Den est à première vue ce garçon doux, souriant et avenant que vous ne voyez que dans les anciens films. Dans les anciens films, car il a des manières de gentleman, en particulier avec ces demoiselles. Il n’est donc pas surprenant de le voir poser un doux baiser sur la main d’une jeune fille en guise de salutation, ou une révérence agrémenté d’ un compliment, et son langage s’en ressent très généralement aussi. C’est un garçon plutôt charmeur, et d’ailleurs plutôt charmant. Malgré une corpulence mince et efféminé, le soin qu’il porte à son apparence lui permet une certaine grâce. Son attitude se veux parfaite, tout comme ses habitudes d’ailleurs. Sa chambre reflète parfaitement ce côté de sa personnalité, étant donné qu’elle est toujours impeccable. Mais son envie de perfection est un peu excessive, car il est très maniaque, et la vue-même d’un grain de poussière est capable de l’exaspérer. Oui, car si Den a des qualités, il est loin de ne posséder aucun défaut. Il est tout d’abord très imbu de lui-même, et donc facilement susceptible. Lorsque quelqu’un le cherche, il n’a pas besoin de le faire longtemps, étant donné qu’il est franc, il lui répondra ce qu’il pense de la personne avec toute sincérité, même avec le sourire. Par ailleurs, le sourire, il l’a constamment sur les lèvres. Ses sourires vont du sourire des plus gentlemen aux plus railleurs. Car étant donné la haute opinion qu’il a de lui, les autres ne l’atteignent à ses yeux que rarement, voire jamais. Il est très sarcastique, et provoque souvent les autres, par simple plaisir de jeu. Car Den est joueur. Den est aussi plutôt lunatique, il lui arrive de réfléchir s’il en prend le temps, mais il peut aussi partir au quart de tour, et réagir avec impulsion, ce qui le met parfois dans des situations plutôt ridicules, dues généralement à la médiocrité de ses capacités d’improvisation. Même si Den se vexe facilement, il est plutôt difficile de l’énerver réellement. Seuls les sujets sensibles tels qu’Alice sont capables de lui faire perdre son calme, et, dans ces cas-là, son sourire mutin se déforme sous le traits d’un visage sadique et corrompu. Il est alors très difficile de lui faire retrouver son calme et sa courtoisie habituelle. Den peut être un prince charmant comme il peut être un exécrable démon.
Classe
Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.
Définissez vous en une phrase.
Non.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Les hauts de Hurle-vent.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Finnegans Wake de James Joyce.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
N'avoir aucune notion du temps.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
Histoire
Né d’un père directeur d'une grande entreprise, Danny avait toujours vécu dans un milieu aisé. Ses parents étaient issus de grandes lignées et, de ce fait, leur mariage avait été arrangé. Ils étaient tous deux hautains, et très égoïstes. Autant dire que Danny ne pouvait pas se permettre de faire n'importe quoi. La phrase préférée de sa mère, et qui l'exaspérait profondément était :
« Vous vous devez d'exiger de vous-même ce que n'importe quel enfant de votre âge ne serait capable de faire. Aucune once de rébellion ne serait acceptable. Vous vous devez d'être parfait! »
Cette phrase résonnait dans les oreilles de Danny. Surtout ce mot, " parfait ", il l'entendait toujours. Il l'entendait trop à son goût, il le détestait, mais se contentait de répondre, docilement, comme d’habitude :
« Oui, mère. »
Et sa mère arrangeait ses cheveux d'un air satisfait. Aussi loin que remonte sa mémoire, Danny n'avait jamais ressentit de "l'amour" à proprement parler pour sa mère. Ni pour son père d'ailleurs, qui ne se présentait à lui que pour vérifier si son éducation était aussi parfaite qu'il le désirait. Danny n'avait jamais eu l'occasion de ressentir beaucoup de choses, et on ne lui avait jamais appris les vrais sentiments tels que la peur, la colère, ou la tristesse. Il prenait d’ailleurs des cours par correspondance, car ses parents considéraient que les autres écoles n'étaient remplies que de personnes qui pourraient gâcher toute son éducation qu’ils avaient eu tant de mal à parfaire. Aussi, Danny ne sortait jamais. Son seul accès au monde extérieur se limitaient aux balcons et au vaste jardin de son manoir. Il n'avait jamais vu ni côtoyé d'enfants de son âge, et ne connaissait personne a part sa famille. Et il serait sûrement resté seul ainsi jusqu'à sa majorité si il n' y avait pas Alice, sa grande sœur. Pour lui, elle était tout. C'était celle qui lui faisait garder courage, qui lui expliquait le vrai sens des sentiments, pourquoi on est heureux et pourquoi on ne l'est pas. Alice était une jeune fille blonde très jolie, douce et gentille, sans cesse souriante. Elle était assez grande, et portait toujours des robes soignées, mais qu’elle ne choisissait pas à son aise non plus. Quand Den ne travaillait pas, il était avec elle, et pouvait enfin ôter cette couverture de perfection qui l’étouffait. Il partageait avec elle une passion : le dessin. Ils se posaient toujours tous deux sur les belles chaises en ébène, au balcon du deuxième étage. De là, on pouvait voir tout le jardin, et Danny se passionnait à le dessiner, tous les jours avec beaucoup d'ardeur. Un jour, (Danny était alors âgé de treize ans et Alice de quinze) sa sœur regarda son dessin avec envie en souriant:
« J'aimerais tant savoir dessiner comme toi, Dan’ ! »
Danny releva la tête, gêné:
« Qu'est-ce que tu racontes, ton dessin est plus joli que le mien. »
« Oh non, le mien ne comporte que des teintes noires et blanches, mais je n'aime pas dessiner en couleur, c'est plus fort que moi. »
Puis ils se regardèrent et rirent de bon cœur. Danny s'apprêta à continuer son dessin, mais il s’aperçut que le regard d’Alice s’était perdu dans un sourire triste. Il s’inquiéta immédiatement :
« Qu'est-ce qu'il y'a? »
Alice sourit en le regardant:
« Rien, ça va, ne t'en fais pas. »
« Je ne m'en fais pas », répliqua Danny.
Alice eut un air amusé et reprit son dessin. Danny comprit le sens de ce visage le lendemain même, lorsqu’à table, Alice annonça soudainement :
« Je vais partir. »
Tout se passa en quelques secondes seulement. Sa mère faillit s’étouffer avec du gigot d’agneau, tandis que son père se leva, furibond, s’approcha d’Alice à grands pas, et lui mit une gifle. Alice s’écroula par terre, réprimant un sanglot. Danny, horrifié, se leva, mais il entendit la voix de son père qui lui cria :
« Monte dans ta chambre ! »
Danny ne bougea pas d’un pouce. Et regarda alternativement Alice par terre, qui n’avait pas la force de se lever, et son père qui s’approchait dangereusement de lui. Pris de frayeur, Danny s’éloigna en courant vers les grands escaliers, en sueur, et entendit un cri. Celui d’Alice. Il revint rapidement et se cacha derrière la grande arche qui séparait le salon de l’entrée. Puis la voix pincée de sa mère se fit entendre :
« Encore ces sottises, ma fille ! Est-ce nous qui vous avons mal éduquée ? Cela m’étonnerait fort ! Nous vous avions pourtant prévenue de ne pas en parler devant notre fils, maintenant, vous vous devez d’en assumer les conséquences ! »
A ces mots elle dit quelque chose tout bas que Danny n’arriva pas à interpréter. Puis elle se retira, les mains croisées, les coudes appuyés sur sa grande robe. Danny la regarda partir, sentant ses muscles se contracter, mais resta à sa place, tiraillé par plusieurs questions. Encore ? Elle avait déjà évoqué ce sujet auparavant ? Pourquoi n’était-il pas au courant ? Mais il fut rapidement tiré de ses pensées par la voix d’Alice en pleurs :
« Non...Papa, je t’en prie, pas ça...S’il te plait... »
Sa voix fut coupée par celle de son père, d’ou l’on ressentait la méchanceté :
« Aie au moins la dignité de te taire, ma fille ! »
A ces mots un grand coup se fit entendre. Danny sursauta en l’entendant. Ce coup, il l’aurait clairement décrit comme un coup de fer, un objet métallique...Sur quelqu’un. Un autre coup raisonna dans la pièce. Danny, en tremblant, porta sa main à sa bouche, pour ne pas hurler. Un autre coup. Il ne pouvait pas bouger. Il aurait pu. Il aurait pu y aller. Mais il ne sentait plus ses jambes. Un autre coup. On entendait après chaque coup un cri étouffé, comme si la personne s’empêchait de hurler. Un autre coup. Alice se faisait battre, et Danny ne pouvait rien faire, rien, il ne pouvait pas bouger. Un autre coup. Ses jambes se dérobèrent sous lui. Il se mit à pleurer en silence, sentant son cœur se serrer à chaque coup, en entendant Alice tout encaisser, il souffrait à son tour d’être incapable d’agir. Et soudain, plus un bruit. Danny, tremblant, ne bougea plus. Il entendit un ‘hm’ satisfait de la part de son père, suivit de quelques pas. Danny se mit alors à courir de toutes ses forces jusqu’à sa chambre, en espérant que personne ne l’aurait entendu. Il se précipita derrière son lit et s’assit, les jambes rassemblées vers son corps, les yeux écarquillés. Une question résonnait dans sa tête. Une question qui lui paraissait inconcevable, car inacceptable. Il déglutit, chancelant :
« Est-ce qu’Alice…Est-ce qu’elle est…mo…rte ? »
Il se releva alors et s’exclama, oscillant entre la conviction et l’incertitude :
« Non ! Elle...Elle ne peut pas...Elle n’est pas morte !!! Oui, c’est totalement impossible ! Elle est vivante...Elle est vivante...Elle est vivante...Elle est vivante... »
Danny ne dormit pas cette nuit-là. Il se répéta cette phrase sans cesse, comme pour se convaincre de retrouver le sourire de sa sœur. Parce qu’après tout, elle ne pouvait qu’être vivante, non ? Le lendemain était un samedi, jour de repos. Tous les samedis, Alice rejoignait la chambre de Danny, et ils allaient ensemble dessiner. Danny rejoignit sa chambre avec hâte après avoir pris seul son petit déjeuner. Mais Alice n'était pas là. Il se posa sur son lit et attendit. Au bout d'une demie heure, toujours rien. Ce n'était pas vraiment son genre d'arriver en retard. Danny exaspéré, alla frapper à sa chambre:
« Alice, qu'est-ce que tu fais, je t'attends depuis... »
La porte était entrouverte. Il entra dans sa chambre, qui était impeccable, comme habituellement. Même le lit était fait. Mais Alice n'était pas là. Il sortit de la chambre et décida d'aller voir sur le balcon du deuxième étage. Elle n'y était pas. Néanmoins, ses crayons, eux, étaient bien présents. Ils étaient éparpillés sur la table, à côté d’un fin diadème orné de cristaux, qui brillait de mille feux au soleil. Il s'agissait du bijou préféré de sa grande sœur auquel elle tenait tout particulièrement et dont elle ne se séparait jamais. Danny n’avait même jamais pu y toucher. Ce dernier, émerveillé, la prit dans ses mains pour l’admirer de plus près, lorsqu’il vit un morceau de papier, coincé dans une jointure de cristal. Il le prit, et le déplia, pour découvrir ces quelques mots :
J’espère qu’elle te plait, car elle est pour toi. Garde-la, en souvenir, s’il te plait. J’ai autre chose pour toi, sous mon lit.
Danny, légèrement suspicieux et inquiet, mit la couronne sur sa tête, et entra dans la chambre : au passage il se regarda dans le miroir, et se surprit à faire un sourire charmeur à son reflet. Il se pencha alors et tendit la main pour récupérer sous le lit de sa sœur la seule chose qui y traînait : une feuille. Il reconnut dans les traits rapides mais appliqués le coup de crayon d’Alice. Le dessin inhabituellement paré de nombreuses teintes les représentait, tous les deux. Danny se demanda pourquoi elle avait dessiné en couleurs, et tourna la feuille : il était écrit quelque chose au verso :
Dan', la perfection n'est pas pour moi. Toi, reste comme tu es. Je te dis Adieu.
Le papier était légèrement gondolé. Mais le dessin n’avait pas été fait à la peinture, et Danny avait immédiatement compris a quoi la détérioration du papier pouvait être due : Des larmes. Danny ne bougea plus, restant fixé sur le dernier mot : Adieu. Il réalisa alors le sens de choses dont il n’avait pas vraiment pris le temps de réfléchir auparavant. La corruption n’était que trop présente dans son existence. Seule la destinée pouvait rire à l’avance du sort que lui réservait la vie. Il se mit à pleurer, doucement, en pensant qu’il fallait qu’il la retrouve, car elle était partie. Et tout cela, à cause de ses parents. Il les détestait désormais, plus que tout. Et il ne voulait plus jamais leur obéir. Ces personnes ne lui devaient plus rien.
Quand sa mère apprit la nouvelle, elle ne manifesta rien de plus que d'habitude, aucun étonnement, resta stoïque et s'exclama en se recoiffant :
« Ainsi, notre chère Alice a choisi la mauvaise voie. Et elle est partie de son plein gré. Quelle sottise de sa part, c'est vraiment navrant... Quant à vous mon fils, j'espère que vous ne suivrez pas sa route, nous avons encore grand besoin de vous pour notre descendance! »
Le père ne chercha pas à la contredire et se contenta d' hocher la tête avant de reprendre son travail. Danny n'ajouta pas un mot. Il sentit une profonde haine monter en lui lorsqu’il plongea son regard dans les yeux froids de sa génitrice. Elle…C’était à cause d’elle... Et son père...Il l’avait battue, et Danny n’avait rien, absolument rien pu faire. Il eut une expression de dégoût envers lui-même, envers sa famille, envers tout. Les jours qui suivirent, il essaya tant bien que mal de dessiner, mais n'y arrivait plus. La rage et la peine l’envahissaient, mais il ne pouvait plus se concentrer et dessinait très mal. Il le savait, c'était parce qu’Alice était partie, mais il n'arrivait pas à se l'avouer. Il était désormais seul. Avec le temps, il apprit à se durcir, et ne pleurait plus. Mais Alice lui manquait terriblement. Alors, le jour de ses quatorze ans, Danny mit quelques affaires dans un sac : son matériel de dessin, le dessin de sa sœur et surtout, son diadème, qu’il plaça de côté sur ses cheveux. Puis, avec un sourire mauvais en coin, il s’en alla. Pour la première fois de sa vie, il quittait le manoir, aussi, lorsqu'il arriva à la route, il eut une hésitation, et se mit finalement à marcher le long du chemin, pour enfin passer le grand portail. Il chemina ainsi pendant trois bonnes heures, puis s'arrêta, à bout de souffle : il n'avait jamais marché autant. En fait, il ne savait ni d'où il venait, ni où il allait. Cette perspective ne l'enchantait guère. Il reprit pourtant sa route. Des voitures passaient quelquefois, à ses côtés, et il faisait un effort surhumain pour ne pas se cacher dès qu'il en entendait une. Mais, malheureusement, sa petite escapade ne dura pas. Une voiture aux vitres tintées qu'il connaissait bien s'arrêta à ses côtés, et Danny savait que même avec toutes les forces qu’il possédait, il ne pourrait leur échapper. Il était à présent bien trop fatigué pour s'enfuir. La vitre tintée s'abaissa laissant face au visage sévère de son père, et à ses côtés sa mère, les lèvres pincées et les sourcils froncés, signe de mécontentement. Son père lui fit signe de monter, et Danny s'exécuta. Sa mère prit une expression de dégoût à la vue de Danny :
« Vous êtes tout sale, mon fils. Que vous est-il passé par la tête, mon enfant !? Expiez vos pêchés maintenant en vous excusant, et nous vous pardonnerons... Allons, vite, j'attends! »
Danny n’avait absolument pas l’intention de s’excuser. Il en avait assez de leur obéir, il voulait vivre sa vie, surtout... Il voulait retrouver Alice... Mais comment leur échapper ? Fixant le sol sans réponse, il se mit à rire amèrement. Un sourire mauvais aux lèvres, il se rapprocha de sa mère pour lui chuchoter mesquinement à l’oreille :
« Pauvre maman chérie. Et bien, punis-moi, qu’est-ce que tu attends ? Tu vas peut-être demander à mon cher père de me battre aussi, ne te gênes pas, moi aussi j’attends. »
Son père lui lança un regard noir dans le rétroviseur, mais Den soutient son regard, mutin. Sa mère le regarda, outrée, et blanche comme un linge :
« Mon dieu, vous ne pensez pas ce que vous dites, je ne vous reconnais pas ! Vous... »
Le père de Danny s'interposa :
« Il a fait son choix Elisabeth. Nous devons l'emmener à présent, comme je vous l'ai dit. Il devra y rester jusqu'à sa majorité. »
Danny, les bras croisés, regarda par la fenêtre d’un air blasé : « Où donc ? »
Mais personne ne lui répondit. Ils prirent la route, et Danny s'endormit, épuisé. Quand son père le réveilla, ils étaient arrêtés, et le jeune garçon n'avait absolument pas conscience du temps qu'ils avaient passé dans la voiture. Ils se trouvaient devant une grande grille noire. Un vieux monsieur arriva, il répondait au nom de Roger. Les parents de Danny sans un mot, sortirent les bagages, et partirent, laissant seul Danny et Roger, séparés par la grille. Cette dernière s'ouvrit dans un grincement qui indiquait qu'elle était lourde, par la main ferme du vieil homme. Celui-ci regarda Danny, et lui montra de la main une bâtisse qui se trouvait derrière :
« Voici la Wammy's House. Désormais tu seras Den, et rien d'autre. Ton passé n’existe plus. Et il y a un autre nom que tu dois retenir : celui de L. »
Den ne répondit pas, malgré la surprise que lui avait causé toute cette scène, il se fichait éperdument de tout. La seule chose qui lui importait dans la phrase qu’il venait d’entendre était celle-là : « Ton passé n’existe plus ». Un sourire sombre se glissa sur ses fines lèvres. Il prit ses bagages et pénétra dans la grande battisse sans un mot de plus. Il apprit plus tard qu’il était dans un orphelinat pour surdoués, et qui était L. Mais il n’avait que faire de devenir L, même si les profs leur rabâchaient sans cesse et que ce mystérieux détective était parfois le centre de la vie de certains orphelins. Den gardait le plus souvent possible son diadème sur la tête, s’y étant attaché comme à sa propre vie. Une chose était sûre pour lui : il devait retrouver sa sœur. De plus, se débarrasser de ses parents fut pour lui un véritable bonheur. Mais autant vous dire que l'approche des autres enfants ne se fut pas immédiatement. Peu habitué au contact humain, il se contentait d'observer les autres, en se demandant pourquoi ils étaient tous aussi bizarres. Il s'était mis sans vraiment y faire attention à mépriser tous les autres, se disant que personne ne pourrait être aussi exceptionnel que sa sœur, quel que soit leur QI. Mais il ne laissait rien paraître, en parfait gentleman qu’il était. Bien que totalement opposé aux lois de ses parents, il était resté ce garçon bien éduqué qu’il était auparavant, du moins, tant que les autres ne l’ennuyaient pas de trop près.
HRP.
SURNOM(S) :Kebab May DATE DE NAISSANCE : 13 / 11 / 92 ( C’est fou j’ai la même que lui :’D *sbaf* ) ÂGE : Je peux depuis mon anniversaire rentrer en toute liberté dans les sex shops et me bourrer la gueule en toute impunité wouhouhou! SEXE : ❒ M ✔F AVATAR : Belphegor [ TYL ] – Katekyoushi Hitman Reborn! ( Mais je tiens à ce que vous sachiez que rien n’indique que je ne vais pas de nouveau craquer et remettre Bel jeune ) DÉCOUVERTE DU FORUM : Je l’ai toujours connu, il était là, comme une évidence. C’est le destin qui m’a amenée ici ! Le destin me voulait geek-RPGiste. NOTE SUR 20 DU FORUM : 19,2183
[ J'ai un peu retapé l'histoire d'origine afin de virer mes trucs de kikoo. J'espère que ça ira. ]
Sujet: Re: Den :. Prince Charming and Prince the ripper. Dim 13 Mar - 10:35
Ravie de vous revoir parmi nous ma chère Kebab. (je trouve ce surnom délicieux.)
: D
Ton bébé est un Word !
Et comme tout est nickel et que j'ai bien aimé relire ton histoire (ah, ça fait un bail depuis la première fois que je l'ai lue... :'D ), je te valide !
Have fun !
Den :. Prince Charming and Prince the ripper.
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