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 PROFESSOR Moriarty.

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Moriarty Moriarty
PROFESSOR Moriarty. 490454directeur
Sujet: PROFESSOR Moriarty. PROFESSOR Moriarty. EmptyVen 14 Jan - 15:50



And so it is, just like you said it would be
Life go easy on me, most of the time.


PSEUDONYME : Moriarty
NOM : Ruvie.
PRÉNOM(S) : Manford, Henry.
DATE DE NAISSANCE : 21 / 08
ÂGE : 46ans.
SEXE (✔) : ✔ M ❒ F
ORIGINE : Anglaise.

PROFESSOR Moriarty. 43824952homeless




Alors, dis-moi où ça nous mène...
Couleur des cheveux : Blond. Comme sa barbe et ses sourcils.
Couleur de la peau : Beige.
Tatouage? : Hélas pour lui, oui, un tatouage, ou plutôt une erreur de jeunesse.
    Couleur des yeux : Ambre
    Taille en centimètres : 178.
    Corpulence: Forte, assez imposant.

... Tous ces discours, tout ces poèmes
Rigoureux
Pragmatique
Psychologue
Franc
Droit
    Sévère (très)
    Froid
    Despotique
    Rancunier
    Antipathique




Ô combien de regrets
Pour une vie si courte et belle.



u.c


Classe



Parole, elle est difficile,
La comédie, la pantomine.



Définissez vous en une phrase.
  1. Non.
  2. Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
  3. Anthropologiquement parlant ou bien ?
  4. Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
  5. Je suis un.


Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
  1. Une bataille navale.
  2. Les hauts de Hurle-vent.
  3. Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
  4. Un poisson rouge.
  5. Une corde.


Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
  1. Finnegans Wake de James Joyce.
  2. H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
  3. Totem et Tabou de Sigmund Freud.
  4. Harry Potter de J.K Rowling.
  5. Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.


Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
  1. « Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
  2. « Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
  3. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
  4. « D'un point de vu biologique... »
  5. « Je comprends ce que tu ressens... »


La petite manie dont vous vous passerez bien ?
  1. Câliner tout le monde.
  2. N'avoir aucune notion du temps.
  3. Faire des private jokes.
  4. Accro au high five.
  5. Caser des citations partout.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.

  1. Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.

  2. M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.

  3. Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?

  4. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.

  5. Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...




Et toi la fille qui meure de froid,
Même blottie dans mes bras.


On avait posé la petite là, et elle fixait la grande grille les yeux brillants d’impatiences. Elle avait lâché la main de sa mère quand celle-ci avait ouvert le portail pour la laisser passer. Elle avait un sourire doux, et la voix tendre.

« Allez viens ma Princesse, on va voir Papa. »


▬ Tu te moques de moi !
▬ Je suis très sérieuse Manford.
▬ Pourquoi tu ne me l’as pas dis plus tôt !
▬ Et à quelle moment, quand tu rentrais de l’armée et que tu étais psychologiquement instable ou quand tu as filé à l’anglaise pour « reprendre le boulot de ton putain de père, tu parles d’un héritage ».
▬ C’est injuste, j’ai été là !
▬ Via tes chèques ? La belle affaire. Quelle présence, j’apprécie, vraiment, je suis sûre que Penelope n’a pas du tout senti le manque de son père.
▬ Tu es injuste envers moi.
▬ Tu m’as laissé tomber sans aucune raison ! On avait tout Manford, on avait tout. On avait la petite maison en campagne, on avait une fille merveilleuse, grandiose, aussi intelligente et forte que toi, on avait un quotidien tranquille, main dans la main, j’étais institutrice et tu étais soldat, on vivait convenablement et le monde entier aurait pu nous envier. On avait tout. Tu avais tout, tu avais mon corps, mon cœur, mon âme. Tout l’amour que je possédais, je te le donnais, mon amour. Et toi, toi tu as tout laissé tomber, comme ça, du jour au lendemain. Qu’est-ce qui s’est passé Manford, qu’est-ce qui nous a tué, dis-moi ? Pourquoi tu as finis par ne plus me regarder avec ces yeux si tendre, pourquoi ma voix n’apaisait-elle plus tes cauchemars, pourquoi tu es parti comme ça, mon amour ?


Elle jouait doucement avec son ours en peluche, l’oreille collée contre la porte. Les éclats de voix la faisaient frémir. Elle avait onze ans, elle n’était pas bête. Elle avait onze ans et elle comprenait bien ce qui se jouait là. Elle n’en avait jamais voulu à son père d’être parti, sa mère lui avait dit que c’était pour le bien de tous. Jamais elle n’avait dit du mal de son mari, jamais. D’ailleurs, ils n’avaient jamais réellement pris la peine de divorcer, probablement qu’il y avait entre eux quelque chose, quelque chose d’indescriptible, qui les lieraient pour toujours. Elle aimait à le croire, elle était gamine, elle était naïve, pour elle, papa et maman étaient âmes-sœurs.

« C’est le poids du quotidien qui nous a tué. »

La sentence était tombée. Penelope rajusta sa petite couronne. Elle n’était pas sûre de comprendre ce que tout ceci voulait dire, elle n’était pas sûre de le vouloir. Au fond, tout ce qu’elle souhaitait, c’était rester toute sa vie insouciante et égocentrique, loin de tout soucis. Rester une enfant, rien de plus rien de moins, avec le monde qui tourne autour de soi et les parents dévoués. Mais ma chérie, rends-toi à l’évidence, tu n’as plus de parent, ton monde est là, par terre, éventré par le poids de la réalité, poignardé par la faiblesse de ton père, assassiné sans vergogne par la puissante Vie, briseuse de tes rêves les plus sucrés.

▬ Tu ne peux pas dire ça Manford ! Tu ne peux pas, tu l’as fui ! Tu le fuyais toujours, ce foutu quotidien, dans ton verre de whisky ou quand tu allais sur le champ de bataille, quand tu trainais tard le soir, quand tu errais en me laissant là, seule, avec Penelope, et que moi je t’attendais désespérément amoureuse. Tu n’as pas le droit de dire ça, quand tu ne laissais pas la place au quotidien de s’installer. Prends un peu tes responsabilités ! Tu ne trompes personne, là derrière ton fauteuil, tu ne me trompes pas moi. Tu ne changeras pas, Manford, tu ne seras pas un aussi bon directeur que l’étais ton père, tu n’es pas fait pour ça.
▬ Arrête ça, Gabriella. Je suis parfaitement capable de m’occuper de ces gamins !
▬ Vraiment ? Et ta fille, ta propre fille, ton sang, ta petite Princesse, tu es capable de t’en occuper ?


Il s’apprêtait à répondre, il ne savait pas quoi, mais il allait répondre quelque chose. Mais avant même qu’un son ne sorte de sa bouche, la porte s’ouvrit sur la petite princesse, ours en peluche serré contre sa poitrine, et sa voix fluette, basse, et naïvement triste :

« Maman pourquoi tu lui dis pas que tu vas mourir ? »
Moriarty perdit dans l’instant ce masque si fort, si fier. Il n’était plus l’autoritaire directeur de la Wammy’s House, il était humain. Il était un père désolé, et un mari détruit par la nouvelle. Il regarda un instant sa femme, les yeux emplis d’incompréhension. Il la toisa longuement, sans rien trouver à dire. C’était donc ça. C’était donc ça, au final, les conséquences de ses actes ? Le crime qu’il avait commis ? Et c’était sur elle que tombait le dur verdict de la Vie, implacable et inflexible.

▬ Quoi ? Pourquoi ?
▬ Maman, elle est malade.
▬ Penelope, tu veux bien nous attendre dehors ma Princesse, s’il te plait.


Avant d’écouter sa mère, la petite courut dans les bras de son père, pour un câlin. Elle s’accrocha à sa nuque, glissa sa bouche à son oreille pour lui murmurer quelques mots. Et Manford ne put que serrer plus fort cette petite créature qui lui avait tant manqué. Penelope courut gracilement jusqu’à la porte avant de la refermer.

▬ Cancer. On me donne six mois.
▬ Et il n’y a aucun espoir ?
▬ Non, non Manford, il n’y a plus d’espoir depuis longtemps.
▬ Je suis désolé…
▬ C’est tellement trop tard. J’aurais aimé que tu sois là, à mon chevet, que tu puisses consoler Penelope. Elle ne saisit pas toute l’ampleur de la chose, tu sais ? Elle a appris à vivre avec l’idée, mais dans sa petite tête, je ne sais pas comment elle le tourne pour qu’elle pense que ce ne soit pas si grave.


Et il comprit. Manford comprit quelque chose pour la première fois de sa vie, tandis qu’il voyait le bleu des yeux de sa femme se noyer de larmes. Il comprit qu’il ne pouvait pas se battre contre ça, et qu’il n’aurait pas assez de six mois pour se faire pardonner son absence. Il comprit qu’il ne le supporterai pas, de rester là à attendre sagement qu’elle vienne drapée de noir emporter sa tendre femme. Il s’approcha d’elle, remit une mèche de ses cheveux roux derrière son oreille, baisa son front. Elle lui retira ses lunettes avec un triste sourire, s’accrocha bêtement à sa main.

« Je veux que notre fille ait un endroit où aller, un endroit où elle se sentira bien, et ce ne sera jamais ailleurs que dans tes bras… »

Il l’attrapa par la nuque, pour l’amener contre lui, posa sa tête contre la sienne, et lui promis en murmurant qu’elle resterait avec lui, évidement. Il lui promit bêtement qu’au fond de lui, il ne pourrait pas oublier l’amour qu’il lui avait porté, et qu’il lui portait toujours. Il lui promit que tout changerait.

Ce fut la première fois en trois ans qu’ils étaient à nouveau si proche. Ce fut la première fois en trois ans et la dernière aussi. Rien n’avait changé et un an après maintenant, la photo de sa feu Gabrielle, souriante, pleine de vie et avec cet air toujours aussi tendre traînait encore sur son bureau, alors que les couloirs résonnaient du rire de Princess. Il soupira avec un léger sourire accablé, avant qu’on ne tape à la porte.

« Entrez, Virgin, j’ai à vous parler. »




And so it is, just like you said it would be
Life go easy on me, most of the ime.


SURNOM(S) : Miru-Pu
DATE DE NAISSANCE : 14/10/92
ÂGE : 18ans
SEXE (✔) : ❒ M ✔ F
DÉCOUVERTE DU FORUM : A peine fondatrice.
NOTE SUR 20 DU FORUM : 359/20

PROFESSOR Moriarty. 525495ohgodiloveyucandystand


Dernière édition par Moriarty le Ven 22 Juil - 14:59, édité 4 fois
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Pure Pure
PROFESSOR Moriarty. 384660Alter2

Feuille de personnage
Wammy’s: H / A
Double Compte:
Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: PROFESSOR Moriarty. PROFESSOR Moriarty. EmptyDim 16 Jan - 15:45

    Bonjour Monsieur le Directeur.

    Les résultats de vos tests indiquent un potentiel Word. Félicitations et bonne continuation !
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PROFESSOR Moriarty.

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