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 "c'est beau comme t'es con" - Topaze

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Invité
Sujet: "c'est beau comme t'es con" - Topaze "c'est beau comme t'es con" - Topaze EmptySam 17 Déc - 14:36

Identité

"c'est beau comme t'es con" - Topaze Fiche-10
PSEUDONYME : M'appelle Topaze. Pas comme le vulgaire caillou qui a, pour certain, de la valeur, mais à cause de ce foutu livre que j'ai lu, relu et feuilleté des centaines de fois. Ce livre, cette pièce ! La pièce de Marcel Pagnol, de ce simple professeur. Enfin, je ne suis pas sentimental, mais ça m'a plu, j'ai apprécié. NOM : Tout d'abord parce que mes parents se sont séparés pendant que j'étais encore dans le ventre de ma génitrice et ensuite parce qu'ils voulaient tout de même tous deux me reconnaitre, j'ai deux noms. De par mon père, je suis un Flamme, on m'a dit qu'en France j'aurais fait des ravages, et de par ma mère je suis un Terven. Là, personne n'a rien dit. Du coup, appelez-moi Flamme-Terven. Avouez que quand c'est assemblé, ça sonne plutôt bien. PRÉNOM(S) : Ma mère a eu le premier choix et, dans l'idée d'être « originale », m'a appelé Thomy. J'en connais une vingtaine d'autres, des Thomy. Alors j'ai plutôt remercié mon père, qui lui a eu une meilleure idée en me donnant comme second prénom Luther. J'avais une bonne référence de ce côté-ci. Et puis pour finir, d'un commun accord ils ont opté pour Ingell, mais ça... QI : Mon QI ? Ben on m'a dit qu'il montait à 191. Comme quoi, je ne suis pas aussi con qu'on ne le dit ! DATE DE NAISSANCE : 03 / 03 Quel beau jour, vraiment. ÂGE : J'ai l'air grand, hein ? Ben j'ai 16 ans. Pas plus. SEXE : ✔ M ❒ F ORIGINE : C'est très facilement repérable, en fait, physiquement ça se voit. Et puis mon accent aussi, il est foireux. Je suis allemand. ANCIENNETÉ : Ça va faire 3 ans que j'y suis. Je commence à m'y faire, d'ailleurs. MANIE : On me l'a fait remarquer à maintes reprises. C'est vrai que ce n'est pas classe. Je mordille, je lèche, j'avale ou je déchiquète mes doigts. Tout le temps. Je mords mes mains, aussi.


Physique

"c'est beau comme t'es con" - Topaze Fiche-11
Couleur des cheveux : Je suis un blond, un vrai blond. Attention, je ne suis pas un blond à la Bieber, avec la mèche, j'ai les cheveux en bataille, et pourtant un peu bien brossés.
Couleur de la peau : Blanc. Un peu bronzé. Mais franchement, j'aurais préféré être noir.
Tatouage/Piercing ? : Je suis saint. Quoi que. D'accord, j'ai tatoué un anneau sur mon annulaire gauche. Un trait noir, un trompe-l’œil.
Couleur des yeux : J'ai les yeux jaunes. Pas tout à faire jaunes, mais comme un chat, un peu. Perçants. Qui brillent.
Taille en centimètres : Je mesure 1m83 et je n'en suis pas peu fier.
Corpulence : Je ne suis pas gros. Je suis dense. En fait, je pèse 73 kg, mais ça ne se voit pas, on croit que j'en fais moins.



Caractère

"c'est beau comme t'es con" - Topaze Fiche-12
extraverti
impulsif
franc
amusant
courageux
gourmand
    bavard
    violent
    sadique
    têtu
    ironique
    utopiste
D'abord, je dois dire que je n'aime pas parler de moi. Vraiment pas, je trouve ça con. J'ai de mauvais préjugés. Je vais tenter d'être objectif, mais je reste la personne qui parle, alors comprenez que je vous cache certaines choses, que j'en embellisse d'autre et que je saccage certaines. « Je » est un pronom qui me dérange, alors on va s'y prendre à la César. "Il" est un type singulier, qu'on prend, en premier lieu, pour un simplet, un homme vulgaire qui ne cherche pas à s'expliquer, qui n'a d'ailleurs aucun argument sur ses idées. Un crétin bon qu'à une chose : le sport. 'parait qu'on me voit comme un peu niai, aussi. Il n'est pas niai ! Certainement pas. C'est une personne lucide, qui résonne bien et rapporte facilement de bonnes notes à la maison. Sous ses airs rustres, il réfléchit beaucoup, il déduit, il étudie. C'est vrai, quoi, ce n'est pas parce que je ne cite pas Shakespeare toutes les cinq minutes que je suis con ! Il s'exprime avec des mots simples, voire de façon vulgaire, et parfois manie ses phrases de façon incohérente, mais il ne s'agit là que de « style ». Effectivement, pour un type bilingue, il peut, s'il veut, manier les deux langues à merveille, même si l'accent allemand est toujours très marqué sur son anglais. Il jure souvent et ne s'en excuse pas, il n'est pas poli, mais ne s'en vante pas. En revanche, il n'est pas sale non plus, il sait se tenir au minimum. Il se tient droit et marche correctement, pour prouver un reste d'assurance, pour qu'on ne le prenne pas pour un crétin pour de bon. Et je déteste qu'on parle sur mon dos ! Parfois, vous savez, il peut sortir de superbes tirades, digne d'un Molière, mais c'est plus souvent lorsqu'il est seul, ou avec un nombre restreint de personnes, car il tient à son copyright. Mis à part sa classe verbale, il y a sa classe physique est ses réactions franchement CONNES. Qui est-ce qui a le chic pour foutre un pain au premier venu ? C'est bibi. Pour un oui, pour un non, prenez garde mes mignons. Il a des réflexes trop développés, pas franchement envie d'être ennuyé, alors il suffit d'un petit accrochage pour que son poing parte. Ensuite, comme vous êtes tous des amateurs de mangas, vous connaissez surement cette sorte de dièse que les mangakas aiment à faire apparaitre sur les fronts de leurs héros qui sont fâchés, on cette façon de plonger leurs regards dans le noir, sous une mèche de cheveux, en leur faisant serrer les poings. Et bien c'est exactement ce à quoi Zelig ressemble lorsqu'il est contrarié. L’œil qui part en vrille. Avec un rire à la Death Note. AHAHAH ! Bref. Tout bonnement flippant. Mais drôle à vivre, quand on ne se fait pas taper. On aura pu le remarquer, c'est moi qui le dit, il est un peu fou. Juste violent, en fait. Ce n'est qu'un côté sadique qui ressort de sa personnalité, puisqu'autrement, il est relativement apprécié. Si on en oublie son hétérosexualité très développée et le nombre de baffe reçue pour, je cite « œillades indiscrètes », il est plutôt bon garçon. Ni machiste ni raciste, on pourra lui donner comme qualité qu'il ne juge pas, car il faut avouer que c'est bien rare, à présent. Divertissant et loin d'être timide, avec son langage simple et compréhensible de tous, il va jusqu'à faire des jeux de mots critiques, mais pourtant irrésistiblement drôles. Il parle beaucoup, il attire l'attention, il la conserve. Il n'aime pas la solitude, il déteste ça, il préfère de loin se faire toute une bande de potes et faire le con avec eux. Curieusement, il réussit à plutôt bien s'entourer. Généralement copain avec les plus sportifs, il s'entend aussi bien avec les littéraires. Il sait s'adapter, à condition de ne pas l'ennuyer. Il se peut parfois que la présence d'une personne le saoule, au point de l'énerver, et dans ce cas il parle plutôt mal, il envoie le grand monde balader, il insulte, il se fâche. Mais il n'y a que 3 choses capables de le calmer. Trois choses qui sont, pour lui, essentielles. En premier lieu, il ira de lui-même courir, se défouler, faire du sport, car c'est ce qui fonctionne le mieux sur son organisme. Une fois à bout, il n'a plus l'esprit pour s'emmerde à se friter avec quelqu'un. Ensuite, si impossibilité se présente, il trouvera le moyen de bouffer un truc. Car la bouffe, c'est sacré. Il mange, il mange. Mais parfois, encore, il y a impossibilité. Et dans ce cas là, il ne reste qu'une solution, qui marche un peu moins bien, mais qui reste la dernière chose à pouvoir le calmer : un peu d'affection de la part d'une fille. N'importe quoi, un bisou, un câlin, un charmant sourire. Ça marche à tous les coups, avec tout le genre féminin. Je l'avoue, je ne peux pas résister à une demoiselle. J'en oubliais d'ailleurs un point essentiel : j'ai envie de voir la paix. C'est tout bête, ça ne se remarque certainement pas, mais il nourrit l'idée qu'un jour, un beau jour, il pourra vivre dans la paix, peut être dans un nouveau monde avec le ciel repeint en rose, mais dans une contrée où le pire délit serait de ne pas dire « merci ». Certes, il est difficile d'y croire, en vue du caractère, mais bon, tout le monde peut rêver.



Classe

    Définissez vous en une phrase.
    1. Anthropologiquement parlant ou bien ?


    Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
    1. Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.


    Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
    1. Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.


    Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
    1. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »


    La petite manie dont vous vous passerez bien ?
    1. N'avoir aucune notion du temps.


    Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
    1. Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.


Histoire



Maintenant que j’y pense, ma vie, elle a commencé avant que je ne naisse. Sans ça, je n’en serais surement pas là. Je serais un pauvre type, perdu dans un bled allemand, surement introverti et évidemment triste à supporter. Je suppose que je n’aurais même pas cette chevelure rose, sans ça. Mais ça restait évident qu’entre mes parents ça ne pouvait pas coller. Dad, il était premier de sa classe depuis le cours préparatoire, et là, il sortait tout droit d’une université à renommée mondiale, il était déjà riche avant d’être né, il était intelligent, et comme il gérait bien son argent. En revanche, avec les femmes c’était autre chose. Un sale type qui prenait du bon temps une fois par semaine en se baladant dans les boites branchées. Il réussissait toujours à avoir ce qu’il voulait, mais surtout grâce à l’argent. Je dois dire que son charme… Il était juste bon à présenter ses nouveaux produits et à encourager ses employés, après ça, ce qu’il pouvait être ennuyeux. Dad, je l’ai toujours trouvé infect envers la gente féminine, ça m’a vite dégouté. C’était un bon père, mais à ce point de machisme, il fallait faire quelque chose. Je n’ai rien eu le temps de faire. Quant à Mom, c’était une très jolie jeune fille, populaire et sportive, mais qui n’avait pas franchement une grande morale. Elle était juste gentille. Son rêve, c’était de devenir danseuse étoile, ce qu’elle a réussi à merveille. C’était un secteur épatant, je n’aurais jamais imaginé poser les pieds dans de telles pièces si elle n’y avait pas été la danseuse principale. Quoi qu’il en soit, quelle grâce ! Je n’en ai pas gardé un pet. Quedal, moi tout ce que j’ai, c’est le regard vicieux de Dad. Ils se sont rencontrés au collège. Vue les deux versions auxquelles j’ai eu droit, toute aussi idéaliste l’une que l’autre, ils étaient destinés l’un à l’autre, sans prétention. Ils se sont tournés autour des années durant. Mom était partie de rien, elle a épousé un universitaire riche et est devenue danseuse étoile. On peut l’envier. Ironie du sort, madame et monsieur Flamme-Herzog se sont séparés durant la grossesse de madame Herzog, ce qui n’a pas dû l’aider beaucoup pour supporter l’accouchement, je suppose. Quoi qu’il en soit, le « moi » n’est pas ressorti intact de tout cela. Ma petite enfance se résume à des allés-retours entre tels et tels endroits, un échange familial régulier. Je m’en sors curieusement mal. Je peux le dire, les relations parentales sont complexes, surtout celles de mes parents. Ils se sont tournés autour toute leur vie. À cause d’eux, je n’ai commencé à parler que vers 4 ans, pas avant. Mais ensuite, on aurait dit que je voulais rattraper le temps perdu, ils en ont bavé. Ils ont connu toute ma vie jusqu’à ce que je rentre au collège. Papa et Maman se battaient souvent pour avoir ma garde, mais un jour c’est devenu pire. Je ne peux pas dire que leurs batailles me dérangeaient, j’y étais habitué, et comme ils finissaient toujours par se réconcilier, ça m’était plutôt indifférent. Jusqu’à ce qu’une bataille ne devienne trop sérieuse, et qu’ils se réconcilient un peu trop. 9 neuf mois plus tard, j’avais 7 ans et eux deux enfants. Une petite sœur, tiens. La grâce de Maman entièrement réincarnée dans un petit bout grand comme ça ! Une vraie poupée. Je l’ai jalousée. Trois jours. Je voulais une jumelle, pas une petite sœur. Je voulais un moi au féminin, qui pense comme moi, au féminin, qui ait un minimum de goût esthétique. Une sœur pour lui demander « suis-je » et rétorquer que nous sommes jumeaux si jamais elle y pose un doute. Sûr qu’elle m’aurait fait la même. Quoi qu’il en soit, pas de jumelle, mais une sœur de sept ans ma cadette. L’horreur durant trois jours, le bonheur durant huit mois, et ensuite c’est de nouveau l’horreur. Bref. Je n’ai pas trop aimé.

« Tu es sûr que tu ne veux pas de gouter, mon chou ? » Je jetais un coup d’œil vers le rétroviseur pour y croiser le regard noir de Mom. C’était bien à moi qu’elle s’adressait, la chose était certaine. Je refusais la chose une nouvelle fois, sympathiquement. Maman, maman, tu sais très bien que je déteste m’arrêter chez Pépé-Mémé pour gouter. Alors on va ailleurs, on continue notre chemin. Je regarde les rues défiler. Je n’aime pas trop faire le trajet de chez Papa à chez Maman, et dans l’autre sens non plus, d’ailleurs, c’est toujours un peu lugubre. Mais on finit par y arriver, chez elle. Moi, je prends Emma dans mes bras et j’attends qu’elle ouvre la porte. C’est une maison de ville, faite en pierre, qui tient entre deux autres. On vit en hauteur, on passe notre temps à monter ou descendre les escaliers. Qu’est-ce qu’elle est belle cette maison. L’appartement au 21ème étage de l’immeuble en verre de Papa fait pâle figure, à côté de cette maison. Ce n’est pas si mal d’avoir deux maisons, en fin de compte. Je pose Emma dans son parc à jeux, puis je file remettre ma chambre en place. Il faut toujours que cette nouille de Nadja me la mette sans-dessus-dessous dès que je quitte la maison. Pourquoi Maman a-t-elle décidé de refaire sa vie, bordel ? En plus, son nouveau mari, il est un peu con. J’ai passé plus de temps à lui apprendre des choses que lui à me parler, c’est pour dire. Et je suis petit. Lui, c’est un vieux. Pendant que je fais mon rangement, elle revient à l’attaque, la Nadja. Je lui lance un regard glacial, mais elle reste, malheureusement, de marbre. C’est alors qu’elle a sorti une phrase que je connoterais bien de mortelle. « Tu veux jouer au docteur avec moi ? » J’ai eu envie de lui dire « non, par contre, tu sais, avec ta cousine, la rousse, là, ça ne me dérangerait pas », mais j’ai abandonné cette idée. Elle aurait pleuré. Alors je lui ai tout simplement lancé un regard plein de sous-entendus, un peu comme Sherlock Holmes le ferait par-dessus ses lunettes à l’entente d’une bêtise de Watson. Elle s’est tue, elle est partie. J’étais heureux. De toute façon, jouer au docteur ? À quoi bon. Je faisais mon sac de sport. J’étais presque prêt pour mon match de handball, ne me manquait que la concentration. J’étais mal parti. Déjà, le bruit s’échappait d’en bas. Quelle vie, quelle vie.

Papa, Maman, sont morts ensemble. Le même jour, la même et dans le même accident. Ben oui, ils s’étaient remis ensemble pour la énième fois et ont eu un accident de voiture. C’est Emma qui a pleuré. Beaucoup. Moi, je n’ai rien dit. Il parait que j’étais tout blanc. Non, même pas blanc, ni blême, ni pâle, transparent, voilà ce que je devenais. Je me liquéfiais au faire et à mesure qu’on me parlait. Je n’osais même plus fermer les yeux, de peur que ça ne s’aggrave, de peur que ce soit au tour d’Emma. Je la prenais dans mes bras, la serrais contre moi. Je n’avais jamais mesuré à quel point la tristesse était malsaine. On me parlait, encore. On me dit de faire mes valises, qu’il fallait partir. On allait venir me chercher dans la soirée. J’ai regardé Emma partir, sans moi. Je suis entré de nouveau dans la maison, je me suis étalé contre la porte. Et j’ai pleuré. Ça faisait longtemps que je n’avais plus pleuré, pourtant, je ne pensais même pas avoir à le refaire, et puis là, ça me faisait trop mal. Je restais là, puis je regardais l’heure. Il me restait l’après-midi. Sans réfléchir, je suis monté dans ma chambre, j’ai enfilé un survêtement, j’ai pris mon Ipod, et je suis sorti. J’ai couru, aussi loin que je pouvais, aussi loin que mon souffle me supportait. Ce n’est qu’au bout d’une heure que j’ai calmé le rythme. J’étais sorti de la ville depuis longtemps, la pluie coulait à flot, mais mes larmes avaient séché. J’étais sur une route de campagne, et d’entendre une voix me surprit. Surtout cette voix. « Zelig ? Ça va ? » Je me tournais vers mon interlocutrice. Yoanne se tenait face à moi, sur son vélo. Elle avait mit un pied-à-terre. Je tombais à genou devant elle. Curieusement, toutes les forces que la colère et la tristesse m’avaient données s’étaient évaporées, comme ça. Je lui expliquais mon problème, mot à mot. Elle eut un regard compatissant, puis s’est accroupie à côté de moi. « La voiture de tes parents est rentrée dans une autre voiture : celle des miens. » J’écarquillais les yeux et la regardais de haut en bas. Elle aussi, elle pleurait, et je n’en avais rien vu. Je m’excusais. Elle proposait de me ramener, et je la laissais faire. Yoanne était aussi troublée que moi. Devant ma maison, je lui disais adieu, lui expliquant qu’on venait me chercher. Puis je la remerciais, m'excusais, et finissais par refermer la porte. Je finissais l’après-midi en préparant ma valise. Au final, il ne me restait pas grand-chose à prendre. Juste quelques trucs sentimentaux. Une douche brulante plus tard, on venait me chercher. J’abandonnais ma maison et suivais l’inconnue sans mot dire. La Wammy’s House, c’est là qu’on m’emmenait, parce qu’il fallait. On m’a dit que j’étais intelligent, que ça valait le coup. Une fois sorti de cette école, l’avenir s'offrirait à moi. Et tralala. Qu’est-ce que j’y pouvais, moi ? Je ne compris pas le but de cette école, simplement que je devais y aller. « Vas-y, vas-y ! », comme disait la petite voix. On me demanda mon nom, puis on me dit de choisir un surnom, un surnom à garder, toujours. Je n’ai pas hésité. « Topaze ». Maman avait dansé sur cette pièce, j’avais lu et relu le scripte, j’avais vu les acteurs, les films. Tout sur ce type. Tout sur moi. Mais il restait un petit hic à cet endroit. On m'a dit « tu vas étudier ». J'en ai recraché mon chocolat chaud. Depuis quand est-ce qu'il fallait que moi je bosse ? Et le pire, c'est que quelqu'un s'est mit en tête de me faire entrer un tas de propriétés physiques dans la tête. Je vous en foutrais, des devoirs... J'avais l'impression qu'on me retirait tout mon être. Plus de philo débile, rien que des trucs concrets. Genre l'analyse des matériaux. Ce que l'on m'a, évidemment refilé. Ou que j'ai choisi. Qu'importe. Avec ça, ma physique allait faire des bonds. Moi j'allais surtout crever d'ennui.



HRP.
SURNOM(S) : Biboum, parce que ce que. (:
DATE DE NAISSANCE : 07/05/97
ÂGE : 14 ans. Bah ouais, je suis sexuellement précoce.
SEXE : ❒ M ✔ F
AVATAR : Cuddles from HTF - Random Blond Hair.
DÉCOUVERTE DU FORUM : Boh. Partenariat.
EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? : Heiiin. Naon. Même que depuis le temps je maitrise le personnage masculin hétéro. Que je suis pas sûre de ma sexualité, alors dites moi, quel exploit ! (oui, j'ai déjà fait un tour dans le flood ytou. -->
"c'est beau comme t'es con" - Topaze Rand1011



Dernière édition par Topaze le Jeu 22 Déc - 19:59, édité 5 fois
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Pure Pure
"c'est beau comme t'es con" - Topaze 384660Alter2

Feuille de personnage
Wammy’s: H / A
Double Compte:
Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: "c'est beau comme t'es con" - Topaze "c'est beau comme t'es con" - Topaze EmptyMer 21 Déc - 1:15

    Bonsoir et bienvenue !

    Alors, alors, ton personnage est un EXPERT, il lui faudrait une spécialité.

    J'ai remarqué quelques erreurs d'inattention dans le caractère, par exemple "résonner" au lieu de raisonne, "est" au lieu de et, etc.

    De plus, je tiens à te signaler qu'aucune correspondance avec des personnes appartenant à l'ancienne vie des orphelins n'est possible. Topaze ne pourra en aucun cas garder contact avec Yoanne, sauf bien sûr s'il part à la recherche de celle-ci une fois sorti de la WH.

    Corrige tout cela et ce sera bon. o/

    Bonne continuation.

    alea jacta est
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Invité
Sujet: Re: "c'est beau comme t'es con" - Topaze "c'est beau comme t'es con" - Topaze EmptyMer 21 Déc - 10:37

Je. Merci Pure ! \o BonPatron et moi avons débarrassé cette fifiche de ses fautes, en revanche ni lui ni moi n'avons trouvé de "est" au lieu de "et"... Je ne fais pas cette faute là... mouahah ! Bref. C'est corrigé au maximum de ma possibilité, et j'ai retiré la correspondance avec Yoanne. C'est vrai que j'aurais dû m'en douter.

Par contre, pour le groupe... Je n'aurais jamais pensé ça. Shocked Comprends pas. Mais c'est cool. ovo Merci Pure !
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Invité
Sujet: Re: "c'est beau comme t'es con" - Topaze "c'est beau comme t'es con" - Topaze EmptyJeu 22 Déc - 12:52

Oui, effectivement, en tant qu'Expert ton personnage se doit d'avoir une spécialité, comme la recherche d'une explication rationnelle à la récession économique des dernières années, bref cela peut concerner tout ce que tu voudras tant que c'est indiqué explicitement dans ta fiche.
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Invité
Sujet: Re: "c'est beau comme t'es con" - Topaze "c'est beau comme t'es con" - Topaze EmptyJeu 22 Déc - 13:09

Hm. J'ai rajouté des lignes à l'histoire. J’espère que ça coïncide, j'ai un peu de mal, là.
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Invité
Sujet: Re: "c'est beau comme t'es con" - Topaze "c'est beau comme t'es con" - Topaze EmptyJeu 22 Déc - 17:00

Bon, je viens de lire ta fiche, et tout paraît bon xD
Par contre, il reste un problème et c'est au niveau du surnom de ton personnage.

Voilà ce que nous dit ce bon vieux règlement :
Citation :
Avant tout de chose, il vous faut un pseudonyme. La Wammy’s House a une politique sur l’anonymat du personnage très importante ; je ne veux pas voir le vrai nom et prénom de votre personnage, mais le pseudonyme qu’il s’est choisi (ou que Roger a choisi pour lui) en arrivant. Ce dernier doit commencer par la première lettre de votre prénom ou nom et doit être en un mot uniquement.

Topaze ne respecte donc pas ces conditions xD Dis-moi quand tu as effectué les changements histoire que je puisse enfin te valider !
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Invité
Sujet: Re: "c'est beau comme t'es con" - Topaze "c'est beau comme t'es con" - Topaze EmptyJeu 22 Déc - 20:02

Awooooh. Le chic de la foirade. J'ai mis du "T", c'est bon. Je. Crise.
punaise, si cette fois ça ne passe pas, je hurle
Merci de faire preuve d'autant de patience à mon égard. C'est gentil. (':
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Invité
Sujet: Re: "c'est beau comme t'es con" - Topaze "c'est beau comme t'es con" - Topaze EmptyJeu 22 Déc - 21:08

Bienvenue parmi nous !
Tu es validée !
Bon jeu !
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Sujet: Re: "c'est beau comme t'es con" - Topaze "c'est beau comme t'es con" - Topaze Empty

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"c'est beau comme t'es con" - Topaze

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