-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 « O Captain ! My Captain ! » – Id

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Id « O Captain ! My Captain ! » – Id 898611sansavatarWA
Id
« O Captain ! My Captain ! » – Id 7ZOdL
Sujet: « O Captain ! My Captain ! » – Id « O Captain ! My Captain ! » – Id EmptySam 15 Mar - 14:27

Gather ye rosebuds while ye may
« O Captain ! My Captain ! » – Id 594700SherlockBBCfull1507159Copie « O Captain ! My Captain ! » – Id 915210SherlockBBCfull1671404
Id ■ Ian Harlington


âge : Vingt-six ans.
date de naissance : 9 octobre.
qi : 172.
sexe : Masculin.
origine : Américaine (de San Francisco).
ancienneté : Quatre mois.
manie : Parler avec les mains, comme un Italien.
cheveux : Bruns.
yeux : Bleus.
peau : Claire.
taille : Un mètre quatre-vingt un.
tatouage/piercing : Un "Give peace a chance" sur l'intérieur de son poignet gauche.
corpulence : Soixante-neuf kilos.

Old Time is still a-flying


Professeur de psychologie, et accessoirement professeur principal des Alters.


And this same flower that smiles today

Doux ■ Calme ■ Intelligent ■ Altruiste ■ Ouvert d'esprit ■ Excentrique
Laxiste ■ Tête en l'air ■ Indécis ■ Complaisant ■ Réservé ■ Naïf
« Vous savez tous pourquoi vous êtes là. Pour deux heures de psychologie. Non non, ne sortez pas vos livres, ne sortez rien. Vous n’en aurez pas besoin. »

Id a des manières bien à lui d’enseigner – des méthodes auxquelles on reproche souvent un manque de rigueur, une trop grande excentricité, mais des méthodes qui n’ont jamais manqué de conquérir l’esprit pourtant boudeur face au savoir scolaire de ses élèves. Ces derniers parlent de lui avec enthousiasme lors des pauses, et sans doute que bien des années plus tard ils se souviendront de lui comme du meilleur professeur qu’ils aient jamais eu de leur vie.

« La psychologie, c’est quoi ? Etymologiquement, c’est la science de l’âme. Enfin je vais pas vous détailler l’étymologie, on s’en fout – d’un geste vif de la main il semble balayer ce sujet qu’il juge inintéressant – Ce qu’il faut en retenir, c’est qu’en psychologie, il s’agit de se comprendre et de comprendre l’Autre. »

Se comprendre et comprendre l’Autre, quelque chose qu’il s’attache toujours à faire avec beaucoup de plaisir. Son intelligence ne se délecte de rien comme d’une introspective investigation, dès qu’il rencontre quelqu’un, il analyse silencieusement le moindre de ses mouvements, la plus insignifiante de ses paroles. Il sait un nombre assez incroyable de choses – à la manière des humanistes d’un autre temps, son savoir s’étend à de multiples domaines – mais lorsqu’il s’agit de faire cours il va toujours droit au but, nul besoin de perdre ses étudiants dans un flot de considérations futiles – du genre de l’étymologie d’un mot.

« Pour ce qui est de se comprendre soi-même, cela demande des années d’un travail long et fastidieux sur soi-même, nous nous essayerons à cela une autre fois. Avez-vous une idée de comment comprendre l’Autre ? »

Devant cet auditoire qui n’ose guère se faire entendre, Ian tente un sourire rassurant. Il n’est pas là pour traiter d’imbécile celui qui répondra à côté, ou pour accabler d’heures de colle le cancre qui ne lui rendra pas un devoir. Lui, il veut juste les guider dans le monde merveilleux de la psychologie ; partager son savoir ; les aider s’ils rencontrent des difficultés. Pour les écouter, aussi, si quelque chose ne va pas et qu’ils ressentent le besoin d’en parler.

« Hmmm... Il faut l’observer ?
- Mais oui tout à fait mademoiselle ! ... Enfin non, pas tout à fait, excusez-moi. »

Il se permet un petit rire penaud sous le regard incrédule des adolescents – il est sérieux, là, le prof’ ? – avant de finalement apporter la réponse à la question qu’il a lui-même posée. Cela ne le perturbe pas plus que ça, il comprend bien qu’il doit les mettre en confiance avant de pouvoir travailler pleinement avec eux. Travailler avec eux, oui, pas devant eux ou pour eux.

« Pour comprendre l’Autre, il faut bien sûr l’observer mais surtout lui parler, et l’amener à vous parler franchement, sans aucun tabou. Il faut être en contact perpétuel avec l’autre. Quand vous étudiez un livre, par exemple, vous travaillez toujours avec le livre, n’est-ce pas ? La psychologie, c’est pareil. Quel que soit l’objet étudié, l’étude ne saurait se faire sans l’objet. »

Bien sûr qu’il faut s’intéresser aux travaux des grands noms de la psychologie, Id ne manquera d’ailleurs pas de détailler à ses élèves les théories de Freud ou celles de Hebb – et de bien d’autres individus encore. Néanmoins, qu’est-ce que vaut une parfaite connaissance théorique face à une expérience pratique ? Et qu’est-ce que vaut une expérience pratique face à une parfaite connaissance théorique ? Rien de plus stupide que de dissocier les deux.

« Pendant ces deux heures, nous allons donc nous parler, tous. Dites n’importe quoi, tout ce qui vous vient à l’esprit, dévoilez-nous un peu de votre esprit. Laissez-moi commencer : j’adore quand ma copine sort la lingerie fine, ça me met d’aplomb pour toute la nuit. »

Face à la spontanéité ingénue avec laquelle il révèle cet élément de sa vie privée – de sa vie sexuelle, même –, les jeunes ne peuvent que rire, partagés entre l’incrédulité et l’admiration. Il n’empêche qu’au cours de ce cours, beaucoup de choses ont été dites.

*

« Bébé, je vais chez Noah ce soir, ça te dérange pas ? »

Noah, comme dans Noah son ex ? Si, ça le dérange.

« Non bien sûr. »

Id se mord nerveusement la lèvre tout en se maudissant pour cette trop grande indulgence. Ne saura-t-il donc pas un jour dire franchement à sa copine qu’il n’apprécie guère quand elle passe la soirée chez son ancien petit-ami ? Qu’à son retour il se retient à grand’peine de lui demander, d’un ton sec, si elle l’a finalement trompée, si elle compte le quitter ? Qu’est-ce qui l’empêche de s’indigner, de crier, de taper du poing contre la table ?

« Bébé, à ton avis, je mets les talons rouges ou les bottines bleues ?
- Je ne sais pas, comme tu le sens. »

Pas qu’il s’en fiche, contrairement à ce qu’elle semble croire – son regard agacé en dit long –, vraiment, il ne sait pas. Les bottines bleues accentuent le cérulé de ses yeux, les talons rouges la dotent de jambes qu’il qualifierait sans exagérer de divines. Pareil lorsqu’elle l’emmène faire du shopping avec elle, il n’en a aucune idée, lui, de si ce haut la grossit ou pas, alors dans le doute il assure que non, qu’il lui va très bien. Après tout pourquoi blesser quelqu’un quand le besoin ne s’en fait pas sentir ?

« Je suis désolée bébé mais on peut plus continuer comme ça. Ca fait deux mois que je te trompe avec Noah...
- Oui je sais. »

Les regards fuyants, la multiplication des précautions superflues, les inflexions trop aigues de sa voix quand elle lui ment. Il a ne lui a fallu que deux semaines pour s’en rendre compte mais il n’a jamais rien dit, rien, parce qu’après tout il lui dirait quoi ? ‘‘T’es qu’une salope, putain, moi je t’aime et toi tu couches avec ton ex ?! Ouais, ton ex, là, qui t’a quitté dès que t’as commencé à parler mariage et enfants ! Moi je le voulais le mariage, et les enfants aussi !’’ ... Non. Jamais il n’osera s’abandonner à la colère. Rien ne le répugne autant que l’idée de brusquer l’Autre – cet Autre qu’il aime naturellement, qu’il veut aider et soutenir.

*

« Je m’appelle Id, et mon Surmoi me fait franchement chier. »

Tomorrow will be dying


« Iaaaaaaaaaaaaaaan ! Ian mon chéri, maman a fait un gâteau pour le goûter, viens ! »

Les yeux du petit pétillent à l’idée de ce goûter qui s’annonce délicieux et il accourt du jardin pour s’asseoir promptement devant son assiette, suivi par le regard attendri de sa mère qui s’empresse de le servir. Une très belle femme de trente-six ans, à la fois brillante avocate et mère aimante dont il n’oubliera sans doute jamais le sourire – ce sourire infiniment doux qui lui montait jusqu’aux yeux.

« Alors mon chéri, c’est bon ?
- Oui maman ! »

Pas vraiment, en fait, la dureté du gâteau indique clairement qu’il a passé trop de temps dans le four et le goût du chocolat noir se fait trop sentir. Mais sa maman – sa belle, sa gentille maman à lui – semble si fière de ce gâteau qu’elle se réjouissait d’ajouter à son vaste répertoire de recettes, il n’a pas le cœur de la rendre triste en lui avouant que c’est raté.

*

« Han, j’ai tout compris maintenant, merci Ian ! Tu devrais devenir prof’, t’expliques trop bien les trucs compliqués. »

Le principal concerné adresse à cette fille de sa classe qu’il connaît à peine – Emily, sympathique mais complètement perdue lorsqu’on parle de mathématiques – un sourire embarrassé.

Il a consacré trois heures de sa journée à lui faire comprendre tout ce qu’ils ont vu en cours depuis le début de l’année ; certes c’est du temps perdu pour ses propres révisions. Tant pis. Il trouve toujours un plaisir incroyable dans le fait d’aider les autres et les autres le lui rendent bien. Connu dans tout le lycée pour son incommensurable gentillesse, à défaut de vraiment le fréquenter tout le monde l’apprécie au moins de loin ; difficile en tout cas de ne pas le remarquer, lui et ses cheveux longs, lui et son esprit décalé, lui et son joint aux lèvres.

Ian est fou, Ian est gentil, Ian a tout pour plaire.

*

« All we are sayin’, is give peace a chance, chante-t-il mélodieusement tout en jouant à la guitare son morceau préféré de John Lennon. »

Face à lui, assise en tailleur à même le sol – comme lui –, Emily le scrute et l’écoute rêveusement. Leurs regards se croisent parfois, quand il ose quitter des yeux quelques secondes les cordes de son instrument, et tous deux tremblent alors de la timide tendresse qu’ils n’osent se dire. Cela fait deux mois maintenant que leurs touchers amicaux s’alourdissent d’une affection gardée secrète, que leurs sourires se murmurent tacitement des mots d’amour.

« Tu savais que je suis né le même jour que John Lennon ?
- Sérieux ?
- Ouais.
- Trop cool. »

D’une main il lâche sa guitare, juste le temps de récupérer le joint qu’Emily lui tend et de le coincer entre ses lèvres. Puis il se remet à jouer de plus belle, faisant entendre les premiers accords de Girl des Beatles.

« She’s the kind of girl you want so much it makes you sorry, still you don’t regret a single day..., fredonne-t-il tandis que, presque désespérément, ses prunelles cherchent dans celles de la jeune fille un signe. »

Quelque chose, juste un petit quelque chose, un petit rien... Enfin quand même il ne s’attendait à ce qu’Emily colle ses lèvres contre les siennes en un baiser hésitant, maladroit, plein d’une affection qui jubile de s’avouer enfin.

*

L’air profondément chagriné d’Emily et ses prunelles, brillantes de larmes qui refusent opiniâtrement de couler, brisent le cœur de Ian. Il ne cède pourtant pas à l’envie pressante d’accourir vers et de la serrer fort contre lui, il se contente de lui expliquer et réexpliquer la situation, le tout en une danse de gestes des mains dont hier encore, sa petite-amie se moquait affectueusement.

« Non mais t’inquiète, je comprends. Ce serait bête que tu n’ailles pas à Columbia juste pour moi, c’est une chance folle. Je veux que tu y ailles. Tiens-moi au courant, une fois de temps en temps, je suis sûre qu’il va t’arriver plein de trucs fous là-bas. »

Il aimerait lui répondre avec enthousiasme, la remercier pour cette rupture tranquille qui ne teintera pas de colère ou de rancœur leurs belles années d’amour lycéen. Sauf que lui-même ne se réjouit pas tant que ça à l’idée d’aller à New-York – certainement qu’Emily, ses parents, San Francisco lui manqueront. Le prestige d’étudier la psychologie dans l’une des universités de l’Ivy League vaut-il ce brutal tournant imposé à son existence jusqu’ici paisible ? Il meurt de ne confier à personne ces doutes qui lui taraudent l’esprit, de ne chercher auprès d’aucun de ses proches une réponse que lui ne parvient pas à trouver.

« Ah mais mon cher Ian, rit soudainement Emily, si tu vas là-bas, c’est fini de faire le hippie. Le joint, la guitare au coin du feu, tout ça, c’est fini ! Et puis faudra que tu te coupes les cheveux. Tu vas devenir un gars classe, genre un grand psychologue avec un beau canapé pour ses patients.
- Même que je leur dirai ‘‘Parlez-moi de vos rêves.’’, renchérit le jeune homme, un sourire malicieux ourlant ses lèvres. »

Sauf que non.

Il ne veut pas devenir psychologue mais professeur de psychologie.

*

L’ambiance new-yorkaise et la passion avec laquelle il se plonge dans ses études le convainquent finalement de la justesse de son choix.

Il se sent bien, là, dans son petit appartement de l’Upper West Side financé par ses parents – n’amène pas trop de filles, hein, le taquina son père lorsqu’il l’aida à emménager. Il m’emmène personne, en fait, car il tient à protéger l’intimité de ce petit espace rien qu’à lui – les cours étalés sur la table de la cuisine, tous ses bouquins de psychologie parsemant le sol en compagnie de multiples boîtes vides de nouilles chinoises. De plus, il préfère s’immerger pleinement dans le dynamisme survolté de la grande ville, toujours excité à l’idée de découvrir un nouveau bar, un nouveau café, un nouveau musée avec ses amis.

C’est sûrement pour ça qu’il réussit brillamment ses études et qu’il quitte Columbia avec une nouvelle petite-amie, une étudiante en commerce du nom de Kate.

*

Kate n’a rien à voir avec Emily. Kate se maquille et s’habille comme une grande dame, Kate ne comprend pas la fierté que lui cause le fait d’être né le même jour que John Lennon, Kate lève les yeux au ciel lorsqu’il se permet un petit joint – une à deux fois par mois, un de ces petits plaisirs qui n’en seraient plus si l’on en conservait pas la rareté –, Kate ne rit pas à ses blagues stupides et encore moins aux caprices de son excentricité.

Ian aime quand même Kate, sûrement plus qu’Emily, parce qu’elle se réveille toujours avant lui pour lui faire son café, parce qu’elle l’écoute toujours avec un grand intérêt lui détailler ses journées de cours, parce que si elle ne comprend pas sa modeste folie elle ne prétend cependant pas la museler.

Alors oui, Ian aime Kate, même si elle passe trop de temps avec son ex.

*

« Et comme vous le savez peut-être, la seconde topique freudienne se compose de trois éléments : le Moi, le Surmoi et le Ca. Nous avons vu la première topique la semaine dernière, quelqu’un saurait me dire qu’est-ce qui est quoi dans tout ça ? ... Sarah ? Est-ce que tout va bien ? »

Instinctivement, les élèves dirigent leurs regards vers la principale concernée. Depuis maintenant une dizaine de minutes, elle pleure silencieusement dans son coin. Ian s’approche d’elle et s’agenouille devant son pupitre :

« Sarah, est-ce que vous voulez qu’on en parle ? Venez avec moi, lui dit-il en indiquant d’un geste de tête la porte. Vous autres, soyez sages, et si un surveillant passe par là dites-lui que je suis en train d’aller chercher des photocopies pour vous. »

La jeune fille le talonnant timidement, ils quittent la salle de classe et Ian lui tend un mouchoir péniblement extirpé de la poche de son jean, la douceur presque paternelle de son regard l’encourageant à vider son sac.

« C’est stupide mais... mes parents vont divorcer et... tout allait si bien, j’comprends pas pourquoi, on était une famille heureuse, j’comprends pas... »

Si Ian s’écoutait, il enlacerait affectueusement – mais c’est justement son élève alors il s’en tient à lui tapoter occasionnellement l’épaule. Allez vous promener, prenez l’air, lui conseille-t-il, et revenez à la fin de l’heure, on en reparlera plus longuement si vous le voulez bien. Non parce que vous savez, j’ai encore un cours à faire, moi.

*

« Et les œuvres au programme, monsieur Harlington ? Il paraît que vous n’avez pas encore commencé à les étudier avec votre classe. »

Assis face au bureau du direct, Ian serre hargneusement les poings. Il ne pipe mot, de peur de s’emporter. Pourquoi tout lui tombe sur la gueule d’un coup ? Kate le quitte pour se remettre avec son (connard d’)ex, l’équipe enseignante se plaint de ses méthodes... Pourquoi maintenant ?

Il n’en peut plus. C’est trop. Il sent quelque chose en lui se fissurer, se craqueler ; et une autre chose profiter de cette brèche pour se faufiler jusqu’à son âme. Ca suffit maintenant de sourire et d’acquiescer comme un gentil petit chien. Il envoie tout au diable, gentillesse et patience et compassion et indulgence.

« C’est de la merde, les œuvres au programme ! Le programme tout entier est merdique ! La manière d’enseigner que vous voulez me voir appliquer est merdique ! On s’étonne que les gamins ne s’intéressent plus à mais vous avez vu comment on prétend leur apprendre ?! »

Ian se lève violemment, envoyant au passage valser sa chaise, sous le regard outré de son supérieur.

« Monsieur...
- Non, taisez-vous ! J’ai un doctorat en psychologie, moi ! D’une des facultés les plus prestigieuses du monde ! C’est pas vous qui allez m’apprendre comment faire mon travail ! ... En fait de toute façon je me casse. Vous aurez ma lettre de démission demain. »

Et il s’en va, comme ça, encore tout tremblant de cet accès de fureur.

*

Un mois plus tard, il se retrouve dans cette Angleterre grise et froide à enseigner aux petits génies de la Wammy’s House. Il s’y plaît bien, les élèves sont vifs d’esprit et intéressés, personne ne lui dicte une quelconque manière d’enseigner, il fait son truc tranquille.
Le coup de gueule poussé dans le bureau du directeur ne lui a pas pour autant appris à s’abandonner parfois à l’expression de sa colère ou de sa tristesse – oh non, il n’oserait pas – mais ça lui a au moins inspiré l’espoir d’y parvenir un jour.

Tant et si bien que maintenant il se prénomme Id.


i got sunshine in my bag.

« O Captain ! My Captain ! » – Id 489344003
pseudonyme : ... J'en ai marre de répondre à ce questionnaire.
âge : Du coup je vais dire que de la merde.
sexe : Dans ton cul oui quand tu veux.
avatar : J'ai encore le feu et la terre à maîtriser mais ça devrait pas tarder (non en fait fanarts de Sherlock BBC).
découverte du forum : J'sais pas si je découvre ton anus quand tu veux.
est-ce votre premier forum rp ? Tu m'as pris pour une pucelle ou quoi. Ah et oui. Mon Id, il pue le John Keating à des kilomètres (Le Cercle des Poètes Disparus ♥).
Revenir en haut Aller en bas
Dreamy « O Captain ! My Captain ! » – Id 895584AvatarDreamy
Dreamy
« O Captain ! My Captain ! » – Id 240137minus

Feuille de personnage
Wammy’s: H/A
Double Compte:
Âge: 15 ans/23 ans
Sujet: Re: « O Captain ! My Captain ! » – Id « O Captain ! My Captain ! » – Id EmptySam 15 Mar - 15:13

Okay, Id c'est mon nouveau prof préféré. Prépare tes fiches de rs, ça va chauffer 83

Re-re-bienvenue !

Revenir en haut Aller en bas
 

« O Captain ! My Captain ! » – Id

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Wammy's House :: Prologue :: ► Fiches de Présentation :: Orphelins validés :: Adults-