Matt...Matt...Matt, la première image qui vous vient à l'esprit, est celle d'un rouquin plongé dans ses jeux vidéos ou encore celui qui suit Mello partout où il va ! Détrompez-vous, Matt n'est pas le larbin du grand blond, il n'est rien sans lui et vice-versa. Ceci remonte a l'époque de leurs enfances à Wammy's House. Matt est aussi ce qu'on peut qualifier comme le geek par excellence ! Assis dans les couloirs, sous un arbre ou autre, il est toujours plongé dans ce monde de pixels. Lui adresser la parole ? C'est comme parler à un mur, il ne faut pas lui en vouloir, il est d'une nature discrète et renfermé ce qui a fait naitre aussi une sorte de timidité ? Enfin passons. Si le rouquin vous parez aux premiers abords, banal, sans grande intelligence, loin de l'image des trois successeurs du fameux L. Et encore une fois vous faites fausses routes, Matt est doté d'une grande intelligence, fin stratège il n'utilise ceci que s'il l'en juge nécessaire. Pourquoi tout dévoiler d'un coup ? Quand on peut jouir du multiple facette ? Au fond, Matt cache une personnalité plus ou moins amicale, c'était la faute du destin si aujourd'hui il est renfermé ! Préférant ne pas trop étaler ses sentiments pour éviter un quelque-on que rejet. Il reste tout de même assez attentionné et soucieux des autres. Essayer de le faire sortir de sa coquille reste tout de même. ''Mission Impossible'' vous serez récompensé par un joli Game Over !

Calme et précis, il peut être fin stratège et incroyablement intelligent.

Prologue : La rencontre de deux êtres, la naissance d'un garçon hors norme.

Washington DC, quartier de Congress Heights, appartement 112. Le premier février de cette année là.

Les murs décrépit, la neige parfois devenue noires à cause du goudron et des gaz de pots d'échappements qui enveloppaient la capitale américaine d'un rideau de fumée complètement irrespirable. Ce dernier s'empressa d'entrer dans l'appartement 112 de la rue, dont les fenêtres n'étaient toujours pas équipées d'un double vitrage correct. Mais, on pouvait encore le comprendre par le désordre qui régnait dans ce quartier malfamé de Washington DC. Là les enfants jouaient au milieu des trafiquants de drogues et des prostitués qui vendaient leurs charmes pour seulement quelques dollars. Pour seulement vivre. Mais on peut toujours affirmer que celle qui vivait dans l'appartement 112, s'en sortait plutôt bien. Julie Falowey était ce qu'on peut appeler le « haute gamme » dans le rayon prostitué. Les 450 $ qu'elle faisait payer à ses clients n'était pas du tout une arnaque, on revendiquait même ses capacités jusqu'en Californie. Beaucoup en parlait, mais peu le testait si on peut dire. L'apparentement 112 n'était pas habité que par Julie. Également habiter par Peter Jeevas, appeler communément Jee. Pourquoi un surnom vous demandez vous, tout simplement, car les trafiquant de drogues de l'époque comptaient pouvoir refaire leur vie après que leurs marchés ce seraient effondrées. Enfin passons le chapitre des présentations, pourquoi Julie et Peter nous intéressent-ils ? Tout simplement pour cette raison : Leur seul et unique enfant, né ce jour précis. En effet, quelques mois au par avant, Julie et Peter avaient unis leur vie et destin dans cette grosse tant pour, par ex.: je cherche mon ami attendus pour les parents de Peter, emporté par la maladie deux semaines avant ce jour. Ceux de Julie étant décédés il y a 30ans, il n'attendait plus rien de leur fille. En tout cas, les gens du quartier pourront encore vous décrire combien l'accouchement de la petite dame fût douloureux, ses cris de douleurs et de future mère avaient bien duré trois bonnes heures en ce jour de l'an. Mais le petit garçon, encore au prénom inconnu, qui en était sorti de cette souffrance ressemblait tellement à sa mère, les mêmes cheveux roux se dépatouillaient avec le sang et le plasma qui recourait le nouveau-né à cet instant. il est né. Il était né dans le bruit ne sortie de sa bouche quand il devoir est dû, par ex.: Il aurai dût pleurer pour manifester son mécontentement envers le monde qu'il venait de voir.

1. Un prénom, peut-être mal choisit ... ?!

Même endroit, 3 heures après l'accouchement.

Le petit garçon était enfin propre et tétait déjà le sein de sa mère, radieuse malgré sa profession, elle n'osait penser au fait que cette enfant était son Crystal d'amour. Regardant son compagnon fumer une cigarette. Elle pensa que le jeune Mr Jeevas n'avait toujours pas de prénom... Mais sans s'inquiéter, elle regardait l'enfant avec satisfaction, comme un objet, plus comme un être humain, plus comme son fils. Le téléphone de Peter sonna, il ne préféra pas répondre, mais plutôt aller se blottir contre la compagne et son fils qui le regardait de ses grands yeux azurs. Il joua avec lui, avec ses deux petites mèches rousses qu'il avait sur le crâne quand le portable vibra de nouveau. Cette fois si délaissant femme et enfant, il se plongea dans la cause de son dérangement. En attendant, Julie réfléchissais toujours ce prénom, elle demanda même à Peter :

- Peter, quel prénom porions nous donner à notre bébé ?
- Mail, Julie, je suis désolé, c'est le travail...
- Mail ?

Julie s'interrogea, longuement même, peut-être n'était ce pas une mauvaise idée en fin de compte, pourquoi pas Mail Jeevas. Elle regarda Peter qui avait fini de lire ses e-mails, se retournant vers compagne :

- Alors, comment va-t-on appeler ce petit bout ?

Le bébé rigola à l'approche des mains froides, et sales de son père, qui voulait jouer avec lui... Tous souriaient quand Julie déclara :
- Mail, ce petit sera Mail Jeevas, ton fil Peter, mon fils... Notre fils.

Elle en avait les larmes aux yeux, Peter la pris emportant avec lui le petit Mail qui venait d'être le dernier descendant de la ligné Jeevas.


2. Sang versé, ventre découpé... Terrible destiné.

Même endroit, un an et demi après la naissance de Mail.

La vie de Mail était amour, bonheur, malgré les métiers de ses parents respectifs. Entre une mère toujours prostitué et un père éternellement dealer. Mail avait pourtant grandi normalement, apprenant à marcher et à parler dès l'âge de deux ans. Il faisait le bonheur de ses parents et leur fierté. Mais n'était-ce pas pour cela qu'il était là, pour qu'il soit fier de lui, fier de leur chaire et de leur sang ? Enfin, l'histoire est toujours belle au début. Mais un élément vient toujours perturber cette merveilleuse histoire... Cela ce passa un quinze aout, Mail était dans on berceau, malgré son âge, ce qu'il allait voir allait le marquer à vie... Peter était parti vendre sa marchandise, comme tout les jour. Mais pourtant le sang, versé avait même teinté le body de Mail. Les cris de la pauvre Julie, qui courrait pour essayer d'échapper à un client devenu éperdument amoureux. Elle criait, elle hurlait même... Mail les regardait, pendu aux barres de son berceau... Il regarda avec les yeux d'un bambin. Le ventre, ce ventre qui l'avait porté durant neuf mois, ce ventre, celui de sa mère, celui de Julie s'ouvrit devant ses yeux, tout ça par l'amour d'une personne, qu'elle n'aurait jamais peu donné à cet homme. Lui, cet homme d'affaires italien, il sortait, laissant la pauvre Julie, regarder Mail, une dernière fois avant de rendre son dernier souffle et de se confier aux anges de la mort. Mail pleurait, malgré son jeune âge, il comprenait tout, le fait que sa mère soit partie, qu'elle ne le regarderait, plus jamais avec la tendresse dont elle lui avait fait part durant deux ans. Mais peut-être reviendrait-elle ?

Un premier meurtre, une première perte. Un bout de cœur en moins pour Mail

Même endroit, trois mois après le meurtre de Julie.

Ce massacre émotionnel ne s'arrêta pas là, malgré ce que l'on pense, ce client : Isaac Wissemel. N'avait pas seulement cherché à tuer Julie pour rien, il voulait toute la famille, tous les Jeevas. Alors, pourquoi pas ce bambin, innocent et fragile à ce moment-là ? Pour mieux savourer la torture du père... Petit à petit, Isaac voulait qu'il soit rongé de l'intérieur avant de prendre la vie du dernier Jeevas.
Peter n’avait pas quitter l’appartement 112, faute de moyen… Mais son arme était en permanence sur lui. Mais pas ce jour là. Un soir de novembre, Mail, dans les bras de Peter s'amusait à jouer avec la barbe grandissante de son père... Ne prévoyant encore pas ce qui allait ce passé, jamais on aurait cru que le meurtrier de Julie reviendrait sur les lieux de son crime trois mois après. Peter regardait les feuilles, qui tombaient par la fenêtre, dans ses bras Mail remuer dans sa genouillère, pas très à l'aise. Peut-être qu'il avait pressenti ce qui se passerait ? Le 'Ding-Dong' de la sonnette retentit, ce 21 novembre était pluvieux, le froid hibernal se faisait ressentir à l'approche des fenêtres. Posant Mail près de ses jouets, Peter se dirigea vers la porte de l'appartement 112. Avant même d'avoir pu l'ouvrir. La porte s'ouvrit d'elle-même laissant voir le visage mat de Isaac Wissemel, qui sans prévenir enfonça fièrement dans la poitrine de Peter une seringue pleine d'un liquide transparent. Encore une fois, Mail regardait cette scène d'abomination... Son père pris de spasmes, se rapprochant de lui composer un numéro de téléphone avant d’adresser ses dernières consignes à son fils :

- Pleure, pleure autant que tu peux Mail, cri, vie, bats toi !

Il tomba dans un bruit sourd, prenant le combiné, le petit entendu clairement à travers ce dernier :

« Oui, ici les urgences ? »

Mail ne retenu plus les larmes qui l'assaillent, il pleurait tout en disant entre deux sanglots :

- Papa, mort pas, papa ! PAPA !

Les feuilles des arbres étaient tombés, toute, le vent battait fort contre les vitres en simple vitrage de l'appartement 112, celui qui devenait de jour en jour un lieu de désolation et de mort, pourquoi le sort s'acharnait-il sur un si jeune garçon épargné, par miracle, par les balles de Isaac Wissemel... Le tueur de la famille Jeevas, de Julie à Peter, à quand Mail ? Quand le dernier des Jeevas perdra la vie ?
Si la voisine du numéro 115 ne l'avait pas pris dans son appartement en alertant les secours de sa décision de le sortir de la cette scène de crime. Mail entendit les secours dirent à cette petite femme potelé que Peter Jeevas avait reçu une forte injection de morphine... Voilà maintenant le bambin de deux ans et demi, seul, orphelin, abandonné de force par ses parents.


3- Arrivé désiré ou pas dans un orphelinat ... Différent

Angleterre, le 29 décembre en début de journée.

Ce fût quelques jours avant les trois ans de Mail, que Mlle Ruderg (la voisine du 115) rendit visite, à sa famille anglaise pour les fêtes de fin d'années qu'elle passait dans ce pays. Espérant qu'elle se débarrasserait du rejeton Jeevas dans ce pays... Il lui faisait peur, très peur en effet, comment un bambin comme lui pouvait tant en savoir, était-il habité par un démon ? Non loin de là, elle fît la plupart des orphelinats du pays, cherchant un hospice sérieux, elle tomba sur celui que l'on nomme encore aujourd'hui : Wammy House. Il y avait des enfants de différents âges aux fenêtres, qui la regardaient avancer, dans l'allée enneigé, en compagnie de Mail. Le bambin de trois de presque trois ans fût accueilli par une personne ni trop jeune ni trop vétuste, qui les conduisit dans une sorte de bureau, interrogeant Mlle Ruderg sur les parents de Mail, sur ce qui leur étaient arrivés, à l'un comme à l'autre. Elle raconta tout, se tournant souvent vers Mail pour qu'il confirme, malgré son jeune âge... Le bambin avait été marqué par les scènes qu'il avait vues. Enfin la personne qui les avaient accueillit se retourna vers Mail, lui proposant différent jeux. Résolvant les jeux, enfin les énigmes, l'hôte souriait à chaque réponse du garçon. Pourquoi, il l'ignorait... Puis Mlle Ruderg demanda ce qu'il en était :

- Il est accepté, répondit-il
- A la bonne heure, s'en joua Mlle Ruderg.

Le monsieur la raccompagnât à la porte, laissant Mail, une nouvelle fois seul. L'homme se tournât sur le jeune, très jeune garçon, en lui demandant doucement de se trouver un petit nom qui remplacera celui qu'il porte en ce moment. Mail avait beaucoup réfléchit... Beaucoup, beaucoup. Avant de dire joyeusement

- Matt, le même prénom que Papy !

L'homme ria un peu et lui répondit :

- Bienvenue chez toi Matt.

4- Rencontre importante ?

Wammy's House, un peu moins d'un an après l'intégration de Matt

C'était un joyeux matin où Matt se réveilla dans sa chambre, le soleil traversait les rideaux légèrement ouvert. Le petit roux se réveilla, après une bonne nuit de sommeil, sans cauchemar cette fois si. Une perdition de bonne journée en fin de compte. Décidant de descendre manger, le petit de trois ans et demi s'habilla, laissant sa chambre dans un état lamentable. Cela faisait déjà huit mois qu'il n'avait pas de camarade de chambre et pour cause, il était le dernier enfant masculin à être entré à la Wammy's cette année là. Sautillant gaiment comme tous les enfants de son âge. Il fût interpeller par une petite attroupé dans l'entrée. Essayant de voir malgré le monde, il abandonna aussi vite, se disant qu'il aurait l'occasion de voir plus tard ce qui se passait. Remontant dans a chambre pour pouvoir prendre de quoi jouer dehors. Il vit plusieurs bagages de poser sur le lit à côté du sien. On frappa alors à la porte. Le directeur entra, suivît d'un garçon aux cheveux blonds. Etonner, puis fasciner par le nouveau venu, Matt demanda si c'était son compagnon de chambre. Lui répondant d'un bref signe, positif, de la tête Matt ce présenta

- Bonjour, je suis Matt, j'ai bientôt quatre ans et toi ?
- Mello, répondit Mello, d'un ton rauque et sur de lui.

Stupéfait par la réponse, nous savons bien que Matt et Mello, après un mois passé l'un avec l'autre étaient inséparables. Ils s'amusaient, riaient, parlaient sans n'avoir aucune gêne, comme des frères du moins c'est-ce que Matt pense encore.

5- Un rencard qui renferme un Geek qui naît pour jouer.
Même endroit, huit ans après.
Le printemps venait de sonner aux portes de l'orphelinat anglais trouvant la et seulement là, le jeune Matt et une petite jeunette du même hospice. Rougissant, Matt n'osa pas lui dire ce qu'il ressentait vraiment, enfin, ce qu'il pensait ressentir, trifouillant à son sweet rayé noir et blanc, Matt osait à peine la regarder dans les yeux... De plus, il avait laissé ses lunettes sur sa table de chevet... Tellement de choses avait changé en huit ans, la rencontre de cette fille, l'arrivée de Near, qui détruisait à petit feux son meilleur ami : Mello. La fille, c’était Yuki, une belle brune aux yeux noires, elle lui plaisait tant et cette dernière avait prévue de partir à la fin du mois. Pourtant, il était là, devant cette fille qui lui plaisait, la seule d'ailleurs. Il la regarda enfin dans les yeux pour remarquer, qu'elle-même regardait une autre personne, un homme, mais pas lui... Mais il se lança quand même :

- Je crois que je..., commença-t-il
- N'use pas ta salive et va rejouer à tes jeux vidéos !

Quelle froideur, jamais, on n'avait était aussi dur avec lui, il tourna alors les talons, visiblement contrarié... Remontant en trombe dans sa chambre, Mello allongé sur le lit lui demanda quoi, tout en croquant dans un morceau de chocolat. Ne répondant rien, sur rien, il écoutant plutôt le conseil que lui avait donné son « amoureuse » et se plongea dans un Pokémon fraichement sorti pour continuer son épopée, dans son monde virtuel, il était sûr de ne pas être déçu parce qu'il lui arriverait... Ainsi donc, sur ce cout de tête, le rouquin se renferma sur lui-même passant des heures entières sur un jeu vidéo X ou Y.


6- Et maintenant qu'en ai t'il ?

Même endroit, trois ans après

Assis dans le fin fond d'un couloir sombre, allongé sur son lit, en trois ans le rouquin au sweet rayé et aux jeans délavé à changer du tout au tout. Enfant joyeux, dynamique, volontaire, Matt s'est changé en un jeune homme blasé, rêveur et même je m'en foutiste. Ce qui compte maintenant pour lui, c'est Mello, sans qui il n'est rien et vise versa. Et aussi de sa console et des nouvelles technologies, mais surtout de sa console... Et parlons-en de cette petite chipie qui pique Matt des yeux de ses très peu nombreuses, admiratrices. Absorbant, dévorant corps et âme du garçon, il ne passe quasiment pas une minute de son temps libre sur autre chose que sa console. On pourrait même croire que ses devoirs passent à la trappe (et si c'était le cas). Portant, il est plus seul que jamais comme ça, ne confiant plus ce qu'il a dans le cœur, ce qu'il pense. Matt est retourné dans sa cage... Comme dans le ventre de Julie, sa mère, où il était seul. Vraiment seul, il l'a encore aujourd'hui... Mais le temps guérir les blessures. Celles de Matt vont telles se soigner ?