demandes ce qu’il ferait dans ce genre de situation. Tu te dis qu’il ferait rouler la machine à 430 km/h dans les couloirs et que les petits intellos se prosterneraient, éblouis par la qualité un peu iréelle du type, ainsi que tout ce qui allait avec. Le genre de mec qui débarque avec ses canassons dans l’orphelinat, parce qu'il ferait le cowboy jusqu’au bout du monde. Le Lucky Luke de la piaule. Sauf que toi à côté, tu étais plutôt le petit con qui tenait l’arrière-plan à bout de bras et faisait marcher le ventilo pour qu’il y ait du vent et des étincelles dans ses cheveux. Le mec qui se ferait à la limite embaucher pour jouer Aziz et à qui on gueulerait lumière, ce qui ne changerait pas beaucoup de ton job précédent. Une magnifique carrière d’acteur qui se finirait par un oscar décerné par ta grand-mère, revenue des trépassés pour te filer le prix de consolation en papier mâché et stylo coloré en cadeau.

    « Deejay, probablement un narval dans un autre espace-temps où tous les arbres seraient roses et la salade ne serait pas nutritionnellement acceptable. »

Tu as pris une pause en sentant que tu n’allais pas tarder à te taper un frontflip de malade où, au lieu d’atterrir comme un pro, tu te mettrais à tousser en plein vol, voire à gerber tout ton repas de la veille pour finir dans une mer bien dégueulasse composée uniquement par toi et pour toi, un moment de gloire inscrit dans toutes les mémoires et ici particulièrement celle de John qui n’aurait non seulement pas de mal à te reconnaître mais se foutrait probablement royalement de ta gueule.

    « Jadis quasi cowpuncher doublé d’un foutu paysan, célébré par tous le 12 juin par association avec le mec le plus cool de l’histoire du cinéma, aura a priori 413 ans dans 396 ans et sera quand bien même la carcasse la plus branchée du campus. »

Parfois, t’as l’impression d’être un poète un peu foireux qui essaie de plaire par l’intermédiaire de ses vers, et puis tu te rappelles de la sensibilité et tout le bordel qui traîne autour du concept même de la poésie et tu te dis qu’être un truc qui n'a absolument aucun rapport te vas très bien aussi. Tu fais lentement tourner la chaise de bureau sur laquelle tu étais assis pour faire face à ton meilleur pote. Tu as réussi à limite hurler que Woutter et toi n’étiez qu’une seule et même personne, alors tu n’as qu’une solution. Tu prends un stylo sur le bureau pour le faire tourner nerveusement dans ta main. Tu te sens relativement con parce que tu flippes, mais tu t'en marrerais presque en même temps. Un sourire se dessine quasiment sur ton visage, alors que tu tournes le regard vers lui :

    « Et sinon, toi ? »


    « C’est quoi ton pokémon préféré ? »




Dernière édition par Deejay le Ven 3 Jan - 19:19, édité 1 fois
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Sujet: Re: l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. l'art d'être awkward par Deejay et Rocket • introduction. EmptyLun 9 Déc - 3:37


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we'll hate what we've lost but we'll love what we find.


T'as cette mauvaise manie de compter les secondes qui passent lorsque tu te sens awkward ; et tu ne sais pas vraiment d'où tu as piqué cette habitude.
Probablement de ces nuits sans sommeil où tu comptais les secondes grâce à l'aiguille de ton horloge murale, parce que compter les moutons c'était stupide et que les lapins avaient toujours tendance à ne pas vouloir sauter par dessus la petite barrière que ton cerveau dressait spécialement pour eux. Quelle ingratitude.

Enfin peu importe la raison, le fait est que tu t'es foutu à compter les secondes par habitude. A peine cessé de parler et dans ta tête déjà résonnait le compteur des secondes jusqu'à ce que tu préfères sauter par la fenêtre au lieu d'avoir à supporter cette situation plus longtemps. Quoi que tu serais probablement pas capable de sauter par la fenêtre, t'as le vertige. Il te reste toujours la possibilité de sortir en courant de la chambre et aller te réfugier dans. Dans la salle de musique ! Yay ! Et tu joueras du piano jusqu'à ce que tu oublies tout de cette situation horrible dans laquelle tu t'es jeté sans réfléchir. Et. Et tu sortiras plus jamais de la salle d'ailleurs, ça serait prendre le risque de te retrouver confronté à la situation une fois de plus. Cette idée te ferait presque frissonner d'horreur. Yeah, presque. Si seulement...

Si seulement t'avais la moindre idée de ce que ton colocataire est en train de raconter.

T'as compté jusqu'à approximativement 5 secondes en étant perdu dans tes pensées et envies de fuir jusqu'à ce que la douce (????) voix de Deejay résonne à tes oreilles.
C'est vrai.
Une situation à faire face.
Parfaitement.

Tu regretterais probablement d'avoir ouvert la bouche en premier lieu si ton cerveau n'était pas plongé dans la tentative de déchiffrement des paroles du "coolkid". La seule chose que tu as compris pour l'instant, c'est qu'il parle exactement comme Dave. Et le problème avec la façon de parler de ton best bro, c'est que à l'écrit, tu peux toujours relire ses phrases 10 fois pour tenter d'y donner du sens, mais à l'oral ? Tu vas pas non plus te mettre à l'enregistrer, quand même.

Sérieux, ça peut pas ne pas être Dave, pas vrai ?
De quoi. Il parle. Bordel.
413 quoi ? 300... 96 ? Attend est-ce qu'il parle de son âge ?

Ça fait 17 c'est ça ?

« Et sinon, toi ? »

Windows est en cours de démarrage, veuillez pati--
Non sérieux t'es trop occupé à tenter de mettre de l'ordre dans les morceaux de phrases pour faire attention à sa question.
Tu dois avoir l'air vachement paumé, à fixer le sol comme si on venait de t'annoncer que tout ce à quoi tu croyais avant est faux et que le Père Noël existe pour de vrai.
Ok donc un narval cowpuncher paysan-- what the hell.

« C’est quoi ton pokémon préféré ? »

Des arbres roses et de la salade------- Attends.

Tu relèves la tête et le regarde droit dans les. Lunettes de soleil, à défaut de pouvoir le regarder dans les yeux. Sérieux, quel trou du cul porte des lunettes de soleil en intérieur ?
Un nommé Dave, bien évidement.
Un qui a tendance à oublier d'indiquer des détails presque important à son meilleur ami, aussi.
Woah tu as soudainement envie de le tuer. Si c'est lui que tu pousses par la fenêtre y'a pas de problèmes de vertige, pas vrai ?

Tu croises les bras et tournes ta chaise de bureau face à ton écran, histoire de pouvoir regarder dans la direction opposée de Dave sans te niquer la nuque. Est-ce que c'est normal de sourire tout en ayant simultanément envie de tuer quelqu'un et de le frapper ? Le tout affectueusement, évidement. Ton meilleur ami est un idiot. C'est probablement pour ça que c'est ton meilleur ami.

« Je sais pas un. Pokémon qui indique quand il change de lieu où on peut le trouver ? »

Tu le regardes à nouveau et - bordel de merde le contenu de ton cerveau est encore plus indéchiffrable que sa présentation. Il y a tellement de choses que tu voudrais dire en même temps que tu es incapable de choisir par quelle phrase commencer.
Et tu finis par éclater de rire.
Yeah, t'es probablement en train de péter une durite, mon gars.



Ok maintenant calme toi Johnson.

« Je suppose que j'ai pas besoin de me présenter pas vrai Dave ? Enfin je veux dire - non je veux rien dire en fait. »

Quelle éloquence.

« T'es pas censé avoir des posters de Miley Cirus ? Ils sont où ? Ne me déçois pas mec. Et ta collection de carottes ? Oh et tu m'avais promis un autographe aussi. »

En toute honnêteté, même toi tu ne te rends pas compte d'à quel point cette coïncidence, peu importe la stupidité de Dave, te rend heureux.


Woah.
Gay.


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