PSEUDONYME : Cube NOM : Melyn PRÉNOM(S) : Cecil QI: 164 DATE DE NAISSANCE : 11 / 11 ÂGE : 14 ans SEXE (✔) : ❒ M ✔ F ORIGINE : Anglaise

Couleur des cheveux : Roux Couleur de la peau : Blanche, pâle Tatouage/Piercing ? : Pas du tout! Couleur des yeux : Bleu, très clair Taille en centimètres : 141cm Corpulence: 37kg

Caractère

Qualité Attentive Perspicace Persévérante Consciencieuse Imperturbable Plus que réaliste

Défaut Semble se foutre de tout Mesquine Obstinée Capricieuse Peu sociable Cynique

Cube est une ado' calme et solitaire, qui ne compte que sur ses propres
capacités afin de réussir dans ce qu'elle entreprend. Elle a très peu de
confiance envers les gens qui l'entourent, et ne supporte d'ailleurs
que très rarement leur présence. En général, elle se contente de rester
muette et stoïque lorsque les gens autour d'elle cherchent à lui
adresser la parole. Il peut parfois arriver qu'elle soit de bonne
humeur, et qu'elle se décide à répondre tout de même.

Il se trouve que Cube ne porte pas son surnom par hasard, et qu'elle l'a
choisi en référence à son casse-tête favori : le Rubix'Cube. Et oui, la
très-jeune femme ne peut se passer de son petit cube coloré, et le
résout plus de vingt fois par jour. Et encore, vingt fois, ça concerne
les jours où elle se trouve être occupée.

Mais elle est malgré cela plus que concentrée quand il s'agit de
travailler. Elle n'aime pas bacler son travail, et n'est satisfaite que
si celui-ci est terminé, parfait, et si elle s'est déjà avancée sur le
reste de ce qu'elle à faire. Cube réussit encore à ne rien faire, une de
ses activités favorites (enfin, ne rien faire est bien réducteur, il
s'agit plutôt de situations où elle reste sans bouger, alors que son
esprit se débat dans des réflexions parfois complètement insensées et
souvent assez inimaginables), entre le Rubix' et le boulot qu'elle aime à
revoir même si elle le sait parfaitement terminé.

Mis à part le domaine du travail, Cube est une enfant assez banale, bien
que comme dit précédemment, semblant bien plus renfermée que la
moyenne.

Classe

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Définissez vous en une phrase.

1. Je suis un.
   

Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?

1. Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
   

Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?

1. Totem et Tabou de Sigmund Freud.
   

Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.

1. « Je comprends ce que tu ressens... »
   

La petite manie dont vous vous passerez bien ?

1. N'avoir aucune notion du temps.
   

Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait..

1. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
   

Histoire

Voilà qu'on me demande de raconter mon histoire. Sérieusement? Vous êtes
vraiment sérieux? Je ne vois pas l'intêret de savoir où je suis né, qui
sont mes parents, comment s'est passée mon enfance. Useless. De toute
façon, même si je le voulais, je ne pourrais pas vous parler de tout ça.
Et non. Non pas que ce soit top secret ou je ne sais trop quoi. Non
non. Je suis juste orpheline.

Je ne connais que la Wammy's House. J'ai des bribes très floues de
souvenirs concernant ma petite-enfance, mais ça ne va pas bien loin.
J'ai passé 10 années dans un orphelinat banal, à Canterbury. Je n'ai
aucun souvenir de mes parents, et je n'ai aucune envie d'en avoir. Ma
vie s'est toujours résumée à mon avancée personnelle, et je compte bien
garder ce leitmotiv. A quoi bon s'occuper des autres? Après tout,
personne n'a jamais rien fait de spécial pour moi, je ne vois aucune
raison pour leur rendre la pareille. Ah non. Je me trompe, il y a bien
eu quelqu'un. Phil.

Il était comme qui dirait mon seul ami à l'orphelinat. Un type
bagarreur, qui prenait tout le monde de haut, et qui ne cessait de
s'attirer des ennuis. Mais comme dans tout orphelinat, on ne renvoie pas
les enfants. On doit les garder, et leur apprendre à se tenir. Mais
c'était peine perdue avec lui. Il volait de la nourriture, il tapait sur
les autre gamins de l'orphelinat, il passait des journées entières dans
une salle - puni - à marmonner et à griffonner des paroles sur des
feuilles volantes. Et tout ça. Il le faisait pour moi.

Nous avons toujours été à l'orphelinat. Ou du moins. Nous n'avons jamais
connu de période l'un sans l'autre. Nous nous connaissions par coeur.
Phil n'était pas un perturbateur, ni un garçon violent. Mais il savait
que j'étais faible. Je n'étais pas du genre à rendre les coups, ni à
insulter qui que ce soit en retour d'une agression. Et lui s'était
lui-même designé comme "ma face violente". Selon lui, nous faisions un,
et il fallait que l'un de nous assure la colère et la violence. Pour
lui, j'étais sa gentillesse, son stoïcisme, et sa paix. Je pensais
evidemnent qu'il délirait, bien que j'ai beaucoup aimé ce garçon. J'en
suis même peut-être tombée amoureuse. Mais mes sentiments m'ont toujours
peu importée.

Ainsi, Phil était ma force. J'étais sa tranquillité. Il était lui
clairement amoureux de moi, et se sentait capable de tout faire pour que
je l'aime en retour. J'acceptais cette situation, bien que je savais
pertinemment que jamais je ne lui cèderais mon coeur. Un coeur? Quel
coeur?

Puis vint ce jour. Ce jour qui nous sépara et qui annonça la début d'une
nouvelle ère pour moi. Phil avait décidé de voler des petits pains au
réfectoire, et s'était alors levé pendant la nuit. Je n'avais pas voulu
le suivre. Il avait facilement ouvert les portes verrouillées qui
menaient à la réserve de nourriture de l'orphelinat, grâce à l'une de
mes barrettes à cheveux qu'il avait appris à manipuler comme un génie.
Il est entré, et s'est mis en quête de trouver ces fameux petits pains.
Non pas qu'on nous nourrissait mal, mais je ne mangeais jamais aux
heures de repas, alors Phil s'arrangeait pour que je mange tout de même
un minimum. Quand j'y repense, j'ai été une vraie source de galère pour
lui. Et encore...

C'est à ce moment qu'a débarqué l'un des adjoints du directeur, une
sorte de surveillant mal rasé, au regard divergent et à la mine
patibulaire. On le surnommait Bud. Et ce soir là, Bud s'est réveillé
quand il a entendu du bruit, a attrapé le colt qui reposait paisiblement
dans le tiroir de sa table de chevet, et est descendu dans les cuisines
pour voir ce qui se passait. Il a vu la porte forcée, la lumière des
cuisines allumées, et la réserve ouverte. Il a alors rangé son colt,
devinant la présence de l'un des enfants, et a rejoint la réserve. Il
tomba alors sur Phil, en train de remplir ton t-shirt - qui faisait
alors office de baluchon - de petits pains. Bud ne s'énerva pas, et vint
poser sa main sur son épaule. Le type avait beau faire peur, il n'en
restait pas moins l'une des personnes les plus sympathiques du
personnel. Phil sursauta, effrayé, et se mit à courir vers la sortie en
reconnaissant le surveillant. Ce dernier le prit en chasse. Quand il
retrouva le gamin, celui-ci se cachait derrière des tables du
réfectoire. Bud se jeta pour l'attraper, mais il s'affala, et fit tomber
son colt. Phil se précipité dessus, et pointa l'arme sur le
surveillant. Celui-ci réagit au quart de tour, empoigna l'arme et le
coup partit.

Bud fut renvoyé le lendemain. Bien qu'il n'ait rien fait volontairement,
la simple possession d'une arme dans l'orphelinat était intolérable. Je
le regardais partir. Je n'ai pas pleuré ce jour là. Je ne pleure pas,
semble-t-il.

Phil avait alors disparu de ma vie. Son cercueil avait pénétré
l'enceinte de l'orphelinat, et l'avait quitté dans un silence et une
banalité qui me touchèrent quelque-peu. Enfin quelque chose dont je me
préoccupais. Plus ou moins. La vie reprit son cours, ou plutôt continua,
puisqu'elle ne s'était pas réellement arrêtée pour moi. Bien qu'il ait
tout été pour moi, je ne parvenais pas à me dire qu'il me manquait, ou
qu'il était important à mes yeux. Je vivais. Pour moi. Toujours ce même
leitmotiv.

Et un jour, un homme est venu. Il semblait bienveillant et bien plus
intelligent que la plupart des occupants de cet orphelinat. J'ai été
convoquée dans le bureau du directeur, et cet homme s'y trouvait. Le
directeur m'expliqua alors rapidement que si j'étais d'accord, j'allais
partir. Pour un endroit plus approprié à ma situation. Je n'en avais
cure. Ici, ailleurs, peu importe. J'acquiesai, et sortis pour préparer
mes affaires. Mon calepin, quelques sweats et quelques pantalons. Mes
vieilles chaussures défoncées, et tout ce qui était de l'ordre du
vêtement. Je n'oubliai pas mon Rubix'Cube, éternel compagnon de mes
journées trop longues et de mes nuits trop vides. C'est ainsi que je me
retrouvai à la Wammy's House.

Et dire que j'ai réussi à raconter tout ça sur ma simple vie. J'arrive toujours pas à y croire. Haha.

HRP.

SURNOM(S) : Clem DATE DE NAISSANCE : 11 / 11 / 1992 ÂGE : 18ans SEXE (✔) : ✔ M ❒ F AVATAR : fait moi-même. DÉCOUVERTE DU FORUM : Un ami qui m'en a parlé... EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? Et nooon!

Bienvenue sur le forum : ) !

J'ai corrigé un peu le CSS pour mieux voir (et éviter au maximum les bouts de codes par-ci par là). Si ton personnage est Word et que tu ne lui trouve aucune spécialité, peut-être préfères-tu choisir autre chose de plus approprié ? Je te laisse répondre à ça et plus rien ne retiendra ta validation.