Sujet: We just wanna the real story | Blossom. Mar 27 Nov - 19:09
identité
there are me and me.
PSEUDONYME: Blossom. NOM : Riverwood. PRÉNOM(S) : Britanie Amy. QI: 191. DATE DE NAISSANCE : 19 / 05 ÂGE : Seize ans. SEXE (✔) : ❒ M ✔ F ORIGINE : Anglaise. ANCIENNETÉ : Quatre ans. MANIE : Se tapoter la lèvre inférieure de l’index droit.
physique
the way you look at me.
Couleur des cheveux : Rouge. Écarlate pour être plus précise. Couleur de la peau : Laiteuse. Tatouage/Piercing ? : Niette.
Couleur des yeux : Marron. Taille en centimètres : 170. Corpulence: Fine sans être maigre.
La question n’est pas tant être ou ne pas être que de savoir où en serait le monde sans avoir découvert le 0.
Blossom est une jeune fille manquant de cette originalité propre à plusieurs personnes de nos jours. Elle est cloitrée dans une bulle de rationalité et de logique dont on ne saurait l’extirper. Nul besoin de chercher plus loin, si vous n’apportez nulle preuve à vos dires – preuve valable à ses yeux –, elle ne daignera point vous accorder plus d’importance. C’est une personne qui peut être hautaine et qui ne se prive pas de porter un jugement hâtif sur les personnes qu’elle rencontre. En un regard, elle saura si cet être a le mérite de bénéficier de quelques instants de son précieux temps. Dire qu’elle saura du premier coup d’œil ne veut bien sûr pas dire qu’elle aura forcément raison. Parfois, si elle n’autorise pas à quelqu’un une seconde chance, une chance dont il pourra user pour prouver son intérêt, elle peut passer devant des occasions en or de rencontrer des esprits aussi éveillés que le siens. D’autres fois, elle se montre bien trop orgueilleuse, digne et fière pour oser se rabaisser à parler à quelqu’un. En fait, il est plutôt difficile de la cerner, car selon ses humeurs, selon ses résultats aussi, elle peut être amicale comme jamais et tout bonnement devenir une adolescente extrêmement arrogante, aiguisant son cœur pour qu’il en devienne aussi tranchant que la glace paralysant ses prunelles en une expression de pur et simple mépris.
Blossom s’épanouit à son rythme dans le milieu où elle se trouve. Elle s’adapte plus ou moins rapidement, ce fait étant relatif à la disposition de quelques livres qui pourraient l’intéresser. Elle pouvait faire défiler ses yeux bruns sur les lignes d’un roman de littérature classique tout comme elle pouvait s’activer à effectuer des calculs ne se trouvant habituellement pas dans son programme scolaire. Les mathématiques sont son domaine de prédilection. Les chiffres, les signes, les parenthèses… Tout cela la rend excitée comme une enfant de cinq ans face à un magasin de jouets. Si quelques uns craignent lorsque les chiffres sont remplacés par les lettres, la jeune fille, elle, prend un plaisir fou à déterminer encore et encore la fonction exacte de chaque petite trace d’encre sur son bloc-notes.
Il n’empêche que. Autant passer son temps à calculer, à lire ou à écouter de la musique – après tout, pourquoi pas, tant que les paroles restaient décentes et cohérentes – la rend souriante et chaleureuse, autant le fait d’être privée de ses passe-temps favoris peut la mettre de mauvaise humeur. Et parlons-en donc de cette mauvaise humeur. Les traits fins et féminins de Blossom se durcissent et se figent en une expression de lassitude tandis que son regard se laisse progressivement assombrir tantôt par l’ennui, tantôt par le dégoût. Le dégoût de la société humaine qui l’entourait, tellement vile, tellement sotte. Ses lèvres s’étirent alors en un sourire qui n’avait rien de bienveillant. Bien que rosées et semblant inspirer la sympathie, ces mêmes lèvres seront prêtes à se retrousser pour dévoiler une dentition alignée donc les crocs seraient prêts à s’enfoncer dans n’importe quelle chaire tant qu’elle s’avérait être source de distraction. En accompagnement, un simple retentissement d’une voix sèche et froide.
Arrogante et audacieuse, cela ne l’empêche nullement de se montrer sympathique vis-à-vis des personnes qui ont, au fil du temps, réussis à accumuler le respect de la demoiselle. Demoiselle qui est juste et loyale quand il le faut. Juste et loyale quand la situation n’est pas anodine. Juste et loyale quand les probabilités de l’existence d’échappatoires se réduisent. Juste et loyale quand elle le veut. Juste et loyale quand elle est sérieuse. Les hommes devraient craindre les femmes intelligentes, malignes et déterminées. Surtout quand elles ont un penchant manipulateur. Comme quoi, justesse peut aussi régner avec et seulement avec de l’injustice ; en manipulant x, y sera à notre portée, et toute personne réfléchie sait que la vie ne pardonne pas et que l’occasion d’avoir y ne se présentera pas deux fois.
Mais Blossom a un rêve. Un rêve peut-être impossible, mais un rêve tout de même. Le seul réel caprice – si on oublie la séduction qui allait de paire, souvent, avec la manipulation – qu’elle se permet est de rêver. De rêver à la perfection. De rêver à la Liberté. De rêver d’être légère comme la brume, insaisissable comme le vent, omniprésente comme le ciel et détachée de ce monde comme les nuages. Elle rêve d’être parfaite, libre. En somme, elle rêve d’être l’allégorie de la perfection et de la liberté. En outre, c’est d’être la nature dont elle rêve. Mais avant de pouvoir atteindre cet objectif – si toutefois il était possible de l’atteindre – il allait falloir franchir le dernier obstacle s’opposant à elle. Elle devait succéder à L. Battre tous les autres. Être la meilleure dans son domaine avant d’espérer exceller dans le milieu des autres – de ses adversaires.
classe
this is how i see the world.
Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en la mettant en gras et/ou dans une couleur voyante. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.
Définissez vous en une phrase.
Non.
Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
Anthropologiquement parlant ou bien ?
Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
Je suis un.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une bataille navale.
Les hauts de Hurle-vent.
Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
Un poisson rouge.
Une corde.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Finnegans Wake de James Joyce.
H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Totem et Tabou de Sigmund Freud.
Harry Potter de J.K Rowling.
Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
« Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
« D'un point de vu biologique... »
« Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Câliner tout le monde.
N'avoir aucune notion du temps.
Faire des private jokes.
Accro au high five.
Caser des citations partout.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...
histoire
we are born like this !
Tout le monde nait de la même façon. Pas dans les mêmes circonstances, certes, mais de la même manière quand même. Et vu que la rencontre des parents de la jeune Amy n’importe nullement dans son histoire, alors nous passerons ce fait. Nous en sommes donc à l’instant de la naissance de l’enfant. Elle savait, en ayant entendu ses parents évoquer ce moment plus d’une fois, que ce fameux jour, le jour où elle vit le jour, ils avaient décidé de ne plus jamais se lamenter sur leur sort. Ou quelque chose du genre. Ils étaient heureux, apparemment. En fait, Amy ne leur apporta que du bonheur. Du moins, d’après eux. Enfin bref.
Britanie Amy Riverwood. Biritanie, ça faisait trop lady d’Angleterre, alors dès son plus jeune âge, elle exprima un net penchant vers son deuxième prénom. Son nom de famille, maintenant. Les Riverwood sont une des familles les plus nobles de la société londonienne. Son père, en épousant sa mère et en contredisant les ordres de ses propres parents, s’était fait déshériter. Stupidement. Amy ne disait pas qu’il fallait choisir l’argent à l’amour – en fait, elle ne se posa même pas la question –, mais elle savait qu’en faisant preuve d’un peu d’ingéniosité, il aurait pu avoir l’argent et le bonheur de l’amour. Mentir en mettant tout en œuvre pour que le plan fonctionne. Manipuler. Être malin, voilà tout. Elle réussit, jeune déjà, à faire cette réflexion à son père. Elle ne savait pas trop quel plan elle pourrait échafauder, mais elle effectua grand nombre de probabilités. Au final, elle trouva cela stupide et laissa tombe, car le mal était fait : l’intelligence avait été négligée. Douée en mathématiques, apparemment. À l’école, cela se confirma grandement. Les problèmes qu’on lui posait, elle en riait presque à vrai dire. On lui fit passer plusieurs tests, quelques uns sur les chiffres, d’autres sur la littérature, voire autre chose. Elle se montra à la hauteur presque partout. Excellant dans les matières scientifiques, atteignant de très bonnes notes en langues, elle butait néanmoins sur tout ce qui touchait de loin ou de près à l’art. Le sport y compris. Oui, après tout, le sport aussi était un art. D’après elle du moins, il l’était.
Ses parents ne tinrent point leur promesse : ils ne cessaient de geindre. Et la petite Amy en eut elle-même marre. Elle voulu bien les aider à gérer les finances, mais le budget entrant était bien trop mince, trop insuffisant pour gérer une famille de trois membres. Pourtant, ses parents continuèrent de l’encourager, avares de plus d’argent. Et puis, elle qui s’était montrée sage et assidue dans ses études changea du tout au tout. Elle refusait de n’être vue que comme le cerveau par les yeux de ses géniteurs ; elle voulait être leur fille, ni plus ni moins. Et à cette époque, elle aurait été prête à n’importe quoi, même à ne plus user de cette fameuse intelligence la démarquant et ne la rendant que plus différente, plus isolée des autres. Comme si le fait d’être « pauvre » ne faisait pas assez rire ses camardes de classe. Elle se renferma sur elle-même quand elle rentrait chez elle, mais à l’extérieur, elle toucha un peu à tout. À douze ans, elle séchait les cours – si au moins ils avaient eu la décence de la faire placer une classe au-dessus – et se mit simplement à traîner avec un groupe d’adolescents plus âgé qu’elle. Au passage, ils étaient bêtes comme tout. Mais ça, elle réussit à passer outre. Ils lui apportèrent bien des attraits, telle la cigarette par exemple. Elle exhalait cette fumée grise, sans réelle joie ; seule l’indifférence régnait sur son visage. Une fois, elle se permit de troquer une cigarette contre un peu de drogue. Néanmoins, cela ne se reproduit point. Au bout de plusieurs semaines – à croire que les lettres s’entassant sur la table de la cuisine n’étaient jamais lues – son père lui demanda ce qu’elle fichait si elle n’allait pas en cours. Et c’était d’ailleurs le seul souvenir qu’elle possédait où elle le voyait si peu fier d’elle. Ce jour-là, elle sourit amèrement. Et ce jour-là, elle se fit gifler. Tout comme ce jour-là, elle jura de ne plus jamais redevenir la petite Amy qu’ils ont toujours voulue. Quand sa mère l’appeler Britanie, elle l’ignorait tout bonnement. Oui, une habitude qu’avait sa mère, effectivement.
Ce qui suivit, elle ne l’avait pas prévu. Pas du tout. Ils la vendirent. Au prix fort. Enfin, dire cela serait abusé. En fait, disons simplement qu'ils travaillèrent plus, désintéressés ou presque de leur fille. Si elle était si intelligente, elle aurait compris que c'était pour son bien. Mais bon, n'oublions pas que ce n'était encore qu'une enfant, alors elle eut ce sentiment de trahison et de désinvolture vis-à-vis d'eux. Elle retourna à l'école et amassa tantôt excellentes notes, tantôt des zéros. Ça dépendait de son humeur du jour. Ses parents lui crièrent dessus quand ils avaient le temps, mais elle s'en fichait. Plus rien n'importait. Elle vivait pour... Mourir. Simplement.
Un jour, elle traîna à la bibliothèque. Elle faisait ses devoirs, parce qu'elle n'avait rien de mieux à faire. Elle s'exerça assez longtemps, perdant la notion du temps. Elle ne s'inquiéta pas d'être en retard lorsqu'elle fut en chemin, car après tout, eh bien, elle passait ses nuits seule. Tout ce travail en plus pour quoi, au final ? Un peu plus d'argent. Amy ne voulait jamais grandir.
Un jour, quelqu'un toqua à leur porte. Il était matinal et ce jour-là, elle n'avait pas cours. C'était un dimanche. Ses géniteurs travaillaient. Encore. Comme toujours. Elle ouvrit et fut assez étonnée de constater que c'était u, homme d'âge mûr. Il la salua brièvement avant de, sans même rentrer dans l'appartement, lui annoncer une mauvaise nouvelle. Une nouvelle tout court, en fait. Une nouvelle qui fera basculer sa vie, néanmoins. Leur mort.
Avait-elle pleuré ? Crié ? Lutté ? Elle ne se souvenait de rien de tel. En fait, pet-être ne voulait-elle simplement pas y penser. Malgré cela, elle n'était encore qu'une gosse lorsqu'elle appris leur soudain décès. Elle avait dû piquer une crise. Ou pas. Vraiment, elle ne s'en souvenait pas. Mais logiquement, les larmes avaient dû couler. Peut-être même sans même qu'elle ne s'en rende compte. Une chose était sûre de toute façon, pour elle, depuis plusieurs jours déjà, ils n’étaient plus de ce monde. Ils n’étaient plus de son monde.
Britanie Amy Riverwood. Elle n’utilisa plus aucun de ses prénoms et son nom de famille lui échappait presque, désormais. Maintenant, elle était juste Blossom. Simplement Blossom. Orpheline parmi tant d’autres, ayant subi à son arrive un test de QI auquel elle eut de meilleurs résultats qu’elle ne l’aurait cru. Orpheline prête à tout pour atteindre son but. Un but qu’elle avait en commun avec tous les autres. Des plus jeunes aux plus âgés, tous n’étaient là que pour une raison. Et c’est cette même raison qui faisait en sorte que le rythme cardiaque de la jeune Blossom soit continu. Sa raison de vie, peut-être. Jusqu’à trouver mieux, ce sera le cas. Être proche de son idole. De son pi, dans toute sa ténébreuse splendeur. Être proche de L. Succéder à L.
L'ambiance à la Wammy's House n'était pas désagréable. Elle s'y plaisait, car elle était entourée de personne comme elle. Et puis, au moins, elle n'était plus vue comme une simple machine à réfléchir. Quoique. En bref, elle réussi tout de même à se faire des amis. Ce n'est, de toute façon, pas comme si elle possédait un réel problème de sociabilité. Seulement, désormais, elle possédait seize ans. Elle envisageait de trouver plus que des amis... Sans pour autant perdre son objectif de vue.
HRP
wave your hands.
SURNOM(S) : Blossom ou Sissi. xx DATE DE NAISSANCE : 01 / 12 / 98 ÂGE : Quatorze ans dans quelques jours. x) SEXE (✔) : ❒ M ✔ F AVATAR : Erza Scarlet de Fairy Tail. DÉCOUVERTE DU FORUM : Sur un top site. Pour une fois que je n’ai pas été déçue. o/ EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? Nop’
Dernière édition par Blossom le Jeu 29 Nov - 19:28, édité 4 fois
Sujet: Re: We just wanna the real story | Blossom. Mer 28 Nov - 21:37
Bienvenue à la WH*, Blossom ! Je suis désolée pour le temps d'attente ! :33
Il y a un petit truc qui m'embête dans ton histoire, et c'est toute cette partie de "elle a été vendue et s'est retrouvée cloitrée dans une pièce à travailler pour des affaires louches". Déjà la réaction des parents de vendre leur fille me semble assez extrême ; d'accord ils étaient pauvres, avec difficilement assez d'argent pour s'occuper correctement de leur famille si j'ai bien compris, et elle a été une méchante fille qui fait des bêtises. Je le conçois, toutes les familles ne s'en sortent pas financièrement et tout les gosses ne sont pas des enfants modèles, mais de là à vendre leur propre, unique fille ? La faire mettre en esclavage par des gens louches et s'impliquer indirectement dans leurs affaires ? A mon avis, il faut être plus que désespéré pour recourir à ça. Surtout que je ne pense pas que ce genre de choses se fasse beaucoup, à notre époque dans les pays développés (j'assume qu'elle vivait en Angleterre, étant anglaise ?), l'exploitation-esclavage c'est plutôt pour les usines délocalisées dans les pays pauvres. Et puis, aussi intelligente que Blossom puisse être, je vois mal des adultes plongés dans le côté pas net des affaires acheter une gosse de 11 ans pour s'en servir pour gérer leurs finances. Ce genre d'affaires c'est plutôt très très méfiant je pense, non ?
Bref ce passage me gêne vraiment et m'empêche de te valider, à moins que tu n'aies une explication en béton. :/ C'est normal de tomber dans ce genre de trucs, de vouloir faire/avoir fait trainer son personnage orphelin et surdoué dans le côté louche de la vie, mais ça fait un peu too much, et j'ai tendance à penser et dire que le réalisme est ce qui donne le plus d'intérêt à un personnage. Ce qui n'empêche pas bien sûr d'ajouter quelques touches de farfelu ! Juste, il est préférable d'éviter ce genre de fantaisies parce que ce sont les plus difficiles à faire de façon cohérentes. x)
Mais j'ai l'impression de parler un peu pour ne rien dire je suis désolée. En tout cas, l'idée que Blossom se fasse "trahir" par ses parents peut-être assez intéressante, mais il faudrait peut-être chercher une trahison moins. radicale ? C'est juste une suggestion, tu peux bien sûr modifier ça comme tu le sens. :33
Sinon, j'ai failli oublier, le questionnaire indique que Blossom est une Word, ou une Shape. Ce qui me semble un peu en opposition avec son esprit très scientifique et mathématique, à vrai dire. xD
J'ai l'impression de toujours faire des pavés, j'espère que je te fais pas peur, c'est pas mon but. ;u;
Sujet: Re: We just wanna the real story | Blossom. Mer 28 Nov - 22:40
Ne t'inquiète pas, les pavés, ça me connait bien. x) Eh bien, j'avoue m'être perdue dans l'ambiance d'un autre forum. Désolée. xx J'ai changé la fin de l’histoire et je t'invite à me donner ton avis là-dessus. Nettement plus réaliste, néanmoins.
Ah bah. Je sais pas trop. x) A toi de voir dans quel groupe Blossom serait le mieux. Disons que mes réponses au questionnaire ont été aléatoire, car bon, pour le livre, je ne connais qu'Harry Potter et pour ce que je dois arrêter, les citations, c'est tout ce que je fais, bien que ce ne soit pas si fréquent. uu'
Sujet: Re: We just wanna the real story | Blossom. Mer 28 Nov - 23:04
Effectivement c'est beaucoup mieux ! Dire que la mort de ses parents ne lui faisait ni chaud ni froid est peut-être un peu exagéré mais ça n'est pas très grave, tu peux laisser je pense. :33 Peut-être que tu pourrais rajouter, à la fin de ton histoire, comment Blossom se sent à Wammy's House puisque ça fait quand même 4 ans qu'elle y est, comment elle voit les autres orphelins, ces concurrents dans son but de succéder à L ? Juste quelques petites lignes à ce propos et ce sera parfait ! :33
Quant au groupe et bien, je pencherais plutôt vers les Words, puisque tu as toi-même mentionné dans son histoire qu'elle était douée notamment en langues, mais pas en sports, qui sont la spécialité des Shapes.
Donc si cela ne te dérange pas, il te reste juste à rajouter les quelques petites lignes que je te demande, et tu seras placée chez les Words ! Courage, tu y es presque ! 8D
Sujet: Re: We just wanna the real story | Blossom. Jeu 29 Nov - 22:09
Pour ma part tout me convient. En ayant vu les qualités et les défauts, je t'avoue que j'avais peur que Blossom soit un peu stéréotypée mais en lisant sa description et son histoire...je l'aime bien, je la trouve attachante et complexe. Et son histoire...pauvre petite Blossom délaissée par ses parents ;; Bref bref donc je ne vois rien d'autre à rajouter si ce n'est bon jeu parmi nous et hâte de voir ta petite Blossom évoluer dans notre cher orphelinat. Validée <3
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Sujet: Re: We just wanna the real story | Blossom.