Sujet: c'est pas une lumière, c'est une fusée. | ROCKET Mar 25 Déc - 17:28
Rocket
“
Dire que tu n'as jamais été fan de ton nom serait un mensonge, mais on ne peut pas non plus dire la vérité en affirmant que tu l'aimes bien. Tu préfèrerais largement avoir un prénom autre, un prénom qui n'attire pas les moqueries, les railleries et la stupidité des gosses de moins de 10 ans, mais tu n'as pas eu le choix. Le seul choix que tu as eu est de te présenter face à tout le monde en tant que John, alors que ta véritable identité est ROMEO JOHNSON.
i can't believe it's not douche.
Et puis tu es entré de justesse à la Wammy's House du haut de tes 151 POINTS DE QI. Tu n'as plus vraiment besoin de mentir sur ton prénom maintenant, c'est un peu comme si Romeo Johnson avait disparu pour se transformer en ROCKET et juste Rocket, même si tu restes John pour certaines personnes qui te connaissent bien. Parce que de toute façon que tu sois Romeo, John ou Rocket, tu restes la même personne, ce type asthmatique aux MIMIQUES ABSOLUMENT RIDICULES quand il réfléchit.
Juste ce type un peu ridicule et un peu chiant de 16 ANS qui est né le 13 AOÛT dans un coin un peu paumé de l'ANGLETERRE, non loin du WINCHESTER et qui est arrivé ici le 22 SEPTEMBRE par une coïncidence digne des meilleurs mauvais films d'amour à l'américaine.
Quand tu te regardes dans la glace, en général le matin quand tu te lèves, tu ne peux t'empêcher de soupirer devant l'état de tes cheveux NOIRS, COURTS ET ABSOLUMENT INDOMPTABLES malgré leur entretien que tu admets parfois très approximatif. Puis ton regard se pose sur ces yeux d'un BLEU PROFOND qui t'observent d'un air fatigué derrière leurs LUNETTES UN PEU HIPSTER puis tu te perds à observer ta peau CLAIRE SANS ÊTRE PÂLE, tes DENTS « DE LAPIN » qui dépassent un peu par dessus ta lèvre inférieure, ta silhouète PAS PARTICULIÈREMENT SPORTIVE mais surtout, tu essaies de ne pas penser à ta petite taille et à ton pauvre METRE 63.
On peut dire de toi Rocket que tu es généreux, modeste, optimiste et affectueux, tout comme tu es borné, impulsif, immodéré et égocentrique.
Mais tu es surtout lunatique Rocket un peu trop hormonal peut-être et tes humeurs changent un peu souvent et tu changes au gré de tes humeurs et on ne sait pas toujours comment se comporter avec toi Rocket. Tu peux avoir une patience monstrueuse et tout prendre à la légère tout comme tu peux t'énerver pour un rien ; tu valses toujours dans les extrèmes Rocket entre une personne adorable et un gars détestable, pourtant tu fais des efforts Rocket tu essayes tu essayes de trouver un juste milieu et d'être juste toi tout le temps. Mais tu es trop instable John comme une fusée mal réglée et parfois tu exploses quand tu aurais simplement du décoller. On ne sait pas toujours comment se comporter avec toi Rocket mais ça n'est pas à sens unique parce que toi non plus tu ne sais pas comment te comporter avec les gens tu ne sais pas comment être gentil tu ne sais pas quand il faut être patient quand il faut avoir du tact alors tu te contentes d'essayer d'être toi de rester franc d'agir un peu même si tu ne sais pas trop quoi faire parce que toi tu ne sais pas t'occuper des gens.
Tu es surtout sarcastique Rocket parce que le sarcasme c'est un peu comme l'ironie de Deejay ça coule dans tes veines ça s'imprègne dans tes mots c'est un peu une façon de vivre qui te colle à la peau. T'aimes bien jouer au con et quand tu veux taper t'as une sale tendance à taper là où ça fait mal ; de toute façon tu manques de tact Rocket et tu sais pas parler joliment tourner autour du pot toi t'es franc et direct et tant pis si ça fait mal, tu peux toujours tenter de réparer les pots cassés après parce que c'est tout ce que tu sais faire. Taper, casser, réparer. Encore et encore réparer à coup d'excuses pensées à coup de gentillesse sincère parce que t'es pas méchant Rocket tu veux pas réellement être méchant avec les gens mais tu sais juste pas être gentil quand t'es pas d'humeur John et tu regrettes souvent ce que tu dis Romeo parce que tu voudrais pas être un con toi tu voudrais juste savoir te comporter en société.
Tu es surtout banal John parce que tu fais des erreurs comme n'importe qui et tu es intelligent oui mais ça ne change rien ça n'est pas la logique ça n'est pas ta logique carrée et mathématique qui peut réellement t'aider. Tu ne te considères pas vraiment comme un surdoué parce que tu n'en a pas les mérites tu ne te considères pas comme sortant de la masse parce que ce n'est pas le cas. La masse toi tu te fonds dedans avec ton physique passe-partout avec ton air parfois souriant parfois ailleurs tu déranges peut-être un peu Rocket parce que t'es bruyant tu parles tout seul ou tu parles fort et tu respires fort surtout mais ça c'est pas de ta faute. Parfois tu voudrais juste te faire oublier et jouer du piano, c'est presque tout ce qu'il te reste au fond et ce qui te calme le mieux quand ça va pas quand tu t'énerves comme ça pour rien un peu trop fort comme un enfant parce qu'au fond c'est ce que tu es encore.
boum! sounds like my brain exploded.
youth without youth
Définissez-vous en une phrase.
Non.
Vous offririez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une corde.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Ce que vous devriez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
La petite manie dont vous vous passeriez bien ?
Faire des private jokes.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
Show Pesterlog :
MR : et donc là MR : je sais pas trop ce qu'il s'est passé en fait. MR : je crois qu'elle s'est fait attaquer par un chat. MR : c'était assez chelou et j'ai pas compris pourquoi. MR : tu crois que c'était genre, son parfum ou une connerie comme ça ? UJ : hahaha clairement mec vu la description ça devait sentir miss dior sénile à 3km UJ : le chat a pas kiffé la rencontre avec elisabeth II MR : ouais ça doit être ça. MR : pauvre chat quand même attend je pense que j'aurais pas aimé être à sa place. MR : avoir son territoire envahi par une pseudo reine d'angleterre. UJ : grave si elle voulait faire un cosplay elle aurait pu y mettre un peu plus de fric sérieux UJ : quoi que lodeur des viocs cest tellement naturel je suis meme pas sur que ca soit dissimulable MR : j'avoue. MR : ça l'est pas en fait et c'est pour ça qu'ils empestent toujours le parfum. MR : parce qu'ils espère qu'ils pourront sentir bon un jour malgré leur odeur naturelle. UJ : la seule odeur qui est plus forte que celle des vieux cest celle quils ont une fois quils ont passé la barre des 110 ans UJ : jsuis pas sur de la fragrance mais jte ferais savoir ce que ça sent quand jen serais là MR : est-ce que tu tiens vraiment à vivre jusque là ? MR : genre vivre jusqu'à ce que ton odeur naturelle soit absolument insupportable ? MR : quoi que ça doit être un bon moyen de faire chier les gens. MR : surtout si quelqu'un est obligé de t'aider à te déplacer tout le temps. UJ : cest mon but ultime UJ : puer le cadavre et me faire pousser dans un fauteuil avec coussin velour intégré 24/7 UJ : joins toi à moi UJ : oh putain UJ : napoléon 3 vient de débarquer je re MR : hein ? MR : napoleon 3 ? MR : dave wtf ? MR : ... ouais non t'es déjà parti hein.
Et encore une fois, il est parti en te laissant en mode what the hell is even happening. Autant dire clairement que c'est comme ça à chaque fois qu'il est question de ses poneys. Tu n'es même pas en mesure de dire combien il en a, étant donné que tu apprends le nom d'un autre de ses chevaux presque chaque jour. Et d'un autre côté, tu n'es pas en position pour te plaindre vu le nombre de lapins et de chats qui se baladent tout les jours dans ton jardin. Même si la moitié des chats que tu as la possibilité de voir se promener entre les fleurs ne sont pas à toi, mais à vos voisins ou alors juste à personne. Votre maison est un peu un refuge pour tous les chats du quartier, et c'est légèrement de ta faute. Mais ça n'est pas comme si tu le regrettais ; tu adores regarder les chats par la fenêtre, quand Dave te lâche soudainement et que tu te retrouves sans rien à faire. Comme genre, maintenant.
« Hé John, tu sais que Jane et Jade viennent, demain ? ─ Hé Jake, tu sais que je t'ai dit de toquer avant d'entrer dans ma chambre. ─ Oui c'est pour ça que je le fais pas. ─ Connard. »
Tu aurais sans aucun doute préféré rester à ne rien faire et regarder par la fenêtre pendant des heures plutôt que d'avoir à supporter l'intrusion de ton frère dans ton espace vital. A 13 ans, on a pas besoin qu'un frère chiant qui se prend pour le chef parce qu'il a deux ans de plus s'introduise par effraction dans sa chambre. Par contre on aimerait bien que son meilleur ami laisse un peu ses poneys et s'occupe plus de nous. Comme quoi, on peut pas toujours avoir ce qu'on veut.
« Bon sinon t'as écouté ce que je t'ai dit ? ─ Je t'ai déjà dit que Big Billy est une peluche, pas un fauteuil. ─ Dude, étant donné que toi tu m'écoutes pas, je vois pas pourquoi je t'écouterais. ─ Mais siiiiiiii, je t'écoute. Jane et Jade viennent demain, c'est ça ? ─ Yep. Genre en fin de matinée et je crois qu'elles restent dormir, aussi. ─ Cool ! »
Si tu as parfois du mal à supporter ton frère, tes cousines c'est un peu comme ton oasis revigorant dans ce désert de chiantise fraternelle. Elles viennent souvent chez vous et vous allez souvent chez elles, et quand vous restez dans vos maisons respectives à quelques rues d'écart, vous restez en contact presque permanent sur internet. Vous êtes très fiers d'ailleurs, ton frère et toi, d'avoir réussi à les convaincre de venir sur internet elles aussi, en prenant des pseudonymes aux mêmes initiales que les vôtres. Et quand le Lapin à Moustaches fait équipe avec l'Arbitre Raton-Laveur face au Champignon Roumain et au Marshmallow Martien, ce sont juste les moments les plus randoms et épiques de ta vie. Tu ne t'en séparerais pour rien au monde ; tu aimes juste tellement vos batailles de vannes et autres sales coups, que ce soit dans une conversation à plusieurs ou sous les yeux sarcastiques et amusé de vos mères. Vous ne vous ennuyez jamais, au moins, chez les Johnson.
« Maintenant bouge tes grosses fesses de mon ours. ─ Qu'est-ce qu'on dit ? ─ S'te plait. ─ « Frérot chéri d'amour. » ─ Tais toi et bouge ! »
Même lui, il a beau te taper sur les nerfs et te faire lui balancer des peluches lapin à la face, tu ne t'en séparerais pour rien au monde.
candles and clockwork.
Un piano.
Aussi loin que remontent tes souvenirs, ce piano a toujours été là, dans ce coin du salon, et même si depuis, une grande partie des meubles de la pièce ont été déplacés et redéplacés encore et encore, lui n'a jamais bougé. Immobile, fier et droit à côté de la fenêtre donnant sur la rue, toujours intact malgré toutes ces années, malgré toutes ces notes jouées. Qu'est-ce que tu as pu le regarder, ce piano, avec tes petits yeux d'enfant, admiratif derrière tes petites lunettes rectangulaires. Qu'est-ce que tu as pu l'observer, sans jamais oser le toucher. C'était trop majestueux, trop impressionnant. Qu'est-ce que tu as pu gronder ton frère, du haut de tes deux ans de moins, quand celui-ci appuyait au hasard sur les touches, pour s'amuser, faisant crier l'impérial, couiner ses touches et grincer ses cordes. Combien de temps tu as pu passer là, planté non loin du piano, à regarder ton père jouer, à écouter les notes s'envoler jusqu'au plafond, le transpercer pour atteindre le ciel. Les yeux fermés, bercé et transporté par la mélodie.
Il n'avait pas fallu beaucoup de temps à ton père pour se rendre compte de l'attrait que tu avais pour l'instrument. Dès ton plus jeune âge, chaque fois que, pendant l'un des morceaux qu'il jouait pour se détendre en rentrant du travail, son attention dérivait des touches pour se focaliser sur ce qui l'entourait, tu étais là. A une distance raisonnable de l'instrument, avec ou sans tes jouets, à écouter d'un air admiratif. Le piano était ta meilleure berceuse, la meilleure façon de t'apaiser. Dès ton plus jeune âge, ton père avait décidé qu'un jour, il t'apprendrait à en jouer.
Il n'a jamais regretté cette décision.
« Tu feras un meilleur pianiste que moi, mon fils. »
Ça te faisait un peu peur, au début, tu appréhendais, tu n'étais pas sûr, pas sûr d'être à la hauteur de cet instrument que tu avais passé des années à admirer sans jamais oser y toucher. Et tu étais là, du haut de tes 9 ans, fermement planté en face de l'instrument, à ne pas oser t'approcher trop, à ne pas oser t'asseoir, malgré les encouragements de ton père, malgré ta propre volonté d'essayer.
Mais tu l'as fait. Tes doigts se sont posés, doucement, sur les touches du piano, un peu au hasard mais avec une attention infinie, et le son s'élevant dans les airs n'était peut être pas le plus beau que puisse produire l'instrument, mais ça n'était que le premier.
Il y en a eu tellement, après.
Ton père t'a appris tout ce qu'il savait. Quelle touche produit quel son, comment fonctionne l'instrument, comment se tenir, comment maîtriser différemment ses deux mains. Il t'a joué ses morceaux favoris, t'a regardé tenter de les reproduire. Tu t'en sortais si bien, si vite ; il était tellement, tellement fier de toi. Tu avais hérité de sa passion, une passion peut-être encore plus forte que la sienne, le tout surmonté d'un petit plus, sûrement. Tu te souviens vaguement avoir passé un test un peu bizarre, qui n'avait rien à voir avec ceux qu'on te faisait passer à l'école ; c'était plus marrant, plus ludique, sûrement. Tu te souviens aussi qu'après ça, chaque fois que ta mère te disais que tu étais un génie, ça n'était pas que dû à l'enthousiasme suite à une idée brillante. Mais, génie ou pas, tu n'avais jamais vraiment compris pourquoi.
Ce dont tu te souviens surtout, c'est ce jour où tes parents sont rentrés, un peu tard, parce qu'ils avaient un cadeau pour toi ; pour te féliciter parce que tu étais le plus parfait des petits garçons qu'ils auraient pu imaginer avoir. Tu te souviens que ton frère était jaloux, parce qu'on lui fait pas des compliments comme ça, à lui, parce qu'il fait trop de bêtises, toujours trop. Vous n'êtes que des gosses, après tout.
Et c'est ainsi que tu t'es retrouvé avec ton tout premier lapin, un vrai lapin, dans les bras. Parce qu'ils avaient confiance en toi, parce que tu savais être responsable même si, évidement, tu n'étais pas réellement parfait, parce que tu le voulais tellement, et parce que tu le méritais. Parce qu'ils t'aimaient tellement, et toi aussi, tu les aimais si fort.
savior of the waking world
A onze ans, il est facile de se laisser influencer. Tu avais pour habitude de refuser toutes les propositions de ton frère parce que ton frère n'était qu'un abruti ; il te faisait toujours des blagues, des farces, et autres trucs pas cools qui ne finissaient pas particulièrement bien.
Soyons réaliste ; il ne faisait pas toujours ça. Parfois il avait de vraiment bonnes idées, ou en tout cas aucune mauvaise intention derrière ses idées foireuses. Ton frère était stupide - et l'est d'ailleurs toujours - mais il n'était pas si méchant que ça. Il suffisait de le voir te protéger à chaque fois qu'on essayait de t'embêter, il était prêt à mordre pour qu'on te laisse tranquille. Sous prétexte qu'il était le seul autorisé à t'embêter. Au fond vous saviez bien que c'était parce qu'on ne touche pas à son petit frère chéri. Tu ferais pareil pour lui, si tu étais plus grand.
Au début tu étais septique avec son idée ; partout, tout le monde te disais qu'il fallait se méfier d'internet et des gens qu'on rencontre sur internet. Surtout des gens qu'on rencontre sur internet, en fait. Alors quand ton frère t'a proposé d'aller sur internet avec lui, tu as commencé par refuser. Tu lui disais même qu'il devait pas y aller, qu'il devait faire super attention, parce que c'était dangereux, parce qu'il pouvait lui arriver plein de choses, même des trucs graves, peut-être surtout des trucs graves, et que c'était juste pas cool. Tu étais bien éduqué, peut-être un peu trop bien, à toujours boire les paroles des adultes comme si c'était des paroles sacrées ; tu avais beau être un « génie », tu n'étais pas plus intelligent que les autres. Ils s'en sont bien rendu compte, les autres enfants de ton âge, et les moqueries fusaient. Mais tu les écoutais pas, parce que les gosses sont cons, et que tu valais mieux que ça.
Alors au début tu te méfiais ; tu te méfiais d'un peu tout et peut-être pas des bonnes choses, tu te méfiais des gens parce que même si tu étais social et apparemment drôle tu savais, tu savais que les gens quand ils se moquent ils le font souvent dans le dos, tu le savais parce que tu les entendais souvent des sois-disant amis se moquer de leurs autres soit-disant amis. Tu as juste assumé que c'était comme ça que ça marchait, la société et l'amitié -- mais ça sonnait faux, si faux et tu te sentais seul, quand tu n'étais pas chez toi. Parce que tu ne sortais pas si souvent que ça finalement, avec ton asthme, et t'étais habitué à la compagnie des lapins plutôt que celle des humains, mais les animaux c'est bien mais ça suffit pas. Alors tu as suivis l'idée de ton frère, et puis tu t'es perdu dans les méandres d'internet, un peu, et puis tu l'as rencontré.
Dave.
Show Pesterlog:
VT : bon je vous laisse à vos équipes pokémon VT : tchuuuu -- verywellThought [VT] vient de se déconnecter -- MR : tchu ! UJ : bye MR : ah trop tard. UJ : du coup UJ : cest quoi ton pkmn préféré MR : hm je dirais laporeille ! MR : il est vraiment trop mignon :B MR : et toi ? UJ : genre lucario et cornèbre je dirais MR : haha j'adore lucario ! MR : et riolu est trop mignon aussi d'ailleurs :B UJ : lucario est trop cool cest le seul loup qui se fait des putain de 360 et marche sur ses pattes arrière et woah je pourrais te décrire ma passion pour lui pendant des heures UJ : le gosse de anubis UJ : riolu cest le ptit bro cest celui qui se prend dans la gueule toutes les conneries qui passent par la tête de son frangin et qui doit faire tout pour devenir à son tour le master de la piaule MR : haha je vois :B pauvre riolu ! MR : mais et cornèbre ? UJ : cornèbre il a volé de ses propres ailes dès le début il a juste mieux géré le bordel UJ : il se casse pas le cul avec cor le boss il part et fait sa vie UJ : cest quoi ton nom MR : appele moi john ! :B MR : et toi ? UJ : woutter MR : haha enchanté woutter :B MR : c'est suffisament marrant pour que je t'appelle comme ça tout le temps je crois UJ : ok cest le prénom que jaurais si jetais un chanteur de merde blond néerlandais avec un nom comme levenbach MR : alors je suppose que tu n'es ni chanteur ni blond ni néerlandais ? UJ : raye une option et tu y es MR : je doute que tu sois chanteur UJ : si ça se trouve tes en train de parler avec miley cyrus depuis le début et ten as même aucune idée MR : oh j'en suis vraiment désolé si c'est le cas mais si ça l'était je pense que tu aurais dit chanteuse MR : quoi que MR : je ne sais pas en fait MR : aaah je vais rentrer dans ton jeu à ce rythme !! UJ : je vis dans un baraque pleine de canassons parfois même moi jai du mal avec mon identité UJ : peut etre que je suis un gars ptetre une fille UJ : peut etre un babouin MR : peut-être un cheval ? UJ : peut etre un cheval jai pu muter avec le temps bientot je me mettrais à bouffer ma collec de carottes et jirais me faire pote avec casimir MR : une collection de carottes c'est plutôt original :B MR : mais c'est pas difficile d'écrire avec des sabots ? à moins que tu aies des mains et plus des sabots à cause de ta mutation UJ : qui sait tu la verras ptetre un jour UJ : tout est envisageable dans ce patelin si ça se trouve demain je me reveillerais avec la gueule d'un poulet et des sabots UJ : ptetre quon maura livré le clavier adapté au passage UJ : livraison pour le babouin intersexué cheval gallus gallus domesticus MR : je me demande où est-ce que tu peux vivre pour qu'il t'arrive des trucs comme ça ça doit être plutôt intéressant la vie là bas :B UJ : si tu savais cest lollapalooza tous les jours ici UJ : on fait péter les feux d'artifices tous les soirs UJ : jvais dailleurs pas tarder à devoir aller gérer le bordel UJ : soirée de malade en perspective casimir sera aux platines UJ : mais cetait cool de te parler MR : haha je dois admettre que c'était plutôt cool :B MR : mais je voudrais pas te retarder pour ton organisation mr cool ! MR : enfin mr est-ce que je peux appeller un cheval comme ça UJ : disons dave UJ : mon âme dongulé laccepte comme officiel surnom MR : oh j'aimais bien woutter aussi pourtant :B UJ : woutter ca irait bien à un chanteur MR : alors tu admets ne pas être un chanteur ? MR : :B UJ : jai une voix de coq surrévolué mais jai pas encore percé dans le milieu UJ : jte tiendrais au jus si jamais je passe sur scène et tout UJ : en attendant jvais aller faire tourner les platines avec mon poto casi MR : haha amuse toi bien ! :B MR : et oublie pas de me prévenir si tu deviens une star hein ! MR : je serais aux premières loges MR : pour t'applaudir et tout UJ : jtenverrais un autographe gratis UJ : a plus MR : hehe a la prochaine :B
Pour une première rencontre, on aurait pu faire beaucoup mieux ; cette conversation est d'ailleurs devenue d'un accord silencieux et mutuel un sujet parfaitement tabou sous peine de mourir de honte. C'était une rencontre et une conversation particulièrement awkward, et pourtant, aussi bizarre que tu aies pu trouver ce fameux Dave au début, tu le trouvais aussi plutôt marrant. Même si tu ne comprenais pas la moitié des délires dans lesquels il partait et que tu avais du mal à démeller le vrai du faux, avec lui - et tu as d'ailleurs toujours du mal, parfois, mais tu as tellement pris l'habitude à force. T'es retourné lui parler, après ça ; t'es retourné le voir plutôt souvent même, pour voir si son imagination avait des limites, jusqu'où il pouvait aller, et puis t'étais plutôt curieux d'en savoir plus sur lui, il t'intriguait et puis il avait l'air tellement différent des gens que tu avais pour habitude de fréquenter.
A onze ans il est facile de se laisser influencer ; et tu ne t'en est jamais vraiment rendu compte mais Dave a eu une énorme influence sur toi.
savior of the dreaming dead
Show Pesterlog :
-- utterJeercreator [UJ] vient de se connecter --
UJ : jai des news de malade MR : ah ? UJ : jvais devoir bichonner mon frangin pendant je sais pas combien de temps UJ : il est à lhosto et ya de fortes chances que ça le fasse rester ici si les nouvelles sont bonnes UJ : ce qui signifie que je vais avoir le controle sur sa ptite vie le temps quil se pose UJ : accès illimité à sa ps3 en bonus MR : au moins il y a des bons côtés hehe mais il s'est passé quoi ? UJ : jallais préparer le dernier steak UJ : casimir a décidé de se faire le hulla hop de sa vie sur mon dos UJ : javais eu un éclat de gentillesse parce que le frangin est rentré pendant la nuit UJ : jai entendu un bruit UJ : il était sur le sol de sa chambre UJ : les urgences sont arrivées ya des types de partout qui savent pas quoi foutre du pauvre petit gosse sans parents en attendant MR : arf j'espère que c'est pas trop grave pour ton bro. MR : mais du coup tu vas faire quoi ? t'es à l'hopital là ? UJ : tu déconnes mec on parle de mon frangin là il sera de retour demain cest clair UJ : au lit pour 3 semaines UJ : nan jai pas pu le suivre UJ : ils sont cons ces types ils veulent pas que je vienne et apres il savent pas quoi foutre de moi hahahaha UJ : jte tiendrais au courant demain UJ : quand il sera rentré MR : hehe ok j'espère que ça va aller alors. UJ : tinquiète
-- utterJeercreator [UJ] vient de se déconnecter --
Il y a des périodes comme ça dans la vie où cette dernière décide d'être une pute. Tu ne pouvais pas savoir, toi, du haut de tes 15 et bientôt 16 ans, que ça n'était que le début de la fin. Non, à ce moment là tu ne pouvais que t'inquiéter pour Dave et espèrer que tout irait bien pour lui et que tout s'arrangerait. C'était tout ce que tu pouvais faire, après tout. Mais vous avez perdu contact, après ça. Et t'as passé des semaines à maudir les milliers de kilomètres qui vous séparaient et te rendaient le plus inutile des meilleurs amis. Le genre qui ne peut que s'inquiéter et absolument rien faire pour aider.
C'est quand ça commençait à aller mieux de son côté que tout a à nouveau dérapé.
C'était juste une journée à la con, à la base ; une journée normale, pleine d'évenements habituels, c'était une journée banale mais une journée joyeuse, où tu profitais de tes derniers jours de vacances en embêtant tes cousines autant que possible.
Et puis il y a eu un appel. Et l'inquiétude dans les yeux de Jane. Et vous avez couru. Mais il n'y avait rien, chez Jane et Jade, juste une mère en larme, et des mots étranglés lâchés au milieu des hoquets. Et puis il y a eu des pompiers. Et vous avez couru jusqu'à chez toi. Mais il n'y avait rien non plus, là-bas. Juste des chats effrayés et des lapins rescapés. Et puis des souvenirs, beaucoup de souvenirs partis en fumée.
« Hey John, il fait méga beau dehors, tu veux pas sortir ? ─ Jake, laisse le tranquille un peu. ─ Mais ça fait plus d'une semaine qu'il bouge pas ! J'ai pas signé pour avoir un mollusque en guise de frère. ─ Va te faire foutre Jake. »
C'est toujours dur à avaler, la vérité, surtout quand elle t'arrive en bloc à la gueule et que pas une seconde tu ne peux la nier. Alors tu t'es coupé du monde parce que t'avais besoin de digérer, digérer l'idée que tu verrais plus ton père, que tu verrais plus ta mère, que c'était fini, toutes ces soirées en famille à jouer du piano ou s'occuper des lapins, que c'était fini, le sourire de ton père fier de toi, les bras chaleureux de ta mère quand ça allait pas. Tout était fini, tout était parti en fumée.
Vous avez été pris en charge par ta tante après ça, ton frère et toi, mais elle était dans le même état que toi après l'incendie, l'incendie qui lui a enlevé mari et meilleurs amis. Et vous avez passé deux semaines tout les deux, pendant que la vie continuait à côté ; elle assise sur le canapé et toi allongé à côté, la tête sur ses jambes. Parfois, tu la sentais jouer avec tes cheveux.
« Tu sais tatie, je pense que ça finira par aller. »
Elle a été jugée inapte à s'occuper de quatre enfants même adolescents, et on a dû vous placer. Ils ont hésité à vous séparer, au début, mais tu étais le seul surdoué, et ça n'était pas si loin d'ici, la Wammy's House.
at the price of oblivion
Show Pesterlog :
MR : hey dave ! MR : joyeux anniversaire bro. :B MR : je sais que j'ai pas été beaucoup connecté ces derniers temps haha je suis désolé. mais j'allais quand même pas rater ça. UJ : thx et no pb jsuppose quon a chacun nos périodes UJ : sans les tampons et tout le bordel dégueulasse relatif à des meufs UJ : dis moi que tas pas des pbs de vagin john MR : non dave je te rassure je n'ai pas de vagin. MR : ton best bro est bien un homme n'aie pas peur. UJ : jaurais pu être trompé depuis le début par miley ca aurait été le trauma à vie UJ : toutes les fois ou on a parlé pénis imagines UJ : jsuis soulagé dapprendre que cetait pas une carence en serviettes hygéniques MR : eww parler de pénis avec une fille aurait été dégoûtant. MR : mais tu parles souvent de miley ne serais-tu pas déjà traumatisé ? UJ : ptetre que pire que ltrauma je suis fan UJ : des posters de cyrus partout dans ma chambre la prière de fangirl avant de dormir obligatoire amen MR : haha je t'imagine bien en plus. MR : d'ailleurs j'ai du changer de chambre à cause de euh. tout le bordel qu'il s'est passé ces derniers temps. MR : et le type avec qui je partage ma chambre maintenant je l'ai juste vu quelques minutes mais sur le coup il m'a fait penser a toi. UJ : tas changé de chambre genre chez toi ou? UJ : sérieux un prodige comme moi ten vois pas deux par siècle je sais que jtai manqué mais tu me vois un peu dans le regard de chaque enfant et de chaque vioc mec MR : haha j'aurais voulu t'approuver pour rendre cette conversation encore plus gay qu'elle ne l'est déjà mais le type avait genre des lunettes de soleil alors j'ai pas pu te voir dans son regard je suis désolé. MR : mais sinon pour faire simple je suis plus vraiment chez moi en fait. UJ : ouais mais ce type il a pas que des lunettes de soleil pour que ca te fasse penser à moi où sont tes arguments pour nier lobsession MR : d'accord d'accord j'avoue tout dave tu m'obsèdes. MR : deux semaines sans te parler et je ne vois plus que toiiii. MR : sinon euh je sais pas c'est probablement son air de cool kid qui m'a fait penser à toi en fait. MR : et puis il était blond et puis habillé en rouge je suppose que ça a suffit à mon cerveau pour faire le lien avec toi je ne sais pas. UJ : ah ouais UJ : et il fout quoi ce gars là enfin il est parti faire quoi de sa vie UJ : faut que tu me rapportes plus dinfos que jte dise si tas trouvé un double légitime UJ : voir sil mérite de trainer dans le coin et si un jour il pourra rencontrer le gars dont il est le jumeau le vrai dave loriginal UJ : genre hey tas lhonneur de rencontrer le boss un peu UJ : laisse moi te montrer le chemin des platines et la passion que tu devras entretenir pour miley UJ : sans oublier la collection séculaire de carottes et tout le bordel qui va avec UJ : tes sur le slide qui temmeneras jusquau bout du monde UJ : abandonne pas casimir en route tu pourrais manquer le poulet de ta vie UJ : toi et lui cest à la vie à la mort désormais emporte le rôti fais toi plais mec UJ : obama viendra en personne célébrer les fiancailles UJ : lamour vous emmènera toi et tes carottes jusque sur jupiter putain plus rien ne peut vous arrêter passez le bonjour à neil il vous attend avec le cake de découverte MR : dave mon dieu. j'en ai presque oublié le sujet initial. UJ : le bcbg que tas comme colocataire me ressemble et il me faut un abrégé de ses actions MR : ah oui c'est vrai. MR : t'en fais pas je m'occuperais de tenir une liste de son emploi du temps et je te la communiquerais en temps réel. UJ : ya interet UJ : que jte confirme enfin sil mérite dépouser casimir ou si tout ça n'était qu'un mythe pour lui MR : ne t'en fais pas casimir ne tombera pas entre les mains d'un imposteur. MR : c'est assez weird de me dire que je vais dormir dans la chambre d'un type que je connais pas et qui ressemble à mon bro quand même haha. UJ : je visualise assez le sentiment UJ : au moins tu pourras lobserver dormir en pensant à moi MR : ew non c'est encore pire après. UJ : offre lui une feuille de salade de la part de casi UJ : en attendant cest cool davoir de tes nouvelles UJ : jvais devoir pas trop tarder jai deux trois trucs relous à faire UJ : si tas des pbs autres que je suis en fait une meuf ou jai des ennuis niveau vagin tsais quton bro est là UJ : hésites pas si tas besoin de lépaule virtuelle de d.jensen pour verser les chutes du niagara UJ : sérieux john jtépargnerais les vannes si cest important MR : hehe ouais je sais. MR : merci dave. MR : c'est juste. ça va aller je crois. enfin oui ça va aller hehe. UJ : ok donc ya quelque chose UJ : prends ton temps si tas envie dmen parler jsuis un peu là 24/7 de toute façon UJ : pas que jtapprenne quoi que ce soit à ce niveau UJ : cetait juste le service pub de dave confessional ouvert de jour et de nuit pour âmes en perdition bonus slam après 3h du mat tous les mercredis UJ : jvais bouger maintenant alors UJ : prends soin de toi mec MR : hehe t'inquiète ça ira. MR : on se parle plus tard ! :B UJ : a plus
Mais maintenant tu n'étais plus que Rocket et tu t'es laissé tomber allongé sur ton nouveau lit. Un nouveau lit pour une nouvelle vie. Et peut-être que ouais, tout ira bien.
if my life is mine, what should'nt I do ?
to protect the world from devastation.
Alors comme ça vous voulez tout savoir sur KOKO, modératrice formidable ? Comme si vous ne connaissiez pas déjà tout de moi les stars n'ont aucune vie privée. Euh oui euh sinon je suis IMMORTELLE du haut de mes 18 ANS et je suis née le 22 AVRIL et je ne pense pas que vous ayez besoin de beaucoup plus d'informations. A part que Rocket est sponsorisé par JOHN EGBERT, de HOMESTUCK. ♥
Dernière édition par Rocket le Lun 10 Juin - 16:21, édité 10 fois
Sujet: Re: c'est pas une lumière, c'est une fusée. | ROCKET Jeu 7 Mar - 2:35
Bon ça fait cinq minutes que je cherche une éventuelle erreur...mais rien. Damned. C'est beau. J'adore Rocket. C'est un personnage classe en puissance ce lapinou. Tiens d'ailleurs son pull bleu me rappelle
♥ Bref. J'aime tes persos qui sont touts plus cools les uns que les autres. C'est beau d'aimer pokémon. Et donc ma chère Koko (collègue modo) je te valide dans la joie et la flufyness parce que cette fiche est juste parfaite :3
Et tiens cadeau :
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: c'est pas une lumière, c'est une fusée. | ROCKET