PSEUDONYME : Headache NOM : o’Fallon PRÉNOM(S) : Heathcliff QI: 167. Hey ouais, je suis plus intelligent que j’en ai l’air. Ça t’en bouche un coin, hein ? DATE DE NAISSANCE : 04 / 08 ÂGE : 27 ans SEXE (✔) : ✔ M ORIGINE : Irlandais

Couleur des cheveux : blonds Couleur de la peau : blanche Tatouage/Piercing ? : normalement... aucun

Couleur des yeux : noisette Taille en centimètres : 1m83 Corpulence: mince

A l’écoute Honnête Disponible Charismatique Passionné

Paresseux Distrait Mal embouché Sans attaches Désorganisé

     « Quoi ? C’est pour quoi ? Vous ne pouvez pas me foutre la paix cinq minutes, non ? Vous voyez pas que j’suis occupé ? Bon... Allez, ça va, maintenant que vous êtes là, racontez-moi ce qui va pas... »
     Je déteste les gosses. Ils sont bruyants, malpolis, ils foutent leurs pieds et leurs doigts partout... Et puis dès que vous leur tendez la main, ils vous avalent le bras. Tenez, c’est comme cette fille, ce matin, euh... cette fille, quoi, eh bien, elle est venue pleurnicher sur mon épaule histoire de manquer une heure de cours, et après elle gambadait dans la cours comme un lapin.
     Mais c’est pas le bureau des pleurs, ici ! Je fais un vrai boulot. Je suis censé les écouter, trouver ce qui les bloque, ce qui les stresse, ce qui les ennuie. Je fouille dans leur cervelle de piaf et je les aide, quoi. Et puis j’aime pas les voir chouiner, ça m’énerve, alors il faut bien que je trouve ce qui ne va pas, hein ?
     Normalement, tous les gosses devraient m’adorer, mais comme je les aime pas, je m’arrange pour qu’il n’ait pas envie de revenir une fois leur problème résolu. J’ai besoin de calme, voyez ? J’aime bien mon bureau comme il est, j’ai pas besoin qu’un adolescent boutonneux vienne y mettre la pagaille en me racontant sa vie. Ah, j’ai mal à la tête... C’est de la faute de cette gamine, là... son nom m’échappe, j’arrive pas à remettre la main dessus. Un nom de fruit, je crois. Qu’est-ce que c’est que cette idée de s’appeler comme un fruit ?
     Je crois qu’elle allait mieux en ressortant d’ici... Tant mieux.

     « J’ai besoin d’un verre, d’une clope et d’une fille. Quoi, vous avez mieux à me proposer ? Allez-y, je suis pas difficile, je m’accommode d’un rien, tant que c’est pas définitif. »
     L’ennui quand on fait quelque chose, c’est qu’un tas de gens voudraient que ce soit du sérieux, pour la vie, ce genre de niaiseries. Vous savez, j’ai un crédo : ne jamais rappeler le premier. C’est un piège, ça. Vous pouvez avoir le numéro de la plus sexy des filles du monde, ne la rappelez jamais, si vous ne voulez pas qu’elle s’imagine que vous allez lui passer la bague au doigt. Ne buvez jamais trop souvent, sinon vous allez finir par devenir accro. Ne restez pas cantonné à vos habitudes, les gens vous colleront une étiquette sur le front.
     Je suis pas un gigolo. Je suis pas non plus un hédoniste. J’ai juste pas envie qu’on me catalogue, qu’on me limite à quelque chose « pour la vie ». Je déteste cette expression. La vie, ça peut être très long ou très court, et la plupart du temps, quand on promet un truc « pour la vie », ça se termine au bout de quelques années, voire quelques mois. De l’hypocrisie pure, en somme. Autant tout prendre comme ça vient. Inutile de s’attacher. Et pour éviter de finir trop bête, le mieux est de tout essayer. J’ai bien dit tout. Sauf les gosses, les vieux et les animaux. Y’a des limites, hein.
     En ce moment, mon répertoire est plutôt statique, et j’ai... aucun mail. Bah. Je vais peut-être aller faire un tour, ce soir. Vous vous joignez à moi ?

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Définissez vous en une phrase.

1. Non.
   
2. Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
   
3. Anthropologiquement parlant ou bien ?
   
4. Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
   
5. Je suis un.


Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?

1. Une bataille navale.
   
2. Les hauts de Hurle-vent.
   
3. Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
   
4. Un poisson rouge.
   
5. Une corde.


Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?

1. Finnegans Wake de James Joyce.
   
2. H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
   
3. Totem et Tabou de Sigmund Freud.
   
4. Harry Potter de J.K Rowling.
   
5. Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.


Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.

1. « Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
   
2. « Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
   
3. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
   
4. « D'un point de vu biologique... »
   
5. « Je comprends ce que tu ressens... »


La petite manie dont vous vous passerez bien ?

1. Câliner tout le monde.
   
2. N'avoir aucune notion du temps.
   
3. Faire des private jokes.
   
4. Accro au high five.
   
5. Caser des citations partout.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.

1. Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
   
2. M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
   
3. Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
   
4. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
   
5. Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...

     Mon histoire n’a rien d’intéressant, vous n’avez sûrement pas envie de la connaître. Si ? Ah, quelle plaie... Bon, bah, c’est moi qui m’installe sur le divan, alors ? Il est plutôt confortable, j’aime bien y faire la sieste, quand je suis tout seul et... Quoi, c’est pas ça qui vous intéresse ? Et m...

     Je suis né en Irlande, il y a vingt-sept ans. De mon enfance, il n’y a pas grand chose à dire. Mon père buvait, ma mère était une dépressive congénitale, et tous les deux avaient toutes les peines du monde à joindre les deux bouts. Élever quatre gosses dans ces conditions n’était pas une sinécure, je peux vous le dire. Mon père passait son temps à beugler après mon frère Terrence. C’était l’aîné, toujours lui qui se prenait tout dans la figure, même les mains de « Papa ». Nous, on se faisait tous petits jusqu’à ce que la crise soit passée. Terry était plutôt courageux. Il encaissait tout sans broncher. Je crois qu’il faisait ça pour nous protéger. « Maman » ne voyait rien du tout : elle passait son temps à avaler des médicaments et à dormir. C’était Candice qui se chargeait de faire à manger, de faire les courses, le ménage...

     Moi, j’étais le troisième. Deuxième fils, troisième enfant, pas le dernier : mes parents m’ignoraient la plupart du temps, et ça me convenait. Je passais mon temps dans le grenier à lire des bouquins que j’empruntais en cachette à la bibliothèque, je faisais mes devoirs comme il fallait, j’avais même de bonnes notes à l’école. Je faisais les devoirs de Terry et de Candice, j’aidais Charlie... au moins, ils ne se faisaient jamais engueuler pour leurs bulletins : leurs notes étaient toujours excellentes. Je sais pas pourquoi, ils se sentaient toujours obligés de venir me raconter leurs états d’âme, le soir avant d’aller au lit. J’étais peut-être prédestiné...
     Quand j’ai eu onze ans, allez savoir pourquoi, les profs m’ont fait passer un test de Q.I. Le verdict a laissé ma mère comme deux ronds de flan : 143, un génie précoce ! J’allais obtenir une bourse pour étudier dans une grande école, quitter la maison et vivre une vie tout à fait différente très loin de ce bourbier ! Sauf que j’ai refusé. Mes parents n’ont même pas réalisé, Charlie était trop petit. Il n’y a que Terry et Candice qui ont pleuré. Ils savaient très bien pourquoi je refusais. Qui les soutiendrait si je partais ? Qui ferait leurs devoirs, qui écouterait leurs soupirs ? Allez savoir pourquoi je n’ai pas saisi ma chance, ce jour-là. Sans doute qu’ils me faisaient pitié. Ou juste parce que j’avais trop peur pour aller voir ailleurs...
     Quoi qu’il en soit, je suis resté, ce qui a plutôt bien servi mon frère et ma sœur. Deux ans plus tard, mon père mourait. Cancer des poumons. Il n’avait jamais fumé une clope de sa vie. Ma mère n’a pas tardé à le suivre dans la tombe : sans se soucier de ses enfants, elle a avalé tout ce qu’il lui restait d’antidépresseurs. Comme quoi, elle l’avait peut-être vraiment aimé, finalement. Nous avons tous les quatre été éparpillés. Nous n’avions pas de famille proche, aussi avons-nous été confiés à des familles d’accueil. Curieusement, c’était moins pire que ce qu’on pourrait croire. Les notes de Terry et de Candice ont chuté, forcément, mais ils ont plutôt bien fini. Aujourd’hui, Terry est mécanicien. Candice est devenue institutrice. On a voulu qu’ils voient des psychologues, mais ils n’arrivaient pas à se confier. Ils continuaient à m’appeler tous les jours. C’était moi, leur thérapie. Charlie a eu moins de chance, ou plutôt, il n’a pas su saisir celle qu’on lui offrait. Aujourd’hui, il est en taule. Trafic de stup.

     Et moi ? Moi, j’ai eu la chance d’être accueilli par une famille plutôt aisée, les MacQuillan. Ils n’avaient jamais réussi à avoir d’enfants, et avaient fini par se résoudre à accueillir ceux des autres, ceux qui n’avaient plus rien. Ils avaient déjà une petite fille de mon âge, Tara. Ils m’ont mis dans une bonne école. J’ai fini mon secteur secondaire à seize ans, et j’ai été accueilli à bras ouverts à l’Université de Limerick. J’avais choisi la psychologie, allez savoir pourquoi...
     Tara et moi étions rapidement devenu très proches. C’était une petite fille timide, ravissante. Elle avait vécu dans un milieu aussi sordide que le mien, peut-être même plus. Son père, accro à l’héroïne, avait abusé d’elle à plusieurs reprises. Sa mère s’était barrée quand Tara n’était encore qu’un bébé, et Dieu seul savait où elle était à présent. Tara m’a vite fait confiance. Elle m’a raconté son histoire. Je crois que parler avec moi de ce qu’elle avait vécu a été plus efficace que les rendez-vous qu’elle avait avec le psy qui nous suivait, elle et moi.
     La séparation fut difficile. Quand on est jeune, on croit que l’amour dure toute la vie. Ceci dit, ça aurait pu être le cas. Nous nous sommes fiancés à dix-neuf ans. Deux mois plus tard, elle était renversée par une voiture. Aujourd’hui, elle est dans un fauteuil roulant, avec l’âge mental d’une fillette de quatre ans. Je ne l’ai pas revue depuis longtemps...

     Quand j’ai terminé mes études, mon diplôme en poche, j’ai trouvé un job comme psychologue d’entreprise. Ce n’était clairement pas fait pour moi. J’ai saisi la première occasion pour m’en aller : j’ai trouvé un remplacement dans un collège. Psychologue scolaire, c’était tout à fait ce qu’il me fallait. Les gosses m’adorent. Je me demande vraiment ce qu’ils me trouvent. Enfin, en tout cas, ils aiment me confier leurs soucis, et je crois que les aider à les résoudre me plaît. Et puis, un type est venu me voir. Il m’a proposé un poste, un très bon poste. Psychologue pour enfants dans un orphelinat. Franchement... Comment aurais-je pu refuser ?

SURNOM(S) : Euh, j'en ai pas ! x) Disons, Headache, hmm ? DATE DE NAISSANCE : 18 / 01 ÂGE : Privé. Au besoin, me demander par MP SEXE (✔) : ✔ M AVATAR : Shizuo Heiwajima, de Durara!! DÉCOUVERTE DU FORUM : Fiou ! De clic en clic, de partenaire en partenaire... NOTE SUR 20 DU FORUM : Je n'ai pas encore joué, alors pour l'instant, c'est difficile de noter. Disons juste que j'aime beaucoup le design et le niveau a l'air plutôt bon, donc j'aime. Mon avatar est moche, je sais. Mais j'ai pas d'outils sous la main pour faire mieux aujourd'hui.

Ma foi bienvenue à toi !

C'est une fiche bien sympathique que voilà, je ne vois rien qui cloche ! Headache est dans le groupe Adults, mais sinon il est soit Shape soit Alter, et comme il est psychologue je trouve qu'Alter est plus adapté !

Bon courage avec tous les joyeux lurons de la WH*, et bon jeu !

Validé => ADULTS.