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 Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk!

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Invité
Sujet: Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! EmptyVen 21 Jan - 18:18

Identité

PSEUDONYME : Honey
NOM : Hadelston
PRÉNOM(S) : Jill
QI: 161
DATE DE NAISSANCE : 05 / 06
ÂGE : 18 ans
SEXE : ❒ M ✔ F
ORIGINE : Anglaise
Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! Xsodkf10

Physique


Couleur des cheveux : Blonds
Couleur de la peau : Blanche
Tatouage/Piercing ? : Aucun
Couleur des yeux : Verts
Taille en centimètres : 159
Corpulence: Mince ( Si si )

Caractère


Joviale
Joueuse
Sociable
Extravertie
Astucieuse
    Tendance à la démence lorsqu'elle a faim.
    Gourmande
    Superstitieuse
    Sarcastique
    Désordonnée

La plupart des gens s’accordent à dire que les apparences sont souvent trompeuses. Ils le clament, certes, mais le pensent-ils réellement ? Nos pensées les plus profondes ne sont réservées qu’à nous-mêmes, et les premières impressions sont basées sur notre point de vue personnel. Qu’on le veuille ou non, qu’on le réalise ou qu’on ne le réalise pas, lorsque quelqu’un se présente à nous, notre jugement se base en premier lieu sur ce qu’on a en face de nous, sur le physique et le comportement actuel du sujet, que ce jugement dure une seconde ou une éternité. Ce jugement diverge alors en fonction de la personne analysée. Mais venons-en au fait.

Jill est ce genre de personne qu’on ne peut cerner qu’en la connaissant réellement. Cette jeune fille, passionnée de mode et de maquillage, est toujours à l’affut du dernier Vogue, et ne laisse passer aucune paire de Louboutin sans frémir d’envie de les voir à ses pieds dans la seconde. Postée sur des talons, cette petite blonde d’un mètre soixante semble naïve et idiote. Et, pour ne pas arranger les choses, la jeune fille croit en tout ce que l'on peut croire. Superstition, extraterrestres, dieux en tous genre, pour elle tout est possible. Il est donc très probable de la voir faire des choses très étranges, comme par exemple invoquer des esprits ou suspecter quelqu'un d'être un extraterrestre. Jill donne donc l’impression de tout croire et d’être très manipulable, mais ce n’est en fait pas totalement le cas, car elle est loin d’être stupide. Cette jeune fille très rarement de mauvaise humeur déteste qu’on se moque d’elle et peut devenir vite sarcastique lorsqu’elle sent que quelqu’un lui ment ou est ironique avec elle. Elle est d'ailleurs très intelligente, et possède de grandes capacités en logique et en calcul mental.

Enfin, la personnalité de Jill ne s’arrête pas à ses superstitions et à sa passion pour la mode. En creusant plus profondément encore, on arrive a connaitre le trait de caractère principal de cette jeune fille qui est en fait un pêché mignon : La nourriture. C’est la triste vérité, depuis toujours, Jill aime manger. Elle adore ce qui est coloré et surtout les gâteaux sucrés dont elle ne peut se passer. Elle pourrait en manger énormément, mais mademoiselle compense avec une dose de sport quotidienne qui lui permet de dissimuler la vérité aux yeux du monde. Car elle a un peu honte de sa passion pour les douceurs, et tente de la cacher du mieux qu’elle peut. Seulement voila, une partie d’elle refuse de garder silence, et c’est probablement son ventre. Il y a des moments où Jill, comme tout être humain normal, a faim. Sauf qu’elle est loin de réagir comme un être humain normal. Lorsque Jill a faim, tout son caractère s’en fait ressentir. La jolie jeune fille devient un monstre de colère. Dans ces moments là, Jill est vulgaire, Jill frappe tout le monde et Jill clame à qui peut l’entendre que si quelqu’un ne lui apporte pas de la nourriture dans la seconde elle leur crèvera les yeux afin d’en faire une soupe pour qu’elle puisse manger. Cela ne s’arrête que lorsqu’elle est repue pour de bon.

C’est pour cette raison qu’elle compense, qu’elle est au quotidien toujours gentille. Elle est très sociable, en fin de compte, mais elle à tendance à faire fuir ses proches lorsqu’elle rentre dans cette phase, c’est pourquoi ses plus précieux amis ne sont pas très nombreux. C’est aussi l’une des raisons pour lesquelles Jill apprécie Daniel. Depuis qu'elle le connait, même si parfois il la fait souffrir, il la comprend et la supporte, il trouve toujours les mots qui la feront sourire.

Classe





    Définissez vous en une phrase.
    1. Je suis un.


    Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
    1. Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.


    Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
    1. H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.


    Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
    1. « Je comprends ce que tu ressens... »


    La petite manie dont vous vous passerez bien ?
    1. N'avoir aucune notion du temps.


    Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
    1. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.

Histoire


Jill Hadelston est née dans une petite ville perdue dont vous ne connaissez probablement pas l’existence. Ses parents étaient aussi proches d’elle qu’on peut l’être de sa fille unique. Ils étaient gentils, tout juste assez sévères. De bons parents, en somme. Trois choses régissent l’enfance de Jill. La première commence avec un prénom : Daniel.

DANIEL&DANNY&DIE.

Aussi loin que remonte la mémoire de Jill, elle l’avait toujours connu. Daniel et ses sourires, Daniel et ses mots, Daniel et ses plaisanteries. Dès son plus jeune âge, elle lui voua une profonde admiration. Elle ne savait pas trop pourquoi, mais lorsqu’elle le voyait, son cœur s’emplissait de joie. Elle frémissait d’envie et d’excitation lorsqu’il avait décidé de l’emmener quelque part, pas parce que l’endroit paraissait intéressant, mais parce que c’était lui qui voulait qu’elle vienne. Pour être honnête, elle serait allée partout avec lui, du moment qu’il lui aurait demandé. En fait, elle aurait même tout fait pour lui. Elle lui aurait tout donné. Elle lui aurait sacrifié sa vie, elle lui aurait même donné son âme s’il la désirait, mais il s’était contenté de son cœur. Ca, elle ne l’avait pas compris tout de suite. Non, au début, elle pensait juste l’aimer, comme elle aimait son père, comme elle aimait sa mère. Et puis, elle s’était juste rendue compte d’une chose, à l’âge de sept ans. Elle l’avait dit à table, soudainement : « J’aimerais que Danny soit mon mari, plus tard. »

Etant donné leurs sept ans de différence, ses parents avaient rit, mais elle n’avait pas vraiment compris pourquoi. Si elle l’avait dit à ses parents, elle ne l’avait pas pour autant dit à Daniel. Peut-être que c’était de la peur. Mais peut-être qu’elle préférait garder précieusement ce secret, comme un trésor. Elle continuait à aller chez lui, mais personne ne s’en inquiétait. Et plus elle grandissait, plus son amour pour lui grandissait aussi. Toutefois, au bout de quelques temps, elle ne vit plus Daniel. Il s’éloignait, il ne venait pratiquement plus la voir. Et elle, elle n’osait pas lui rendre visite, de peur de trouver quelque chose, ou quelqu’un. De peur de comprendre. Comprendre, c’était la dernière chose qu’elle aurait voulut faire.

MODE&LOUBOUTIN

Depuis que Daniel était parti, Jill s’ennuyait. Elle n’avait plus le gout à rien. Avant, avec les autres enfants, il lui était facile de rire, même quand cela ne l’intéressait pas, même quand il fallait se forcer, car elle savait que dès qu’elle le souhaitait, il était là. Comme une perle rare qui n’appartenait qu’à elle. Désormais, tous leurs jeux lui paraissaient accablants. Daniel lui avait montré un monde auquel elle n’avait pas encore accès. Et elle se languissait de l’atteindre. Pour le moment, la seule chose qu’elle pouvait faire, c’était attendre de grandir. Elle chercha bien à faire quelque chose, mais rien n’en valait vraiment la peine. Un jour pourtant, un samedi pour être exacte, elle décida de regarder la télévision. Elle appuya sur les boutons de la télécommande l’un après l’autre, d’un geste mécanique, et soudainement s’arrêta sur une chaine. Ses yeux s’écarquillèrent devant la beauté des chaussures présentées à l’émission. Ce fut sa première confrontation avec des Devalavi de Christian Louboutin, et dans le même temps l’une des principales révélations de sa vie. Elle regarda avec envie défiler les mannequins et s’approcha du poste, une lueur dans les yeux. « Ma…gnifique. » Le souffle coupé, elle se précipita sur l’ordinateur pour chercher les talons, les voir de nouveau, saliver devant le rouge étincelant, se rendre compte avec horreur de leur prix, 528 Livres sterling.

« Maman, je vais économiser pour m’acheter des chaussures Louboutin à 530 Livres. »
Sa mère faillit s’étouffer. Elle se reprit et soudainement s’exclama :
« 530 Livres ?! Quel gâchis, Jill ! Tu pourrais économiser plutôt pour quelque chose d’autre, je ne sais pas, des romans par exemple, ce serait plus utile. »
« Mais moi je ne veux pas de livres, je veux ces chaussures à talons ! »
« A talons ! Tu es bien trop jeune pour porter ce genre de chaussures. On en reparlera quand tu auras quatre ou cinq ans de plus ! »

Jill compris qu’elle n’obtiendrait rien de sa mère, mais elle ne pouvait pas se résoudre à abandonner, aussi elle décida de trouver un travail pour financer son achat. Après quelques semaines de recherches, elle trouva un petit travail grâce à un ami de la famille et commença à gagner quelques fonds. Lorsqu’elle obtint le minimum requis, elle imprima de faux papiers pour une visite scolaire à Londres et s’y rendit en bus afin d’aller acheter son rêve. Débarquer à Londres, une des capitales de la mode lui fit réaliser une nouvelle chose. Ce qu’elle voulait ne se limitait pas à des talons. Tous ces merveilleux sacs, ces vêtements, ces lunettes, ces bijoux, le moindre petit accessoire lui donnait envie. De son petit village, elle n’avait jamais vraiment eut l’occasion d’aller faire du shopping. Elle acheta ses chaussures, les enfila et frissonna de plaisir. Elle en était sure, désormais, elle était malade, atteinte pour de bon. Etait-elle devenue superficielle ? Valait-elle à présent bien moins que ces stars de cinéma ? Cela lui était bien égal, elle était tombée pour la deuxième fois de sa vie amoureuse. Désormais, elle aimait désespérément tout ce qui se rapportait à la mode.

CUPCAKES&INSANITY

La troisième et dernière chose qui régit l’enfance de Jill Hadelston s’appelle « Gourmandise ». Elle commence un 17 octobre 1996. Jill avait alors à peine quatre ans. Depuis toute petite, elle ne pouvait que rarement manger des sucreries. Sa mère, très bonne cuisinière, avait décidé de tenter la préparations de petits gâteaux recouverts de glaçage, plus communément appelés Cupcakes. A peine finis, Mme Hadelston demanda à la petite Jill de s’asseoir à table et déposa l’une de ces petites pâtisseries dans son assiette. Il était rose, surmonté d’une petite fraise, avec quelques amandes. Jamais Jill n’avait vu un gâteau aussi joli. Sa maman lui fit un grand sourire, et lui murmura « Ce sont les gâteaux des fées ! » Les yeux de Jill s’illuminèrent plus encore, elle sourit et savoura ce gâteau des fées avec délice. Ce fut pour elle le départ de son éternelle passion pour le sucre. Mais, que vous le sachiez, le fait que les Cupcakes étaient réalisés non par les fées mais par sa mère fut l’une des plus grandes désillusions de son enfance, d’une équivalence à l’inexistence du père noël. Malheureusement, sa passion pour le sucre se développa tellement qu’elle en atteignit plus tard un stade qui dépassait la catégorie du genre humain. Sa première crise eut lieu très tôt. Jill avait six ou sept ans tout au plus. Elle s’amusait dans le jardin avec un des voisins lorsque la crise était arrivée. Cette crise se manifesta pour trois raisons :
Premièrement : Jill n’avait pas pris le temps de gouter, elle commençait donc à avoir faim.
Deuxièmement : La maman du voisin était arrivée avec deux Cupcakes les avait donnés à son fils, puis était repartie.
Troisièmement : Le voisin avait fait un grand sourire à Jill et soudainement s’était enfilé les deux Cupcakes. L’un de ces deux Cupcakes était à la fraise.
( Je crois que vous comprenez maintenant pourquoi ce voisin ne porte pas de prénom. ) Jill avait baissé le regard, le poing serré, la voix tremblante. Elle avait du mal à respirer :
-Rends-moi mon Cupcake.
-Hein ?, demanda machinalement le voisin.
Elle se jeta sur lui pour le ruer de coups, débordante de rage :
-Rends-moi mon putain de Cupcake, connard ! Rends-le moi ! Rends-le moi ! Je te ferais vomir tes tripes pour le reprendre, sale fils de…

Heu… Stop. Non, vraiment, je pense que ça devient un peu trop vulgaire là. On sait vraiment dire ça à sept ans ? Bon, je pense que vous avez compris le principe. Si vous voulez au moins savoir ce qu’il est arrivé à ce petit voisin, ne vous inquiétez pas : Il est en vie. C’est l’essentiel. En ce qui concerne les crises de Jill, elles sont de plus en plus fréquentes, une seule cause lui suffit à perdre le contrôle, et cette cause, c’est la faim. Sachez au moins qu’elle est moins violente si elle apprécie l’individu, qui s’en sort généralement très bien. D’ailleurs, désormais, elle se contente très souvent d’une bonne quantité d’injures. Il faut aussi savoir qu’elle est parfaitement consciente de ce qu’elle fait. Elle justifie elle-même ses crises comme « Une perte de contrôle momentanée de force et de paroles » Pendant plusieurs années, on a cherché des troubles chez la petite Jill, mais rien ne s’est avéré bien concluant, et puis, finalement, les crises se faisaient plutôt rare. En cas de problème, les médecins avaient au moins découvert une chose, il suffisait de lui apporter ce qu’elle désirait, des Cupcakes la plupart du temps. Enfin, tel que je vous raconte ça, on pourrait presque croire à un remix de « Super size me » version Jill&Cupcakes, mais en fait, nous en sommes loin. En réalité, Jill faisait beaucoup de sport. Mode et gourmandises ne faisaient pas bon ménage, et pour garder la balance à un niveau raisonnable, deux heures par jour lui étaient nécessaires. D’ailleurs, elle aimait beaucoup ça, et ne s’en plaignait pas. Ce mode de vie lui convenait.

DEATH&WH

Et elle avait continué ainsi jusqu’à ses quatorze ans. Pas par choix. Le vendredi 13 octobre 2006 avait bouleversé sa vie. Certains disaient que les vendredis 13 portent bonheur. Depuis ce jour elle était persuadée du contraire, et était devenue superstitieuse. Mais, pour en revenir à ce malheureux jour, ou plutôt, cette malheureuse soirée, elle avait commencé comme toutes les autres, par un cri de joie de Jill, lorsqu’elle avait vu le dernier sac Gérard Darel en solde. Elle s’était alors précipitée devant sa mère alors qu’elle allait sortir pour la supplier de lui avancer de l’argent. Cette dernière avait sourit mystérieusement puis lui avait dit « Je ne te promets rien, mais on en reparlera. » C’est sur ces derniers mots qu’elle passa la porte, suivie de près par son mari qui fit un clin d’œil à Jill. Elle lui répondit par un sourire. Cette soirée s’annonçait plutôt bien. Elle s’installa devant « Desperate Housewives », puis entreprit une manucure détaillée et l’application de son nouveau vernis rouge. Fatiguée, elle s’endormit rapidement. Une sonnerie la réveilla en sursaut. Elle tendit la main à l’aveuglette vers le combiné. « Hm. Allo ? » Elle jeta un rapide coup d’œil vers l’heure. Une heure et demie. Elle se frotta les yeux : « Oui, c’est moi. »
« … »
Ses yeux s’écarquillèrent soudainement. Elle porta une main tremblante à sa bouche, tandis que son autre main lâcha le téléphone, sous le choc. On pouvait tout de même entendre les quelques mots du médecin qui continuait « …La pluie a du être un facteur principal de l’accident, sans quoi ce camion n’aurait pas…Mademoiselle ? Mademoiselle Hadelston ? » Jill raccrocha, les larmes aux yeux. Puis elle décrocha de nouveau le téléphone, et composa un numéro. Il devait répondre. Elle avait besoin de lui. Il avait toujours pris soin d’elle. Quoi qu’il arrive, il devait répondre. Tremblante, elle attendit, le cœur serré. Finalement, il décrocha. « Allo ? » A l’entente de sa voix, elle éclata en sanglots : « Danny, ils sont mo-morts… Ils ont…Ils sortaient, et… Un accident… » Ses paroles étaient discontinues à cause de ses sanglots. Elle n’arrivait même pas à lui expliquer calmement. Elle se sentait vraiment mal. Mais lui, il avait immédiatement compris, et était parti la chercher sans perdre une seconde. Et pourtant, il lui sembla attendre une éternité. Lorsqu’il passa la porte, elle se précipita pour le prendre dans ses bras : « Aide-moi… » Il ne lui restait que lui, rien d’autre. Et elle ne voulait plus jamais le perdre, plus jamais perdre personne. Lorsqu’ils arrivèrent chez lui, son cœur se serra plus encore. Elle détourna le regard, les yeux encore embués de larmes, et se mordit les lèvres pour ne pas pleurer à nouveau. Une femme. A moitié nue. Une vraie femme, une femme de l’âge de Daniel. Et même s’il l’avait fait partir, Jill sentait qu’elle était à présent encore plus loin de l’atteindre qu’auparavant. Elle, qu’il devait voir comme une enfant immature. Lui, toujours trop loin, toujours trop grand. Et malgré tout elle l’aimait plus encore. Pour le moindre de ses gestes, la moindre de ses paroles. Juste parce qu’il était lui.

Désormais, au moins, elle pouvait vivre auprès de lui. Car il était son unique famille. Elle avait d’abord été inscrite dans un collège de secteur, puis Daniel lui annonça qu’il devait partir à Wammy’s House, un orphelinat pour surdoués où il serait professeur. Elle aurait tout fait pour le suivre, même falsifier un test de QI s’il le fallait, mais la chance fut pour une fois de son côté, elle avait un QI supérieur à la moyenne. Arrivée à l’orphelinat, elle rencontra le directeur, qui lui expliqua le but des orphelins, succéder à L. Cela n’avait pour elle pas grande importance, quoi que succéder à L aurait été une belle réussite. On lui avait demandé si elle préférait choisir son surnom, et étant donné que Cupcake n’était pas très acceptable, elle réfléchit et se souvint ce que Daniel appréciait, le miel. Un sourire se glissa sur son visage, et elle répondit, malicieuse :
« Honey »

HRP.


SURNOM(S) : May, ou Kebab ( bon j'arrête avec cette blague débile, promis. )
DATE DE NAISSANCE : 13 / 11 / 92
ÂGE : 18 ans
SEXE : ❒ M ✔ F
AVATAR : Here http://www.pixiv.net/member.php?id=22856
DÉCOUVERTE DU FORUM : Lorsque j'étais encore jeune et innocente
NOTE SUR 20 DU FORUM : 19,2183. Oui, j'ai tout calculé. Croyez-moi.
Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! Ouran110


Dernière édition par Honey le Sam 22 Jan - 22:35, édité 4 fois
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End
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Sujet: Re: Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! EmptyVen 21 Jan - 20:20

Bienvenue sur WH !

IIIIIH JILLL JIIIILL ahem pardon

Selon le questionnaire ton personnage est donc ...un riddle, tadadam ! Je te laisse ajouter à Honey une particularité propre à ce groupe !
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Invité
Sujet: Re: Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! EmptySam 22 Jan - 22:36

    Huhu, particularité ajoutée, fiche terminée ! <3
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Sujet: Re: Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! EmptySam 22 Jan - 22:48

HIIIIIIIIIIIII Je t'aime, j'aime Jill, j'aime Danny & Jill

Alors hop, validée très chère ♥
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Sujet: Re: Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! Honey :. Me? Often like that?! Ahah, never... A CUPCAKE! Move your ass, jerk! Empty

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