19 octobre 1994.
C'est en ce jour, ou plutôt cette nuit là, que Scylla découvris le monde hors du ventre de sa mère, Terry.
Un jeudi 19 octobre, en 1994, fut la naissance d'une sublime petite fille. Son père, David et sa mère décidèrent de l'appeler ainsi pour Scylla & Charybde, ces deux monstre marins de la mythologie grec, que les deux parents appréciaient particulièrement pour leur histoire. Ces deux représentant la marée et les récifs des détroits.
Pendant deux ans, la mère de la petite resta avec elle pour apprécier les deux premières année, qui pour elle, étaient les plus importantes. La mère et la fille, c'était une vraie histoire d'amour maternelle. Pour ceux qui est du père, il était souvent absent à cause de son travail. Et quand il avait un peu de temps, il ne le passait pas souvent - même très rarement - avec Scylla.
Là où tout a commencé.
24 décembre 1998, Cela faisait maintenant deux mois que la petite avait fêté c'est 4 ans. Mais un drame arriva. Pendant que la petite fille était dans sa chambre, deux intrus rentrèrent dans la maison, armé d'une arme à feu chacun et de couteau.
Le père essayait de ce défendre, quand à la mère qui venait de voir que Scylla était descendu au rez de chausser et venait de voir la scène, pris la petite, la cacha dans un placard et lui raconta que son père et elle jouaient à un jeu et qu'il fallait absolument qu'elle se cache pour pouvoir gagner. Elle lui dit aussi qu'elle voulait vraiment qu'elle gagne la partie qui était très importante. Et surtout de ne pas ouvrir la porte du placard, de rester silencieuse et de ne pas partir d'ici jusqu'à ce que le réveille du matin ne sonne.
Ensuite, elle lui ordonna, que quand ce dernier aura retentit, elle verrait " papa & maman " en train de dormir profondément et qu'il ne faudrait absolument pas les réveiller. Elle exigea donc qu'il faudrait qu'elle aille voir la voisine, pour lui dire que ses parents dorment. Et ce sera la voisine qui devra les réveiller. Puis Terry, repartie auprès du père. Mais comme ils le savaient, ils ne puent rien faire contre eux.
Scylla, désobéi à sa mère sur le fait de ne pas regarder, mais elle voulait savoir ce qu'il se passait. Bien entendu, elle ne compris pas. Pour elle, comme le lui avait raconter sa mère, ce n'était rien qu'un jeu auquel elle devait gagner.
* Dring, Dring * .
La voisine ouvris la porte, et devant elle se tenait la petite fille de quatre ans qui lui dit avec un air innocent.
« Maman m'a dit de venir te voir.
- Et pourquoi ça dis moi ? demanda la voisine.
- Parce qu'ils dorment et c'est toi qui doit venir les réveiller. »
La voisine, étonnée, pris la pris par la main en se dirigeant chez la famille. La porte grande ouverte laissait voir les parents allonger sur le sol, tel des corps endormis. Elles rentrèrent et la voisine vue plein de sang autour des parents.
Par réflexe, elle cacha les yeux de la petite avec une main et pris son téléphone portable qui se tenait dans sa poche, pour appeler la police.
Enquête fut faite, mais on ne retrouvera pas les coupables, tandis que la voisine fut la tutrice légale de Scylla.
Sa scolarité.
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La primaire :
La belle époque pour une petite fille aussi mignonne et si coquette. Beaucoup d'ami, autant de fille que de garçon. Ces années où ces petits êtres sont tout innocent - ou peut-être pas si innocent que ça finalement. L'heure des bêtises, des découvertes du monde. Les récrés où les garçons jouent au foot, et les filles à la marelle.
Vous connaissait trappe-trappe-bisous ? Scylla et ses amis jouaient souvent à ça, et ils trouvaient ce jeu tellement rigolo. Et un-deux-trois-soleil... que de bon souvenir pour une petite fille comme elle. Malgré tout cette joie et bonne humeur, la petite fille pensait encore à ses parents, et plus elle grandissait, plus elle comprenait réellement ce qu'ils s'étaient passé.
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Le collège :
C'est à cette période que tout à basculer dans sa vie de petite et innocente fillette. Scylla commençait à se rebeller et sa coquetterie partie. Une vraie garçonne, jogging-débardeur-basket-de-ville tout les jours. La mort de ses parents l'affectait de plus en plus, il fallait donc bien que tout finisse par sortir au bout d'un moment. Non elle n'était pas forte en cours, mais ce qu'elle aimait par dessus tout c'était être manipulatrice.
Ses amis devinrent ses jouets. Manipulation régnait dans son vocabulaire. Sentiment, ami elle ne connaissait plus ça.
Overdose de cours, elle arrêta sa troisième en cours d'année. A la place, son hobby, trainer en ville toute la journée, et pratiquement aussi le soir. Les quartiers étaient sa maison, elle ne voyait pratiquement plus sa famille d'accueil qui était la uniquement en cas de secours. Sa tutrice, Laura, n'arrivait plus à rien avec elle, elle regrettait pratiquement son engagement après la mort des parents. Mais elle comprenait que ça ne devait pas être facile pour cette adolescente au passé compliqué.
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Un nouveau départ :
Un ans et demis maintenant était passé pendant qu'elle trainait toujours dans la rue, avec ses jouet. Elle avait rencontré des gens plus ou moins fréquentable. Quand elle fit la connaissance ... sans identité ? Elle lui proposa de rentrée dans un orphelinat assez spécial, mais ne lui en dit pas plus, sauf que elle n'aurais plus aucune identité, et qu'elle ne pourrait plus voir sa famille ni le monde extérieur.
Elle rentra chez elle, pendant une semaine à rester dans sa chambre enfermé à réfléchir à cette proposition assez folle, mais pourquoi pas après tout ? Elle emballât ses affaires et pris le première avions pour cet orphelinat appelé la " Wammy's House ".