Sujet: Raven • Shadow under the Rain • [terminée] Dim 18 Sep - 21:21
Identité
PSEUDONYME : Raven NOM : Rachelle PRÉNOM(S) : Everdeen QI: 198 DATE DE NAISSANCE : 18 / 02 ÂGE : 16 ans SEXE (✔) : ❒ M √ F ORIGINE : Irlandaises ANCIENNETÉ : Je suis à la Wammy's depuis 8 ans aujourd'hui.
Physique
Couleur des cheveux : Marron foncés Couleur de la peau : Claire Tatouage/Piercing ? : Un Tatouage de Corbeau sur l'épaule gauche.
Couleur des yeux : Gris-bleus Taille en centimètres : 168cm Corpulence: Élancée et Gracieuse / IMC=18
Raven, oiseau de mauvaise augure. Dans beaucoup de cultures, on prétend qu'ils portent malheur. Peut-être est ce vrai, peut-être pas. En tout cas une chose est sur, il y a peu de chance pour vous de croiser la jeune femme dans un couloir sans en ressortir avec un oppressant malaise au fond de la gorge. Belle et inquiétante à la fois, un étrange mystère semble en permanence flotter autour de cette jeune femme solitaire. Elle n'aime pas vraiment se mêler aux autres, et rares sont ceux assez audacieux pour aller lui chercher des ennuis. Elle a beau dégager un certain charisme et susciter envers et contre tout une certaine admiration chez les pensionnaires, ces derniers se contentent pour la plupart de l'observer de loin. Si vous êtes superstitieux, mieux vaut pour vous rester loin de cette jeune femme aux yeux glacials et éteints renfermant bon nombre d’énigmes irrésolues.
Discrète, elle passe souvent inaperçu et en est très satisfaite car elle se soucie peu de ce qui l'entoure et semble ne pas pouvoir ressentir autre chose que l'indifférence. Elle déteste particulièrement les endroits trop bruyants et trop bondés et supporte notamment très mal d'être touchée. Elle est donc très souvent en retard ou avance, mais jamais dans le flot, ce qui ne fait d'ailleurs qu'accentuer sa réputation d'oiseau charognard, même si ce pas vraiment pas mépris ou par supériorité qu'elle évite ainsi les autres. En réalité, Raven n'éprouve tout simplement pas d’intérêt particulier pour la majorité de ses camarades. Sans les prendre de haut, bien que la plupart soient persuadés du contraire, elle n'aime pas les contacts et ne voit pas pourquoi elle se mêlerait à des gens qui ne peuvent rien lui apporter, d'autant plus qu'elle a horreur de parler pour ne rien dire. Loin d'être muette, bien au contraire, elle préfère simplement avoir des conversations plus soutenues que celles que partagent les autres au quotidien.
Elle aime sa solitude et repense souvent au passé lorsqu'elle s'ennuie, même si elle ne l'évoque jamais et ne supporte pas qu'on aborde ce sujet. Elle passe généralement son temps à chercher de nouvelles informations à réfléchir à des problèmes et à progresser chaque jour par tous les moyens à sa portée. Pragmatique et logique, également plutôt sombre elle ne s'ouvre jamais et préfère se réfugier dans les formules et les automatismes. Très intelligente, intuitive et perspicace, elle ne se laisse jamais détourner de ses objectifs et parvient toujours à les atteindre coûte que coûte. En revanche, elle ne possède pas un esprit de compétition particulièrement fort ce que beaucoup de ses professeurs déplorent. Cela ne l'empêche néanmoins pas de s'améliorer chaque jour, elle n'a simplement pas besoin de vouloir gagner. Elle veut uniquement apprendre, encore et toujours, autant que possible. Elle sait également prendre du recul, envisager les situations sous les angles que la plupart des gens oublient et trouve toujours une solution, souvent inattendue d'ailleurs. Elle n'abandonne jamais quitte à passer des heures sur un travail et celui qui pourra venir à bout de sa formidable patiente n'est pas encore né.
Raven ne s'est encore jamais mise en colère depuis son arrivée et s'est toujours débrouillée pour éviter les ennuis. Très douée pour prévoir les réactions des autres, elle compare parfois les comportements des enfants à des équations mathématiques plus ou moins complexes. Fataliste, on la qualifie parfois de cruelle ou sans cœur car elle n'écoute la plupart du temps que la logique, et n'a aucun scrupule à faire souffrir les autres. Ou bien très peu et très bien dissimulés. En réalité, sa partie la plus humaine est restée très attachée à son passé, raison pour laquelle elle fait preuve de si peu de sentiments et refoule en permanence ses faiblesses. Mais s'il est difficile, voir impossible de réellement mettre en colère Raven, il est en revanche possible de se la mettre à dos pour peu qu'on trouve l'une de ses corde sensible. Elle peut alors faire preuve de la plus tenace des rancune imaginable et recourir à tous les moyens pour pourrir la vie du fou en question.
Honnête, sans doute un peu trop, elle fait toujours face à ses responsabilités et n'est pas du genre à se défiler même lorsque la situation tourne à son désavantage, ce qui est néanmoins plutôt rare. Bien que faisant partie des meilleurs de la Wammy's House, elle sait se faire oublier et ne fait preuve d'aucune marque d'orgueil particulier. Lorsqu'on se montre patient, elle peut même être de très bon conseil et être prête à rendre service, pour peu qu'elle juge la personne mature et digne d’intérêt. Elle peu même alors faire preuve d'une douceur et d'une compréhension inattendue. Peut-être même pourrez vous desceller dans son regard une étincelle de souffrance et de tristesse amère.
En somme, elle fait bien partie de l'élite de la Wammy's mais semble un peu trop manquer de personnalité et d'ambition au gout de certains. De plus le fait qu'elle n'ai pas vraiment d'objectif, ou du moins pas connu par les autres semble gêner bon nombre de personnes qui se débrouillent pour la laisser à l'écart. Mais qui sait ce que cache les ailes noires de la jeune Raven?
Classe
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Définissez vous en une phrase. [X]Non. [X]Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis... [X]Anthropologiquement parlant ou bien ? [X]Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ? [√]Je suis un.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ? [√]Une bataille navale. [X]Les hauts de Hurle-vent. [X]Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton. [X]Un poisson rouge. [X]Une corde.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ? [X]Finnegans Wake de James Joyce. [√]H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams. [X]Totem et Tabou de Sigmund Freud. [X]Harry Potter de J.K Rowling. [X]Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement. [X]« Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! » [√]« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. » [X]« Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! » [X]« D'un point de vu biologique... » [X]« Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ? [X]Câliner tout le monde. [√]N'avoir aucune notion du temps. [X]Faire des private jokes. [X]Accro au high five. [X]Caser des citations partout.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait. [X]Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
[X]M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
[X]Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
[√]Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
[X]Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...
Histoire
Raven, Wings of Memories...
« Sur les ailes du Temps, la tristesse s'envole »
La nuit étend son ombre sur la ville endormie, seul les notes sombres et mélancoliques d'un piano résonnent encore dans l'obscurité. La mélodie déchire le silence de sa tristesse, discorde soudain, et plonge dans la folie et la souffrance. Dans la rue enneigée, une jeune enfant ferme les yeux sur le monde, les lèvres bleuis par le froid, ses longs cheveux sombres presque noir la recouvrant de leur manteau. La nuit est sombre, tout comme le cœur de l'enfant abandonnée aux mains des rues désertes alors que la solitude s'emploie à l'étouffer encore un peu plus. Ses paupières sont closes, son esprit se referme, tente de cicatriser son âme à vif. Elle laisse la neige recouvrir le désespoir, peu à peu, encore mieux, encore plus. Elle se perd. Les notes se rappellent à son esprit, mêlées d'une voix de cristal. Doucement, sous les flocons immaculés, la voix pure d'une innocente se mêle à la nuit, lui offrant par sa profondeur l’écho morbide d'une triste fatalité.
« Les jours ont passés. Les Temps ont changés. Le brouillard se lève avec les ombres de ce dernier crépuscule. »
Il était une fois...
Je ne connais pas d'histoire, je n'ai jamais été douée pour les histoires, et si je sais utiliser les mots, ceux-ci ne savent que former des énigmes. Alors je vous conterai celle-ci avec mes mots ombrageux, ceux qui restent dans les méandres de celle que j'ai été. Je ne suis pas une poète, ou si je le suis, je ne le suis que pour moi, et personne d'autre ne lira cet aspect de mon âme, enfoui parmi les souvenirs. Ceux là même que j'immortalise dans ces lignes. Je vais vous dire mon passé et ses détours. Il y a des mots si simples pour cela. Mais ces mots manqueront toujours de profondeur pour signifier la valeur des pensées qui leur donnent forme. Il me faudra, comme tout être humain, banal, m'en contenter pour vous dire simplement ce que vous souhaitez entendre. Ceci est mon histoire, l'une de ces milliards d'histoires sans valeur autre que celle qu'on veut bien lui prêter. Je suis née voilà à présent 16 ans, un matin de février, dans le froid glacial de l'hiver, quelque part en Irlande, pays de légendes et de superstitions. J'ai toujours détesté les superstitions, d'autant plus que l'on m'y rattache souvent. Pourquoi avoir alors choisit Raven pour nom? Comment vous l'expliquer...c'était moi, tout simplement. C'était mon nom. Ça devait être mon nom. Mon véritable nom, comme celui des autres, a aujourd'hui disparut de la surface de cette terre. Simple mesure de précaution. Symbolique. Chacun de nous le sait, chacun de nous le sent. Notre passé doit lui aussi disparaître avec cette identité, dernier lien que l'on nous arrache. Ne pas s’encombrer, regarder vers l'avant, pour devenir meilleur, il n'y a pas le choix, il faut être capable de tout sacrifier, de n'avoir rien à perdre. C'est précisément pour cela qu'on nous choisit d'ailleurs. Nous avons déjà tout perdu. J'en viens parfois à me demander si nous finiront par abandonner notre humanité avec le reste, et si oui, est-ce dépasser les limites? Ou bien ont-elles déjà disparues? Je ne saurai moi même trouver de réponses à ces questions, du moins pas pour le moment. Je vous parlais de cette vie que j'ai laissée en arrière pour m'élever au dessus des autres. Il n'y a pas grand chose à en dire, les histoires de mort, de sang, d'abandons de pleurs et de solitude ne manquent pas dans les orphelinats, c'est toujours un peu la même rengaine à chaque fois. Quel intérêt peut-on trouver à savoir que mon père est mort et que ma mère m'a abandonné par faiblesse en m'accusant de son suicide? Cela n'a pas d’intérêt, pas le moindre, car cela ne vous rapproche pas de celle que je suis aujourd'hui. Cela ne vous permet même pas d'entrevoir une étincelle de ma peine ou de mes doutes, pas plus que des mes résolutions ou de mes certitudes. Les sentiments sont et restent toujours un entrave dans laquelle on se débat jusqu'à en perdre à haleine. Mais il est des choses que personne ne saurait comprendre.
Pourtant il me faut écrire, écrire pour me souvenir, écrire comme l'une des milles et unes énigmes et équations de ma vie l'histoire qui fut la mienne un jour. Moi qui ai oublié de penser qu'il était préférable de se souvenir. Les souvenirs. J'ai une mémoire qu'on qualifie souvent "d’infaillible" bien que se soit tout à fait faux car cet adjectif que nous tendons tous à atteindre est à jamais inatteignable. Sans quoi tout cela n'aurait plus le moindre sens. Toujours est il que je me souviens encore très bien. De mes parents par exemple. J'ai grandit dans une maison sans prétention, sans luxe ni pauvreté, entourée de grillages noirs ornés de torsades métalliques qui me rappelaient un peu les barreaux d'une prison. Ma mère était une femme belle, et intelligente, incontestablement littéraire, passionnée de philosophie et d’idéaux, rêveuse et fantasque. J'ai sans doute hérité d'elle ma capacité à envisager les choses sous les aspects les plus inattendus. Elle m'aimait au début, j'en suis convaincue. Les choses n'ont changées qu'après ce jour. Mon père était un physicien génial, mais toujours absent et sans ambition, simplement passionnée par la connaissance et désintéressé du pouvoir comme je le suis à mon tour devenue. Enfant, pour combler ses absences, je dévorait ses études, je les analysaient, les gravaient dans les recoins de mon cerveau, jusqu'à les maîtriser à la perfection, dans le seul but de pouvoir un jour gagner la fierté de celui qui m'avait donné naissance. Je ne pensais, à cette époque, pas à mal. Je n'avais pas songé aux ennuis que je pourrai causer, je ne songeait qu'à progresser. Encore, et encore. Toujours plus. Et comme mon père, j'avançais, j'avance, sans autre but que celui que l'on m'offre. Pour mon père, c'était ma mère avait apporté les raisons d'être dont il avait tant manqué. Pour moi, c'était le besoin de reconnaissance. Lorsqu'on avance uniquement pour avancer, on en perd vite la raison, alors il faut bien se trouver des prétextes, des rêves. Peut importe lesquels, au final, ça n'a que peu d'importance. Tout aurait pu continuer ainsi si mon père n'était pas soudainement mort. L'équilibre est quelque chose de fragile, presque autant que l'amour. Mon père était mort, et ma vie venait de perdre sa stabilité. Dés lors, elle était déjà condamnée à la destruction. Comment est-il mort? Pour tout dire, je n'ai aujourd'hui, toujours pas de réponse certaine. La raison officielle est le suicide. J'ai du mal à l'envisager. Mais peut-être que je le connaissais moins bien que j'aurai voulu le croire. Ma mère en tout cas n'y croyait pas, ou plutôt elle le croyait un jour, le refusait le suivant, perdue, abandonnée, désespérée. J'aurai souhaité pouvoir la secourir, mais aucune main n'aurait su la tirer du tourbillon de folie qui l'aspirait. La mienne encore moins. Avait-elle eu des mots avec mon père à mon propos ou bien cherchait elle simplement quelqu'un sur qui reporter sa colère, toujours est-il qu'elle finit par se convaincre de ma responsabilité dans sa mort. Peut-être était-ce finalement moi qui, sans le vouloir, avait semé le mal dans l'esprit de ma mère. Si vous ne m'entendez jamais pleurer sur mon sort, ou bien me plaindre, c'est que j'ai conscience d'avoir ma part de responsabilité de la déchéance dans laquelle devait plonger mes horizons.
Ma mère aimait mon père, elle l'avait aimé plus que tout, le voir perdre vie lui fit perdre sa propre raison, et tout s'enclencha comme dans un rouage infernal. le comportement humain ressemble à des dominos, à des suites plus ou moins complexes mais toujours soigneusement étudiées. Et pas moyen d'en changer les formules, il faut savoir calculer avec. Je n'ai que pu la voir sombrer dans la fureur, reporter sa haine sur moi, lutter contre la peur et le chagrin de devoir renoncer à son sang et sa chair, à sa dernière attache pour une vie de solitude sans fin et une spiral infernale de regrets. Je l'ai vu lutter jours et nuits, hurler à en perdre la voix. J'ai eu mal. Et cette lutte dura presque un ans. un ans jusqu'à ce qu'enfin, le jour de mon 8ème anniversaire, elle finisse par céder. Et mette fins à ses tortures, me laissant dans la neige de février, dans les rues de Londres ou nous passions les vacances chaque année. A tout jamais seule. Avec moi même. Et la neige englouti les larmes et la peur, peu à peu, jour après jour, jusqu'à se que mon cœur ralentisse enfin, vacille et se glace sous le blizzard mordant et embrumant.
Quelques jours plus tard, je me retrouvait dans cet endroit inconnu. J'avais 8 ans, et je n'avais plus rien. Sauf un nom, un nom et un but. Je suis Raven. Et j'avance encore. Aussi loin que je le peux. Jusqu'à se que résonne les cloches de la fin, jusqu'à ce que les ombres de ce dernier crépuscule disparaissent. Sous le manteau rouge et blanc de la neige...
HRP.
SURNOM(S) : Mimi DATE DE NAISSANCE : 02 / 11 / 1992 ÂGE : 18 ans SEXE (✔) : ❒ M √ F AVATAR : Création Originale de Aoshiki DÉCOUVERTE DU FORUM : Grâce à Google EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? Non, mais je ne pourrai pas dire le combientième, j'ai pas compté x)
Dernière édition par Raven le Jeu 22 Sep - 9:56, édité 1 fois
Sujet: Re: Raven • Shadow under the Rain • [terminée] Jeu 22 Sep - 7:13
Bienvenue sur Wammy's House !
Alors alors ton personnage est un Riddle, ça lui correspond bien je trouve, donc parfait.
Et lancer de dés effectué
Ensuite par contre il y a quand même quelque chose qui me dérange dans ta fiche, je veux dire, le père il se suicide parce que la gamine de 7 ans est plus douée que lui ? Pourquoi il est pas fier d'elle plutôt ? Il se suicide pour ça ? Et comment se fesse qu'une gamine sache plus de choses qu'un adulte ? C'est un peu gros je trouve, je veux bien qu'elle soit plus intelligente que lui et tout mais... ça ne veut pas dire qu'elle sait tout, même si elle lit beaucoup... ça me parait un peu bizarre quand même, pourrais-tu expliquer ? =)
Invité
Sujet: Re: Raven • Shadow under the Rain • [terminée] Jeu 22 Sep - 9:58
Je trouve aussi que cette partie et un peu flou et manque de crédibilité ^^ :/ Je l'ai modifiée, j'espère que ça ira. A vrai dire je préfère ne pas mentionner les circonstances de la mort de son père (notamment parce que Raven ne les connait pas elle-même), mais si cela pose problème je me débrouillerai pour le modifier =D