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 yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos

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Invité
Sujet: yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos EmptyMer 16 Fév - 15:27

c'est cruel et sans fard
ÇA CHOISIT PAS, MERCI POUR EUX

PSEUDONYME : Yves
NOM : Montaigne
PRÉNOM(S) : Yael
QI: 175
DATE DE NAISSANCE : 12 avril.
ÂGE : 18 ans.
SEXE : ✔ M ❒ F
ORIGINE : anglaise, nationalité française.
yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos Shikib3

comme une flèche
COMME UN PIEU


Couleur des cheveux : acajou.
Couleur de la peau : hâlée.
Tatouage/Piercing ? : non.
Couleur des yeux : gris métal.
Taille en centimètres : 178.
Corpulence: haha.

c'est bon pour la mémoire
ÇA VOUS FAIT QUOI D'ETRE AU MILIEU


yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos Shikib1 yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos Shikib2

franc
    mais hypocrite

< Je peux m'asseoir là ? >
Il lève les yeux, pousse son café au lait, ses restes de petit déjeuner, pose son stylo sur les mots croisés et acquiesce avec un sourire.
< Yves, c'est ça ? >
Stéréotype du français. Matez le pseudonyme. La discrétion, le sourire, les yeux fatigués, les cheveux soignés. Le polo repassé, impeccable, la laine par dessus comme neuve malgré son utilisation fréquente, les boutons de la laine astiqués, peut-être même modifiés pour mieux aller à la couleur grise du tissu doux. Le pantalon violet plié en bas, des chaussettes grises et des vieilles baskets salies. Son regard s'attarde quelques instants sur les chaussures qui jurent avec le reste. Yves s'habille comme un pépé et ne s'en cache pas. Comme une pédale aussi, parfois. Quel jeune viril mettrait des pantalons serrés de couleur. Un sourire lui échappe. Les français sont vieux jeu mais ils en font leur qualité. Yves est décidément dans la caricature du cliché frenchy.
< Oui. >
En français. Que disions nous.
< Tu aimes les mots croisés, on dirait. >
Les deux regards s'atterrent sur la grille presque finie. Elle hausse les sourcils et se permet de tirer à elle le magazine gratuit pour la parcourir des yeux. Les mots croisés, elle, elle commençait par les mots faciles comme chat ou ouest et puis laissait tomber avec des définitions telles que 'pareil au gui' à quatorze lettres, avec un w au milieu. Rares étaient les combattants téméraires.
< Comment on appelle ça ? Les cruci... crucifi... non. >
< Cruciverbiste. >
< Ah. >
Un nouveau sourire de la part de chacun. Il est gentil. Personne ne le dit vraiment. Enfin, elle n'avait jamais entendu cette image de lui. Il parle peu et ne se fait pas remarquer. N'offre généralement pas de sourires gratuits. Est assez froid quand on le prend au flanc. Alors elle permet de le lui faire remarquer.
< Tu es gentil, en fait. >
< En fait. >
Il souligne avec un regard rieur.
< Peut-être, éventuellement sous cet angle là, en fait. >
Ils ont échangé sept mots et elle se permet de lui dire ça. Pour cacher son manque de tact, elle se replonge dans les mots croisés.
< Tu es doué. >
< Il n'y a pas de don pour ça. >
Elle croit apercevoir le ton sec qui retranche les rares assaillants. Qui ensuite racontent que ce français merdeux se la pète et qu'il évite de se la ramener pour ne pas se faire défoncer comme une pédale. En fait, il est gentil.
Il est gentil parce qu'il se retient violemment de soupirer, de reprendre son jeu, de l'expédier avec quelques remarques acerbes, de lui décocher un regard dissuasif et de reprendre comme si de rien n'était. Il est gentil, Yves, il ne dit rien et refoule ses envies. Il fait peut-être semblait, en fait.
< Mais tu dessines, non ? C'est un don, ça. >
Le regard bon enfant cesse et il examine soudainement sa tasse vide. Il semble étudier les courbes et les avantages pratiques et économiques qu'elle a, la justification de sa production et de son achat et ne montre aucun signe de réponse.
< Non. >
< Pourquoi ? >
Tais-toi. La tasse ne l'intéresse plus. Il se redresse, croise ses mains, et maintenant semble réfléchir à ce qu'il pourrait lui répondre. Une tâche apparemment compliquée pour lui. Eh, cruciverbiste, tu en as du vocabulaire, utilise-le !
< Tu n'en sais rien. >
Et un vague sourire refait surface. Il n'a rien d'un rictus classe comme seuls les vrais hypocrites et cyniques peuvent produire. Rien non plus du James Bond hollywoodiens qui doit séduire la femme qui met un bâton dans ses roues. Un petit sourire plein de rêveries et de je suis ailleurs, typiquement lui.
Il déteste un tas de choses. Il déteste les choses pas rangées, sales, mal faites, dérangées, de basse qualité, inutiles, trop ordinaires, trop voyantes, involontairement asymétriques, ou volontairement, on n'en sait rien, il déteste la saleté naturelle et le bruit, il déteste aussi le silence, il déteste la pluie autant que le grand soleil, la neige comme la plage, les voix comme l'isolement, le nouveau cinéma comme les romans à deux balles, les modes et une multitude d'autres choses mais il ne le dit jamais. Et il est gentil, pour ça.
Il déteste aussi qu'on fouine dans sa vie, qu'on essaye de le crypter, de l'analyser, de l'étudier, de faire la liste de choses qu'il aime ou n'aime pas, il déteste qu'on s'intéresse à lui pour lui-même, son lui-même dans la tête, il pense que cette société de paraître est fichue comme elle est et qu'il faut s'y adapter. Il a perdu son opinion à force de penser je n'aime pas et se contente de fabriquer des petits sourires spécialité maison ou de l'effacer quand on parle de lui.
< Tu ne sais pas comment je dessine. >
Un ton impérieux, pas supérieur, pas méprisant, juste impérieux. Il prend la tête de celui qui est l'objet d'une étude dont il n'a pas voulu être, le visage de quelqu'un de gêné jusqu'au malaise irrité, il se raidit comme quelqu'un de touché blessé coulé.
< Ni ce que je dessine. >
Il a des petits secrets comme ça. Ceux qui les découvrent ont compris qu'il ne fallait rien dire. Non qu'il entre dans une colère noire ou quoi. Il n'a aucune autorité, aucun pouvoir, aucun pouvoir de persuasion quand on le regarde prendre son café en remplissant une grille de mots croisés.
< Alors remballe ton caquet et va-t-en. >
Il est gentil, en fait.

hé camarade si les jeux sont faits
AU SON DES MASCARADES ON POURRA TOUJOURS SE MARRER


    Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe. Définissez vous en une phrase.
    1. Anthropologiquement parlant ou bien ?
    Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
    1. Une bataille navale.
    Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
    1. H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
    Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
    1. « Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
    La petite manie dont vous vous passerez bien ?
    1. N'avoir aucune notion du temps.
    Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
    1. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.

et tout le long des courants d'air on voit des amoureux
QUI SAVENT ENCORE CHANGER LEURS NERFS EN UN BOUQUET DELICIEUX


Il y avait cet être affable, sur le point de s'endormir, et je me voyais fusillé du regard par la professeur et la classe, la première parce que je ne le réveillais pas, les autres parce que. Je ne savais pas. Peut-être parce que j'étais nouveau dans la classe. Peut-être parce que je ne parlais pas très bien français, pourtant mes blagues et mes rires leur plaisaient. En réalité, non. Le problème n'était pas moi, dans un cas comme dans l'autre.
C'était lui. Le brun aux paupières lourdes, à la voix traînante et aux expressions peu généreuses. Ce n'était pas lui qui s'était proposé pour prendre le nouveau en charge, non, c'était la naïve mademoiselle Spencer, professeur d'anglais de son état, informée des origines de Yael.
Quelqu'un qui comme moi arrive d'un coup en France dans une ville aussi ennuyeuse et vieille que Deauville avait besoin d'une bouée, et cette bouée fut le somnolent Montaigne. Au moins, nous partagions l'anglais et. Rien d'autre en réalité.
– Montague, vous voulez aller à l'infirmerie ?
– Montaigne.
– D'accord, euh, Montaigne, euh, Hank, amenez Yael à l'infirmerie.
Dans le couloir, les pas résonnent et le français n'a apparemment pas envie de parler. C'est tout naturellement que je ben- que je me tais aussi.
– Evan.
– Quoi ?
Son excellence Yael parle, oh mon dieu.
– Tu viens d'où ?
– Eh, Édimbourg.
– Ça explique ton accent tranchant.
Première raillerie. Et ce n'était que le début.
– Mais toi aussi, tu as un accent quand tu parles. On l'entend pas peine, mais quand tu as dit tranchant, il n'y avait pas la euh. Monotonéité du français typique.
– Monotonie.
Vexé, Yael. Pourtant, il a dû baigner dans l'anglais pour avoir une touche aussi résistante et infime. Dans l'ensemble, impeccable, on pouvait examiner la rudesse et la finesse trébuchante de l'anglais, dans ses mots coulants qu'il prononçait à peine, avec une parcimonie avare et antipathique.
Il sentait à la fois la fumée et le propre. Ses yeux gris exprimaient la lucidité malgré son comportement asthénique. Mais je m'étais bien douté que mon guide ne se limitait pas à cet adolescent endormi et versatile. Il participait aux gaies conversations comme il pouvait rêvasser avec son expression distante.
– Evan ?
– Quoi ?
Ce n'était pas le même appel impérieux.
– Samedi, on va à Paris avec Alexandre. Tu viens ?
– Je. D'accord.
Et il sourit.
– Ton accent et décidément risible.

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Je ne savais pas si je détestais Yael. Il était mon tuteur - bon, à vrai dire, c'est lui qui se perdait au lycée et qui passait son temps à aller à l'infirmerie, il m'ignorait chaque matin et m'abandonnait chaque soir, me parlait avec un ton sec, exposait mes défauts à la classe, et il m'a refusé 7 fois sur facebook – MAIS je persistais à voir en lui quelqu'un de bon et compatissant.

Paris est une belle ville, comparée à Deauville où on ne peut voir que des vieux et des femmes couvertes de fourrure chanel. Paris vivait et respirait, Deauville bâillait à l'image de Yael. Alexandre, qui redoublait sa terminale, nous avait emmenés dans sa citroën et était perdu dans la marée de la piste. Je ne savais pas s'il fallait que je talonne mon parrain. Il était tellement imprévisible.
Le plus fou, c'est que cet être endormi se muait la nuit. Non pas un danseur en flammes, bof.
Yael devenait un enfant rieur.
Il racontait des blagues de lépreux et de pirates et ça faisait rire les filles. Il riait lui-même comme un gosse. Il ne dansait pas, d'ailleurs il dansait assez mal. Il bougeait en rythme avec la musique qui, je l'avais bien vu, l'horripilait profondément.
Or il y avait quelque chose qui le poussait à revenir dans ces lieux puants et bondés. Il me répétait, à chaque fois, quand on sortait, quand Alexandre insultait les badauds et quand je vomissais, il disait qu'il adorait ça. Je riais en le voyant, son t-shirt trempé, ses cheveux débraillés, du maquillage sur son visage, et son air réjoui se transformait de nouveau en cette moue maussade que je devais supporter chaque jour.
Il détestait quand on le charriait, quand on l'appelait don juan, il avait ce petit frémissement de dégoût quand il entendait ça parmi les cris du noir dansant. Parce que oui, il aimait les femmes. Il aimait quand elles arrêtaient de se trémousser pour lui adresser la parole, quand elles lui demandaient du feu dehors, quand elles passaient devant lui aux toilettes avec un sourire. Qu'elles soient adolescentes ou fêtardes d'un soir, il fallait juste cette étincelle qui lui suffît. Ce n'était pas bien difficile après. Les femmes aiment les hommes drôles et aimables, juste.
Mais je crois qu'il les aimait non comme ce personnage coureur de jupons et abject, il les aimait comme quelqu'un aimerait les araignées ou les chiens. Il les traitait avec une affection respectueuse sans jamais les insulter.
Mais ça, ce n'était pas important. Même si les filles de notre pauvre terminale regardaient Yael avec un haussement de sourcil apitoyé je me doutais qu'elles pourraient changer de comportement à tout moment. Elles n'aimaient pas Montaigne cassant et bordélique, mais elles aimaient Yael puéril et inconscient. Ce qui me heurtait le plus, c'était cette dualité dont il faisait preuve. Les pull-overs de cachemire laissaient place aux t-shirts arty, les syllabes hachées presque murmurées aux exclamations enthousiasmées.
Dans le trajet du retour, Alexandre était souvent endormi sur la banquette arrière, et étant le seul à pouvoir conduire, j'essayais de faire la conversation à un rigide flemmard. Ce taciturne Yael qui revenait. Il fallait attendre le prochain week-end, ou même celui d'après pour de nouveau retrouver ses lépreux et ses charades sans queue ni tête.


Il vivait dans des marées d'eau croupie et ne s'en plaignait jamais. L'absence de sa mère l'affectait apparemment, mais il n'en parlait jamais. Sa chambre était une boutique emplie d'objets dont il ne connaissait pas l'existence. Il aimait pourtant collectionner des choses futiles et incongrues comme des toupies qui s'amoncelaient dans des boîtes de biscuit édition limitée des étiquettes de pomme collées sur des plaques de liège peintes, des critériums de mauvaise qualité, des balles de tennis usées, tout dans sa chambre ne lui servait strictement à rien. Il avait à peine la place de marcher et de respirer. Mais il y vivait comme un renard heureux.

yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos 38044867

– YAEL ! Ouvre ! Je sais que tu es là , OUVRE !
Tambouriner à la porte ne résolvait en rien les problèmes mais je connaissais assez ce salaud pour savoir qu'il se cachait dans sa chambre au fond du couloir. Les voisins du palier, assez polis pour ne pas interrompre cet accès de rage m'observaient de leur judas devenus noirs. Connards.
– MONTAI-
Mes hurlements avaient couvert les bruits, les craquements du parquet qu'on entendait de chez lui. J'entendis à peine les livres empilés dans le couloir tomber, et la porte s'ouvrit. Habillé, comme toujours, sans pli, il devait m'avoir écouté pendant un quart d'heure ans bouger.
– Qu'est-ce qui t'amène, Hank ?
Son calme me déconcerta. Je perdis l'élan de la furie et me retrouvai bêtement sans mots, puis lâchai une quinte de toux. Pourquoi déjà. Ah oui, Cécile. Et ma sœur aussi. Et son père. Son père qui, pendant ma consultation, avait rejeté toutes les fautes de son fils sur mon dos. Pourquoi fallait-il que son père soit le généraliste de mon quartier. Angine et scoliose tombaient également. Fichu père. Je savais qu'ils étaient en froid et que, vivant à deux, ce n'était pas facile, mais que la débauche de son produit filial soit de ma faute, pf. J'avais toujours considéré son père avec une bonhomie sympathique, un père assez âgé mais enjoué, un médecin respectable, mais qu'il soit roulé par son fils, et que ce fils m'ignore comme un journal gratuit... Pourtant il m'avait assuré que son paternel était au courant, qu'il ne risquait rien. L'humiliation de ses réprimandes coupées par des ordres, des prises de tension, et encore des remontrances m'avaient mis hors de moi et...
– Ton père, Yael, ton père m'a...
Yael eut un sourire triste.
– Mon père est mort, Evan.

yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos 85248704

– Je suis vraiment désolé, Yael.
– Tu n'y es pour rien. C'est moi, son suicide.
– Je- non ! Je ne pense pas. Tu devais être un fils formidable.
– … Tu as vu l'état de notre appartement ?
Ah, leur appartement. Océan de livres avec îlots de plantes vertes.
– C'est moi. Il est parti en pensant que je t'ai...
– Tu n'as pas compris. Il t'accusait de... de m'avoir écouté, je pense, ça doit être ça.
Je jetai un coup d'œil à sa tenue.
Il n'avait jamais été aussi soigné. L'élégance narcotique de Montaigne avait englouti le Yael coloré. L'un avait détruit l'autre: je ne le reconnaissais plus. Il était vêtu d'une fade veste grise à coudières, d'un pantalon sobre et même ses bagages dégarnis faisaient peine à voir. Il avait pour habitude d'avoir des poches bordéliques, qui contenaient du crayon rouge, de ficelles, des lunettes, de tout, et je les voyais, ses poches, aplaties, vides.
– Je ne t'ai jamais demandé pour ta mère. Tu vas chez elle ?
– Oh non, elle vit sa vie depuis une dizaine d'années. Je... un orphelinat, je ne sais où.
Je fouillai alors machinalement mes poches, ne trouvai rien, et lui tendis le magazine dans ma main.
– Ne t'ennuie pas dans le train.
– Ne t'ennuie pas tout seul.
Il feuilleta alors lascivement les pages.
– Des mots croisés. J'aime ça.


euh attrapez les tous
ENSEMBLE POUR LA VICTOIRE (HS)


SURNOM(S) : Lux, double compte.
DATE DE NAISSANCE : 4 février, retiens.
ÂGE : 15 encore y a pas longtemps.
SEXE : femelle.
AVATAR : Shiki Senri – Vampire Knight.
DÉCOUVERTE DU FORUM : mdr.
NOTE SUR 20 DU FORUM : mdr/20.
yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos 163z


Dernière édition par Yves le Dim 13 Mar - 17:27, édité 7 fois
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Sujet: Re: yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos EmptyMer 16 Fév - 19:52

Hiii Yves !

Sinon bienvenue sur WH, enfin rebienvenue.

Et Yves is ... a Riddle !

Courage pour finir ta fiche !

Lancé de dés effectué
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Invité
Sujet: Re: yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos EmptyDim 13 Mar - 17:28

    coucou j'ai fini
    /fuit
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End
yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos 490550Shape3

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Sujet: Re: yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos EmptyDim 13 Mar - 19:46

Je t'aime. Je te stalke pour un rp, allez.

Validé !
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Sujet: Re: yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos yves – je ne suis pas lancelot, je laisse les pauvres dans leur huis clos Empty

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