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 Feelings ? They are for chicks.

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Vergil Feelings ? They are for chicks. 898611sansavatarWA
Vergil
Sujet: Feelings ? They are for chicks. Feelings ? They are for chicks. EmptyDim 9 Fév - 21:20

I'M READY TO GO.

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Vergil ■ Viktor Köhler


âge : 26
date de naissance : 10 Février 1987
qi : 170
sexe : Viril
origine : Allemand
ancienneté : Six mois
manie : Fronçer les sourcils h24
cheveux : Noirs et pointus
yeux : Noirs
peau : Plutôt mate
taille : 1m75
tatouage/piercing : Nope.
corpulence : écrire ici

you're gonna go far, kid.


Prof de latin, et accessoirement, d'allemand


it's time to begin, isn't it ?

Intelligent ■ Persévérant ■ Courageux ■ Compréhensif ■ Rigoureux ■ Ambitieux
Sauvage ■ Irascible ■ Boudeur ■ Indifférent ■ Violent ■ Sévère

Vergil est ce genre de mec qu'il ne vaut mieux pas provoquer, à moins d'être particulièrement suicidaire. Primo, c'est un handicapé sentimental. Peuh, des sentiments ? Mais c'est pour les nanas, ça, et il peut très bien survivre sans. Deuzio, quand il cogne, il fait mal. Donc, à le voir, on peut avoir l'impression qu'il ne sait exprimer que trois choses : la colère, le cynisme, et l'indifférence. Pourtant, il n'est pas cruel, ou même particulièrement froid. C'est juste qu'il a été élevé comme ça, pour ne pas être réellement attaché à autrui. Alors, il gueule, la plupart du temps. C'était peut-être pour ça que c'était une bonne idée, l'enseignement ; Vergil aime avoir le contrôle des choses, il a un esprit maniaque et rigoureux. Et surtout, il aime se sentir supérieur. Il ne connaît pas la pitié, et un devoir oublié vaudra à l'élève des remarques sarcastiques. En plus, le pauvre petit est sûr d'avoir été trahi par son ex femme, alors il a un complexe : il ne supporte plus les nanas coquettes et superficielles. Plutôt les repousser, comme il repousse tout le monde, de toute façon. Il est extrêmement viril, il a l'instinct du mâle alpha dans le sang et ne supporte pas qu'on lui manque de respect. Plutôt crever que de se laisser marcher dessus. Mais en cas de danger, ce sera le premier à réagir pour essayer de trouver une solution. Prenons le comme un espèce de Stan Smith du courage ; l'homme a raison et on doit toujours l'écouter.
Niveau amitié, il sera probablement loyal, il a déjà eu des amis, et il peut s'en refaire, mais il a des exigences, c'est peut-être pour ça qu'il se sent bien à la WH, plus d'imbéciles. Il est extrêmement cultivé, sort des citations latines à tout bout de champ et met la pression à tout le monde. Sûr que quand il sera vieux, il tournera en vieux garçon frustré. Parce qu'il lui manque toujours quelque chose. Il n'est pas d'une nature heureuse, il veut toujours quelque chose, et ça le bloque, parce que quand on désire l'infini, et qu'on n'en a pas les moyens, on est toujours très tendu. En plus, Vergil déteste beaucoup de choses et il a toujours des remarques acerbes au coin de la bouche.
Quant à l'humour, il le tolère, mais ne rigole pas bien souvent. Mais quand il le fait, ah, c'est plutôt effrayant. Comme si un requin vous éclatait de rire à la gueule. Difficile de savoir s'il rigole à la blagounette, ou si c'est plutôt de vous qu'il se fracasse la gueule.    

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Let it go

Viktor croisa les mains sur ses genoux, les yeux baissés. Il tritura sa montre du bout des doigts et osa enfin adresser un rictus au directeur. Le visage sévère de Moriarty lui faisait face, plongé au milieu de l'obscurité propre et rassurante de son bureau :

« Alors, Monsieur Köhler, à ce que je crois comprendre, vous souhaitez enseigner le latin dans notre établissement. Vous vous proposez aussi pour l'allemand, car... »

Le directeur ramassa le CV de l'homme et le relut attentivement :

« Car vous êtes né et avez toujours vécu à Berlin. Est-ce que vous pourriez me rappeler votre formation ? »
« J'ai étudié les sciences physiques pendant cinq ans, à l'Université libre de Berlin, en parallèle avec une formation de professeur de latin. »
« Pourquoi ne pas plutôt devenir professeur de physique dans ce cas ? »
« Parce que je me sens plus enclin à passer les vingt cinq prochaines années de ma vie avec le latin, qu'avec la physique. »

Moriarty reposa la feuille sur son bureau et la lissa avec soin :

« Est-ce que vous avez encore des liens affectifs avec l'extérieur ? »
« Je suis divorcé et j'ai une fille de quatre ans. »
« Mais vous connaissez la politique de cet établissement ; si vous travaillez avec nous, vous devrez abandonner votre ancienne identité. »
« ça ne me dérange pas. »

Viktor planta son regard dans celui du directeur et fronça les sourcils :
« Si j'ai quitté l'Allemagne, c'était aussi pour me débarrasser de ces... liens. »

Il baissa les yeux, essayant de ne pas repenser aux événements qui l'avaient mené là ; il aurait bien le temps de s'y repencher plus tard. Il bloqua brutalement tous ses sentiment et affronta de nouveau Moriarty :

« Je ne vois pas de raison de vous retenir plus longtemps, votre CV est satisfaisant et cela sera profitable pour notre étudiants, d'avoir un natif pour leur enseigner l'allemand. Cependant, cette fonction sera provisoire, tant que nous n'aurons pas de professeur agrégé pour cette matière. Mais votre fonction principale sera professeur de latin. » Annonça le directeur

Viktor se leva, martial :

« Merci beaucoup. »

Après avoir serré la main de Moriarty, il sortit de son bureau, tentant de se familiariser avec les lieux. Il se sentait soudain nauséeux, égaré ; l'endroit n'avait rien à voir avec le lycée oú il avait enseigné avant. Son portable sonna et il raccrocha avant même d'avoir vu qui pouvait bien l'appeler. Vu qu'il n'avait pas donné de nouvelle depuis deux semaines, ça devait être sûrement Thelma, ou Andreas, et il n'avait envie de parler à aucun de ces deux-là. Repenser à Thelma lui alourdit la tête et il sortit d'un pas rigide de l'orphelinat, s'engouffrant dans le premier restaurant pakistanais qui croisa sa route :

« Hm. Du poulet au curry, un kebab, et du riz. Et aussi, comme dessert, un lait à la mangue et quelques gâteaux. Je vous redirai ça. » Indiqua-t-il à l'adresse du serveur

Il s'attabla près de la fenêtre, le regard légèrement vitreux. Penser à Thelma lui donnait toujours envie de se gaver l'estomac. Manger avait toujours été son moyen de se déstresser. Voyez vous, Viktor n'était pas du genre à s'attacher à ses sentiments, il les repoussait dans un coin de sa tête et se commandait un burger d'autant plus grand. Certains pourront dire qu'il passe sa frustration sur la bouffe. Mais ça avait toujours été comme ça. Il se rappelait de l'énorme gâteau (forêt noire) qu'il avait dévoré, à quatre ans, quand sa mère était partie. Son père était un ex communiste polonais et avait dû repartir à l'Est peu après la naissance de Viktor, tandis que sa mère était une bonne petite bourgeoise allemande, née peu après la guerre, et qui s'était donc sentie éminemment libérée quand elle avait eu l'occasion de mettre « cet ennemi » entre ses draps. Prise d'un coup de folie, elle avait décidé de partir à la recherche de ce dernier quand le Mur de Berlin était tombé, et, depuis, Viktor n'en avait plus entendu parler. Peut-être avait-elle retrouvé son père ou peut-être que des immigrants turcs l'avaient attrapée à la frontière pour la vendre comme esclave sexuelle en Orient. Plutôt drôle, comme hypothèse.
Viktor avait ensuite été placé chez le dernier membre de sa famille, son nazi de grand père qui, certes, n'avait plus l'occasion d'exposer ses théories anti sémites dans la rue, mais préférait les réserver à son petit fils. La peau matte et les cheveux sombres de ce dernier n'avaient pas manqué de choquer Papy Köhler qui l'avait traité pendant dix ans de « Graine de juif ». Quand on répète à quelqu'un pendant des mois qu'il est un porc, viendra un jour oú il finira pas pousser un grognement porcin. Viktor avait subi le même harcèlement, jusqu'au jour oú il avait filé chez le coiffeur pour se faire passer les cheveux à l'eau oxygénée. En voyant son Saiyan de petit fils revenir à la maison avec une coupe absolument fantasque Papy Köhler n'avait pas manqué de gronder contre cette jeunesse crasse, mais il avait abandonné le bon vieil argument du « Mon p'tit fils est un juif. ». Déjà à cette époque, Viktor se sentait comme un pur outsider. Aussi, alors qu'il était adossé au portail de son lycée, l'adolescent croisa le regard d'une fille. Une fille aux cheveux bleus. Absurdes. La libéralisation de jeunes après la chute du Mur, quoi. Et c'était Thelma. Viktor ignora gracieusement le regard qui était posé sur lui et se détourna, écrasant sa clope contre le mur. Ça n'avait rien du coup de foudre, naturellement, son cœur n'avait même pas frémi.
Il passa son adolescence dans les coins keupons de Berlin, regrettant d'être né trop tard. Mais il n'était jamais trop tard pour faire de la merde. Le grand père gueulait quand Viktor lui claquait la porte au nez. L'adolescent s'enfermait dans sa chambre et montait le niveau de sa chaîne à fond, se délectant des hurlements gutturaux des chanteurs de l'époque. Après tout, personne n'a aussi bien chanté le rock que les allemands.
Thelma vint lui adresser la parole un jour, papillonnante et aguicheuse, vêtue d'une jupe trop courte pour les années 2000, et Viktor fixa sur elle un regard menaçant. Mais, mine de rien, elle finit par le séduire. Rien de bien sensationnel. Il tomba amoureux d'elle, comme tous les gamins de 16 ans l'ont fait avant lui. Thelma avait un côté réconfortant et extraverti, l'entraînant parfois à sa suite lorsqu'elle sautait les cours de maths. Ça lui prit un moment, pour reconnaître qu'elle lui plaisait. Et encore plus de temps pour l'embrasser. Mais après ça, hey, il recommença à se gaver de bouffe régulièrement, parce que ses sentiments naissants allaient de paire avec une angoisse tenace. Il ne s'était pas senti aussi misérable depuis longtemps. Difficile de trouver de l'euphorie là dedans :
« Tu penses rentrer à la fac ? » Lui demanda-t-elle, un jour
« Mouais, pourquoi pas. »
« Tu pourrais faire de l'économie, tu es doué avec les chiffres. »

Et juste parce qu'il avait l'impression d'avoir été provoqué, il choisit les sciences physiques. Il n'avait strictement aucune idée de ce qu'il voulait faire, après, aussi, quand Thelma lui proposa d'emménager ensemble, il hocha la tête. Ça lui paraissait une bonne idée. La fac était trop simple pour lui et il avait besoin de défis : la vie en couple lui semblait être un challenge monumental.

À l'épisode suivant, ils avaient 19 ans, ils vivaient ensemble, youpi, et Viktor n'avait jamais été aussi calme et silencieux. Ses cheveux reprirent leur couleur naturel et il écouta de moins en moins de rock, jusqu'à ce que ses anciennes influences disparaissent totalement. Andreas, le frère aîné de Thelma, passait souvent les voir et riait des moues boudeuses de Viktor. Thelma et Andreas étaient aussi joyeux que Viktor était grincheux ; il finit par s'habituer à ce paradoxe. Aussi, demanda-t-il Thelma en mariage. La cérémonie fut sobre, autant que l'était le marié. Et il crut au moins avoir trouvé un équilibre, une satisfaction, enfin.

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Quelques mois après le tintouin marital, Thelma lui montra fièrement un petit bout de plastique sentant le pipi. C'est nous, annonça-t-elle. Nous, répéta froidement Viktor. Nous. Nous, ce petit bout de bébé qu'il tint dans ses bras, neuf mois plus tard. Nous, pensa-t-il encore en bordant Sophia dans son berceau.  Il ne se reconnaissait pas dans l'enfant, mais il se promit de faire un effort.

Il arriva sans difficulté au bout de sa licence de physique et enchaîna sur le master, jetant parfois un coup d’œil détaché par dessus son journal lorsque Thelma posait Sophia par terre. Et Sophia avait visiblement tout pris du côté maternelle, parce qu'elle riait, elle riait hystériquement, lorsque son père la soulevait. Ce n'est pas moi, pensait-il en regardant son bambin. Elle avait un visage joufflu, comme sa mère, et ses énormes yeux bleus, presque globuleux. Son portrait craché. Il se cherchait, dans son visage, croyait parfois s'apercevoir lorsque la petite fronçait les sourcils dans son sommeil.
Thelma invitait souvent Andreas pour lui montrer les albums photos, et puis, pourquoi pas, boire un petit verre de vodka. Viktor n'aimait pas le regard parfois insistant que son beau-frère posait parfois sur lui. Un soir, alors que Thelma était partie dans la cuisine sortir la pizza du four, Andreas se rapprocha de lui pour lui montrer une photo particulière, prise pendant leur mariage. Viktor avait la bouche pleine de petits fours et Andreas avait l'air de lui tapoter l'épaule :

« C'était pas mal, hein. »

Viktor hocha doucement la tête :

« Possible. Certains diront que c'était un beau jour. »
« Ahhhh, le mariage, j'en rêve aussi. Mais pour moi, ce ne sera pas pour tout de suite. »

Andreas adressa un regard gaillard à Viktor et posa a main sur sa jambe :

« S'tu vois ce que je veux dire. »

L'autre brun le regarda fixement, pas sûr de bien comprendre. C'était quoi ce plan ? Mais quand Thelma revint dans le salon, posant fièrement devant eux la pizza, Andreas retira brusquement sa main.
Plus tard, après le départ du beau-frère, Viktor ramena la vaisselle à la cuisine et se tourna vers Thelma :

« Thel', ton frère, il est pas un peu bizarre ? »
« Noooon, mais nooon. Enfin, peut-être. Mais c'est de famille, quand même. »

Ah, de famille ? Il s'inquiétait pour Sophia, là. Il planta un baiser sur la nuque de Thelma et quitta la cuisine, pensif. Mais Andreas ne réitéra pas ses avances, et le couple de Thel' et Viktor s'étira lentement jusqu'à ses six années d'existence. Sophia avait trois ans et gambadait joyeusement. Un après-midi, Thelma l'avait déposée à l'université, avant de retourner au boulot, et Viktor ordonna à la gamine de rester sagement dans la cour pendant qu'il finissait ses expériences au laboratoire. Alors qu'il mélangeait deux éléments chimiques, il releva la tête et trouva la petite plantée à côté de lui, le regard posé sur la mixture transparente qui bouillonnait. Viktor aurait dû le prévoir. Une seule seconde est toujours de trop. Car alors qu'il s'apprêtait à gueuler sur Sophia pour la renvoyer dehors, il perdit sa concentration et la maîtrise de sa mixture, qui en profita pour gicler dans tous les sens.  La seconde d'après, Sophia se tenait le visage en pleurant. Viktor s'agenouilla près d'elle, pressant ses petites mains pour qu'elle les écarte. À force de recevoir les menaces de son père dans la gueule, elle daigna cesser ses hurlements et écarta ses doigts, révélant un œil rouge vif et détruit. Merde. Viktor attrapa la petite au vol et courut hors du laboratoire. Les pleurs de Sophia lui vrillaient le crâne et il se retint de lui dire de la fermer.
Diagnostique : son œil droit était foutu. À l'hôpital, assis sur une chaise à côté du lit de Sophia, Viktor fronçait les sourcils, sans parvenir à se sortir de la tête les hurlements de sa gamine. Thelma ouvrit brutalement la porte et s'approcha du lit à pas prudents. Sophia dormait déjà, la tête couverte d'un bandage. La jeune femme posa une main sur celle de sa fille, tournant le dos à Viktor :

« Tu sais, j'y pense depuis un moment, mais tu ne montres jamais tes sentiments. Tu gueules. Tu ne t'impliques jamais. Tu nous ignores. »

Elle inspira profondément :

« J'en viens à me demander si tu as un cœur, parfois. »

Elle daigna enfin se retourner vers Viktor, les poings crispés :

« En fait, je veux divorcer. »

Et elle essuya nerveusement les larmes qui s'étaient accumulées au coin de ses yeux, avant de répéter, d'une voix plus forte :

« Je veux le divorce, Viktor. »

Il ne comprenait rien à ce qu'elle disait. Il s'était toujours bien occupée d'elle, alors pourquoi ? Il la fixa d'un regard menaçant, le même qu'il lui avait adressé, des années plus tôt, devant le lycée, un regard qui voulait dire « mêle toi de tes affaires ». Mais il n'y avait plus rien à commencer. Thelma le regardait d'un œil au moins aussi menaçant, le souffle lourd et geignard, sans lâcher la main de Sophia, et Viktor sût qu'il n'y avait plus rien à dire. Plus rien.

Elle jeta devant lui les papiers du divorce, quelques jours plus tard, et Viktor les signa sans râler. Il fut convenu qu'elle garderait l'appartement et Sophia. Non, je veux voir Sophia, gronda-t-il. Non, tu ne le mérite pas, rétorqua-t-elle. Il baissa les yeux, honteux.
Le tribunal ne fut pas extrêmement tendre avec lui, mais il ne daigna pas râler ou se plaindre. Et quand le divorce fut prononcé, il sortit du tribunal, les yeux vides. Andreas l'attendait sur les marches :

« On va boire un café ? »

Viktor ne trouva pas de raison de refuser, et son ex beau-frère l'emmena dans un petit bar en face du tribunal :

« Tu ne devrais pas plutôt te trouver avec Thelma ? » Demanda Viktor, portant sa tasse à ses lèvres
« Oh, je ne veux pas la défendre. Thelma a toujours été une peste. »

Andreas rit. Et Viktor s'enferma dans son mutisme.
Après le café, son vis à vis lui commanda un cocktail, que Viktor dédaigna au profit d'un shooter de vodka. Il en commanda aussitôt d'autres. Jusqu'à voir flou. Et c'est à cet instant là qu'Andreas se pencha vers lui pour presser ses lèvres contre les siennes. Le premier réflexe de Viktor fut de le repousser et de le tabasser, mais après tout, songea-t-il en fermant les yeux, à quoi bon, il était libre d'essayer ce qui lui plairait. Il lui rendit son baiser, tentant de ne pas coller sur son visage celui de Thelma.

Viktor réussit son master avec succès et postula dans l'un des meilleurs lycées de Berlin. Il voyait Andreas de temps à autres, surtout quand il avait envie de tirer son coup. Et parfois, Thelma. Elle lui racontait les progrès que faisait Sophia ; elle allait à l'école, bla bla. Elle ne se doutait visiblement de rien.
Viktor enseigna la physique sans grande passion, lisant d'une voix blasée ses cours, jusqu'au jour oú il se rendit compte qu'il ne supporterait pas d'être dans la même ville que Thelma un jour de plus. Il démissionna tout aussi brutalement et se rendit dans une agence de voyages, avec l'envie de dire, donnez moi n'importe quoi. Je prendrais n'importe quoi. Le choix de l'agente se porta sur l'Angleterre.

Et c'est là, dans ce pays de british snobs, que nous le retrouvons, attablé chez ce paki', en train de dévorer son kebab. Il essuya soigneusement sa bouche et sortit son portable. Il cassa la carte sim en deux. Son premier pas vers l'anonymat.  Il était prêt.

Il dédaigna férocement la physique en choisissant son pseudonyme ; Vergil était un clin d'oeil à Virgil, l'auteur de l'Enide, l'épopée de ses jeunes années. Et aussi parce que quand il le prononçait, il pensait à virgin ; il souhaitait entrer à la WH dénué de toute mémoire, pur.

Vide.



i got sunshine in my bag.

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pseudonyme : Dat Bread, again
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Feuille de personnage
Wammy’s: H & A
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Sujet: Re: Feelings ? They are for chicks. Feelings ? They are for chicks. EmptyDim 9 Fév - 22:18

Je kiffe ma race. Mets un avatar temporaire. Bon jeu.
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Near Feelings ? They are for chicks. AMD3H
Near
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Feuille de personnage
Wammy’s: H / A
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Âge: 14 / 22
Sujet: Re: Feelings ? They are for chicks. Feelings ? They are for chicks. EmptyDim 9 Fév - 22:55

Vegeta


/repart en volant dans sa fantitude

ARRETE JE VAIS DEVOIR FAIRE SANGOKU
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