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 Fire - how bad can i be ?

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Fire
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Sujet: Fire - how bad can i be ? Fire - how bad can i be ? EmptyDim 12 Mai - 21:56

I'M READY TO GO.
Fire - how bad can i be ? Redhair41 Fire - how bad can i be ? Redhair10erk
fire ■ Fir Bolg & Katelinn


âge : dix-sept ans
date de naissance : trois mai
qi : cent soixante dix neuf
sexe : femme
origine : irlandaise
ancienneté : depuis deux mois
manie : bander son arc
cheveux : roux creppés
yeux : bleus
peau : blanche
taille : un metre soixante cinq
tatouage/piercing : non
corpulence : cinquante huit kilos

you're gonna go far, kid.


Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous ; un membre du staff viendra ensuite vous communiquer votre classe.
Définissez-vous en une phrase.
    Non.
    ■ Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
    ■ Anthropologiquement parlant ou bien ?
    ■ Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
    ■ Je suis un.


Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
    ■ Une bataille navale.
    ■ Les hauts de Hurle-vent.
    ■ Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
    ■ Un poisson rouge.
    Une corde.


Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
    Finnegans Wake de James Joyce.
    ■ H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
    ■ Totem et Tabou de Sigmund Freud.
    ■ Harry Potter de J.K Rowling.
    ■ Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.


Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
    ■ « Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
    ■ « Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
    « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
    ■ « D'un point de vu biologique... »
    ■ « Je comprends ce que tu ressens... »


La petite manie dont vous vous passerez bien ?
    ■ Câliner tout le monde.
    N'avoir aucune notion du temps.
    ■ Faire des private jokes.
    ■ Accro au high five.
    ■ Caser des citations partout.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
    Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
    ■ M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
    ■ Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
    ■ Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
    ■ Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...


it's time to begin, isn't it ?

combative ■ compétitive ■ débonnaire ■ motivée ■ honnête ■ sportive
impulsive ■ nerveuse ■ jalouse ■ bruyante ■ autoritaire ■ rancunière
Kate est Ablais . C'est une fille qui a été coupé dans son enfance. C'est une fille qui aurait du devenir pirate, chasseuse, tueuse de faucon mais qui se retrouve ici. Kate n'est plus qu'une pierre.
Kate est Abluée . Elle est une vieille écriture qui ressort avec le temps si on s'entend bien avec. Si sous le papier blanc, on sait lire dans le bois. Si l'on approche une lampe de l'écriture citronnée.
Kate est Aratoire . Elle est ruste, parle mal ou parle l'anglais tres mauvais. Elle vient des champs comme les lejumes, elle a vu naître et mourir le soleil.
Kate est un Aubin . Elle est fatiguée. Elle flanche souvent de s'être prise dans l'ironie de son histoire. Elle se cache pour pleurer parce que vous n'en valez pas la peine.
Kate est Aure. Elle cherche toujours la competition. Elle court dans les couloirs pour chercher celui ou celle qui lui fera face pour cette journée.
Kate est une Avulsion. Elle est arrachée au monde. Elle ne vit pas dans le même temps que vous. Elle reste l'enfant perdue dans les bois. L'enfant qui vole le vent pour le faire sien.
Kate est l'Alacrité. Elle entraine les gens. Elle les pousse à tout faire, à se mettre en avant comme à se battre contre elle.
Kate n'est pas Amphibole. Elle souffre de son caractère trop fort mais ne le montre pas.



'cause they'll be a day when you're standing in the hall of fame

Il y a ton père, autour de la cheminée.
Le regard reposé, les flammes dansant dans ses pupilles. Tu restes à côté, en tailleur, à observer le feu, à en deviner les intentions, à en puiser la force. Chaque mouvement, dans ce profond silence familiale devient quelque chose inventorié dans ta mémoire. Tu passes quelques millièmes de seconde à observer ton père, voir s'il n'a pas flanché mais toujours ses yeux sont secs par dessus le brasier.

Tu t’appelles Katelinn, tu as douze ans.
Tu es née dans le pays de Connacht, dans la bourgade de Galway, dans cette vaste république grise.
Tes ancêtres, tes parents et tes enfants naîtront dans la demeure familiale, sur cette terre que tu adores pour sa force et sa nature. Tu parles l'ancienne langue avec ta famille pour préserver l’héritage de ton peuple avec cette fierté que te confère le sang irlandais qui coule dans tes veines.

C'est ton trésor.

Tes amis, ce sont les montagnes, le ciel d'orage, l'herbe rêche pendant les saisons rudes. Ta nourriture est ce que ton père ramène, gibier et légumes que ta mère s'efforce de faire pousser dans cette terre ameublie et dure.

Ta vie c'est l'air, c'est l'eau, le feu, la terre. Les éléments sont ce qui te font, toi, la petite Kate avec la chevelure rousse. Toi la petite femme forte avec ce caractère trempé que tu tiens de ton paternel comme d'un bijou qui se transmet de génération en génération. Il n'y a pas de coutume que tu ne connais pas. Pas de tradition que tu ignores, de rite, de mythe. Tout est toujours dans ta tête comme pour parfaire cette harmonie ancestrale que les dieux ont su mettre à la disposition de tes ancêtres depuis des millénaires.

Ta famille n'est pas comme les autres d'aujourd'hui, mais tu t'en fiche. Le village assouvit tes besoins, et les cours te permettent de dormir. Tu passes tes journées à courir dehors, à voler avec les feuilles, à hurler sur les falaises, à incendier la mer d'un langage qu'elle a entendu depuis des siècles.

Tu as 12 ans et tu regardes le feu avec cette vision maladive de l'enfant qui veut tout apprendre du monde.

« Tu vois, Kate... »

La voix de ton père a toujours cette particularité de te faire penser à un conte.

« Le feu n'est pas un élément comme les autres. »

Tu plantes ton visage sur la barbe rousse de ton rustre père. Son abdomen massif se soulève pour en sortir un soupire que tu imagines plaintif. Il tient le regard sur l'être de chaleur, toi sur son visage dur. Tu ne saisis pas.

« L'air aide les navires. L'eau nourrit les corps. La terre est la sainte mère de la vie. Mais le feu... »
Ses yeux se nichent dans les tiens. Tu frissonnes.

« Le feu détruit, le feu détruit les corps, détruit les bateaux, détruit la terre. Les autres éléments ont été fait pour stopper cet élément. Tous. Si l'un d'entre eux, un jour faiblit, le feu prendra l'avantage. C'est une histoire ancienne que la rivalité des flammes contre la vie. La terre permet de rentre le corps à la terre. C'est un cycle éternel. Mais le feu qui brûle les corps ne permet plus ce cycle. Il l'entrave, le finit. »
Il pose ses mains sur son ventre, se redressant légèrement.
« voilà pourquoi, Kate, il faut que tu haïsses le feu. »

Il s'est relevé, te laissant seule face à ce nouvel ennemi.
Tu as froncé les sourcils.

---

Depuis deux ans déjà, tu excelles dans le tir à l'arc. Selon les dires de ton père, c'est une fierté que chaque aîné de la famille sache tirer à l'arc. Tu n'avais pas besoin de plus pour passer des heures à t’entraîner. Ta mère n'est pas toujours d'accord sur cette tradition, la trouvant trop dangereuse. Tu t'en fiches.

Tirer des flèches te permets d'être encore plus libre parce que tu contrôles l'Air.

Alors tu pars dans les forets, cours jusqu'à la se que le soleil touche la mer, jusqu'à ce que tu tombes d'épuisement dans les racines et les troncs millénaires. Pour sûr que tu respires les pétales, les arômes et le ciel dans son entité. Tu tires contre le vent, contre les ombres, les troncs, défiant les nuages, défiant les étoiles, la lune entière dans cette fureur animale qui te colle à la peau comme une seconde membrane.
Tu en hurles de bonheur, ce nuage dans ta poitrine qui s’agrandit quand tu t'enfuis de chez toi pour donner rendez-vous à la terre pour un éternel duel. Et qu'importe si elle ne répond pas, tu brûles de la revoir le lendemain pour cette nouvelle tache.

Tu es la Terre.

Tu rentres et la boue sur ton visage n’empêche en rien ton sourire. Ni l'accolade de ton père, toujours le premier à te saluer. Tu poses ton arc dans l'entrée, sens le sourire de biais de ta mère quant à la branche dans ta tignasse rousse.

« Tu vas avoir une petite sœur ou un petit frère Kate »

Maman est la Vie.



Matt sera roux.
Maél sera rousse.
Tu l'as décidé en regardant le ventre de ta mère, un soir où elle s'était assoupie contre la cheminée.

Tu bandais ton arc dans le vide, dans les flammes, contre les poutres du plafond.

Matt/Maél sera roux/rousse. Tu ne seras plus la seule ici. Il y aura ce bébé. Il y aura toi, ta mère, ton père, et ce bébé. Vous serez quatre. Comme les quatre éléments. L'eau, la terre, l'air et le feu.

L’écosystème de ton existence se ferme par ce bébé.

Tu cours encore plus vite dans les bois. Oubliant tes chaussures, oubliant de lasser ta robe, tes cheveux détachés, ton corps de jeune femme fouettant le vent. Les écorces écorchent tes côtes quand tu passes trop près des sapins, la rivière gèle tes pieds, le vent fouette tes joues. Ton souffle ne suit pas la cadence : plus tu t'enfonces, plus le nuage dans ton ventre se change en orage. Un sentiment court dans tes bras, court dans tes poings. Tu hurles contre la falaise sans entendre ton écho. Tu insultes la mer qui te snob. Tu ne tires pas contre le vent.

Tu tombes dans la boue et pour la première fois, tu te sens sale. Elle t'est étrangère sur ton corps, et des coups répétitifs pour l'enlever de ta robe est vain. Tu hurles, hurles à en cracher ta haine au ciel noir, à en vomir ce sentiment qui t'en terrasse le corps, te faisant pleurer à chaudes larmes toute la misère du monde.

Tu n'es plus à ta place. Tu n'es plus la terre. Tu n'es plus le vent. Tu n'es plus le feu.
Tu es une particule dans une galaxie inexistante. Survivant avec les autres dans un temps sans horloge.

Mael/Matt va prendre ta place.



Tu t'es construite une forteresse dans la négation.

Avec le ciment, tu as parfait le regard hautain de ton visage, figeant l'expression passive du je-m'en-foutisme exagéré.
Avec les pierres, tu as construit ta parole dure comme le rock : plus rien ne passe sans que tu ne tranches.
Avec les meurtrières, tu t'es faites égoïste, enfant égocentrique, enfant mal polie, enfant qui grandit dans un monde où il n'est plus le roi.

Mais toi tu sais, que tu en es la reine, de ta forteresse de béton.

Vivre est devenue tellement difficile. Tu ne restes plus chez toi. Tu fuis les gens comme la peste. Tu n'es pas des leurs. Tu n'es pas de leur monde où les lois sont centrés sur la trinité éternelle. Toi tu t'es faite une religion personnelle. Tu as bandé ton arc et l'as collé à tes flancs. Tu as prit ton carquois et tu as talonné la porte avec la fouge d'un sanglier.

Ce n'est plus Kate. C'est Katelinn.
Ce n'est plus sa petite fille. C'est une femme.

Alors tu traînes, dans les rues, dans la ville, dans le monde que tu as fuis. Ton village n'est pas si désolé que tu te représentais. Beaucoup de gens, beaucoup de monde et beaucoup de passage. Tu passes ton temps sur les marches d'une maison à regarder les gens circuler. Tu te demandes comment se passent leurs vies. Comment font-ils pour survivre alors que tu étouffes. Tu as beau avoir 15 ans, tu ne comprends rien au monde qui t’entoure. Tu sais que Matt/Maél va naître dans quelques semaines. Et puis c'est tout.

Tu ne tires plus dans le vent. Tu ne chantes plus les anciens cantiques. Tu ne veux plus apprendre.
Tu restes la fille étouffée dans un monde qui n'a pas besoin d'elle. Matt/Maél va te remplacer. Il apprendra à tirer à l'arc, tu n'as plus besoin de faire des efforts. Papa aura un garçon, lui qui a toujours dit voulu avoir un garçon. Toi...toi.

Toi, tu ne sais pas ce que tu vas devenir.

C'est devenue une habitude de te tenir sur le porche de cette maison.
Un jour, tu as rencontré les propriétaires. Une vieille dame qui t'a invité à entrer. Tu as vu les tableaux des sourires de sa jeunesse. Elle t'a apporté des quartiers de pomme que tu as englouti goulûment. Anna était gentille. Anna avait été antiquaire avant que son mari ne meurt. Elle connaissait tout Anna. Tu quittas souvent la maison pour aller la voir. Tu retrouvais une existence dans la sienne. Elle t'apprit le ciel et le nom des planètes. Elle t'aimait comme l'enfant qu'elle n'avait jamais eu, Anna. Elle te faisait toujours des gâteaux aux poires que tu adorais. Tu applaudissais quand tu voyais un gâteau dans ton champ de vision, enchantée d'autant d'attention.

Et puis il y a eu cette nuit. Cette nuit où tu dormais chez Anna.
La nuit où Maél/Matt aurait du naître et aurait du prendre ta place.
Mais il n'a pas prit la tienne, il a prit celle de ta mère.

Elle est morte en couche.
Elle est morte, et de peine ton père a immolé la maison.

Détruire tout par le feu.
« Le feu n'est pas un élément comme les autres. »



« Le feu est la mort. Le feu détruit les corps. Le feu a tué mon père. Le feu a détruit ma mère. Le feu est ce que je hais le plus. Le feu est mon ennemi. Le feu n'est pas moi, le feu est ce que je désire détruire. Le feu est mon but ultime. Ma quête est sa destruction. L’abolition du feu. La chute de l'ennemi de la trinité. Il doit périr. Périr ou je mourrai. Périr ou je redeviendrai cendre. La feu ne mérite pas la vie. Alors le feu aura la mort. »



Anna devint ta seule famille. Ta seule mère. Ton seul père.
Tu t'accrochais à elle comme un enfant à la jambe de sa mère.

Néanmoins le feu avait toujours cette place obsessionnelle dans ta vie. Ce feu de cheminée, ces flemmes sous les casseroles, les étincelles, le tonnerre...ton cœur devenait de la pierre. Luttant contre toutes les formes matérielles du feu que tu voulais vaincre. Et cela même dans ta propre langue.
Tu hais le verbe brûler. Tu hais le mot feu. Irlandais devenait parfait quand tu chassais de ta tête toutes figures rapprochant l'élément de la langue.

Anna ne dit rien devant tes monologues, souriant toujours devant tes bonnes poignets de nourritures.

Anna avait la délicatesse d'une femme stérile à qui on offre un enfant.

Anna est morte la même année que tes parents.
Tu t'es cramponnée à elle. Tu es restée avec elle jusqu'à ce que les gens remarquent qu'elle ne sortait plus de chez elle. Tu puais le renfermée. Tes cheveux, abîmés par la malnutrition des derniers jours à côté de son corps, se liaient en tignasse indomptable. Comme un animal chétif. Comme un rat appauvrit.

Tu es devenue seule.

Seule contre tous. Seule contre tout.
Seule contre le monde et les gens qui t'ont enlevé à son corps.
Seule contre la voiture, seule contre la distance.

Seule dans un orphelinat.



Les deux dernières années se sont passés comme au ralentit.
Tu étais Katy, la femme rage. Katy la femme colère.

On ne te touchait pas. On ne te parlait pas.
Tu restais l'animal, mais fort. Le prédateur. Celui qui chasse, celui qui hurle si ça lui chante. Frapper ? Aucun problème. Tu n'es pas devenue faible, non. Tu es devenue la rage incarnée.
Seule contre tous.

Seule contre tout.
Puis la visite chez le médecin. Puis les tests.
Tu étais seule. Comme le feu.

On te changeait de cage. On te changeait de pays. On changeait ta terre et le vent dans tes cheveux. Jamais la pluie ne remplacerait ta mer. Jamais les grilles ne hurleraient ton prénom comme les falaises. Personne ne parlerait ta langue perdue. Tu devais te fondre dans la masse des gens comme toi. Des « eux contre tous », des « eux sans famille ». Tu t'es mise à détester leur tronc commun.

Tu voulais les détruire. Un par un.
Tu haïssais cette terre comme cette pluie et ce vent faible.

Tu es devenue le feu.
Tu es devenue Fire.



i got sunshine in my bag.

Fire - how bad can i be ? O5SGU67
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découverte du forum : j'ai limite inventé cette question roh
est-ce votre premier forum rp ? celle ci aussi
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Sujet: Re: Fire - how bad can i be ? Fire - how bad can i be ? EmptyDim 12 Mai - 22:14

d'accord alors hm je suis
soufflée ?????
woah je veux dire
woah
en toute logique j'aurais du faire mon Hiems et te dire de dégager mais hm non ?
fuck you Hiems j'aime Fire.

De façon plus professionnelle Fire est une ALTER ou une SHAPE, je suppose que tu prends Shape spécialisée dans le tir à l'arc ? 8D

(PERCY AVANT QUE TU NE VIENNE TE PLAINDRE je. voulais te laisser la présa. vraiment. mais. j'ai fini de la lire et. et. et.) (je pouvais pas te la laisser.)
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Fire Fire - how bad can i be ? 898611sansavatarWA
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Sujet: Re: Fire - how bad can i be ? Fire - how bad can i be ? EmptyDim 12 Mai - 22:23

ayé, j'la veux l'tir à l'arc ouais en shapes ouais
(pardon, au debut je voulais faire d'elle un perso trop wtf qui sait pas parler anglais. mdr)

<3
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Sujet: Re: Fire - how bad can i be ? Fire - how bad can i be ? EmptyDim 12 Mai - 22:26

Je ne ferais pas attendre plus longtemps une fiche aussi woah, hein.
Tu es validée, amour. ♥
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Sujet: Re: Fire - how bad can i be ? Fire - how bad can i be ? Empty

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Fire - how bad can i be ?

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