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 Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥)

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Invité
Sujet: Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥) Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥) EmptyDim 16 Sep - 12:51

identité
Me, myself and I.

PSEUDONYME: Fuck
NOM : Farhakann
PRÉNOM(S) : Atiqua
QI: 200 tout pile
DATE DE NAISSANCE : 13 / 05
ÂGE : 17 ans
SEXE : ❒ M ✔ F
ORIGINE : Afghanistan
ANCIENNETÉ : 3 ans
MANIE : Fumer le calumet ou la chicha.
Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥) 875565ColorInteractionProjectbyshiawasechan


physique
Punk in body and mind.

Couleur des cheveux : Brun, cachés sous des teintures flashy, la plupart du temps multicolore.
Couleur de la peau : Brune
Tatouage/Piercing ? : Ses oreilles sont constellées de piercing, elle à 3 pics sur la langue, une sous la lèvre, et un anneau dans le nez …ça, c’est ce qu’elle met toujours, après, y’a le reste….
Couleur des yeux : Un bleu et un vert (naturel)
Taille en centimètres : 189 cm
Corpulence: A la limite de l’anorexie


caractère
Who I am ? I am me !

Sérieuse
Calme
Sociable
Studieuse
Compréhensive
Hyperactive
    Extravertie
    Vulgaire
    Maniaque
    Autoritaire
    Égocentrique
    Violente
Pour côtoyer Fuck tous les jours, il faut des nerfs d’acier. Et quand on dit côtoyer, c’est vivre dans les 100 kilomètres autour d’elle. Même le fait que ses jambes ne fonctionnent qu’à moitié ne l’empêche pas d’être partout à la fois, parlant à tout le monde, même les plantes vertes n’échappent pas à son énergie qui vous décoiffe à distance. Tout ce qu’elle fait, elle le fait uniquement si elle en retire quelque chose, et, sachez-le : elle a toujours raison…De son point de vue; car ceux qui dictent les règles ont toujours raisons. Elle est une femme autoritaire, qui n'aime pas avoir tort; et déteste qu'on lui désobéisse, même si elle s'arrange toujours pour cela n'arrive jamais…Après tout, quand on écris les règles, on peut aussi les tordre non ?

L’hyperactive ne cache rien, aime se donner en spectacle, qu'importe les circonstances, ne cache même pas les ressentiments qu’elle éprouve pour les autres, le quota d’insultes changeant envers les personnes. Les seuls rescapés à sa langue acérée sont son seul point faible, sa cryptonite : les enfants. Elle ne peut pas dire non à ses anges, c'est compulsif, dès qu'elle en voit un, elle le couvre de cadeaux et ne peux s’empêcher de le prendre dans ses bras; il hors de questions de leurs faire du mal quand elle est là - à moins que vous teniez absolument à visiter un hôpital pendant plusieurs mois - ; ce sont d'ailleurs les seuls à pouvoir enfreindre les règles sans répercutions. Autre chose à savoir ? Ah oui, Fuck est contradictoire : elle est une punk, n'obéissant à aucune règles, les posant toutes ; veut se faire remarquer, n'accepte pas de compliments ; travail mais sèche les cours...

Elle se donne toujours à fond dans ses recherches, ne prenant pas le temps de se reposer ou de manger; elle ignore son corps et ses douleurs, ne se concentrent que sur son but, et n'arrêteras pas avant de l'avoir atteint. Elle sait se battre, elle est forte....

Dommage que sa fierté ne l’empêche d'accepter de l'aide.


classe
I do not see the world, the world sees me.


Définissez vous en une phrase.
  1. Non.
  2. Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
  3. Anthropologiquement parlant ou bien ?
  4. Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
  5. Je suis un.


Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
  1. Une bataille navale.
  2. Les hauts de Hurle-vent.
  3. Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
  4. Un poisson rouge.
  5. Une corde. Il saura quoi faire avec.


Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
  1. Finnegans Wake de James Joyce.
  2. H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
  3. Totem et Tabou de Sigmund Freud.
  4. Harry Potter de J.K Rowling.
  5. Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.


Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
  1. « Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
  2. « Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
  3. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
  4. « D'un point de vu biologique... »
  5. « Je comprends ce que tu ressens... »


La petite manie dont vous vous passerez bien ?
  1. Câliner tout le monde.
  2. N'avoir aucune notion du temps.
  3. Faire des private jokes.
  4. Accro au high five.
  5. Caser des citations partout.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.

  1. Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.

  2. M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.

  3. Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?

  4. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.

  5. Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...



histoire
My life ? War

La vie était belle pour la famille musulmane Farhakann. Famille aisé, père étant déjà marié à trois femmes, avec des enfants en pleine santé. Leur premier né, était en vaillant, grand, fort, croyant jusqu’à sa moelle, avec de bonnes notes ; le parfait garçon. Leur second fils était quelqu’un de plus timide, de plus soumis –au grand désespoir de son père-mais restait un bon fils, et le plus petit était rebelle, mais promettait aussi un grand avenir. Le bémol est la seule fille de la ligné, l’avant-dernière : rebelle, indisciplinée, grande gueule, effrontée, mal poli, et surtout, elle ne voulait rien entendre de cette ‘connerie de religion’. La tâche d’encre était là, aussi tenace qu’un chien sur son os, n’écoutant rien, se bagarrant avec les garçons de l’école qui lui disait de retourner dans la cuisine, insultant ses camarades féminin ‘trop coincé’, vouant un culte pour les Etats-Unis d’Amérique et leur langage qu’elle assimila bien trop rapidement, criant, haut et fort, que JAMAIS on ne lui fera porter un voile et épouser un homme contre de l’argent. La petite peste avec son grand sourire qui faisait peur et ses yeux de fouine, capable de convaincre n’importe qui de n’importe quoi rien qu’avec sa force de caractère et son intelligence mal placée. Du coup, elle n’était jamais seul, trainant avec des camarades qu’elle avait convaincu et qui maintenant, la suivait comme son ombre. Jeux d’enfants et autres cap ou pas cap prirent formes dans un coin reculé du quartier, assez loin pour ne pas se faire embêter, assez près pour aller gouter, le loup chassant les autres et les autres fuyant le loup, bâton et billes au rendez-vous. Une autre journée qui lui semblait ‘normal’, avec une autre idée :

« Le dernier qui touche la palissade doit manger des cafards ! »
_______________

Elle court, encore et toujours, elle va gagner la course, elle les distances, elle les entend rouspéter, elle va gagner ! Soudain, elle sent quelque chose de dur sous son pied nu, quelque chose plus dur que la terre, plus froid, comme du métal, avec un bruit –ce clic- si particulier. Une explosion, assourdissante, éclate derrière elle ; elle vole, ou s’écrase, elle ne sait pas. Elle ne sait pas si elle a mal ou non, elle ne sait pas où est le haut, où est le bas. Elle atterrit, enfin, contre la terre sableuse du terrain vague qui sert d’air de jeux à elle et ses amis….mais l’heure n’est pas au jeu. La panique se fait sentir, l’affolement des citadins croit à une vitesse phénoménale… suivit de se son…ce son si strident qu’elle entend encore et encore, qui ne veut pas se couper…il lui fait mal, la terre tourne, sa tête est lourde, ses yeux se ferment. Non ! Elle ne doit pas dormir !

Trop tard.
_______________

Lorsque l’on se réveille lors d’un accident, on se retrouve souvent dans une salle blanche, dans un lit blanc avec des draps blancs et un oreiller blanc. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle se retrouvant étendu à même le sol, sur une couchette poussiéreuse, avec devant elle, le ciel, d’un gris marron. Instinctivement, elle voulut se lever. C’est la première loi animale : si tu ne te relève pas, tu es mort. Elle aurait voulu se relever et continuer à courir. Mais elle ne peut pas. Elle ne peut plus. Pour la première fois depuis le début de sa vie, Atiqua paniqua. Elle cria, pleura, frappa, sanglota, gigota ; laissant couler la colère dans ses veines. Elle n’est pas bête, et même si elle ne connait pas les détails, elle sait qu’elle ne pourra plus marcher, ni courir ; elle sait que les personnes couchés plus loin ne se réveilleront pas, elle sait qu’elle a tout perdu, qu’on lui a tout pris, elle sait pourquoi il y a eu cette explosion, elle sait que son quartier a été anéanti, elle sait. Alors elle se permet de laisser éclater la colère qui lui brule les entrailles, criant l’injustice qu’elle subit. Cela dura trois jours, trois jours pendant lesquelles l’on entendit la colère d’une petite fille, et qu’importent les manœuvres, on ne la fit pas taire, supportant les beuglements d’une gamine trop borné, n’écoutant rien, n’obéissant pas. Les seuls auxquelles elle obéissait, se sont ses frères. Mais ils ne sont plus là, alors qu’ils aillent tous se faire voir ailleurs, elle n’écoutera pas un traitre mot de ce qu’on lui dira, elle fera que ce qu’elle aura choisi de faire, point.

Le quatrième matin, un silence de mort se fit entendre dans la maison qui faisait office d’hôpital. Plus de cries, plus de pleures, juste le silence et le regard fixe d’une enfant. Seuls ses yeux sont animés d’une lueur dangereuse, plein de convictions et de volonté. Elle remarchera; quoi qu'il en coûte. On finit par la déplacer dans un hôpital de centre-ville, où on lui apprit qu’elle pourrait reprendre l’usage de ses jambes aux bouts de très nombreuses années de rééducation, en profitant pour lui faire passer des tests psychologiques, les médecins lui expliquant que : « blablabla traumatisme, blablabla tests, blablabla rétablissement, blablabla orphelinat, blablabla Q.I, blablabla fauteuil roulant, blablabla Angleterre, blablabla surdouées… »

Blablabla dégagez.

_______________

Elle s’ennuie derrière la vitre, sa joue reposant mollement au creux de sa paume, le regard hagard devant le paysage qui défile sous ses yeux, attendant patiemment que la voiture arrive à l’aéroport, qu’elle puisse enfin quitter cet horrible pays vers…vers où d’ailleurs ? Elle ne sait plus et s’en fiche éperdument tant qu’elle peut quitter cet endroit. Le chauffeur la regarde avec dégout, son excentricité le dérangeant mais elle s’en moque, elle a l’habitude des regards en coin, choqué, et pour tout vous dire, elle aime ça, qu’on la regarde, sans pour autant qu'on ne l'approche. La voiture arrive à l’aéroport, et elle regarde son vol vers….l’Angleterre ; ah oui, ça lui revient maintenant. L’avion décolle, et elle est heureuse, excité, impatiente. Qui sait, peut-être qu’elle pourra traumatiser d’autre esprits fermés, ou embrouiller d'autres cerveaux.
_______________

« La Wammy, c’est quelqu’ chose. Au départ tu penses juste : « c’est une énorme blague ? », mais on finit par se faire, et au final on adore ça ! Pour l’instant j’ai jamais été si heureuse ; nan, franchement, faut le voir pour y croire, tu verrais la gueule des gens à qui on raconte ça! Mais mon moment préféré c’est quand même l’arrivé, que ce soit celle des autres ou la mienne. J’te raconte pas la gueule que l’patron a tirée quand je lui ai dit quel pseudo j’voulais, c’tait à crever de rire ! J’veux pas partir, ce truc c’est un truc de malade, j’crois que je vais en pleurer ! Bon, y’a toujours des cons, même dans un truc de surdoués mais c’pas grave, on s’en bat les steaks. La seul chose que je regrette c’est que j’peux plus trop trainer la nuit dans les rues, mais bon, j’arrive quand même à m’procurer les trucs qu’i’m’faut pour construire mes machines. Ouis j'construits plein de trucs moi, tu verrais ça, j’crois que j’ai de quoi faire une 300 SLR ! Quoi, comment ça c’est quoi ? T’es un inculte en bagnole ou quoi ? Pfeuh, t’es même pas capable de me citer les plus grandes inventions technologiques...[…]Attend qu’est-c’qu’il dit l’enfoiré derrière moi ? Connasse toi-même !! Moi au mois j’suis pas une lopette refoulé ! Va voir ailleurs merdeux, j’veux plus voire ta face ! T’as compris ?! DE-GAGE !! »


HRP
wave your hands.


Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥) Fiddlings-weheartitic38
    SURNOM(S) : Stein
    DATE DE NAISSANCE : 26 / 11 / 1997
    ÂGE : 15 ans (enfin presque...)
    SEXE : ❒ M ✔ F
    AVATAR : Trouvé sur Zero-chan, par le meme artiste qui a fait celui d'Arpege >.>
    DÉCOUVERTE DU FORUM : Toujours en essayant de trouver des images de la Wammy's House
    EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ?Oui, mais pas mon premier compte :p.
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End Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥) End10
End
Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥) 490550Shape3

Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥) Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥) EmptyMer 19 Sep - 21:26

Re-Bienvenue parmi nous :'D !

En voilà un personnage original ! Et ça ne m'étonne pas que le questionnaire ai indiqué qu'elle est une Shape XD ça colle tellement bien que je ne te demande pas si ça te va.

Lancer de dés effectué~~

Amuse toi bien sur WH c:
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Oy, y'a pas un con qui a t'chourré ma clé de douze ?- Fuck (u ♥)

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