PSEUDONYME : Prude NOM : Lowell PRÉNOM(S) : Prune QI: 159 DATE DE NAISSANCE : 07 / 06 ; Gémaux. ÂGE : 15 ans SEXE (✔) : ❒ M ✔ F ORIGINE : Ma mère était française pour le reste, c'est assez obscur je dirais.
Aux yeux des autres
Couleur des cheveux : Prune, justement. Couleur de la peau : Un peu halée, voir beaucoup Tatouage/Piercing ? : None.
Couleur des yeux : Bleu clair Taille en centimètres : 162 Corpulence: "normale"
Niveau caractère, c’est dur de se définir soi-même … M’enfin essayons. Tout le temps que j’ai grandi avec ma mère j’étais plutôt solitaire, pas vraiment du genre à m’attacher au gens. Faut bien comprendre c’est pas ma mère qui m’as appris à aimer. Elle m’en voulait et c’en est devenu réciproque. Ce n’est pas que ne n’aimait pas les gens mais j’y faisais pas attention et ils me le rendaient bien. Jme souviens pas avoir vraiment eu d’amis à cette époque mais je m’en portais pas plus mal. J’avais une vie monotone et répétitive, cela me convenait très bien. Nous retiendrons donc solitaire pour ma première vie. Puis pour ma vie avec ma grand-mère, j’ai commencé à apprendre à « aimer ». J’ai énormément aimé ma grand-mère mais j’étais toujours aussi solitaire. J’avis quelques connaissances, mais rien de plus. Je connaissais le nom de mes camarades de classe, tout au plus. Je discutais de temps en temps avec les gens. Je ne me rappelle pas avoir eu de dispute. J’ai découvert le dialogue et la confiance, choses que je ne connaissais pas avant. Puis maintenant j’entre dans ma 3eme vie, surement la bonne. J’ai appris peu à peu à m’ouvrir aux autres et j’espère maintenant pouvoir me faire des amis … Mais ça m’as l’air sur la bonne voix car la fille que j’ai rencontré est vraiment cool ! J’espère que je rencontrerais d’autres gens comme ça. Pour ce qui est vraiment du caractère ... Disons que je suis assez étourdie, tête en l'air et compagnie, me perdre, marcher sans regarder où je vais et me retrouver je ne sais où, oublier la moitié des choses ça m'arrive souvent, voir très souvent ! Il parait aussi que je suis tétue, déterminée, bornée. C'est vrai que quand j'ai une idée en tête, c'est pas simple de me l'enlever. Rancunière aussi ! Si on me fait une crasse, ça me prendra le temps que ça me prendra mais je vous renvoirais la pareille, n'en doutez pas. Je suis franche aussi. Défaut ou qualité ? Je ne sais pas, ça dépend des gens. Mais je dis ce que je pense, et par celà, je peux être blessante parfois ...
QCM à choix unique
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Définissez vous en une phrase.
Non. Vraiment non.
Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
Anthropologiquement parlant ou bien ?
Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
Je suis un.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une bataille navale.
Les hauts de Hurle-vent. J'aime bien ce livre, moi
Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
Un poisson rouge.
Une corde.Il/elle aimera bien
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Finnegans Wake de James Joyce.
H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Totem et Tabou de Sigmund Freud.
Harry Potter de J.K Rowling. Surement le seul que jconnais, pas sûre qu'on le trouve vraiment dans ma chambre...
Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. » pas exactement dit comme ça mais oui, aussi.
« Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
« D'un point de vu biologique... »
« Je comprends ce que tu ressens... » Parfois, oui.
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Câliner tout le monde. Euh, non.
N'avoir aucune notion du temps. Quoique, j'aime trainer. Mais ça gène pas mal de gens ...
Faire des private jokes. de temps en temps, ouais.
Accro au high five. hum, non
Caser des citations partout. Souvent, j'avoue
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...
Rouvrir d'anciennes cicatrices ...
Pfut, raconter sa vie, son enfance ... C'est personnel ça, et puis qui s'y intéresse ? "Occupe toi de ta vie et t'auras moins d'ennuis" c'est moi qui vous le dit ! Mais si faut le faire, jvais le faire ... Ma mère m'en a toujours voulu. D'être née, d'être là, d'exister.
- Si tu n’étais pas née ton père serait toujours avec moi ! Si je n'avais pas été enceinte de toi tout aurait été mieux, ton père m’aimerait encore et je vivrais heureuse dans une belle maison! Tu m'as volé mon bonheur, mon amour, ma jeunesse.
Voilà ce qu'elle me braillait chaque fois qu'elle m'engueulait, même lorsque j’étais petite. Mais je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir. Car oui, mon salaud de père s'était barré lorsqu’il avait apprit qu'elle était enceinte. En plus de ça elle n'avait plus de contact avec ses parents et avait du assumer toute seule le fait de le fait d'élever une gosse. Elle avait donc trimé nuit et jours pour pouvoir se payer l'appartement dans lequel j'ai grandit. J'ai très vite compris que j’étais pour elle un fardeau et c'est à cause de ça (ou plutôt grâce à ça, tout dépend de comment vous le prenez) que j'ai appris très vite à être autonome, comme ils disent. Elle travaillait tard, pour gagner plus ou pour ne pas me voir (moi, objet de sa déception), les deux sont possibles. Je me suis très vite débrouillée toute seule, pour aller à l'école, faire le ménage et faire à manger. " Se démerder, y a que ça de vrai, comme ça on pourra rien me reprocher" C'était plus ou moins sur cette vérité que je continuais ma vie, proche et en même temps loin de ma mère. La vie continua, monotone et sans incidents jusqu’a mes 10 ans. C’est vers ces eaux là que ma mère tomba gravement malade. Elle ne pouvait pas travailler, tellement faible qu’elle devait rester alitée toute la journée. Plus de travail, plus d’argent, et nous vivions sur les quelques sous que nous recevions. Je rentrais de l’école, lui faisait à manger, faisais le ménage et me couchait. Elle déclinait de jours en jours. Quelques temps plus tard elle mourut « méningite fulgurante » qu’ils disaient, les médecins. Et là ce fut la débandade, les visites sans arrêt, des gens que je ne connaissais pas qui défilaient dans l’appartement. On me ballotait de maisons en maison, de familles en familles, attendant me trouver quelqu’un ayant un lien de parenté plus ou moins valable avec moi. Moi, je m’en foutais royalement mais ils avaient l’air d’y tenir.
« Nous ferons tout pour retrouver quelqu’un de ta famille qui puisse s’occuper de toi d’accord ? Sois gentille avec la famille qui t’accueille en attendant, disaient les assistantes sociales au ton mielleux et un regard sucré, d’accord ma puce ? »
Puis un jour ils débarquèrent de nouveau, leur voix suave de baratineurs, me parlant comme à une gamine de 3 ans. Ils avaient trouvé quelqu’un disaient ils. Tous ces gens, des voix mêlées, entremêlées et ce défilé à n’en plus finir. En retrait, il y avait une vielle femme, m’observant, souriante mais intimidée.
C’est là que commence la deuxième partie de ma vie. Cette vielle femme au corps fatigué était là. J’ai levé les yeux vers elle, l’interrogeant du regard. Elle m’a souri comme jamais on ne m’avait sourit. Un sourire plein de chaleur et d’amour. Ils l’ont laissée s’approcher. Elle avançait à pas lents, comme on marche pour ne pas effrayer un oiseau.
« C’est ta grand-mère, dit une de ces personnes toujours mielleux. Tu vas vivre avec elle maintenant. Elle accepte de te prendre en charge. Tu peux rentrer avec elle dès maintenant, dit-elle avec un sourire gluant de naïveté.
- D’accord, lui ai-je balancé sans même la regarder. »
C’est alors que commença ma nouvelle vie. Elle me ramena chez elle, m’installa dans une petite chambre. Elle m’aida à y ranger le peu d’affaires que j’avais et descendit faire à manger. A table, elle me parla de ma mère, j’appris alors qu’elle avait quitté la baraque pour s’enfuir avec « mon père ». Grand-mère n’était pas d’accord, évidement. Elle savait qu’il n’était qu’un sale con. Mais elle était heureuse de m’avoir, malgré de fait que cet abrutit ai détruit ce qui lui restait de famille. Je lui dis tout ce que j’avais sur le cœur, les phrases que ma mère me répétait sans cesse. Puis les jours filèrent et défilèrent, la vie était douce auprès de cette vielle femme. Toujours généreuse, le visage illuminé d’un sourire qu’elle donnait à tout le monde, quoi qu’il arrive. Tout le contraire de ce que j’avais connu jusque là. Un amour véritable qu’elle offrait à qui en avait besoin. J’appris à l’aimer, elle m’apprit à m’aimer, et effaça de moi toutes les blessures faites par les phrases assassines de ma mère. Les jours défilaient à une vitesse incroyable, j’entrai au collège, avec des notes acceptables et le train de vie confortable que m’offrait ma grand-mère avait fini par effacer les cicatrices du passé. Les journées défilaient, joyeusement, les mois passaient à toute vitesse et les années semblaient s’envoler. Elle m’offrait ses souvenirs, je lui offrais les miens. Nous passions des heures assises dans le salon à discuter. Mais la douceur de la vie est de courte durée et il arrive un moment où la candeur arrive à son terme. Ma grand-mère commençait à se faire vielle et son corps se fatiguait peu à peu. Les taches qu’elle faisait avant avec tant d’aisance lui pesait et lui prenait un temps fou. Ses bras s’amaigrissaient, sa vue baissait, les rides et la fatigue creusaient des sillons dans lesquels coulait avec une aisance insolente les flots du temps. Son teint se couvrait de ces taches qu’on attrape avec le temps, qui sont synonymes d’un âge avancé. Elle s’éteignait donc peu à peu, perdant sa force et son assurance. Mais jamais son sourire ne s’est décollé de son visage. Jusqu’au bout elle a sourit. Bien que la lenteur de ses mouvements l’énervait au plus haut point, que son incapacibilité à tenir debout longtemps l’empêchait de faire la cuisine, d’aller faire les courses, elle rayonnait. Puis un matin, 3 jours apres mes 15 ans, elle ne s’est pas levée. Je garderais toujours en moi le sourire qu’elle affichait ce matin là. Serein, comme reposée, elle était contente de finir ainsi, je le sais. Et le défilé à recommencé. Les assistantes sociales et leurs bouches qui dégoulinent de sucre. Mais cette fois il n’y avait plus personne pour m’accueillir. J’étais bel et bien seule. Comme mes notes étaient assez bonnes ils ont trouvé que ça serait bien de me faire un test de Q.I … Qui s’est révélé être horriblement chiant de mon coté et très instructif pour eux.
« Surdouée »
Le mot résonna à mes oreilles comme une gifle. Et puis QUOI encore ?! C’est carrément stupide ! Je comprends plus vite que mes camarades, en effet, mais de là a prononcer un mot aussi étrange. Ils voient tout trop grand. Douée. Le « sur » les fait planer, ils aiment tout ce qui est « hyper », « méga », « supra » et tout le tralala. Ils rêvent en XXL, moi je suis tout simplement normale.
« Il y a un établissement spécialisé qui accueille les enfants dans le même cas que toi (mais je ne suis plus une enfant bordel !), la Wammy’s House. Tu t’y plairas, tu verras. »
Hé bien soit. C’est maintenant devant ce bâtiment imposant qu’une troisième vie me tend les bras. La bonne cette fois, j’espère. Toute petite devant cet endroit si vaste, je me jette à corps perdu dans cette nouvelle expérience.
Premier contact
Ils m’avaient abandonnée dans un couloir après être sortis du bureau. « Désormais tu habites ici. » Et ils étaient partis, le pas léger, comme débarrassés d’un poids. Je leurs avais dit que je voulais changer de nom et ils l’avaient accepté sans plus de précisions. Prune n’était plus. Mon nouveau prénom marquait le début de ma nouvelle vie. A partir de ce moment je me nommais Prude. Je m’étais installée dans la cage d’escalier, à mi-chemin entre deux étages. Assise par terre entre mes valises je réfléchissais.
…
Je regarde ma montre, ça doit bien faire deux heure que je poireaute ici… Ils ne m’ont même pas dit où aller, abusé ! Je ne sais même pas où je suis. Je n’ai encore vu personne passer, ça m’inquiète… Bon il faut dire que l’établissement est énorme pour seulement une centaine d’élèves mais tout de même ! Où suis-je donc pour ne voir personne passer ? C’est vide, j’ai l’impression d’entendre des pas résonner au loin. Peut être es-ce par ce que c’est les vacances ? J’aime les vacances mais j’espère ne pas les passer dans cette cage d’escalier … Se lever ? Aucun intérêt, je ne sais même pas où aller et je risque de me paumer, jsuis tellement dégourdie faut dire… Je me mets à chantonner une chanson que je ne connais pas, surement entendue il n’y a pas longtemps, peut être celle qui tournait en boucle dans la voiture qui m’a amenée ici … Les pas se rapprochent, j’espère que cette personne vas me voir, histoire de me guider ! Tiens, les pas sont vraiment près, je lève les yeux. Quelques marches plus bas se tien une fille aux cheveux noirs parsemés de mèches. Elle aborde un air joyeux, le sourire aux lèvres, on dirait une aventurière qui vient de découvrir un endroit inconnu… Je la regarde, toujours en chantant. Elle a un haut noir à bretelles, des bretelles de soutien-gorge tombantes et un short bleu foncé affublé de deux petites chaines. Je baisse les yeux vers ses pieds, elle porte des chaussures géniales ! J’adore, vraiment ! Une tête de mort en imprimé blanc et des lacets colorés défaits, j’adore la façon dont elle s’habille. Je la regarde, elle s’est jointe à moi et sifflotte cette chanson dont je me rappelle maintenant le nom. Je m’arrête et la fixe, elle rit. Son rire est comme un éclat de miroir qui reflète et résonne partout, je ris aussi. Je suis contente d’être tombée sur une fille comme ça, elle a l’air drôlement sympa en plus ! Elle engage la conversation :
- Salut! Qu’est-ce que tu fais là? -Oh, je viens d’arriver ça doit faire deux heures. On ne m’a pas dit où aller. Du coup jsais pas vraiment où jsuis et personne n’a l’air de passer dans le coin… -Hé hé! Y a pas grand monde qui viens dans le coin pendant les vacances, ils sont plus dehors en fait. Y en a quelques uns à l’intérieur, et y à les gens comme moi qui se promènent! J’ai bien fait on dirait! Moi je suis arrivée il y a quatre jours. On m’a pas trop expliqué non plus… En même temps, même s’ils l’avaient fait c’est pas dit que je les aurais écoutés, hé hé!
Elle s’assoit a coté de moi.
- Ah, tu as une chambre donc ! Moi je ne sais même pas ou je dois aller. C’est tellement grand, j’aimerais bien visiter tout ça ! Tu explores donc ? Tu as trouvé des endroits sympas ? - Hu hu! T’inquiète, ils vont t’en donner une aussi! Enfin… Il faut en demander une. Tu peux demander à être avec des gens. Quatre personnes maxi par chambres. Et, ouais! Pour l’instant je suis pas allée explorer dehors, mais rien qu’à l’intérieur c’est sympa! Il y a pleins de pièces et de couloirs! C’est différent des écoles normales, le système est différent, c’est pour ça que je pense que c’est bien d’être arrivé pendant les vacances. Comme ça tu as le temps de t’y habitué. Je te ferais visiter si tu veux! - Ca serait bien oui, de visiter tout ça ! D’ailleurs, tu veux bien me montrer ou je peux avoir une chambre ? Histoire de me débarrasser de mes valises - Ouais, ok! On y va maintenant alors? C'est parti, suis moi!
Elle se lève, je la suis. Maintenant je me sens mieux, je sens que ma nouvelle vie commence vraiment bien, j’ai hâte de rencontrer d’autres gens du coup ! La cage d’escalier n’as plus l’air froide et vide, elle me semble maintenant un lieu plus accueillant. Comme l’ensemble du bâtiment. Et cette fille a l’ai géniale ! J’espère qu’on sera amies.
- Au fait, tu t’appelles comment? Moi Peekaboo. - Au fait, comment tu t’appelles? Moi c’est Prude!
Nous prononçons cette phase au même moment, synchronisation totale !
Personellement
SURNOM(S) : Yuzu / Lassy, selon votre gout DATE DE NAISSANCE : 09 / 02 / 96 ÂGE : 15 ans, il me semble... SEXE (✔) : ❒ M ✔ F AVATAR :Fait par Dino, MERCIIII! DÉCOUVERTE DU FORUM : Grace a Chabus NOTE SUR 20 DU FORUM : Nyuh, difficile ce que vous me demandez là ... 18/20 je dirais
Dernière édition par Prude le Dim 19 Juin - 11:51, édité 6 fois
Alors alors, tu as le choix entre trois classes, les Shapes (il faudra trouver un sport à ton personnage), les Alters, et les Experts (faudra trouver une discipline scientifique)
Et sinon bon courage pour finir ta fiche ! Lancer de dés effectué
Invité
Sujet: Re: Prude-ment Sam 18 Juin - 22:12
Hé bien je pense que Prude sera Alter :3 Pour la matière, les maths conviendraient ? Normalement la fiche est finie, a moins que j'ai oublié quelque chose.
Alors alors, ta petite fiche est bien mignonne, mais juste, j'aimerai bien que tu étoffes un peu le caractère de Prude, parce que tu ne fais que presque parler de ses relations avec les autres, donc, si tu pouvais juste rajouter quelques informations.
Et puis elle n'a pas d'origine la petite Prude, pourquoi donc ? D: Il lui en faut une.
Voilà voilà :3 et après je pourrai te valider avec plaisir.
Invité
Sujet: Re: Prude-ment Dim 19 Juin - 11:53
Origines complétées et J'ai rajouté quelques détails pour le caractère. C'est bon comme ça ? C'ets vrai que définir le caractère je bloque un peu, du coup y a pas grand chose... M'enfin bon j'espre que là c'est bon :3