Guard, le garçon qui demande votre protection (ou pas ///SBAAAF///)
Guard
Sujet: Guard, le garçon qui demande votre protection (ou pas ///SBAAAF///) Ven 26 Oct - 19:25
identité
there are me and me.
PSEUDONYME: Guard NOM : Somebody PRÉNOM(S) : Gilbert Edward Allan QI: 183 DATE DE NAISSANCE : 10 / 10 ÂGE : 15ans SEXE (✔) : ♪ M ❒ F ORIGINE : Française ANCIENNETÉ : Quelque jours MANIE : Jouer avec une douille
physique
the way you look at me.
Couleur des cheveux :Noir Couleur de la peau : Pâle Tatouage/Piercing ? : Non
Couleur des yeux : Ambrés Taille en centimètres : 1m68 Corpulence: 45kg
caractère
where is my mind ?
Sang-froid Gentil Honnête Débrouillard Bricoleur
Pas sportif Trouillard Difficulté à s'intégrer Inexpressif Hypersensible
Parlons peu, mais parlons bien : Gilbert est un jeune garçon d'une quinzaine d'année, toujours calme et inexpressif. C'est une personne honnête, le genre à dire à une personne dans la rue qu'elle à fait tomber son porte monnaie au lieu de le ramasser. Il est plutôt intelligent, et assez débrouillard : c'est le genre de garçon habile de ses mains et capable de bricoler avec deux bouts de ficelle et un bout de bois - des habitudes sans doutes prises lors de sa vie en autarcie- Il est légèrement autodidacte et ne rechigne pas à la tâche, que ce soit des exercices en plus ou bien une demande d'aide de la part de ses amis. Si on s'attardait sur cette parti la de sa personnalité, on verrait un garçon parfait. Mais, le garçon à aussi une autre partie plus sombre de son âme : insomniaque, il prend souvent des médicaments pour essayer de calmer sa nervosité : son sang-froid n'est qu'une façade derrière laquelle se terre un être craintif et peureux. Il est aussi très sensible, pleurant souvent pour des futilités lorsque personne ne le voit : un film, une lettre, un souvenir, ou une phrase, peuvent le ramener dans un passé heureux et refaire souffrir son coeur meurtri. Le jeune garçon n'assume également pas les changements de son corps adolescent (si vous vous amusez à lui passer un film un peu... hmm... Chauds ? Vous le verrez partir en courant. Surtout si c'est un film gay, en plus. Enfin bref.) et refoule donc au plus profond de lui les sentiments trop fort qu'il pourrait éprouver... Bref, Gilbert possède comme tous un fardeau de mauvais coté à porter (ou assumez), et vous ne le verrez jamais sourire ou autres, à cause de son passé malheureux...
classe
this is how i see the world.
Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en la mettant en gras et/ou dans une couleur voyante. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.
Définissez vous en une phrase.
Non.
Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
Anthropologiquement parlant ou bien ?
Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
Je suis un.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une bataille navale.
Les hauts de Hurle-vent.
Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
Un poisson rouge.
Une corde.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Finnegans Wake de James Joyce.
H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Totem et Tabou de Sigmund Freud.
Harry Potter de J.K Rowling.
Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
« Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
« D'un point de vu biologique... »
« Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Câliner tout le monde.
N'avoir aucune notion du temps.
Faire des private jokes.
Accro au high five.
Caser des citations partout.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
Quelque chose que je dois faire ? Euh.
Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...
histoire
we are born like this !
Guard, de son vrai nom Gilbert Someboby, est née il y a environ 15ans, sur le bord de mer anglais, alors que la tempête faisait rage à l'extérieur. Ses parents était de brillant navigateur à qui la vie souriait, réussissant dans la vie et arrivant à mener leurs vies de Bohème comme ils pouvaient, en enchaînant petit boulot et semaine de navigation. Mais, la vie connait à chaque instant une fluctuation qui fait que le bonheur doit être détourné : un tragique évènement arriva le jour de la naissance de Gibert : le marin fut pris par la tempête et ne revins jamais au port. Les restes du bateau furent retrouvé plusieurs mois après. Cette évènement fit radicalement changé la mère du jeune Gilbert : en effet, qui aurait pu croire que l'homme qu'elle aimait plus que sa vie était partie pour un ailleurs dont on ne revient pas sans jamais voir le visage de son fils ? Personne. Loïc Somebody, Français, était pourtant un marin aguerri qui connaissait bien les courants et les tempêtes. Ce fut un des drames qui marqua profondément la vie de la femme. En effet, la perte de son mari, un homme qui semblait pourtant invincible, avait causé une douleur incommensurable à la jeune mère. Si Gilbert ne venait pas de naître, elle se serait sans doute laisser aller au plus noir désespoir, et aurait achever sa vie dans une mare vermeil, une lame au froid létal teinter de liquide vital dans la poitrine. Au lieu de cela, elle avait utiliser l'assurance vie que son mari lui avait laissé pour acheter un manoir perdu en plein coeur des bois. Elle avait décidé de fuir le monde des hommes, de vivre en autarcie par rapport aux autres, loin de tout les hommes et de la douleur. Le plus proches villages était à vingt minutes de la bâtisse, garantissant la tranquillité de la famille et de la femme. Gilbert passa donc les cinq premières années de sa vie dans la plus complète autarcie, vivant en compagnie unique de sa mère, qui l'envellopait dans un immense amour maternelle, car elle était toujours à s'occuper de lui lorsque les activités de la propriété était fini, comme par exemple l'entretien du jardin, le soin des animaux -surtout des poulets en fait- , le ménage, et toute ses choses qui faisait tourner le manoir correctement. Gilbert ne rechignait jamais à aider sa mère, en bon enfant bien élevé. Mais cette cinquième années découla sur un évènement qui changea totalement la vie de Gilbert : en effet, l'école l'avait rattrapé. Pour un enfant autant habitué au contact maternel et à la liberté, cela avait l'effet d'une prison : assis sur une chaise sans bouger, à écouter un professeur débiter des platitudes pendants toute une journée. Gilbert avait de quoi devenir fou. Il rentra le soir de son premier jour en pleurs, expliquant à sa mère qu'il ne voulait plus aller à l'école. Cela mit la femme dans une rage folle et elle menaça le môme de le punir en l'envoyant dans un bâtiment fermé tout seul, sans elle : l'orphelinat. La peur qui s'insinua dans l’âme du garçon ne le quitta plus jamais, et il promit de ne jamais re critiquer le système éducatif. Notre petit garçon continua de vivre sa vie dans le système éducatif français, et rien ne changeait vraiment dans ses habitudes : le garçon avait en effet une sorte de génie et ne travaillait jamais chez lui, puisque c'était inutile : il arrivait bien à suivre les cours sans avoir besoin de réviser. Il ne se fit aucun amis dans sa classe, préférant resté au maximum seul. L'évènement suivant eut lieu le jour de ses huit ans. Il pleuvait ce jour là, et Gilbert en avait gardé un souvenir très nette : en effet, il avait failli être enlevé pour aller dans une école de surdoué, à la demande du directeur de l'école primaire. En effet, le viel homme était au courant qu'une école anglaise recherchais de jeune surdoué, et avait décidé d'y envoyer Gilbert. Pourquoi n'avait-il pas prévenu la femme, ou bien même lui demander son accord ? Eh bien, il avait déjà essayer de proposer à la femme de mettre Gilbert en internat pour lui éviter le long trajet en bus (plus d'une heure, en fait, puisque l village à vingt minutes n'avait pas d'école) et la femme avait refuser en le traitant de vieux fou chauve à lunette. Elle s'était donc fait une réputation de folle, et l'homme avait décider de passer par des méthodes extrêmes pour récupérer le gosse. Quite à dissimuler ça en faisant une mise en scène digne des pédophiles. Mais Gilbert n'avait pas marcher dans la combine : lorsque l'un des hommes en noir était sortit du véhicule pour se racheter des clopes, le jeune garçon avait quitté la voiture en courant et avait erré plusieurs jours avant de retrouver le chemin du manoir et de sa mère. Lorsque la femme appris le dramatique évènement, elle explosa de colère. Elle fit porter en procès l'homme qui avait menacer son fils, malgré sa phobie des tribunaux, et obtint des dommages et intérêts considérable. Avec cet argent, elle investit dans une autres grandes maison encore plus reculé, et radia Gilbert des écoles, pour lui faire suivre des cours par correspondance. Le gamin vit donc son isolement social se renforcer encore plus. Bien sur, il n'en avais pas conscience. Six années passèrent et Gilbert dévellopa une affection pour la seule personne qu'il côtoyait, sa mère, à mi-chemin entre le complexe d'Oedipe et l'amour filiale. Le gosse voyait également les premiers changement de son corps se faire, il entrait dans l'adolescence.
Ce fut une nuit d'Octobre que tout bascula d'une manière horrible. Une fin. Une flaque. Vermeil. Sombre. Isolé. Seul. Sans secours.
Homicide.
Gilbert était sortit nourrir les animaux au début de cet après-midi, comme à son habitude, mais cela lui avait pris plus de temps, car une des bêtes s'était enfui. Il avait ensuite regagné la maison, et ouvert la porte donnant sur le salon où se trouvait habituellement sa mère.
Carnage.
La tête vers le plafond et l'expression désormais figée sur la terreur à l'état pur. Les mains tombée au sol, comme pantin sans fils. Les jambes brisés. Le corps mutilé, dénudé, dans cette inaceptable flaque vermeil. Étalée par terre, qui ne pourrait plus jamais bouger.
Horreur.
Gilbert resta choqué longuement devant la vision de sa mère morte devant lui. Incapable de réagir, prostré au sol, il ne releva la tête que lorsqu'il entendit un bruit. Un bruit de métal. Un homme se tenait dans l'ombre, léchant le couteau ensanglanté, et tenant dans sa main une arme. Il avança vers le garçon, et alla poser sa main sur l'épaule de Gilbert avant de quitter le bâtiment. Ce simple contact glaça le jeune garçon : il était à deux doigts de la crise de nerfs et de l'arme, lorsque l'homme lui murmura doucement des paroles qui achevèrent de briser psychologiquement le jeune être: "Gilbert, tu ne pourras jamais t'échapper... Je suis ta paranoïa..." Ses paroles dites, il su qu'il avait brisé la seule personnes qui aurait pu reparler de lui au média. Il savait que Gilbert sera en permanence sur le qui-vive, à sa recherche, sans jamais parler de ce jour... Il sortit de la maison en laissant le gamin seul, en proie à ses propres démons...
Et la, vous me direz : Pourquoi n'en parle-t-il pas ? Parce qu'il a peur ? A-t-il reçu des soins psychologiques après coup ? En as-t-il parlé aux policiers ? Comment réagis-t-il finalement ? Et ben je vous réponds : Le garçon a eu la plus grandes peur de sa vie, et croit que ce mystérieux tuer rode toujours près de lui pour le découper en morceaux. Alors forcément, sa le calme. Il n'a jamais reçu de soins psychologique, il a juste subit des interrogatoires policiers qui lui ont encore plus fichu la trouille. Bien sur, l n'a évidement rien dit à nos amis policiers, car il n'avait jamais vu ses hommes en bleu agressif comme pas possible avec lui, puisqu'il vivait en autarcie avec sa mère. Donc il a eu peur et n'a rien dit. Et finalement, il affecte un sang-froid en toute circonstance, sauf lors de ses crises de paniques, qui arrive en cas de stress top extrême.
~~~ Un temps inderterminé plus tard ~~~
La Wammy's House réussit à mettre la main sur le garçon. Tandis que le directeur le briefait, Gilbert jouait avec une douille, légèrement teinté de sang. Etait-il fait pour vivre avec d'autre ? La Wammy's house lui conviendrait-elle ? Le gamin ne pipait mot, les yeux perdu dans le vague... Il attendait qu'on l'autorise à sortir, la douille roulait doucement entre ses pouces ronds. Quel sera la suite de sa vie, ici, alors qu'il vient d'avoir quinze ans...?
HRP
wave your hands.
SURNOM(S) : Aetyhs ? Guard ? o.O DATE DE NAISSANCE : En 1996 ÂGE : Pasvieux SEXE (✔) : ❒ M AVATAR : Gilbert Nightray de Pandora Hearts DÉCOUVERTE DU FORUM : Par hasard en cherchant un forum original sur le thème de Death Note x) EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? Nop
Dernière édition par Guard le Dim 28 Oct - 16:12, édité 4 fois
Sujet: Re: Guard, le garçon qui demande votre protection (ou pas ///SBAAAF///) Sam 27 Oct - 16:49
Aloooors.
Ton personnage est un ALTER o/
Dans ton histoire, deux passages m'ont un peu perdue. Le premier :
en effet, il avait failli être enlevé pour aller dans une école de surdoué, à la demande du directeur de l'école primaire.
J'ai pas compris pourquoi son dirlo voulait le faire enlever, en fait. x)
Ensuite la toute fin où sa mère se fait assassiner par un malade mental. Pourquoi n'e parle-t-il pas ? Parce qu'il a peur ? A-t-il reçu des soins psychologiques après coup ? En as-t-il parlé aux policiers ? Comment réagis-t-il finalement ?
Guard
Sujet: Re: Guard, le garçon qui demande votre protection (ou pas ///SBAAAF///) Sam 27 Oct - 18:51
Bon, ça me va ! *avait espérer Alter ou Shapes* Bref, donc je vais éclaircir un peu ses deux grooooooooooooos point obscur !
►En fait, si Gilbert à failli être enlever, c'est parce que sa mère avait la réputation d'être folle dans le petit village ou il vivait. Du coup, le Directeur, qui n'a penser qu'à sa gloire et qui supposait que la mère n'accepterait jamais, à penser à kidnapper le gosse et le céder à une école/orphelinat de surdoué anglaise, puisque Gilbert avait été catégoriser comme surdoué (183 de Q.I.)~ (WH or not WH ? Eh eh eh...). Précisions deux : il parait que la mère de Gilbert à ruiner l'école avec ses procès...
►Et sinon, pourquoi il n'a pas parlé du meurtre et du malade mental ? Parce qu'il a eu la plus grandes peur de sa vie, et croit que ce mystérieux tuer rode toujours près de lui pour le découper en morceaux. Alors forcément, sa calme. Il n'a jamais reçu de soins psychologique, il a juste subit des interrogatoires policiers qui lui ont encore plus fichu la trouille. Il n'a évidement rien dit à nos amis policiers, car il n'avait jamais vu ses hommes en bleu agressif comme pas possible avec lui, puisqu'il vivait en autarcie avec sa mère. Donc il a eu peur et n'a rien dit. Et finalement, il affecte un sang-froid en toute circonstance, sauf lors de ses crises de paniques, qui arrive en cas de stress top extrême.