Sujet: Stain — De toute façon tout le monde m'aime. Jeu 1 Sep - 23:38
Identité
PSEUDONYME : Stain. NOM : Carter. PRÉNOM(S) : Spencer. QI: 160. DATE DE NAISSANCE : 02 / 12 ÂGE : 17 ans. SEXE (✔) : ✔ M ❒ F ORIGINE : Galloise. ANCIENNETÉ : 14 ans.
Physique
Couleur des cheveux : Roux. Couleur de la peau : Beige. Tatouage/Piercing ? : Lobe de l'oreille gauche.
Couleur des yeux : Noisette. Taille en centimètres : 178cm. Corpulence: Mince.
Caractère
drôle hyperactif extravertie relaxe qualité joueur
Tu souris. Tu souris, tu ris. Tu racontes quelque chose de droit, toujours avec ce sourire aux lèvres. Tu te moques du faible, tu le compare à toi, tu ris de lui. Tu ris. Tu mens, tu te vante. Ta tâche, tes défauts, plus personne n'y prête de l'attention, parce que tu les amuse, ils sont avides de tes plaisanteries, de tes sarcasmes, de ton insouciance. Au fond, tu es fier de ça, c'est ce que tu attendais, cette reconnaissance. Stain, tu es le garçon qu'on veut avoir dans ses amis, ça te rend heureux, ça te fait jubiler. Ce réseau de connaissances fait ta notoriété, ils font parler de toi, ils font naître l'envie de connaître ta pauvre personne. Maintenant, tu n'as plus peur d'aller vers les autres et ça ne serait pas exagérer de dire que si tu trouves quelqu'un qui a une bonne tête, tu lui sauterais dessus, toujours en riant. Ton rire est assez agaçant, il sonne un peu comme un "gnagna" aiguë, mais ça te fait du bien d'être hilare et de toute façon, plus personne ne te fait de remarque dessus. C'est toi, Stain, qui fais les remarques, qui lève le pousse ou au contraire le baisse. On t'adule et tu ne cache pas d'aimer ça, tu le révoque même, comme ta signature, "Tout le monde m'adore de toute façon !" c'est un peu ta catch-phrase. Tes défauts tu ne les montre pas, tu t'impose comme quelqu'un de joyeux, compréhensif et présent, pourtant tu es très sélectif sur tes relations, tu en a repoussé plus d'un parce que "trop gros", "trop petit", "trop bronzé", "trop mal habillé". C'est cruel de ta part, c'est renier ton passé, parce qu'au fond tu étais comme eux toi, comme ces gens que tu écartes de toi, que tu pousse à l'isolement. Tu es devenu un de ces connards que tu détestes tant, le genre qui baisse les yeux vers le décolleté d'une jeune fille, le genre qui se mord la lèvre quand il s'agit de prêter un stylo, le trouillard purement lèche-botte. Et tu mens, Stain. C'est devenu une mauvaise habitude chez toi. Le mensonge. Tu t'enferme dedans, tu t'inventes une vie, tu ressens le besoin de raconter des aventures fantasques dont tu n'es pas le héro à l'origine. Tu as besoin de tout ça, peu à peu, tu fonds dans ce personnage, dans cette fausse vie. Ce que tu étais avant tu en as honte, tu te repousse Stain. Tu la joues cool, tu la joue populaire, mais avant tu étais du côté de ce que tu appelle les losers, mais ça, c'est ton grand secret, tu n'en parle pas, tu ne diras jamais que tu étais le genre de petit intello à la tâche sur le visage qui se faisait taper par les grands, parce que maintenant c'est toi le grand et tu as honte. Alors tu souris, tu ris et tu mens. Tu restes bloqué à l'idée qu'en apprenant ce que tu étais, on te repoussera comme tu repousse les gens comme toi. Tu es peureux, Stain. Tu trembles à l'idée que tes vêtements ne soient plus à la dernière mode, tu angoisse en lisant les magasins super mainstream, ayant peur qu'un de tes accessoires super bad-boy soit devenu un flop. À force d'être entouré, tu y a prit goût et tu ne veux plus t'en passer, tu ne peux plus. Être seul ça ne te branche plus maintenant, avoir toute ta troupe d'amis qui te suit partout où tu vas te rend heureux, même si c'est malsain. Ils suivent quelqu'un de faux après tout. Ils suivent une tâche. Ils te suivent, Stain.
Classe
Définissez vous en une phrase. Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ? Un poisson rouge.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ? Harry Potter de J.K Rowling.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement. « Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ? Accro au high five.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait. Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...
Histoire
« Eh la tâche ! »
Un tremblement. Il n'osait pas se retourner, il était terrorisé. On ne lui laissa pas le choix, une main puissance attrapa son épaule et le tira vers l'arrière, le forçant à faire volte-face. Timidement, il leva les yeux vers le deux garçons qui l'avait interpelé. Ils étaient grands, tout deux un couvre-chef sur la tête, parce que c'était la mode, c'était classieux. D'un voix flanchant, Spencer leur adressa quelques bafouilles avant de former une phrase compréhensible.
« ... Quoi ? »
Les deux adolescents eurent un rire. Qui avait-il de drôle ? Certainement la façon dont le petit rouquin triturait ses manches et son visage. Son visage était bien la chose qui amusait tout le monde. Déjà que là, il donnait l'impression qu'il allait s'uriner dessus, ajoutons à cela une tâche. Plus exactement, une marque de naissance rougeâtre qui s'étendait sur tout son œil gauche. Avec ce genre de marque, il est impossible d'avoir une vie facile et pour en rajouter une couche, il était roux. Quant ce n'était pas "la tâche", on l’appelait "poil de carotte". Il se disait maudit, néanmoins, Spencer restait silencieux sur sa situation, il était passif. Extrêmement passif.
« T'as pas oublié c'qu'on a dit hier, hein ? »
Le deuxième garçon eut un sourire carnassier, effrayant. Tellement, que le pauvre petit eut du mal à retenir une petite goutte... Il n'avait pas, ce qu'ils voulaient. Il n'avait pas eu la force de fouiller dans le porte monnaie de son père, il ne voulait pas décevoir son père, surtout pas lui. Que lui resterait-il après ? Et il ne voulait pas non plus leur parler ce que qu'il vivait à l'école, parce qu'il avait profondément honte d'être un faible. Il secoue un peu la tête, baissant les yeux, l'air penaud. Ça non, il n'avait pas oublié. Comment le pourrait-il ? Leurs paroles restaient gravé dans sa mémoire, elles le hantait jusque dans ses rêves, elles ne lui laissait jamais de répits, il avait l'impression que tout cela ne se finirait jamais... Il ne demandait que du calme, rien du plus. Un ou deux amis. Des notes raisonnables. Qu'avait-il lui finalement ? Des adolescents qui le harcèle et le ruent de coups, aucun amis et des notes excellentes. Malheureusement, il n'était pas au bout de ses peines qui allaient bientôt atteindre leur apogées. Que le destin peut être fourbe quand il s'acharne sur une seule personne. Spencer n'était qu'un surdoué qui n'avait pas put avoir l'affection de sa mère ni même celles des ses camarades de classe. Pourtant ce n'était pas quelqu'un de mauvais, ni même de très porté sur les études, contrairement à ce qu'on pourrait penser. Sa faute, sa si grave faute qui lui valait tout ce tourment c'était juste d'avoir une marque de naissance sur le visage et des cheveux roux. Rions, c'est pitoyable.
« Bon, alors tu m'file le flouze. »
Un battement de cils. Sa tête s'abaissa encore plus. Remarquant cela, les deux adolescents froncèrent les sourcils, se fixant en coin. Il n'avait pas l'argent. Il avait désobéis. Tant pis pour lui. " Tu chies là, tapette. " La première réaction du jeune garçon fut de se protéger immédiatement son visage, ayant prit peur face au ton agressif de son interlocuteur, l'ayant perçu faire un pas vers lui. Il regrettait d'avoir été honnête, il essayait de les convaincre d'arrêter en leur proposant son goûté, ses stylos, sa trousse, tout ce qui lui passait par la tête, mais la force de parler l'abandonné, il ne pouvait que hoqueter et gémir sous les coups. À terre, rampant pour essayer de s'enfuir. Rions, c'est pitoyable. De toute façon, même si les années passent, même s'il n'a plus neuf ans mais douze, sa tâche elle reste, cette marque, comme une brûlure, elle reste sur son visage et continue de lui pourrir la vie. Mais la renaissance vient dans la mort après tout. La vie de Spencer s'arrêta en même tant que celle de son père, lors d'un tragique moins d'avril.
« La tâche, les clopes. »
Encore une fois, c'était la même chose, il ne les avait pas. On refusait de lui en vendre, parce qu'il était trop jeune, le vendeur l'avait fichue dehors, croyant que c'était l'un de ces drogués qui brûle des voitures. C'était un peu stupide de sa part parce que Spencer n'a pas du tout une tête de fumeur rebelle, comme on peut en voir souvent. Son style, c'était chemise rentrée dans le jean et des délinquants comme ça c'est catégoriquement inexistant et complètement improbable.
« Tu les a pas ?! »
C'est exacte, il ne les avait pas, comme en pouvait en témoigner son pas de recule. Toujours la même rengaines. Un grognement commun, une bousculade et des coups bien placé, sauf qu'aujourd'hui, tout allait virer différemment. Pourquoi son père passait-il par là ? Pourquoi l'avait-il vu de loin, lui qui était pourtant caché dans une ruelle étroite, de l'autre côté de la route ? Pourquoi s'était-il désespérément lancé à sa rencontre alors qu'il se faisait tabasser par des pauvres déchets de la société ? Pourquoi ce camion l'avait sobrement fauché ? Orphelin ? Ah d'accord... La famille qui lui restait refusait de le prendre en charge, tandis que lui sombrait dans le doute et les remords. On ne voulait pas de lui, son père est mort par sa faute... Si seulement il n'avait pas été le Spencer faible. Tout son malheur reposait sur ça, cette affirmation, comme un poignard qui s'enfonçait dans sa chaire, comme une profonde douleur qui élançait son crâne. Les larmes se cessait de dévaler ses joues comme d'inépuisables cascades, alimentées par cette pluie de honte. Il devait changer. Il le fallait.
Ce qu'il fit. Personne ne connaissait Spencer dans cet orphelinat après tout, ça ne lui coutait rien de tenter, après tout, il n'avait plus rien à perdre. Sans aucune retenue, il troua ses pantalons et déchira ses chemises, se servant de ses tricots de peau comme des t-shirt. Indulgent envers lui-même, il alla jusqu'à se percer l'oreille avec une épingle à nourrice. Ce qui fit bougrement douloureux, mais soit, il avait vraiment l'air de quelqu'un de différent... Quant à ses cheveux, ils les laisseraient pousser et cesserait de les peigner, les laissant retomber sur son visage pour dissimuler du mieux qu'il peut sa tâche... Tâche dont il prétendra être une brûlure héroïque. À quoi bon être honnête maintenant ? Son père n'était plus là. La seule personne qui lui accordait de l'attention était morte, les limites du rouquins venait d'être brisées, lui ouvrant un nouvel horizon de choix, de possibilités. Enfin, il pouvait se permettre d'être malhonnête, de mentir, d'être vulgaire, de se la jouer, de voler, de draguer.
Quant il eut quatorze ans, le personnel soumettra aux pensionnaires de l'orphelinat un test qui résulterait sur l'adhésion à un nouvel orphelinat pour les surdoués, pour l'élite. À sa grande surprise, Spencer révéla avoir un QI au dessus de la moyenne. Il se savait surdoué — il avait d'ailleurs sauté deux classes —, mais pas au point de dégotter une place pour endroit comme ça...
« Tu dois choisir un pseudonyme, Spencer. Un mot qui commence par la même lettre que ton prénom ou ton nom. »
Longue réflexion.
« Shadow ça pète tout ! — Déjà prit. — Putain... »
Nouvelle réflexion. Trop longue. Tellement longue, que l'homme en face du rouquin prit la parole en se redressant après l'avoir longuement dévisagé.
« Ça sera Stain. — ... Stain comme... Tâche ?! »
Vide de merde.
HRP.
SURNOM(S) : Ayori, voir Yami. DATE DE NAISSANCE : 01 / 05 / 95 ÂGE : Seizans. SEXE (✔) : Uniquement dans un coin sombre. AVATAR : Kirenenko de Usavich. DÉCOUVERTE DU FORUM : Ca fait trois ans que je vous stalke les gens ! Haya m'a convaincue de m'inscrire. 8D EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? Loin de là. xD
Désolée, fiche assez pourrave, mais j'en avais marre d'être un membre fantome. D8 J'AIME END /fuis