Sujet: Sanity ─ No escape from reality. Ven 21 Jan - 19:54
God left me for dead.
PSEUDONYME : Sanity. NOM : Valjoie. PRÉNOMS : Sandy Alice. QI : 180. DATE DE NAISSANCE : 12 / 03 ÂGE : 17 ans. SEXE : ❒ M ✔ F ORIGINE : Franco-italienne.
You got surprise in your eyes.
Couleur des cheveux : Noirs, teints en bleu. Couleur de la peau : Blanche. Tatouage/Piercing ? : Aucun.
Couleur des yeux : Bleus. Taille en centimètres : 162 centimètres. Corpulence: Maigre.
A victim of perception, a twisted mind.
Appliquée Fidèle Organisée Perspicace Sérieuse
Craintive Froide Indécise Lunatique Vulnérable
And who am I to certify the sanity of a twisted mind ?
Sanity. La santé mentale. Est-elle vraiment aussi saine que ça ? A l'entendre, oui. Mais. N'est-ce pas louche, quelqu'un qui crie, non, qui hurle qu'elle va parfaitement bien et que tout tourne parfaitement rond dans sa tête chaque fois qu'on ose dire le contraire ?
Sanity, quand vous la voyez comme ça, vous auriez plutôt l'impression d'une fille calme et légèrement vaniteuse. Le genre de fille qui s'énerve pour un rien à la moindre remarque déplacée. Bingo, votre impression est la bonne, Sanity est quelqu'un de particulièrement impulsif. Même si il est parfois difficile de s'en rendre compte ou même de le croire tout court. Parce qu'elle possède un self-control suffisant pour garder en apparence son calme, même si elle est actuellement en train de vous traiter de tout les noms dans sa tête. Non, Sanity, elle semble calme, droite et fière en toutes circonstances. Elle a l'air forte et sûre d'elle aussi, presque comme si rien ne pouvait réellement l'atteindre ; comme si elle pouvait répondre à tout de son air détaché et un poil sarcastique, tout le temps. C'est ce qu'elle fait, en général.
Mais Sanity, elle n'est pas forte. Elle se cache, juste. Elle se cache derrière ce masque de froideur et de détachement tirant énormément vers le jem'enfoutisme, parce elle n'arrive pas à simuler le bien-être ─ c'est pourquoi vous ne la verrez que (très) rarement rire ou même juste sourire. Mais, qu'est-ce qu'elle cache ? Sa peur.
Autant vous le dire tout de suite. Qui que vous soyez, c'est à dire que vous pouvez aussi bien être le plus effrayant des psychopathes que le plus inoffensif des gamins naïfs et niais, vous lui faites peur. Parce qu'elle est paranoïaque. Pour elle, le monde entier lui en veut, pour une obscure raison. Et même, ça va parfois encore plus loin que ça. Elle va même jusqu'à penser que derrière toute bonne action se cache une raison bien plus obscure et sombre d'avoir agi de cette façon. Le monde entier fonctionne dans l'unique but de faire le mal, en le dissimulant derrière des bonnes actions, des gestes de sympathie, des belles paroles. C'est pourquoi il n'est pas si rare de la voir tenter de convaincre les gens qu'elle a réussi à apprécier de ne pas accepter les actes de bienveillance qu'on leur propose. Dans sa tête, elle est la seule personne au monde sans mauvaises intentions. Dans sa tête, elle est la seule personne pure et saine au monde.
Mais encore, si cette peur des autres était la seule peur de Sanity, ça ne serait presque pas problématique. Ça ne changerait certes pas le fait qu'elle est folle et qu'elle le nie, elle serait peut-être juste... Légèrement moins dérangée. Kénophobe et claustrophobe, elle supporte très mal les endroits peu éclairés et les portes fermées. Elle a énormément de difficultés à conserver son aspect calme, dans ces endroits là, et a tendance à toujours trouver un coupable au fait qu'elle se retrouve dans un endroit sombre ou fermé. Ça semble la rassurer, de savoir qui est responsable de sa peur...
Stop running, stop hiding.
Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.
Définissez vous en une phrase.
Non.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Un poisson rouge.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Totem et Tabou de Sigmund Freud.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Caser des citations partout.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
There's no tomorrow, I don't remember yesterday.
Sandy, tu veux que je te raconte une histoire ? Non, pas un pauvre conte comme tu en lisant tant dans ton enfance. Non, une histoire un peu spéciale, la tienne en fait. Hm, je savais que tu te braquerais en entendant ça, je te connais bien, tu ne me connais pas encore. Je suis une entêtée, tu vas devoir t'y faire, je suis ta narratrice après tout.
Tu te souviens de ta naissance ? … Non, bien sûr que non, personne au monde ne se souvient de sa naissance. Tu ne peux savoir de ça que ce qu'on t'as dit à ce propos. Je vais te donner, moi tout les détails que je sais. D'abord, tu es née à Paris, ah, Paris, la capitale française, la ville qui fait rêver les étrangers, les couples, les gens, bref, un peu tout le monde ne l'ayant pas visitée, et même ceux l'ayant déjà fait. Désolée, je sais que je m'égare. Donc tu es née le 12 Mars de l'année 1993, à très exactement 18h44. Ce qui a fait de toi une jeune fille de signe Poisson ascendant Vierge. … Hm, d'accord, ce n'est pas très utile de savoir cela, mais j'aime bien être précise... D'accord, je cesse de parler pour rien dire.
Tes parents étaient d'origine française et italienne. Enfin, ton père était français – avec des origines suisses, même si je sais que tu t'en fiches un peu – et ta mère était française et italienne.
T'as eu une vie considérable comme banale, enfin, jusqu'à un certain moment. T'as commencé par vivre en France, à Paris, tes parents s'occupaient de toi comme ils le pouvaient, ils n'étaient ni pauvre, ni particulièrement riche, peut-être comme étant considérables comme des bourgeois, toi de toute façon tu t'en fichais. Tout ce qui t'importait, quand tu étais petite, c'était que ta maman te raconte des histoires avant que tu ne t'endormes, que ton papa te fasse ton câlin et ton bisou du soir, qu'on te fasse des cadeaux de temps en temps, que tu puisses t'amuser autant que tu pouvais le vouloir, qu'on ne te laisse pas toute seule trop longtemps, que ta maman vienne te consoler la nuit quand t'as fait un cauchemar, que ton papa vienne te protéger la nuit quand tu crois qu'il y a un monstre dans le placard. Tu étais une enfant banale, assez calme, pas très capricieuse. Ce que tu avais te suffisait, tu savais trouver milles et une manières de t'occuper, et quand tu n'en trouvais pas, tu faisais quelques caprices pour avoir tel ou tel jouet. Tu ne rechignais pas à finir tes assiettes, tu ne tapait pas dans la cuillère pour mettre de la purée partout quand tu en avait l'occasion. Tes parents n'ont jamais eu vraiment de problèmes avec toi ; au pire, il leur suffisait de hausser la voix et tu devenais obéissante et sage au possible. Tu étais un peu rêveuse, souvent seule, dans ton monde à toi, à trouver de nouveaux moyens de t'occuper. Tu ne te mélangeais pas avec les autres enfants de ta classe, au pire tu leur parlais quand ils venaient te voir, mais ce n'était jamais toi qui venait les voir de ton plein gré. Tu les observais souvent, observais, appréhendais leurs réactions, te faisais toute petite, toute discrète, quand ils remarquaient que tu les observais. Tu espérais que ça ne les dérange pas, si ils haussaient le ton tu te faisais toute mignonne toute innocente. Et tu priais pour qu'ils te laissent.
La vérité c'est que tu n'étais pas timide comme les enfants de ta classe le pensaient, comme les adultes s'occupant de vous le pensaient, comme tes parents le pensaient, comme tes voisins le pensaient, comme n'importe qui pouvait le penser. La vérité c'est que dès le départ, tu étais une personne craintive. Et que cette crainte, elle n'allait faire qu'empirer.
Tu avais vite compris qu'être toute sage, toute gentille, toute calme, toute mignonne et pas encombrante ni contrariante, c'était un bon moyen pour qu'on n'aie rien à te reprocher, qu'on ne s'énerve pas contre toi. T'as mis plus de temps à comprendre que c'était aussi un bon moyen pour te retrouver manipulée.
Tu étais souvent plongée dans des livres. Les livres, tu adorais ça. Tu en dévorait autant que tu pouvais, toujours. Tu aimais apprendre de nouveaux mots, de nouvelles langues. Tu connaissais déjà le français, puisque tu vivais en France, et l'italien, puisque ta mère te faisait partager sa langue natale qu'elle affectionnait tant et que vous partiez souvent en vacances en Italie. Tu t'intéressas très vite aux autres langues, comme l'anglais, l'espagnol, l'allemand, qui furent les premières. Mais on ne pouvait pas tout t'apprendre, et ça te désolait. Alors tu lisais. Des livres en d'autres langues, que tu essayais de comprendre tant bien que mal, en t'aidant des bases que tu trouvais tant bien que mal. Puis il arriva.
Vous étiez au collège, dans la même classe, en quatrième. Il t'avait surprise, isolée dans un coin de la bibliothèque de votre ville, à lire un livre en italien. Il s'était assis à côté de toi, t'avait parlé malgré ton manque de réponse du à ta lecture qui occupait tout ton esprit, était resté à côté de toi jusqu'à la fermeture de la bibliothèque, et est parti de son côté. Le lendemain, tu es revenue, et il est revenu aussi. Après, il a commencé à s'assoir à côté de toi en cours, à venir te parler pendant les récréations, les intercours, à l'heure du repas ─ vous étiez tout deux demi-pensionnaire ─ , pendant les heures de permanence. Et un jour, pas si longtemps après que tout ça aie commencé, tu lui as demandé. Vous étiez adossés à un mur de la cour, lui regardant distraitement les gens s'amuser, toi serrant un de tes livres dans tes bras.
« Pourquoi tu t'acharnes à rester avec moi ? ─ … Je sais pas. J'avais envie de voir ce que ça faisait, de devenir l'ami d'une solitaire ? Ou peut-être que c'était un besoin de parler sans qu'on ne me coupe la parole en me disant qu'on en a rien à foutre de ce que je dis. Ou peut-être parce que je trouvais ça triste, que tu sois toujours seule, et que tu méritais pas ça. Bon, d'un autre côté, j'pense pas non plus que tu mérites d'avoir un pot-de-colle tel que moi dans les pattes, mais bon. Ah et, je suis content que tu aies enfin daigné m'adresser la parole. Ça me fait chaud au coeur, tu sais. »
Et il te sourit.
On aurait pu croire que tout ceci ressemblait à une de ces histoires à l'eau de rose Américaine. Celle où une pauvre fille qui n'a rien demandé à personne et se retrouve victime malgré elle du mauvais côté des choses. Non, je ne veux pas dire par là que Sandy était persécutée, non. Juste effacée, presque invisible et souvent incomprise. Quand on la remarquait, elle était toujours avec un livre dans les mains, à moins qu'elle ne soit plongée dans la lecture de ce livre en langue étrangère. On ne la comprenait pas parce que parfois, elle parlait en italien, en anglais, en allemand, par réflexe, après avoir lu un livre. On ne la comprenait pas, parce qu'elle utilisait des mots pas toujours très simple découvert dans des livres. Mais ce qu'on comprenait, c'était qu'elle était facile à manipuler. Que, tant qu'on la dérangeait pas en pleine lecture ─ faute de quoi elle ne remarquait pas que quelqu'un lui parlait ─, on pouvait lui demander ce qu'on voulait. Enfin, dans la limite du raisonnable. Et quand elle refusait, il suffisait de lui faire un peu peur et elle se pliait tant bien que mal aux caprices.
Pour en revenir à ce que je disais, on aurait pu croire que tout ceci ressemblait à une de ces histoires à l'eau de rose Américaine, ou une pauvre fille qui n'a rien demandé à personne se retrouve protégée par un grand et beau garçon populaire qui la défend de tout les méchantes personnes cherchant à l'exploiter parce qu'il est follement tombé amoureux d'elle juste en la voyant, sans la connaître. Mais ça n'avait rien d'une histoire à l'eau de rose Américaine, parce que, certes, il s'est mis à la protéger en envoyant paître à sa place les gens cherchant à faire d'elle un pigeon, mais là était la seule ressemblance avec ces fameuses histoires. Il n'avait rien du plus beau garçon du collège, lui même avouait qu'on en trouvait des bien plus beaux que lui dans l'établissement, et il était loin d'être populaire ; en général on le trouvait trop collant, trop bavard, trop stupide. Et il n'était pas amoureux, non, c'était juste un mec un peu paumé qui recherchait désespérément une épaule sur laquelle chouiner son rejet de la société, des oreilles à qui débiter son cota de paroles journalier, une voix qui ne lui couperait pas la parole en l'envoyant chier, un corps à câliner quelque soit la raison, une personne à qui être utile de temps en temps, aux yeux de qui il existerait en tant qu'être humain appréciable, un ami quoi, tout simplement. Et c'est en toi, Sandy qu'il l'avait trouvé.
Mais votre amitié, finalement, elle ne dura pas si longtemps que ça. Parce que t'as eu la mauvaise idée de tomber amoureuse de lui. Enfin, oui, je sais, ce n'est pas de ta faute. Les sentiments, ça se contrôle à peu près autant qu'une voiture quand on en prend le volant pour la première fois sans avoir la moindre idée de comment ce bazar fonctionne. Non, ta mauvaise idée ne fut pas de tomber amoureuse de lui, ce fut de lui avouer tes sentiments. Et lui, en bon adolescent pas assez mature pour assumer lorsqu'il voit que ça devient trop sérieux, et bien il a fuit. Mais elle était subtile sa fuite, c'était peut-être même la pire des fuites possibles. Il s'est mis à se comporter un peu comme tout les autres, peut-être même en pire, dans l'espoir que ton amour pour lui s'envole en même temps que la confiance que tu lui accordais. Ce qui a fonctionné comme sur des roulettes, au prix d'une souffrance muette et presque invisible. Mais même si tu lui montrais, il n'est pas revenu vers toi. Tant pis. C'était vers la fin de ta dernière année de collège, vous êtes partis dans des lycées différents ensuite, et vous ne vous êtes jamais revus depuis.
En désespoir de cause, tu t'es totalement retournée vers ta famille. Après avoir été trahie par ton meilleur ami, le seul véritable ami que tu avais réussit à te faire jusqu'à présent, tu t'es promis de toujours faire attention aux gens que tu ne connaissais pas. Tu voulais plus t'attacher, ça fait trop mal, de s'attacher. Tu t'es tournée vers les valeurs censées être sûres, tes parents. Tes chers parents qui ont toujours été là pour toi. Et vers les études. Tu voulais réussir, avoir de bons diplômes, puis un bon métier pour pouvoir aider tes parents sur tout les plans, comme ils l'ont fait pour toi. Tu t'es donnée presque corps et âme dans l'apprentissage des langues étrangères mais aussi dans celles que tu connaissais déjà. Tu aimais ça toi, savoir parler toujours mieux, connaître toujours plus de manières de formuler une même phrase. Même si tu n'as jamais été très bavarde. Tu écrivais, pour compenser. Oh, rien de très sérieux, de toute manière tu n'étais pas bien ambitieuse dans le domaine de la littérature ; tu as lu tellement de livres fascinants que, persuadée que tu ne leur arriverait jamais à la cheville, tu n'as jamais tenté de le faire.
Mais au final, ça n'était pas si mal, de n'avoir que deux priorités, ta famille et tes études. Parce que, en ne te préoccupant que de ta famille, tu avais plus de temps et de concentration pour tes études, et tu faisais même le ménage à leur place ─ de toute façon lorsque c'était eux qui le faisaient, il y avait toujours au moins un petit truc qui ne te convenait pas, ils n'étaient pas aussi maniaques que toi. Et en travaillant bien, tu avais la fierté de tes parents, et méritais pleinement d'avoir le droit de faire ce que tu voulais. En général, ce que tu voulais, c'était des livres, toujours des livres, mais ça ne t'empêchait pas de t'accorder de temps en temps quelques fantaisies, comme à tes 15 ans, lorsque tu as demandé pour la première fois à te teindre les cheveux en bleus.
Et un jour, un autre jour, tu rentrais chez toi après les cours, et tes parents n'étaient pas là. Pourtant ils avaient réussit à obtenir des vacances en même temps et t'avaient promis de les passer avec toi. Bon, ils ne pouvaient pas t'avoir menti aussi cruellement, ils étaient peut-être juste partis ensemble faire des courses. Un rapide coup d'oeil dans le réfrigérateur et les placards de la cuisine t'indiqua que ton hypothèse était tout à fait valide. Alors tu es montée dans ta chambre pour te plonger dans les livres et les langues en attendant sagement leur retour.
Mais à la place, c'est un coup de téléphone qui arriva. Il commençait à être tard, mais tu n'avais pas vu le temps passer, alors tu ne t'inquiétait pas. Si ça ce trouve, c'étaient tes parents qui t'appelaient pour te dire qu'ils étaient partis voir des amis en banlieue et que maintenant ils étaient coincés dans des bouchons, ou alors qu'ils étaient partis au cinéma et qu'ils t'appelaient pour savoir ce que tu voudrais manger parce qu'ils allaient passer dans un bête fast-food. Alors tu décrochas le téléphone. Mais tout ce qui se passa après fut bien loin de ce que tu aurais imaginé. Ce n'était pas tes parents à l'autre bout du fil, non, c'était... La police peut-être, tu ne t'en souviens plus très bien. Ce que le monsieur a dit non plus, tu ne t'en souviens plus très bien. Tentative d'auto-protection peut-être, ton cerveau a fait son possible pour oublier les détails, mais il n'a pas su oublier le plus douloureux.
Accident de voiture. Tes parents étaient morts.
La suite aussi, elle est floue. Comme si t'avais été inattentive au monde réel, comme si t'avais tenté de fuir dans ton monde à toi pour oublier la dure réalité de la vie. Tu te souviens juste t'être retrouvée sous la garde de ta tante qui désespérait presque de ne pas réussir à te rassurer, de te voir la fuir en te plongeant dans les livres, qu'un jour on est venu te chercher, qu'on t'a parlé du test que tu avais fait, un jour, quand on s'était rendu compte de ton aisance à apprendre et parler de nouvelles langues, et qu'on t'as emmenée dans un établissement. Un orphelinat.
Welcome to Wammy's House.
Tu es devenue Sanity. Et, paradoxalement, ta peur a empiré. En perdant tes parents, tu as perdu ta seule vraie protection contre les endroits sombres ou fermés. En perdant tes parents, tu as perdu les seules personnes en qui tu faisais confiance, à qui tu t'étais attachée. En perdant tes parents, tu as tout perdu. En perdant tes parents, tu es devenue folle. Folle au point de devenir froide pour ne pas avoir l'occasion de t'attacher à quelqu'un. Folle au point de dissimuler ta crainte des gens sous un pseudo masque de confiance en soit inébranlable. Folle au point de penser que c'est les autres, qui sont fous.
I'm just living for tonight.
SURNOM : Koko. DATE DE NAISSANCE : 22 / 04 / 94. ÂGE : Calculez. SEXE : ❒ M ✔ F AVATAR : Petunia - Happy Tree Friends ♥ DÉCOUVERTE DU FORUM : Euh. Ça date. NOTE SUR 20 DU FORUM : CSS magnifique. *w* 17. o/
Dernière édition par Sanity le Ven 18 Fév - 15:17, édité 16 fois
Sujet: Re: Sanity ─ No escape from reality. Ven 21 Jan - 20:22
Bienvenue sur Wammy's House !
Alors alors selon le questionnaire ton personnage est soit un Shape soit un Expert. Que préfères-tu ?
Blake
Sujet: Re: Sanity ─ No escape from reality. Dim 30 Jan - 0:23
Hey. o/
Je fais déjà ma chiante, oui, mais comme je change de personnage, je suppose qu'il faut vérifier à nouveau quelle classe va le mieux, non ? .3. Et puis, c'est possible de changer mon pseudo en Sanity ? éwè