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 Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3"

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Invité
Sujet: Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" EmptyDim 13 Mar - 17:14

Identité

PSEUDONYME : Lolly
NOM : Lovy
PRÉNOM(S) : Lenny
QI: 175
DATE DE NAISSANCE : 03 / 05
ÂGE : 10 ans
SEXE : ✔M ❒ F
ORIGINE : Anglais
Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" Hunny10

Physique


Couleur des cheveux : Blonds
Couleur de la peau : Blanche
Tatouage/Piercing ? : AIE, non! D:
Couleur des yeux : Noisette
Taille en centimètres : 132
Corpulence: Nain poids plume, 35 kilos tout au plus.

Caractère


Qualité Souriant
Qualité Affectueux
Qualité Constamment de bonne humeur
Qualité Gentil
Qualité Sincère
    Défaut Inépuisable
    Défaut Gourmand
    Défaut Naïf
    Défaut Collant
    Défaut Enfantin

Lolly est un petit garçon presque infatigable. Il ne tient pas en place, et est toujours entrain de sautiller partout à la recherche d’un ami à câliner. Malgré cette énergie débordante, Lolly fait une sieste lorsqu’il en a le temps l’après-midi. Parfois par simple plaisir d’un doux moment avec ses peluches, et parfois tout simplement parce qu’il n’est encore qu’un petit garçon qui a besoin de dormir plus que ce qu’il n’en faut pour être totalement en pleine forme. Il ne s’énerve absolument jamais, et a toujours un sourire aux lèvres, ce qui ravit la plupart de ses amis. Il est surtout apprécié pour sa bonne humeur constante, mais aussi pour l’innocence qu’il montre partout où il passe. Le peu de gens qui ne l’apprécie pas sont ceux qui le trouvent de trop immature, ou bien trop collant, mais Lolly est en général assez apprécié. Parmi ses quelques manies, Lolly a celle de donner un petit surnom à toutes les personnes qu’il aime bien. Certains peuvent paraître stupides, et d’autres flatteurs, mais dans tous les cas, Lolly les aura donné sans préjugés ou sous-entendus. Lolly est un petit garçon très sincère, il évite en général de mentir. Il adore les bonbons et les peluches. Il a d'ailleurs donné un nom à chacune d'entre elle et les retient tous. Il en possède pour le moment 28. Sa peluche préférée reste tout de même Fluffy, un petit lapin rose qu’il garde toujours sur lui. Quand aux sucreries, il en mange tout le temps, et en a toujours une qui traîne dans la poche. Il adore aussi faire des câlins à tout le monde, mais les autre orphelins n’apprécient pas forcément. Il n’y a pas grand-chose qu’il n’aime pas, si ce n’est certains légumes, et le noir. Il en a une peur bleue, et ne peux pas se promener tout seul la nuit. Pour dormir il a besoin d'une petite veilleuse, qu'il place à côté de son lit, comme une protection contre les ténèbres.
Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" Caaaaa10 Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" Ouran110Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" Honey-10
Toutes les techniques sont bonnes pour gagner des bonbons,
même les plus viles. Mais c'est pour la bonne cause. ^____^ Héhé

Classe


    Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.


    Définissez vous en une phrase.
    1. Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...


    Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
    1. Un poisson rouge.


    Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
    1. Harry Potter de J.K Rowling.


    Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
    1. « Je comprends ce que tu ressens... »


    La petite manie dont vous vous passerez bien ?
    1. Câliner tout le monde.


    Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
    1. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.


Histoire


Lorsque Lenny est né, une chose est certaine, c’est qu’aucun sourire ne l’a accueilli dans ce monde. Il n’y avait autour de lui que des visages sans expression, des mannequins. Des poupées dénuées de vie. Des êtres horrifiants qui ne pouvaient ou ne souhaitaient pas sourire.

Aussi loin que remonte sa mémoire, dans la famille de Lenny, une doctrine avait toujours été appliquée. Cette doctrine était dure, et étrange. Elle avait été dite et répétée par son père, et il ne fallait en aucun cas y désobéir. Quoi qu’il se passe, il ne fallait pas sourire. Lorsqu’on recevait les cadeaux à noël, il ne fallait pas sourire. Lorsque Lenny recevait des bonbons, ou quoi que ce soit d’autre qu’il aimait, il ne fallait pas sourire. Lorsque quelque chose de bien arrivait, il ne fallait toujours pas sourire. Ne jamais sourire, garder un visage impassible.

Aussi, Lenny avait grandit ainsi, dans cette éducation, et sans sourires chaleureux qui vous réchauffe le cœur. Jusqu’à l’âge de trois ans, on avait fait croire à Lenny que les sourires, ça n’existait que dans les contes. L’école lui avait prouvé le contraire. Que des enfants souriants, qui couraient partout dans la cour, et qui riaient. Un jour, alors que Lenny mangeait à table avec ses parents, il avait demandé timidement à son père :
-Papa, pourquoi on n’a pas le droit de sourire ? Les enfants sourient eux, à l’école.
Son père s’était mit dans une colère noire. Il avait attrapé Lenny par le bras, et l’avait enfermé dans le sous-sol en lui disant ses mots :
-Un sourire est unique au monde ! On ne le gaspille pas en l’utilisant pour n’importe quoi, rappelles-t-en !

Malgré tous ses efforts, Lenny n’avait jamais compris cette réponse. Lenny retournait souvent dans le sous-sol pour ses questions trop pertinentes. C’est ce qui attisa sa peur du noir. Depuis ce jour, il dormait chaque soir avec une veilleuse. Le noir était sa phobie. Mais il n’avait pas abandonné. Il voulait savoir. Il avait bien essayé d’en parler à sa mère, mais elle ne lui adressait jamais la parole. Lorsque Lenny allait lui parler, elle le regardait d’un air triste et s’en allait sans un mot. Depuis sa naissance, Lenny n’avait jamais entendu le son de sa voix. Sa mère était continuellement triste, et il ne comprenait pas pourquoi. Il ne la connaissait que sous ce visage accablé.

Mais Lenny n’était pas comme ses parents. Il souhaitait de tout son être sourire au monde. Depuis son entrée à l’école, il s’entraînait chaque jour devant une glace, et pleurait pendant de longues heures en voyant que ses efforts étaient vains. Il souhaitait aussi se faire des amis, mais malheureusement pour lui, les autres l’évitaient car son impassibilité ne le rendait pas très accessible.

Il se souvenait encore que lorsqu’il était tout petit, il avait environ trois ans, une petite fille était venue le voir. Elle avait de longs cheveux blonds, et de grands yeux bleus. Elle s’était approchée timidement du petit garçon, et avait essayé de lui parler, avec un grand sourire.

-Bonjour ! Je m’appelle Fleur.

C’était un prénom tout à fait joli. Lenny le pensait, et tenait à le lui faire savoir. Mais lui, n’arriva pas à étirer ses lèvres sur un joli sourire. Il garda un visage dénué d’expression et de vie. Mais il ne voulait perdre cette chance pour rien au monde, aussi, il tira sur ses lèvres pour forcer un sourire de ses deux mains et répondit à la jeune fille.

-J’aime beaucoup ton prénom !

Mais la petite fille pensa qu’il se moquait d’elle, et partit en pleurant. Toutes ses rencontres avaient été les mêmes et finalement, plus personne ne vint lui parler. Il restait debout, au beau milieu de la cour, un visage impassible, comme il l’avait apprit.

Il semblait que Lenny n’allait jamais apprendre à sourire, et qu’il allait mourir ainsi. Cette pensée rendait son visage plus triste que jamais. A la place d’une impassibilité naissait des yeux attristés continuellement, tout comme ceux de sa mère. Il sembla que cette dernière s’en aperçut, car un jour, elle le prit par la main, et l’emmena dans un magasin de jouets. Ce fut la première fois de sa vie qu’il y alla. Lenny avait alors 4 ans. En arrivant dans cet immense bâtiment, il vit plusieurs enfants galopant joyeusement vers tous les jouets possibles et inimaginables du monde. Lenny marchait lentement, sans vraiment regarder les jouets, tenant la main chaude d’une mère aussi abattue que lui.

Sa mère lui avait lâché la main dans un rayon de jouets de garçons, car elle avait reçu quelque chose sur son portable qui concernait certainement son travail. Lenny, pendant ce temps, marcha sans expression et sans vraiment savoir ce qu’il cherchait. Il quitta le rayon des garçons et se dirigea sans vraiment de but vers le rayon d’à côté. Lorsqu’il leva la tête vers les rayons, ce jour devint le plus beau de toute sa vie. La tristesse quitta ses yeux pour la première fois depuis longtemps. Des millions de couleurs parsemaient toutes les étagères. Toutes sortes d’animaux qui avaient l’air soyeux étaient présents, en plusieurs exemplaires. C’était sa première rencontre avec des peluches. Il attrapa la première qui était à sa portée, un petit nounours brun, qu’il câlina. C’était si doux ! Lenny voulut pleurer de joie, et en même temps de tristesse de n’avoir connu cette merveilleuse chose auparavant. Il marcha avec le petit nounours en main, et, les yeux pleins d’étoiles, caressa toutes les peluches de sa petite main, les unes après les autres. Et c’est là qu’il le vit.

C’était un lapin rose, assez grand pour le prendre dans ses bras. La peluche la plus mignonne de toute. La seule qui n’était pas en double, unique en son genre. Elle avait deux petits yeux ronds tout noirs, une petite bouche et de grandes oreilles légèrement repliées sur elles-mêmes. Lenny lâcha le nounours par terre et tendit la main vers le lapin, intrigué. Et c’est à ce moment que quelque chose d’extraordinaire se produit. Vous ne me croirez sûrement pas, ce qui serait d’ailleurs justifié puisque ce qui se passa fut sûrement que pure imagination d’un petit garçon en manque d’affection, mais le lapin lança un sourire à Lenny. Ce dernier attrapa le petit lapin, et lui sourit à son tour. C’était la première fois qu’il souriait, oui, la première fois. Le lapin se mit à rire, Lenny aussi. Le petit garçon avait enfin trouvé un ami. Il pleura de joie tout en câlinant son nouvel ami pendant quelques minutes, tourna avec lui, dansa, puis finalement s’arrêta et tendit ses deux mains tenant son lapin devant lui.
-Tu seras Fluffy !

Le petit lapin lui répondit. Il lui répondit de nouveau, par pure imagination, mais qu’importe. L’innocence est parfois la clé, vous savez. Le petit lapin lui répondit simplement les mots « je t’aime ». Lenny serra Fluffy contre lui en souriant et en lui rendant ces mots doux. Il n’avait jamais autant aimé quelqu’un jusqu’à ce moment.

Sa mère le trouva assit dans le rayon des peluches, un lapin rose sur ses genoux, un nounours brun en face de lui, et un petit chien bleu à ses côtés. Lenny avait reprit un air impassible, et dit simplement à sa mère :
-Voici Fluffy, Teddy et Noun. Je les veux maman, s’il te plaît.

Sa mère ne répondit rien, comme toujours. Elle prit dans sa main le petit chien et le nounours, puis prit de son autre main libre la main de Lenny. Ce dernier voulu sourire, mais n’arriva plus. Son sourire n’était que pour ses peluches, il en était certain. Lorsqu’ils passèrent à la caisse, la vendeuse offrit une sucette à la fraise à Lenny. C’était la première fois qu’il goûtait une sucette. Depuis ce jour, il aima les sucreries presque autant que Fluffy. Il ne s’en passait plus et avait toujours une gâterie sur lui.

En rentrant chez lui, son père ne lui parla pas. Lenny installa ses peluches dans sa chambre, et parla avec Fluffy toute la nuit. Au fil des jours, au fil des mois, Lenny retourna souvent au magasin de jouets, pour acheter toujours plus de peluches. Il acheta aussi de nombreux bonbons, sucettes, sucreries, et chocolats en tout genres. Lorsqu’il eut 5 ans, Lenny avait en tout 26 peluches dans sa chambre auxquelles il avait donné à toutes des noms, et une réserve de 124 sucreries et bonbons en tous genre. Il aimait vraiment toutes ses peluches, mais Fluffy restait son meilleur ami. Il l’aimait comme jamais, et lorsqu’il posait à son père des questions trop pertinentes, et qu’il devait aller au sous-sol, il avait moins peur du noir avec Fluffy. Un jour, son père comprit que la punition ne valait plus rien, il prit la peluche de Lenny lorsqu’il l’envoya dans le sous-sol. Ce dernier tapa contre la porte et hurla de toutes ses forces durant une bonne dizaine de minutes. Son père ouvrit finalement la porte, pour ne pas se faire remarquer par leurs voisins, et Lenny, sans un mot, arracha Fluffy de ses mains, le prit dans ses bras et retourna de lui-même dans le noir. Lorsqu’il daigna enfin sortir, il faisait nuit, aussi, il monta directement dans sa chambre et alluma sa petite veilleuse, avant de jouer avec toutes ses peluches.

Plusieurs mois passèrent, et Lenny passait son temps à manger des sucreries et à jouer avec ses peluches, mais compensait le tout par beaucoup de sport et un brossage continuel de ses petites dents de lait. Il avait toujours plus de peluches, mais en retenait chacune les noms. Sa chambre était maintenant recouverte de peluches et de nounours de toutes les couleurs. Lenny ne rangeait pas sa chambre, et son sol était recouvert de peluches. Le matin, lorsqu’il se levait, il faisait son possible pour ne pas écraser Fish ou Bonnie, les plus petits. Il se disait que si jamais il leur marchait dessus, il les tuerait peut-être, ils étaient si jeunes.

Un soir d’orage, après manger, Lenny se cloîtra dans sa chambre car il avait envie de jouer avec Luo et Fluffy. Après une petite heure de jeu, un éclair plus fort que les autres retentit. Le petit garçon ferma les yeux et serra son lapin contre lui, surpris d’un grondement aussi fort. Lorsqu’il rouvrit les yeux, il était dans le noir complet. Le petit garçon se releva doucement, et tant bien que mal de sa montagne de peluches, et se dirigea lentement vers sa fenêtre. Il colla ses mains contre la vitre glacée et regarda au travers, laissant une petite trace de buée par la même occasion. On ne voyait de la fenêtre que les lumières lointaines de la grande ville d’à côté. Il regarda pendant quelques secondes la route invisible qui était devant chez lui, et un flash de lumière se dessina dans le ciel et l’illumina l’espace d’une demie seconde. Lenny se recula soudainement de la fenêtre, tremblant de tous ses membres. Il en était sur. Là, dehors… Il venait de voir quelqu’un. Et cette personne regardait vers la fenêtre de la chambre de Lenny. Lorsque le bruit de l’éclair se fit entendre, le petit garçon ferma les yeux, serra Fluffy et lui parla doucement.
-Il n’y avait personne…Tu as raison Fluffy…Il n’y avait personne qui me regardait…

Il hésita un peu, puis rouvrit de grands yeux apeurés en direction de la fenêtre. Il ravala sa salive et s’en approcha doucement, puis posa ses minuscules doigts sur la grande fenêtre. Un flash retentit à nouveau. Il n’y avait plus personne. Lenny soupira et posa sa main sur son cœur, puis sourit à sa petite peluche rose.
-Nous avions raison ! Il n’y…

Un bruit retentit. Un bruit que Lenny connaissait tout particulièrement. Celle de sa porte d’entrée. Lenny écarquilla les yeux, mort de peur. Il se glissa sous son lit, et tira le plus possible de ses peluches vers lui. Il dissimula Fish et Bonnie sous son haut de pyjama, car ils étaient les plus petits, ils étaient trop jeunes, Lenny ne pouvait se résoudre à les abandonner. Il avait peur. Terriblement peur. Il voulait être ailleurs. Il voulait des amis. Il voulait sourire, il voulait vivre. Il ne voulait pas mourir.

Un autre bruit retentit. Un bruit cette fois, connu seulement des films. Un coup de feu. Ce bruit fut suivit d’un hurlement déchirant. Celui d’une femme. Sûrement la maman de Lenny. Il se mit à sangloter en silence. De peur, d’amour pour ses parents malgré cette doctrine, de la vie qui ne lui avait jamais fait de cadeau, de toutes ses peluches qu’il aimait tant et qu’il avait laissé en danger dans sa chambre.

C’est alors que quelqu’un monta les escaliers en courant. La porte s’ouvrit à la volée. C’était sa mère, en pleurs. Elle s’agenouilla au milieu de la pièce, et sembla chercher Lenny en soulevant des peluches, petites ou grosses, en murmurant le prénom de son fils. Lenny sortit de sous son lit. Il ne voulait pas voir plus de tristesse sur le visage de sa maman. Il voulait la voir sourire juste une fois, il voulait lui parler juste une fois. Il l’a prit dans ses bras. Elle continuait à murmurer le nom de Lenny. Ce dernier se mit en face d’elle.
-Je suis là maman ! Qu’est-ce qu’il y’a ? Qui est chez nous ?

Elle le regarda, les yeux écarquillés par la peur et l’angoisse.
-Len…Lenny ! Il y’a quelqu’un …Je ne sais pas qui c’est mais ton père…Caches-toi !

Lenny ne comprenait toujours pas, mais il n’eut pas le temps d’y réfléchir. Un homme était arrivé à la porte. Lenny ne le voyait pas très bien, mais il avait le dos voûté, et tenait une arme en main. Il ricana, et pencha la tête en murmurant tout seul. Il cracha par terre mais heureusement, il ne toucha aucune peluche. La mère de Lenny avait arrêté de parler, et ouvrait de grands yeux apeurés. L’homme parla alors d’une voix grave et sinistre.
-Je vais te tuer.

Il pointa soudainement son revolver vers la mère de Lenny, et sa voix se fit plus forte, et coléreuse.
-Je veux te tuer ! C’est de ta faute ! Ella est morte par ta faute !

La mère s’écria, inquiète :
-Vous vous trompez ! Je ne connais aucune Ella ! Je vous en supplie… Laissez-nous… Laissez mon fils !

L’homme secoua la tête, comme pour se convaincre lui-même, soudainement apeuré par les propos de la jeune femme.
-Non…NON ! Menteuse ! Ella, je le sais! C’est toi ! Tu l’as jalousait ! Tu as prit sa place !

La mère de Lenny n’arriva plus à bouger, comprenant qu’ils ne s’en sortiraient pas. Lenny glissa Fluffy dans son dos pour le protéger. Il tenta de se calmer pour réfléchir. Qu’est-ce que cet homme racontait ? Est-ce que sa maman aurait… Aurait fait quelque chose de mal ? Lenny ravala sa salive et attrapa le bras de sa mère, tristement :
-Maman…Pourquoi il dit ça, le monsieur ? Tu n’as fais de mal à personne n’est-ce pas ?

La mère de Lenny le regarda, et lui sourit, pour la première fois. Elle lui caressa affectueusement la joue et finalement, répondit d’une voix douce :
-Mon petit Lenny, je peux te jurer que je n’ai tué personne. Tu peux en être certain. Ecoute bien, je dois te parler de ton père.

Le tueur sembla prendre peur, il secoua son pistolet vers la maman de Lenny, et hurla :
-Je…JE VAIS TE TUER ! Tu m’entends !? Regarde-moi !

La mère continuait à sourire doucement à son fils. Lenny la regardait à son tour. Ainsi souriante, elle était la plus jolie dame qu’il n’avait jamais vue. Il était heureux de la voir ainsi. Sa mère lui prit la main.
-Saches que lorsqu’il était jeune, ton père n’a vécu qu’avec des sourires de ses parents. Non, pas des sourires comme tu les connais. Que des sourires hypocrites et malsains. Ses parents l’ont battu durant toute son enfance, et ton père n’a jamais appris à sourire. Vois-tu, je suis tombée amoureuse de sa triste histoire, et, pour lui, par pure sympathie pour cette histoire, j’ai oublié de sourire. Nous t’avons toujours aimé Lenny. Je suis sure que ton père aurait voulu que tu le saches, c’est pourq…

Un coup de feu. Un coup soudain, un coup inattendu. Un lien très fort était passé entre la mère et son fils. La mère s’arrêta de parler, et s’effondra dans les bras de son enfant. Lenny écarquilla les yeux, horrifié :
-Maman ? Maman ! S’il te plaît… Maman ! Réveilles-toi !

Le tueur garda son pistolet pointé vers le fond de la chambre. On voyait son arme trembler à la lueur des flashs des éclairs. Lenny continuait de crier à sa mère de se réveiller. L’homme à la porte murmura alors :
-Non, encore… Je ne peux plus reculer… Encore une erreur… Tais-toi gamin…Je ne peux plus… JE T’AI DIS DE LA FERMER !

Un autre et dernier coup. Lenny lâcha sa mère, et vacilla, puis regarda ses cuisses à présent immaculées de sang. Il passa ses petites mains dessus et soudain, s’effondra à côté de sa maman. Les yeux de sa mère étaient plongés dans les siens. Soudain, il sentit une main douce, et bien connue, mais froide à présent, qui toucha la sienne, à bout de forces, doucement. Lenny fit un effort pour garder les yeux ouverts, chancelant, sentant le froid l’envahir à petits pas, et sa mère réussit à ouvrir la bouche pour quelques paroles.
-Lenny…Nous pardonneras-tu…Un jour ? J’aurais tant aimé…Voir ton sourire, promets-moi d’apprendre…À sourire.

Et juste avant que les yeux de la douce maman ne se ferment, Lenny lui sourit. Il lui sourit comme il n’avait jamais sourit. Il voulait pleurer. Mais il n’en eut pas la force. Il voulait la sauver. Mais il ne put se relever. Une chose était certaine. C’est à partir de ce moment que Lenny commença à vraiment aimer ses parents.

Puis les yeux du petit garçon se brouillèrent. De larmes, et de brume. Lorsque ses yeux se fermèrent, il tenait toujours la douce main de sa maman. Puis le noir l’envahit totalement.

____________

-Comment va-t-il ? Il a dû subir un énorme choc, le pauvre petit.
-Il va bien. Si jamais vous n’aviez pas été là et qu’il n’avait pas été sauvé par…Oh, il se réveille.

Lenny sentit le regard de deux personnes sur lui. Il ouvrit doucement les yeux, ébloui par la lumière intense qui régnait dans la pièce. Il regarda autour de lui. Un hôpital. Une infirmière. Et la dame qui habitait à côté de chez eux. Il essaya de se redresser, mais il ressentit une douleur intense à l’estomac. Il posa sa main dessus, sentit des bandages qui entouraient son ventre, et l’infirmière le poussa doucement pour qu’il se rallonge.
-Ne bouge pas s’il te plait. Tu as eu une grosse opération en urgence, et on peut dire que tu as eu de la chance. Si tu n’avais pas eu ces peluches sous ton T-shirt, tu…

Lenny s’inquiéta soudainement, il se releva tant bien que mal et attrapa la manche de l’infirmière.
-Où est Fluffy ? Où sont Bonnie et Fish ? Où sont toutes mes peluches ? Rendez-les moi !

La voisine s’approcha de Lenny et lui tendit son petit lapin rose, en parfait état. Le petit garçon le pris dans ses bras et le câlina, puis regarda la dame pour savoir où étaient ses autres peluches. Elle montra de sa main quelque chose qui se trouvait par terre, à sa droite. Toutes ses peluches étaient les unes sur les autres, empilées sur un tapis, qui semblait être la couverture de la chambre de Lenny. Ce dernier soupira, rassuré, puis les nomma toutes pour être sur qu’elles n’avaient pas étaient oubliées, car elles lui en voudraient de trop. Lorsqu’il finît, il regarda la dame qui avait remmené les peluches d’un air noir. Cette dernière baissa un regard désolé.
-Où est Fish ?...Ou est-il ?...Rendez-le moi, s’il vous plait…Il est jeune et…

L’infirmière prit la peluche qui était sur la table de nuit, et lui tendit. Lenny sourit puis déchanta, lorsqu’il vit son petit poisson arc-en-ciel maculé de sang sec, décousu à ce niveau. Il y avait une cavité dans ses écailles douces. Lenny sentit les larmes monter à ses yeux.
-Oh non…Fish…Tu étais si jeune ! Non…Tu ne peux pas me laisser.

Lenny pleura pendant une heure entière sans interruption. On dû lui apporter un sac entier de bonbons afin qu’il accepte enfin d’écouter l’infirmière qui avait à lui parler. Elle lui expliqua qu’un interné s’était échappé il n’y avait pas si longtemps d’un asile psychiatrique, et qu’il était tombé sur leur maison par malchance. On ne savait pas encore d’où l’arme qu’il avait utilisée provenait, mais des recherches étaient faites au moment même.
C’était en fait leur voisine qui avait entendu les coups de feux, et avait appelé la police. Le tueur avait été arrêté, et on avait emmené d’urgence Lenny à l’hôpital. Il avait été sauvé par une des peluches qu’il avait sous son haut de pyjama. La voisine avait récupéré toutes les affaires auxquelles tenait Lenny, avant que l’inspection des lieux ne commence. Le petit garçon avait subit une dure opération, mais aucune séquelle n’avait été trouvée. A présent, il fallait faire un test de QI pour savoir dans quel orphelinat allait-il être envoyé. L’infirmière ne précisa qu’à la fin de son récit que les deux parents avaient été tués par le malade mental. Lenny allait se mettre à pleurer, lorsque la voisine de Lenny lui dit gentiment :
-Ils sont morts tous les deux avec le sourire.

Lenny regarda sa voisine avec les larmes aux yeux, et força un sourire, s’essuyant les larmes pour les empêcher de couler. Il en avait très envie mais se retint, pour la simple et bonne raison que sa mère voulait le voir sourire, et qu’il fallait respecter sa volonté. Sa voisine était une charmante dame, et Lenny l’appréciait beaucoup. L’infirmière quand à elle ne sembla pas comprendre en quoi cela était réconfortant, mais se passa de commentaires. Plusieurs heures plus tard, Lenny ne sentait presque plus aucune douleur, et pouvait de nouveau se lever et aller enlacer toutes ses peluches avec sourire. Il passa un test de QI, comme prévu, et le trouva relativement facile. Finalement, il fut dit qu’il était plus intelligent que la normale, et qu’il serait envoyé à la Wammy’s house, un orphelinat d’enfants surdoués.

La voisine se proposa pour l’emmener. Ils partirent tôt, et Lenny s’était installé à l’arrière, avec sa montagne de peluches à ses côtés. Il avait sur ses genoux Fish, et pleurait en silence. La voisine fut attristée, elle lui dit avant de démarrer :
-Nous avons un peu de temps, y’a-t-il un endroit ou tu voudrais aller ?

Lenny releva une tête brouillée de larme vers la dame au volant, et sourit timidement, en hochant la tête.
-Un endroit où il y aurait beaucoup d’eau, s’il vous plait.

La voisine fut surprise, mais hocha la tête. Elle se dirigea vers la mer de la ville de Fareham. Lenny déposa toutes ses peluches sur la plage, sur la couverture de chez lui qu’il avait emmené, pour que ses amis puissent saluer leur ami défunt, eux aussi. Finalement, il embrassa et câlina Fish, puis laissa partir son petit poisson en peluche dans l’eau. Il pleura quelques minutes, et finalement reprit toutes ses peluches, avant de repartir en voiture avec la voisine dont il ne connaissait toujours pas le nom. Dans la voiture, il retrouva le sourire, et dit à la dame qui conduisait :
-Fish m’a demandé il y’a longtemps, que quand il viendrait à mourir, il voulait aller au paradis des poissons. Je suis sur que maintenant, il est heureux, là ou il est.

Puis il regarda le ciel bleu clair par la fenêtre, et envoya un baiser de sa main dans les airs, jusqu’à son petit poisson. Puis il se mit finalement à parler. Parler comme il ne l’avait jamais fait. Il parla de ses peluches, de ses bonbons, de ce qu’il aimait. Il dit qu’il aimait beaucoup les fleurs, car elles lui rappelaient une jolie fille qu’il avait connu. Lenny n’était plus triste. Oh oui, ses parents, il les aimait. Et oui, ils allaient lui manquer. Mais qu’importe. Il avait promis de sa façon à sa maman qu’il sourirait à la vie. Et c’était ce qu’il comptait faire.

Ils arrivèrent après avoir roulé en voiture quelques heures dans la joie et la bonne humeur. La Wammy’s house était entourée de grilles, et ils débarquèrent devant un grand portail noir. Lenny se cacha un peu derrière la dame, apeuré par ce si grand bâtiment, et ces grilles qui n’avaient pas l’air très accueillantes. Quelqu’un attendait devant la grille. Un vieux monsieur qui avait l’air assez gentil. Lenny se décolla de la dame et accourut vers le monsieur, tout sourire, Fluffy dans les bras :
-On est à ma nouvelle maison, monsieur ?

Le vieil homme ne bougea pas, et baissa simplement les yeux, puis regarda le petit pas plus haut que trois pommes. Puis il releva le regard vers la dame, et la salua respectueusement, avant de répondre à Lenny.
-En effet. Tu es ici dans la Wammy’s house. C’est un orphelinat pour les enfants comme toi qui ont des capacités supérieures à la moyenne. Ton but sera désormais de succéder à L, le plus grand détective du monde. Il te faut un autre nom à présent. Tu ne devras divulguer le tien à personne.

Lenny pencha légèrement la tête de côté, en demandant s’il fallait qu’il propose quelque chose ou que ce soit le monsieur qui en décide. Roger l’observa d’un œil, puis finalement annonça d’une voix posée :
-Tu seras Lolly.

Les yeux du petit garçon s’emplirent d’étoiles. Il tourna sur lui-même avec son petit lapin rose, en rigolant, puis s’arrêta devant le vieux monsieur, mais tendit Fluffy devant lui.
-Regarde ça, Fluffy ! J’ai un nouveau nom ! Il est trop mignon !

Le vieux monsieur sembla déconcerté par la réaction du jeune garçon, mais ne dit rien. La voisine dû faire ses adieux à Lenny, et le petit garçon lui fit un énorme câlin, très triste de quitter la dame qui l’avait pratiquement sauvé de la mort. Ils eurent du mal à sortir toutes les peluches sans leur « faire mal », mais finalement, replièrent la couverture comme un baluchon et la sortirent de la voiture. Le vieux monsieur proposa à Lenny de visiter un peu les lieux pendant qu’il s’occupait de ses affaires, ce que le petit garçon accepta avec joie. Il voulu lui faire un câlin au passage pour le remercier, mais la voisine intervint et lui expliqua qu’il ne fallait pas enlacer tout le monde comme il le faisait. Une petite moue boudeuse s’afficha sur le visage du petit garçon, mais il embrassa sur la joue la dame une dernière fois, avant de partir en chantonnant, Fluffy sur ses épaules, dans le parc qui se trouvait derrière les grilles.

Il se balada un peu partout dehors, il vit plusieurs arbres tous très jolis, une piscine, un bois, un étang. Près de celui-ci, il y avait trois garçons qui étaient un peu plus grands que Lolly. Ce dernier accourut près d’eux, heureux de faire la connaissance d’autres orphelins. Il les salua et se présenta. Les garçons n’avaient pas l’air de vouloir le connaitre plus que ça. Ils traitèrent Lolly de gamin immature avec sa petite peluche rose. Lolly recula. Il ne voulait plus parler avec eux. Mais le plus grand des trois lui barra la route, un autre lui piqua sa peluche. Ils se la lancèrent entre eux, en rigolant sournoisement. Lolly courait entre les trois garçons, en criant « rendez-le moi ! ». Mais ils continuaient. Finalement, un d’eux fit exprès de se décaler et ne rattrapa la peluche. Elle tomba juste à côté de l’étang. Lolly se précipita pour s’agenouiller près d’elle et la prendre dans ses bras, les larmes aux yeux. Un des orphelins s’approcha, et voulu pousser le garçon. Mais une main se saisit de son poignet. Lolly se retourna. Il ne voyait pas très bien, à cause du soleil, mais il lui semblait voir un garçon très beau, avec des traits fins, de longs cheveux blonds, et de grands yeux bleus. Il lui demanda s’il était un ange, mais le garçon n’eut que pour seule réponse un rire très doux. Lolly le trouvait très apaisant. Le garçon lui tendit la main, et Lolly l’attrapa avec joie. Mais lorsqu’il fut relevé, il le serra dans ses bras, et le remercia en souriant. Puis ils partirent, main dans la main. C’est depuis ce jour que Angel est devenu comme un grand frère pour Lolly. Ils partagent tout ensemble, et c’est de loin la personne que Lolly aime le plus dans toute la Wammy’s house.

Lolly sourit désormais, on sent la joie qu’il a de vivre. Il n’a jamais plus de visage inexpressif. Il ne repense à ces mannequins sans vie, sans expression, que lorsqu’il est séparé de Fluffy, c’est pour cela qu’il ne le quitte jamais. Lolly est heureux d’être venu ici. Il rencontre de jours en jours des gens tous différents, tous intéressants. Il s’est fait des amis, et n’est plus jamais seul.

L’amitié est le plus beau cadeau du monde. Les gens qui pensent aimer la solitude n’ont jamais vraiment été seuls.




Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" 40233510

« Je suis désolé. Vous allez mourir. C’est l’ostéochocolose. »
« Lolly, est-ce par hasard tu voulais dire ostéoporose? »
« On s’en fiche, filez-nous tous vos chocolats ou vous périrez. »
« … »




HRP.


SURNOM(S) : KEBAAAB ( attendez Nia mon idole aime le surnom, je suis obligée de refaire la blague ) Ou May, pour les intimes.
DATE DE NAISSANCE : 13 / 11 / 92
ÂGE : 18.
SEXE : ❒ M ✔ F
AVATAR : Haninozuka Mitsukuni - Ouran High School Host Club
DÉCOUVERTE DU FORUM : J'ai reçu une pub par pigeon voyageur, un matin. C'était une fan de MN qui m'y a emmené. Au début j'ai rien compris je me suis inscrite en bonne kikoo que j'étais, mais je me suis fait soignée, je vais mieux. ( enfin je crois )
NOTE SUR 20 DU FORUM : Voir la fiche de la princesse aux rayures.
Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" Banana10

[ Doux jésus pour faire revenir mon enfant à son âge initial j'ai dû le faire naitre en 2000. En 2000. J'hallucine. ]
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End Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" End10
End
Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" 490550Shape3

Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" Lolly alias "le mafioso des bonbecs, mec. Vides-tes poches ! Héhé, non je plaisante. Mais bon, tu me passes un bonbon? :3" EmptyDim 13 Mar - 20:36

C'est juste.... trop adorable. Je fonds.
(et bienvenue sur WH hein)
Et Lolly est un shape /o/

Et Lancé dés effectué.

Je te valide avec plaisir ♥ Bon jeu !
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