On se pâme à tort devant ceux qui ont mille et unes souffrances à transmettre du fait d'un passé douloureux et insupportable. Pourtant, Berry parvient à s'imposer tant bien que mal par cette simplicité qui l'enjolive autant qu'elle la discrimine. Non, elle n'aura pas subi un quelconque inceste, elle n'aura pas encaissé mille et unes insultes durant son enfance, et elle n'aura pas endossé le rôle de la petite martyre d'un siècle dépravé. La seule chose qui l'aura définitivement détruite, c'est la tragique disparition de ses parents, pour laquelle il lui arrive de s'en vouloir alors qu'elle n'y était pour rien. Ce qui la caractérise avant tout c'est son humanité, cette oreille attentive qu'elle prête à qui le veut bien, et qui lui sert à compléter puis à aiguiser ses connaissances sur l'esprit humain. Derrière ses airs futiles, se dissimule pourtant une compréhension très pointilleuse des sentiments, et ce qui la rend d'autant plus fine psychologiquement, c'est sa capacité à avoir l'air de quelque chose, alors qu'elle semble être tout le contraire. Pour suivre correctement les phénomènes de mode, pour se conformer à la règle par souci de ne pas être en conflit avec son prochain, Betty a continuellement appris à se fondre dans la masse, telle un caméléon. Ces agissements la perdent autant qu'ils la valorisent, puisque, durant le plus clair de son temps, elle passera pour un parfait mouton, suivant innocemment le troupeau, ne semblant pas connaître sa propre capacité de penser, pour être à même de l'utiliser convenablement. En réalité, son esprit peut être aussi critique que le vôtre, sauf qu'il se laisse docilement modeler par des situations qui le conditionnent. Berry pense donc avoir le contrôle, mais parfois, elle a tendance à se laisser influencer, raison pour laquelle elle cède facilement face à une splendide paire d'escarpins, qu'elle apercevra au coin d'une rue.
Cependant, comme tout être humain, Berry possède des faiblesses majeures. Comme elle a excessivement besoin d'être intégrée, ceci traduisant un manque d'affection évident, elle se sent automatiquement contrainte de s'attirer un public. Connaissez-vous l'hystérie, psychopathologiquement parlant ? L'hystérique de base aura toujours besoin d'un auditoire, et elle fera tout pour capter son attention, allant jusqu'à choquer, provoquer. L'hystérique a aussi cette tendance à séduire pour ensuite fuir, parce qu'elle ne veut pas non plus se brûler les ailes en s'adonnant à des sentiments qui seraient trop intenses pour elle. Berry est un peu comme ça, sauf que dans le cas actuel des choses, son comportement n'a rien de pathologique. Elle n'en souffre pas nécessairement, mais elle sait que c'est envahissant, parce qu'elle n'est pas toujours en mesure de préserver les relations fusionnelles entretenues avec quelques uns de ses confrères. Ainsi, bien que son réseau social soit étendu, elle vit perpétuellement dans la crainte de se retrouver seule. Et lorsque l'Amour s'en mêle, elle craint également de le consommer trop intensément, pour qu'il lui file ensuite entre les doigts. Tout le monde sait que, désormais, ce sentiment n'a plus aucune importance. On le place un peu n'importe où pour attendrir les cœurs, on l'emploie à outrance pour se persuader qu'il existe encore. Mais dans son infini romantisme, Berry a dans l'idée que ce qu'elle recherche ardemment n'est que dans ses fantasmes les plus profonds.
Tantôt enfantine, tantôt adulte, Berry est le cul entre deux chaises, celle de son enfance qu'elle affectionnait tant, et celle de la cour des Grands, là où il va lui falloir concevoir ses propres armes, pour ne pas se laisser surpasser.
Classe
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Définissez vous en une phrase.
Anthropologiquement parlant ou bien ?
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Un poisson rouge.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Harry Potter de J.K Rowling.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Câliner tout le monde.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
Si on ne s'occupe pas de son présent, on manque son futur
Elle avait 14 ans lorsqu'elle dépassa pour la première fois les grilles de la Wammy's House. On lui tenait fermement la main, tandis qu'elle se laissait accompagner jusque dans un bureau, où elle subit un entretien d'entrée. Distraitement, elle s'entendit dire qu'elle ne s'appellerait plus Betty. Qu'aux yeux du monde, elle ne serait rien d'autre qu'un Quotient Intellectuel dont le potentiel serait soumis à la succession d'un homme qu'elle ne connaissait pas. Peut-être suscitait-il l'admiration de beaucoup de ses futurs camarades, mais tout ce qui lui importait actuellement, c'était la douleur qui tordait son estomac, serrait le fond de sa gorge, et lacérait son cœur. La petite baie naissante déglutit bruyamment, tandis qu'on semblait lui déblatérer un contrat, comme quoi elle appartenait à cette institution. On parvint à lui faire croire qu'elle n'aurait plus d'autre toit désormais, et qu'elle n'était plus une vermine de la société, mais un pion essentiel. A quoi bon. Son existence ne s'était résumée qu'à l'influence que son environnement et les personnes qui le constituaient exerçaient sur elle. Ce jour là, mademoiselle Grange pleurait à chaudes larmes, devant un homme assez bourru qui n'attendait rien d'elle, si ce n'était la réussite. Pour la dernière fois, elle était considérée comme une petite fille innocente, qu'il fallait préserver de toutes les douleurs possibles. Pour la dernière fois, on accepterait d'elle qu'elle soit faible, qu'elle soit humaine.
La liberté. Ce sentiment si convoité était la clé du bonheur pour Lucy et Harrisson. Elle était issue d'une famille fortunée. Lui n'était qu'un pauvre journaliste vivant difficilement du piètre poste qu'il avait obtenu dans un journal local. Se contentant de remplir le cadre des faits divers, il avait pourtant eu le mérite de conquérir le cœur de sa douce. Voilà quelques mois qu'il s'était enfui avec elle, leur trouvant un petit nid douillet, un appartement assez insalubre mais qu'ils décorèrent à leur goût. Situé dans un quartier inquiétant et peu sécuritaire de New-York, il fut pourtant le terrain d'un amour et d'une tendresse sans faille. Ils étaient jeunes, ils étaient insouciants, ils s'étaient échappé des griffes d'une famille trop exigeante aux attentes de laquelle ils n'avaient pas su répondre. Harrisson s'inquiétait pour l'état d'esprit de sa Belle, mais Lucy lui assura que tout allait bien, que son job alimentaire lui permettrait de subsister à leurs besoins. Parallèlement, elle s'efforçait de suivre ses études de médecine, dépensant des sommes mirobolantes dans des ouvrages indispensables à son apprentissage. Les temps étaient durs, elle peinait à remonter la pente, regrettait quelques fois d'avoir cédé à un sentiment aussi intense que l'Amour.
Toutefois, ce même amour lui apporta un présent d'une valeur inestimable, pour lequel elle était prête à se damner. Le 22 octobre 1989, elle donna naissance à Betty, une adorable petite fille qu'elle et Harry accueillirent comme le messie. Elle fut choyée, on fit des concessions pour lui donner le meilleur. Certes, elle n'avait pas été prévue. Cette petite chose fragile s'était imposée comme un cheveu sur la soupe. Mais à défaut de susciter la détresse de ses parents, elle fut une lueur d'espoir dans leurs yeux. Lucy abandonna ses études et enchaîna les petits boulots, tandis que son époux redoubla d'efforts pour leur donner une situation acceptable. Le bonheur de Betty était devenu leur principal objectif, celui qui leur octroyait la force de poursuivre, même lorsqu'ils étaient aux pieds du mur. Parfois, le chagrin et la mélancolie apparaissaient à l'horizon, mais les éclats de rire et les gazouillements du chérubin furent un lot de consolation d'une valeur intarissable. Un trésor au sourire irrésistible, dont le corps grandit pour devenir celui d'une fillette coquette, toujours tirée à quatre épingles. Lucy et Harrisson se donnaient corps et âme pour lui offrir les plus beaux vêtements, et ils entamèrent toutes les procédures nécessaires afin qu'elle dispose d'une scolarité digne de ce nom. Bientôt, Betty fit la connaissance d'autres petits êtres qui, tout comme elle, plafonnaient tout juste leurs cinq années. Directement, elle se montra très sociable et très humaine, prêteuse, un peu trop naïve, mais toujours bien entourée. Elle savait s'attirer la sympathie de ses semblables, en dégainant ses plus beaux sourires, et en étant attentive aux humeurs de chacun. D'ailleurs, ce qui fut très déconcertant pour ses parents, fut sa capacité à deviner lorsque la situation était grave, et qu'ils avaient un mal fou à joindre les deux bouts. Elle n'était pas capricieuse pour deux sous, mais elle était susceptible de comprendre bien des choses, ce qui en fit une enfant assez précoce sous certains aspects.
Cette précocité fut d'ailleurs mise aux services de la science. En effet, Lucy qui était jadis intégrée dans le système universitaire avait gardé contact avec quelques unes de ses amies qui persévérèrent dans leurs études, et parvinrent à des niveaux convenables. L'une d'entre elles s'apprêtait à se spécialiser dans un métier affilié à la psychologie, et pour compléter sa thèse, devait mener une expérience faite sur des sujets, en rapport avec le développement de leur intelligence. Elle semblait chercher des sujets d'âges différents mais successifs, pour leur faire passer un test semblable à ceux que l'on utilise pour mesurer le Quotient Intellectuel. La nouvelle n'en fut que plus alléchante, car l'expérience en question était rémunérée. La somme étant particulièrement affriolante, Lucy se concerta avec Harrisson, qui accepta que leur fille offre une partie de sa matière grise à la science, métaphoriquement parlant bien entendu. Ils ne connurent jamais vraiment les résultats de ce test, mais l'ancienne collègue de Lucy, assura que ceux de sa fille s'avéraient particulièrement impressionnants, et qu'il serait très intéressant pour elle de développer davantage ses capacités intellectuelles. Les parents de la petite Betty ne furent pourtant pas très réceptifs à ces remarques. Ils ne voyaient que par cet argent qu'on leur avait promis, et qu'ils touchèrent comme convenu, ne le dépensant pas pour eux mais bel et bien pour leur enfant. Chacun de leurs agissements dépendait de son confort, et à mesure qu'elle grandissait, ils se satisfaisaient de ce qu'elle devenait. La banale expérience qu'elle avait subie fut bientôt mise aux oubliettes, bien que les résultats qu'elle avait soulignés se confirmaient de jour en jour. Intellectuellement parlant, Betty se montrait aussi curieuse qu'efficace. Ses notes étonnantes ne furent pas spécialement mises en valeur lors de ses années de primaire, mais lorsqu'elle pénétra dans la cour des grands, on s'étonna de cette régularité, et de cette facilité qu'elle éprouvait à mémoriser et à comprendre une multitude de connaissances. Cela contribua à rassurer ses parents, qui eurent au moins le privilège de se dire qu'ils n'auraient pas à s'inquiéter de son avenir.
Dès sa préadolescence, Betty fut essentiellement reconnue pour son caractère sociable, son ouverture d'esprit et sa compréhension des autres. Il ne se passait pas une minute où elle ne souriait pas. Sourire timide, sourire frustré, sourire spontané, sourire embarrassé. Il y en avait des tonnes pour illuminer son visage de diverses façons, la rendant à la fois attrayante et mystérieuse. Ce mystère n'était pas voulu. Elle l'entretenait à contrecoeur, parce qu'elle n'appréciait pas spécialement sa génération. Sentimentalement, son existence était un fiasco, puisque chaque garçon jusqu'alors abordé, ne pensait qu'à consommer excessivement et rapidement leur relation. Betty n'était pas de cette espèce là, à se donner à l'autre, comme on se jetterait dans la gueule du loup. Elle était d'une justesse et d'une sensibilité à fleur de peau, qui l'incitaient à prendre de la distance quoiqu'il advienne. Cependant, outre ses nombreux désaccords avec l'opinion commune, elle en respectait régulièrement les normes. Pour elle, c'était une façon de s'intégrer socialement. Elle avait compris suffisamment tôt que chaque personne jouait un rôle, pour être acceptée par l'autre, à défaut de s'accepter soi-même. C'était un principe universel qu'elle avait intégré, bon gré, mal gré, et qu'elle appliqua à la lettre. Ainsi, extérieurement, on pouvait voir Betty Grange se pavaner avec ses copines, porter un sac Longchamps, un slim moulant, des escarpins de dix mètres de haut, et arborer une couche de maquillage qu'elle allégeait pourtant soigneusement. Elle parlait du dernier épisode d'une série télévisée semblable à Gossip Girl, elle feignait de saliver devant les stars de cinéma, elle disait s'extasier devant les boys band du moment, et prétendait ne pas aimer étudier. Pourtant, dans sa petite tête, elle détestait Gossip Girl, elle préférait parfois le Classique au R'N'B revisité des centaines de fois et qui ne finissait pas de tourner en rond, elle lisait des romans de l'époque écrits de la plume de Jane Austen, et s'abreuvait de connaissances comme on se régalait d'un bon chocolat chaud durant un interminable brunch. Elle menait une double vie, allant à contre courant, se fondant dans la masse telle un caméléon. Elle savait qu'elle se mentait, elle savait qu'elle LEUR mentait, mais elle se sentait mieux ainsi, comme tous ces nigauds qui au même titre qu'elle, avaient décidé de rayer le mot "authenticité" de leur vocabulaire. Car le monde est un bal où chacun est masqué.
Ce jour-là, elle s'en voulut d'être un mensonge. Ce jour-là, lorsqu'elle revint des cours, il n'y avait personne dans l'appartement insalubre où elle habitait avec ses parents. D'abord peu inquiète de leur absence, elle se rassura en voyant un post-it accroché sur la porte du frigo, qui était le premier endroit où elle venait mettre ses mains après une dure journée d'étude. Tout en portant ses lèvres justement pulpeuses au bord d'une brique de lait, elle lut puis relut le mot des dizaines de fois, se rendant compte que plus les heures s'égrenaient, plus sa portée rassurante s'effaçait. A maintes reprises, elle jetait un coup d'œil au cadran de l'horloge placée au-dessus de cet écran plat qu'ils avaient peiné à s'offrir. Puis, elle tendit une oreille attentive. A l'extérieur, des sirènes retentissaient, semblant annoncer l'arrivée d'un danger éminent.
Quelques minutes plus tôt, la vie continuait tranquillement dans la ville de New-York. Les passants sortaient des magasins, portaient des paquets débordant de provisions pour la semaine ou de vêtements pour les beaux jours. Des chiens s'aboyaient dessus en se croisant au détour d'une rue, des automobilistes s'insultaient ou se faisaient des signes obscènes, tandis que des sans-abris mendiaient auprès des plus fortunés. Tout semblait parfaitement normal. Puis, un bruit sourd, des freins, des pneus qui crissèrent tandis qu'une voiture vint s'écraser violemment contre la façade d'un immeuble, suite au choc résultant de la violente confrontation avec un conducteur trop imprudent. Ce dernier s'était aventuré à griller le feu rouge, dans un carrefour. On apprit plus tard qu'il était légèrement éméché, et que les litres d'alcool parfumant son sang avaient suffi à détruire la vie d'une famille entière. Les autorités ainsi que les secours furent rapidement appelés en renfort, et dans l'autre voiture gravement accidentée, une femme appelait à l'aide, tapant faiblement la vitre de ses mains ensanglantées. Malheureusement, ayant attendu trop longtemps avant de pouvoir goûter une dernière fois à l'oxygène new-yorkais, elle succomba sitôt que les ambulanciers l'eurent installée sur un brancard. Quant à son mari, il fut décédé sur le coup, tandis qu'entre ses paumes, était férocement pressé un médaillon, contenant la photo d'une petite fille, certainement son enfant. Dans un dernier soupir il avait souhaité honorer son souvenir, priant pour qu'elle s'en sorte dans ce monde dénué de pitié. Au dos de son bijou était gravé le prénom de Betty, suivi d'un G. Un G pour Grange, malheureusement, ce qui permit de remonter jusqu'aux traces de la principale concernée, via les papiers d'identité de ses géniteurs tragiquement disparus.
On l'escorta comme si elle était une chose que l'on devait protéger du monde extérieur. Elle entendit dire qu'on pouvait attendre des années pour mettre la main sur des enfants comme elle, et que ça n'avait pas été une partie de plaisir pour retrouver la fameuse Betty que l'on avait évaluée des années auparavant. Ce qui déclencha tout, fut l'apparition de l'accident du couple Grange en première page du journal, le même où Harrisson avait travaillé en tant qu'écrivain de faits divers. Ce fut particulièrement odieux et ironique du point de vue de l'orpheline, qui assista à l'expansion de la nouvelle, comme on assistait à la lente agonie d'un malade à qui on administrait des soins palliatifs. Elle perdit radicalement la notion du temps, sitôt qu'on la fit monter dans une voiture aux vitres teintées, laquelle la conduisit jusqu'à un aéroport, où elle sauta avec ces gorilles dans le premier avion pour l'Angleterre. Même en face de l'homme qui lui fit visionner la cassette prise lors de sa passation d'expérience durant l'année de ses cinq ans, elle eut un mal fou à prendre conscience de ce qui lui arrivait. On lui murmurait que tout irait bien, qu'une nouvelle vie déjà toute construite était à sa portée. Était-ce vraiment ce qu'elle souhaitait ? Pouvait-elle donner son avis ne serait-ce qu'une fois ? Visiblement, être adulte vous octroyait le droit de modeler des existences qui ne sont pas les vôtres. Ainsi, lorsque l'homme paraissant être à l'origine de cette mascarade la questionna sur son état d'esprit, Betty répondit d'une voix fluette :
- Je ne sais pas trop, mais je trouve que le monde est un peu fou.
Puis elle dégaina son plus beau sourire, accompagné d'une tristesse vomie jusqu'à se déshydrater.
Portrait d'une Ingénue
SURNOM(S) : Diana DATE DE NAISSANCE : 26 / 02 / 1992 ÂGE : 19 ans SEXE (✔) : ❒ M ✔ F AVATAR : Nana Komatsu du manga NANA DÉCOUVERTE DU FORUM : Ca fait trop longtemps pour que je me souvienne des circonstances exactes. NOTE SUR 20 DU FORUM : 18
Dernière édition par Berry le Mer 2 Mar - 18:16, édité 2 fois
Sujet: Re: Berry, Petit éloge du Sensible (U.C) Mer 2 Mar - 13:47
Bonjour ! 8D
Alors, déjà, je t'aime. Et puis Berry serait une Shape, ce qui me semble un peu bizarre, ou une Alter, ce qui me semble plus plausible. Toutefois nous avons trop de Alter... euh... si t'as une idée pour un autre groupe ce serait bien, sinon tant pis tu sera Alter. 8D
Alea Jacta Est.
Invité
Sujet: Re: Berry, Petit éloge du Sensible (U.C) Mer 2 Mar - 18:27
Merci de t'occuper de ma fiche, Pure ! (Oh ? Tu m'aimes ? Moi aussi ! Quand c'est qu'on copule alors ?)
Quoiqu'il en soit, je pense avoir terminé. J'espère qu'il n'y a pas d'incohérences dans l'histoire. Pour ce qui est du groupe, comme dit par MP, je ne la voyais que dans les Alter, même avant de recommencer sa fiche. Donc je ne sais pas, c'est comme tu le sens. Ce n'est qu'un groupe après tout.