I screamed aloud, as it tore through them, and now it's left me blind
Définissez vous en une phrase.
Non.
Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
Anthropologiquement parlant ou bien ?
Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
Je suis un.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une bataille navale.
Les hauts de Hurle-vent.
Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
Un poisson rouge.
Une corde.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Finnegans Wake de James Joyce.
H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Totem et Tabou de Sigmund Freud.
Harry Potter de J.K Rowling.
Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
« Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
« D'un point de vu biologique... »
« Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Câliner tout le monde.
N'avoir aucune notion du temps.
Faire des private jokes.
Accro au high five.
Caser des citations partout.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...
And in the dark, I can hear your heartbeat I tried to find the sound But then it stopped, and I was in the darkness, So darkness I became
J'aurai aimé que l'argent fasse le bonheur, non pas le contraire. Mon enfance n'est pas intéressante, pas au point que je m'attarde dessus. Seuls quelques points méritent votre attention pour la suite de l'histoire. Mes parents étaient riches, mais égoïstes. Ce qui poussa le reste de ma famille, qui vivait humblement, de nous haïr, nous et notre argent qui semblait tomber du ciel à leurs yeux. J'étais sobrement gaité, mes géniteurs cherchant à m'inculquer leurs valeurs : travail, rigueur et dignité. Malgré que je sois une enfant dite « prodige », ils cherchèrent à me pousser au sommet. Contrairement à ceux qu'on pourrait penser, ils n'en oublièrent pas l'affection. Ma mère surtout, a toujours été une vraie confidente pour moi, certes, elle était comme toute les autres mamans, du piment et du sucre, un mélange audacieux, mais qui fonctionne. Soit, je vivais une existence banale, plongée dans mes études, assidue dans mon travaille.Je ne cherchais pas à grimper dans l'échelle sociale de mon école, froide et discrète on me remarquait peu — certains de mes professeurs doutaient de mon existence bien que j'étais une très bonne oratrice, ayant un anglais quasi-parfait dès mes 8 ans — les relations avec les autres individus m'étaient complètement égales, ce n'était que des pions prétendait mon père. Mais pas Avienne, pas elle. Avienne, c'était cette chose étrange. C'était cette chevelure rouge qui tranchait avec le décors gris qui m'entourait. C'était cette voix dure, mais joviale qui s'élevait pour balbutier des aberrations. C'était cette démarche assez particulière, en effet, son pied gauche avait tendance à réaliser un léger petit bond après qu'elle ait posée son pied droit en inclinant son dos toujours un peu vouté. Avienne était une vraie curiosité pour moi. Moi qui était la tête de la classe, la fille maigrichonne qui ne souriait jamais, la tête toujours ailleurs mais les notes au top, celle qui trainait lourdement des pieds dans le couloir, comme si je poussais ma propre carcasse vers ma sépulture. J'avais cet air tragique, alors que je n'avais rien pour être malheureuse. Mais qu'avais-je pour être heureuse ? Rien. Ma vie était étrangement vide. D'un plat aussi parfait d'une droite. Elle était extrêmement parallèle. C'était horrifiant. Allais-je être condamnée à m'ennuyer dans un bureau austère ? Quelle était cette vie ? Je ne voulais pas. Je voulais m'échapper ! Et c'est Avienne qui m'ouvrit les yeux sur cette triste vérité. Spécimen fascinant, bien plus que ma propre et ennuyante personne. Elle était trop bien pour s'occuper de moi et je l'admirais, assise sur un banc perdu au fond de la cours de récréation. La mignonne était forte en sport alors que moi j'étais forte en littérature et en sciences. Je soupirais, balançant frugalement mes jambes dans le vide, elle était trop bien pour moi. Je m'égarais à rêver qu'elle m'enlaçait passionnément, sans savoir pourquoi. Bientôt, son image commençait à m'obséder honteusement. J'étais jeune et ces rêves charnels me troublaient. Je cessais donc de parler à ma mère, de peur de lui révéler mes secrets. Je n'en étais pas sûre, mais je pensais que j'étais entrain de tomber amoureux d'Avienne. Avienne la séduisante bête sauvage qui était ignorante des charmes cruelles qu'elle usait contre moi. Évidence crierai-je. Elle était bien trop sotte pour cela et m'avait l'air tout à fait innocente, bien que de nous deux, c'était moi qui avais l'air d'être la plus prude. Pourtant... Je sentais tout mes membres trembler quand elle passait à côté de moi. Je m'efforçais de détourner le regard dans les vestiaires, lorsqu'elle se changeait, ou j'avais des grands risques de me mettre à fondre en poussant des petits cris incongrus.
So I stayed in the darkness with you
The stars, the moon, they have all been blown out
surnom(s) :RUUSH, STAIN. date de naissance :01/05. âge :16 ANS. sexe :F. avatar :MIKI SAYAKA — PUELLA MAGI MADOKA MAGICA/MAHOU SHOJO MADOKA MAGIKA. découverte du forumOUBLIÉE. premier forum rp? :NON.