Sujet: Morphée - Mathilda the Witch of Space Ven 1 Mar - 21:04
Morphée
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Morphée, Morphéas, Morphia, je ne comprends pas vraiment pourquoi vous me demandez de m'expliquer mais ce n'est pas grave hihi ♥ En fait, cela va vous semblez fou – et un peu dérangé- mais quand je rêve, je rêve...d'une façon différente de la votre. Personne ne me croit jamais, arrêtez je vous en supplie de me regarder avec cet air ! Depuis mon accident...disons que la disposition de tout ce que je concevais à pris une importance différente dans mes rêves. Comme si je voyais le futur. Le Futur! Des fois, quand je suis avec Rocket, Deejay ou Icare, quand nous sommes tous les quatre, il y a vraiment des situations...que j'ai vu. Oh. Eurg, ce...ce n'est pas grave si vous ne me croyez pas hein. Je. hm. Oui, avant je m'appelai MATHILDA MACTOLYNE.
a flower for every name.
AT : cA FAIT QUELQUE TEMPS QU'ON SE PARLE ET ug jE NE SAIS PAS COMMENT TU ES. GG : oh maintenant que tu me le fais penser...hm ce n'est pas vraiment important tu sais... AT : s'IL TE PLAIT GG : ….bon ok. tu sais déjà que je m’appelle morphee euh que j'ai 16 ans ! hm que je.. GG : ah oui – même si je trouve ça bizarre comme question – mon qi est de 152...point. je crois ah j'aime bien les fleurs ! tu verrais le nombre de fleurs que j'ai dans ma chambre hihihi ♥ je suis d'ailleurs dans le groupe des experts ! C'est un groupe pour les gens vraiment fort dans une spécialité, genre comme toi et....et.... peter pan je suppose bref GG : je suis arrivée il y a peu de temps juste après rocket mais je crois que c'est parce que il est plus vieux que moi vu que je suis née le 1 décembre AT : tU ES ug BRONZEE COMME MOI ? GG : un peu, je ne suis pas tres tres mate mais c'est à cause du temps dans le pacifique il fait tres beau la-bas mais c’était un enfer pour mes cheveux vu qu'ils sont longs et noirs comme ceux de grand-mère. d'ailleurs j'ai les yeux de grand-père, verts mais je reste aussi petite de grand-mère avec mon metre 62. je suis un bon mélange entre les deux. AT : tU T'ES REPESEE DEPUIS LA DERNIERE FOIS ? GG : Haw', s'il te plait on pourrait ne pas parler de ça AT : tU AS PROMI QUE TU PARLERAI DE TOI !!! GG : ...t'es chiant mec ok je fais 39 kilo, voilà on sort les confettis ou bien AT : c'EST MINCE GG : ce n'est pas un problème
AT : jE NE SAIS PAS COMMENT VOUS AVEZ EU LE PC DE MORPHEE ET LE FAIT MEME QUE VOUS, ug, ME DEMANDIEZ DE LA DECRIRE ME MET UN PEU MAL A L'AISE AT : dONC euh JE NE PEUX PAS VRAIMENT LA DECRIRE VOUS SAVEZ AT : eLLE NE ME PARLE QUE VIA MESSAGERIE ET C'EST UN PEU, ug, FRUSTANT MEME SI JE LA CROISE DANS UN COULOIR ELLE ME SOURIT ET CONTINUE SA ROUTE. AT : c'EST COMME SI ELLE AVAIT SON MONDE POUR ELLE SEULE cOMME CACHEE PAR SES SOURIRES ET SON GROUPE D'AMIS QU'ELLE SUIVRAIT JUSQU' A LA FIN DES TEMPS SI ELLE LE POUVAIT AT : c'EST UNE FILLE BANALE VOUS SAVEZ eLLE EST GENTILLE ET JOLIE MAIS UN MYSTERE ENTIER GROS COMME UN UNIVERS L'ENTOUR cOMME C'EST LE CAS AVEC CETTE MINCEUR QU'ELLE ESSAYE EN VIN DE CACHE AT : jE DOIS ETRE UNE DES PERSONNES A QUI ELLE PARLE LE PLUS ET JE NE SAIS PAS TROP SI JE DOIS VOUS EN PARLER VOUS SAVEZ eLLE EST VRAIMENT A CHEVAL SUR CA sUR CE SECRET QU'ELLE NE VEUT PAS TROP PARLER AT : bON ON VA DIRE QUE VU QUE C'EST POUR SON BIEN JE PEUX VOUS EN PARLER AT : dU FAIT QU'ELLE A VECU SEULE SUR SON ILE eLLE N'AVAIT QUE LE NET POUR SE LIER D'AMITIE AVEC LE MONDE eT LE NET LUI A...vOUS SAVEZ ON NE TROUVE PAS QUE DES CHOSES BIEN SUR INTERNET AT : eT UNE CERTAINE RENCONTRE...aVEC UNE CERTAINE MANIPULATION LUI A FORGE L'ESPRIT eT DEPUIS ELLE A DANS L'IDEE QUE LA MAIGREUR DEVAIT ETRE UNE ABSOLUTION AT : jE SAIS QUE VOUS DEVIEZ PENSER QUE C'EST TOUT A FAIT DEBILE DE PENSER CELA mAIS MORPHEE EST CE GENRE DE FILLE FRAGILE QUI MENTALEMENT POURRAIT VOUS SURPRENDRE AT : pOUR CA ET POUR SES REVES AT : vOUS NE VOUS ETES JAMAIS DEMANDEZ POURQUOI MORPHEE pOURQUOI CE SURNOM AT : /sOUPIRE/ eLLE S'EST INVENTE UN MONDE DANS SES REVES AT : uN MONDE BIEN IREEL OU ELLE VOLERAIT DANS LES AIRS DANS UNE ROBE JAUNE SOYEUSE oU LE TEMPS N'AURAIT PAS D'IMPACT AT : c4EST TOUT CE QUE JE PEUX VOUS DIRE AT : aH SI AUSSI AT : n'ESSAYEZ PAS DE S'EN PRENDRE A SES AMIES..
theres always something worth fighting for !
savior of the waking world.
Définissez-vous en une phrase.
Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
Vous offririez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une bataille navale.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Ce que vous devriez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
La petite manie dont vous vous passeriez bien ?
N'avoir aucune notion du temps.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
« Comment s'appelle cette fille ? » « Morphée. »
Résumons ta petite existence, tu le veux ?
Tu hoches de la tête, remets tes lunettes sur tes yeux, trop grandes pour toi. Le livre que tu tiens entre tes doigts pourrait faire le double de ton poids, lubie de ton grand-père et son stupide appareil photo. Oh pour sûr tu es contente qu'il ai retracé tout ton passé dans un album à la dorure verte, tu le trouves d'ailleurs très beau ce livre. Tu as d'ailleurs mis longtemps à le trouver ce livre dans tout le coffre à jouet qui se trouve au pied de ton nouveau lit. Mais là n'est pas la question, nous voulions savoir ton passé, Mathilda.
La plus vieille photo qui se trouve être la première est une photo de toi dans les bras de ta grand-mère. On ne pourrait pas vraiment voir la ressemblance entre ta présente chevelure brune et celle de ta grand-mère mais ce fut le cas, ta grand mère était ton portait craché. Le sourire aux lèvres, les lunettes perchées sur ce nez que tu as reçu, elle te regarde, toi petit bébé rose entre ses doigts. Si tu retournes la photographie, tu vois qu'elle est daté de trois jours après ta naissance. Le fond de la photo semble être très blanc, sans aucun doute qu'elle a été prise à l’hôpital même. Tu ne peux penser que même si l'on ne voit pas ton sourire sur la photo, il est présent sur les lèvres de ta grand-mère. Ton grand-père est celui qui prend la photo, tu en es quasiment sûre. La deuxième photo semble être un tantinet plus récente. Tu es sur un vélo, un petit vélo sans les petites roues. Tu portes déjà ces grandes lunettes que tu ne quittes jamais, preuve d'une myopie très tôt apparue. Tes cheveux ondules jusqu'à tes hanches mais ça ne t’embête pas pour parcourir les mètres qui te séparent de ton grand-père. Ton grand père tire la langue à l'objectif en tendant les bras. Tu ne doutes pas qu'il essaye de t'imiter parce que tu viens de voir que toi aussi, sous le comble de la dureté de l'effort, tu t'es mise à tirer la langue. Un de ces vieux chapeau de cowboy sur ses cheveux, ton grand-père est un pied à genoux. Tu ne te rappelles plus depuis combien de temps les chapeaux de cowboy ont rejoins par masses les étagères de chez toi. Une des lubies étranges qu'il a réussi à te faire partager du moins. La troisième photo est une photo où vous êtes tous les trois dessus. Tu as six ans et un fusil entre tes mains. Le fond de la photo est votre boulangerie. Vous vous tenez tous les trois à côté, ton grand-père te regarde en souriant, ta grand-mère arque un sourcil sur l'arme que tu tiens entre les doigts. Toi, tu ne sembles pas le moindre du monde avoir un problème avec le fait d'avoir un fusil entre tes mains. La main nichée dans tes cheveux, ton grand-père semble même être heureux que tu le portes, le fusil. En sortant le nez du livre photo, tu peux peu exactement dire où le présumé fusil est dans ta pièce. Tu te rappelles ces vieilles disputes entre tes grands-parents, celles où tu les regardais en mangeant tes céréales et où ils s'envoyaient littéralement des couteaux. Tu rigolais beaucoup de ce temps là, pas le moindre inquiète que les lubies de ton grand-père allaient se répercuter sur toi. La quatrième photo est une photo d'une plante. En vue des doigts qui ornent la photo, tu te doutes que c'est toi qui a prise cette photo. La plante est violette, rouge, bleu et verte. Tu ne te rappelles plus pourquoi tu l'as prise. En retournant regardant mieux, sur le coin de la table où est la plante, tu observes un « première plante ayant survécu ». C'est l’écriture de ta grand-mère. Tu te souviens de ses milliers de plantes dans votre maison, de toutes ces fleurs qui fleurissaient en même temps, c'était beau. Tu te souviens que tu avais du essayer de faire pareille qu'elle, d'essayer de faire pousser une plante et qu'elle avait réussi. Cette plante s'appelait quelque chose comme « Cassie ». Tu as toujours eu des goûts étranges pour tout ce que tu entreprenais. La cinquième photo est une photo de toi. Tu es sûre d'avoir 12 ans sur cette photographie car cet événement t'a marqué. Tu es sur la stèle de ta grand-mère, à genoux. Tu es de dos sur la photo et tu es contente de ne pas avoir été le face. Si cela avait été le cas....ta grand-mère vous a quitté par l'explosion d'un four dans votre boulangerie. Un grand bruit et une écrasante bombe avait rasé la boulangerie. Les médecins t'avaient dit qu'elle n'avait rien sentit. Ton grand-père t'a dit qu'elle était parti dans les petits pains qu'elle aimait tant. Tu te retrouvais sans grand-mère et tu savais que cela allait t'affecter plus que tu ne le pensais à l’époque. La sixième photo est une photo de votre nouvelle maison. Peut après le décès de ta grand-mère, ton grand-père s'est lancé dans un voyage, t'emmenant avec lui. Les sept océans vous avez traversé, posé le pied sur chaque continent. Et puis, il a décidé que vous deviez vous établir sur cette île du pacifique. Cette île que personne ne connaissait, même de nom. Il a répondu à des caprices insensés, une maison-phrase de plusieurs centaines de mètres de haut. Même aujourd'hui tu te demandes comment diable avait-il pu faire ça. Ta chambre est la boule tout en haut de l’édifice, tu te rappelles que tu pouvais voir le soleil qu'importe l'heure de la journée. La septième photo est une photo de toi sur ton lit, tenant ton pc sur tes jambes. Tu rigoles maintenant du visage que tu tirais à l'époque. Super concentrée sur l'écran, un reflet se remarque sur tes grandes lunettes. Tu te pinces les joues avec tes dents. Peu de temps après cette exclusion du monde, tu t'es sentie très seule. C'est à cette époque que tu as développé cette manie de traîner sur le net. Si le contact physique n'importait pas pour toi, il restait le mental et dans ta tour tu te sentais moins seule. Ce qui emmena à la huitième photo. La huitième photo te fait grincer des dents. Tu es sur un lit, dans une chambre d’hôpital. Les perfusions dans les veines, tes yeux sont fatigués. Tes mains sont petites, tes pommettes faibles. Tu ne sais pourquoi ton grand-père a pris cette photo. Ta maladie n'est pas une chose que tu voulais voir dans cet album. Dessus ton corps, il y a un plateau repas plein. Tes yeux ne frôlent même pas la viande qui te fait fasse malgré le grand manque de nourriture que ton corps pourrait presque hurler. Tu te souviens qu'il voulait prendre une photo pour te montrer plus tard comment débile tu avais été à ce moment de ta vie. Tu as quatorze ans. La neuvième photo est une photo que tu as prise il y a deux ans. Elle est floue, blanche, jaune. Tu as dessiné par dessus quelque chose qui devrait être toi dans une robe jaune. Tu souris, les cheveux détachés, traînant la traîne de ta robe sur des mètres et mètres. Depuis ton « accident » qui t'a conduit à l’hôpital, tu as développé une « trop grande imagination » qui s'est accrue par les malaises fréquents et le coma qui t'a gardé un mois dans un état larvique. De ces moments, tu ne te souviens que d'un autre monde. Sur-développée, tu pouvais voler et comme une suite d’événement, tes malaises reprenaient la suite de ce « rêve ». La dixième photo n'est pas une photo. Ce sont des notes, tes notes. L’écriture verte fluo tue littéralement les yeux de toute personne n'étant pas habitué. « Grand-père semble distrait. Il reste des jours dans le salon avec son fusil, celui qu'il m'a donné quand j'avais six ans. Il ne veut pas que je parle avec lui. Cela me rend triste. »
Quelqu'un sonne à ta porte, tu refermes le livre. Si l'on était resté à contempler cet album, on aurait vu cette photo. Cette photo de la stèle de ton grand-père a côté de celle de ta grand-mère.
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« Je n'aime pas trop parler de ça, vous savez. Je... je suppose que mes grands-parents ont toujours été mes parents mais il y avait cette règle qui voulait que je ne les considérais pas vraiment comme. Cela m'était égale en fait du moment que je les avais. Ils ont toujours été les êtres humains les plus parfaits qui soit, je les ai aimé du plus profond de mon cœur et je n'ai pas vraiment eu de peine quand ils sont partis parce que, je pense que je n'aurai pas pu les aimer encore plus que j'ai pu le faire. Ma grand-mère m'a apprit à être la fille calme et posée que je suis aujourd'hui, mon grand-père m'a donné l'envie de toujours découvrir l'inconnu et d’expérimenter. Je suis leur expérience et je suis très très fière d'être ce que je suis devenue parce que je sens qu'ils vivent en moi d'une façon différente. En soit, être ici, dans cet orphelinat n'est pas vraiment quelque chose de dur parce que je ne me sens pas orpheline. Vous savez, des fois, j'ai vraiment l'impression qu'ils sont encore là, dans ma chambre. Quand je regarde ce fusil, ces plantes qui poussent par milliers sur les murs de ma chambre, je n'ai vraiment pas l'impression d'être...sans attache. Même si je ne peux pas dire que j'ai beaucoup d'amis – vivre seule pendant cinq ans sur une île du pacifique n'est pas vraiment bon pour la sociabilité – je ne me sens pas seule. Certes, avant que vous veniez, j'avais ce sentiment d'être « perdue », mais cela est très vite passé. Quand je pense que vous connaissiez mon grand-père grâce au grand voyage que nous avions fait....Vous savez que je ne me souviens pas de vous ? Que j'étais trop petite ? Penser qu'un jour je rentrerai dans un orphelinat prestigieux grâce à ses connaissances, qu'il avait prévu ça depuis le début....je n'en suis même pas choquée, c'est tellement lui tout ça ! »
let's see how far we've come !
to denounce the evils of truth and love !
wesh ici HAYA dans la place, née le 13 JUILLET 1993 à 19h42 ok. J'utilise pour mon 68978 perso JADE HARLEY de HOMESTUCK. C'est la DUDE DE BESTAH qui m'a fait connaître le fofo. ET GLOIRE EST A LA GRANDE KOKO (t'as interet à tout foutre en capslock sinon je vais te crever ) qui a juste winner sa race pour la réalisation de cette fiche et euh pour la cutiness de sa vie et je sais pas dude mais voilà love on you héhé. (shoooosh cesse donc de me flatter comme ça tu vas me faire rougir.)
Sujet: Re: Morphée - Mathilda the Witch of Space Ven 1 Mar - 21:37
bonjour morphée est trop chou tu sais déjà ce que je pense de tout ça hein elle est soit Word soit Riddle soit Expert perso je la verrais plus word mais c'est à toi de choisir (et si tu choisis expert oublie pas la spécialité blabla) ton codage arrivera dans la soirée/nuit voilà je t'aime.
Morphee
Sujet: Re: Morphée - Mathilda the Witch of Space Ven 1 Mar - 22:55
Expert en plante hihi ♥ (je me sens envahie d'un sentiment fraternel en postant en dessous de toi Rocket. En mode "hiiii brother hiii")