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 Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky

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Whisky Ne pense pas au passé...
Whisky
Sujet: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyJeu 23 Jan - 21:37

I'M READY TO GO.

Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky 489344003 Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky 489344003
Whisky ■ Winsdoms Waylon Walter


âge : 26ans
date de naissance : 01/01
qi : 154, la drogue ayant bien affaibli ses capacités cognitives.
sexe : Masculin
origine : Anglais
ancienneté : Il vient d'arriver à la Wammy's House en temps qu'Adults, mais à déjà vécu trois moi dans son enfance à la WH* :o
manie : Aucune, à part jouer avec une cigarette ! ( Il est devenu expert dans l'art de se les rouler )
cheveux : Blanc à cause de l'âge et de son aspect globale.
yeux : Brun
peau : Pâle
taille : Grand ?
tatouage/piercing : Nop.
corpulence : Maigrelet.

you're gonna go far, kid.


Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous ; un membre du staff viendra ensuite vous communiquer votre classe.
Définissez-vous en une phrase.

    ■ Je suis un.


Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?

    ■ Un poisson rouge.


Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?

    .■ Totem et Tabou de Sigmund Freud.■ .


Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.

    ■ « Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »


La petite manie dont vous vous passerez bien ?

    ■ N'avoir aucune notion du temps.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.

    ■ M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.


it's time to begin, isn't it ?

Travailleur ■ Réfléchi ■ Attentif ■ Attentionné ■ Curieux ■ qualité
Immature ■ Gros fumeur ■ Blageur ■ Négligé ■ désorganisé ■ défaut


Tu vois un mec en tenue un peu négligé, au détour d'un couloir, un grand adulte en train de rire tout en tirant la joue d'un autre orphelin. Surprenant quand on connait un peu la réputation de la direction, avec l'intransigeant M. Kaplan et le directeur froid comme un iceberg Moriarty. Mais là, tu vois, le gars bizarre que tu zyeute discrètement et qui rit aux éclats, c'est pas n'importe qui. Un ex-camé devenu infirmier dans le plus prestigieux orphelinat de surdoué du monde, y'en a 36. Tu le connais peut-être mal, surtout si tu n'es jamais allé à l'infirmerie, mais c'est normal. Il est assez discret et, lorsqu'il sort de l'infirmerie, c'est rare qu'il laisse transparaitre de grandes qualités.

Pourtant, si tu visitais un peu les lieux de son travail, tu verrais un personnage travailleur, bien que désorganisé. Des tas de dossier ornent un bureau qui semble avoir déjà quelques années, et besoin d'un coup de chiffon. Deux ou trois gobelet vide, ou à moitié vide, de café sans doute, trainent sur la surface de bois, ou alors quasiment posé sur la surface d'un ordinateur portable poussiéreux. Faut dire que Whisky déteste les machines. Tu pourrais aussi y voir des boites de médicament en pyramide et le dossier -fermé- de quelques camarades. L'infirmier que tu ne connais pas encore aime bien lire et relire les informations des personnes qu'il connait, pour savoir si elles vont bien et si un traitement est nécessaire. Faut dire que la santé de tous les mini-L le préoccupe. Que ce soit mental ou bien psychologique, d'ailleurs ! Le camé préfère savoir si quelque chose ne va pas et s'inquiéter, plutôt que de nager dans la bienveillante et bienheureuse ignorance d'autrui.

Si tu te retournais maintenant, tu le verrais peut-être te détailler. Parce que cet homme d'aspect douteux aime bien essayer de comprendre qui a besoin de soin avant que ceux-ci ne parlent. Il y a des chances qu'il porte une clope au bec, cet original, parce qu'il passe sa journée à les rouler, sans forcément les fumer. Pourtant, dans son bureau trône les messages de mise en garde de Kaplan et de Moriarty, juste derrière son poster anti-tabagisme, mais rien à faire, les habitudes ont la vie dure. Il ne lui reste que cette addiction, remarque, et il fait toujours en sorte que les plus jeune et les non-fumeurs ne profitent pas de sa fumée. Par contre, aussi étrange et paradoxale que cela puisse paraître, cet imbécile adore jouer les moralisateur envers les élèves fumeur, dont il connait une partie, qui est inscrit sur son précieux papier qu’il ne quitte jamais. Celui avec tous les problèmes qu’il connait des orphelins.

Enfin bref, une fois qu’il t’aura observé longuement, pour se faire une idée de toi et de ta venue, il te tirera une chaise, pas en face de lui, comme le fera un adulte, mais plus à coté, comme une invitation. Sans doute ouvrira-t-il un tiroir où se trouve des gâteaux et autre sucrerie, chewing-gum et petit truc à grignoter. Bref, il va te mettre à l’aise, parce qu’il sait que pour discuter d’un problème, c’est toujours mieux de se sentir bien. Il n’est pas psy, même si parfois il écoute les élèves et les Adults lui parler, parce que lui aussi à envie de savoir, et de réconforter. Il sait ben les dérives et les mal-être que les gens peuvent trainer derrière eux.  Lui aussi, il y songe, à ses démons, en fumant ses clopes et en vivant ses délires,  souvent.

Enfin bref. Tu vois, il est professionnel, différent de ce gamin qui traine dans la salle commune et qui embête les élève, différent de cet espèce d’adulte qui a jamais voulu grandir, qui fuit ses responsabilités, ses erreurs, ses peurs, en retournant dans un endroit qu’il avait quitté pour les mêmes raisons. Il sait qu’il est ici que pour un temps, qu’un jour il devra refaire ses bagages, mais en attendant, il veut juste revivre son adolescence, se reconstruire secrètement. Parce que lui aussi, il aime la Wammy’s House, comme tout les orphelins qui y sont, sans doute. Et lui aussi sait qu’il devra grandir, un jour. On est pas Peter Pan, hein ?

'cause they'll be a day when you're standing in the hall of fame

"Mec. Ça fait trop longtemps que je te regarde. T'es une obsession par moment pour moi, t'sais ? Un genre de vision que je parviens pas à écarter de mon encéphale. T'es déjà au courant que t'es incroyable, les profs te soûlent sans doute beaucoup à cause de ça... Mais voilà, faut que je te le dise aussi, t'es incroyable.

Ça fait une semaine que je suis là, dans ce trou à rat sordide, ce parc dédié aux mal-aimés de la vie, mais ceux qu'on un peu de pot quand même, parce qu'ils ont été choisie par elle pour être étudié et entrainer -ou engraisser- comme des porcs pour pouvoir produire un autre L, un autre gosse détective prodige, parce qu'ils sont plus intelligent que tout les autres orphelins qui crèvent la dalle sur le bitume encrassés de la capitale. Mec, j'ai eu une sorte de flash, comme ces grenades qu'on balance aux manifestants quand ils deviennent dérangeants, pour leurs faire fermer la gueule et les laisser crever de faim sur le caniveau. T'es une perle de pureté au milieu d'un océan d'immondices. L'état et ses conneries, la Reine et compagnie, tout ces bien-pensant qui posent leurs culs graisseux sur une chaise de la haute société pour continuer à aider les riches, eux, on jamais réussi à briller autant que toi avec tout leurs bijoux et leurs parades, leurs costard et leurs tailleurs, leurs éclats de rire mal calibré et leurs moues mondaine, so British. Quand je te vois évoluer dans ces bâtisses infâmes, enfermant notre liberté comme les cages enferment des poulets, avec ta grâce et ta beauté maligne, je me dis que, putain, finalement le monde peut encore être sauvé. Tu me fais rêver, mec. Je sais pas comment tu fais, mais toute les Bethy, Cathy, Ely et Marylin m'avait jamais chamboulé autant que toi. Même le manque ne m'avait jamais remué les trippes comme ça. Tu viens d'où, putain, t'es un extra-terrestre ? Ma mère m'avait déjà raconté entre deux défonces que parfois, des gens magnifiques se glissaient chez les mortels, pour leurs jouet un vilain tour en leurs volant leurs cœurs. Mec, t'es comme eux dis...? T'es un Ange toi aussi ?"

J'avais dix-sept ans, et comme l'indiquait ma lettre, je venais d'entrer dans le prestigieux programme de formation de la Wammy's House. À l'époque, elle se situait déjà dans un grand manoir, aux abords de Winchester. Le genre de chose qui avait été racheté par des gros bonnets pour un projet sur lequel il misait beaucoup. De toute manière, on se disait dans les hautes sphères que cela ne mènerait pas à grand-chose, dans le pire des cas, et que ce serait donc un des nombreux projet raté et inconnu du grand public ... Alors que maintenant, c'est le secret anglais le plus rentable pour la formation de l'élite future. M'enfin... Donc j'avais dix-sept ans depuis peu et je venais de passer les seize première années de ma vie dans un des bas quartiers de la capitale, au coté d'une mère toxicomane et de ces nombreux amants de passage. Un truc un peu bizarre, une vie violente... Au départ, jusqu'à mes cinq ans, ma mère m'élevait seule en luttant contre la pauvreté et l'absence de son Ange, un homme riche, du mieux qu'elle pouvait. Mais la difficulté de son travail, allié à moi, qui était un gamin difficile, car non autonome et muet, avait fait plonger ma mère dans les affres de l'alcoolisme. Moi, je restais dans mon mutisme, sans me rendre compte que le bateau coulait de plus en plus. Pour ma défense, mon trop gros quotient intellectuel avait joué sur mes facultés cognitives, et bien que je me savais capable de parler, je me refusais à cet exercice pourtant simple pour m'adonner à des réflexions solitaires, ce qui me faisait passer pour un arriéré. Enfin, c’est ce que disaient les psychologues, je ne me souviens plus trop, moi.

Ma mère, donc, plongea dans la consommation excessive d'alcool, ce qui entraina notre déclin. Perdant son boulot, elle dût continuer à payer son logement et ses dettes de boisson, et pour cela devint fille de joie, secrètement. J'étais caché les soirs de passe, pour que ma mère puisse gagner de quoi payer le pain qui nous nourrissait. Après quelques mois, je venais de fêter mes six ans, elle devînt également toxicomane, et son amour dont elle m'enveloppait partie, ce qui causa un choc pour ma petite tête d'enfant. Je commençai dès lors à m'interroger sur le monde extérieur, et je rompis mon mutisme pour apprendre à vivre à la dure. Je sortais beaucoup, je n'allais pas à l'école, et je trainais nus pied dans les rues quand ma mère était défoncé. Après mes premières sorties désastreuse, je compris que le monde était une brute insensible, et je m’attelai à la tache de devenir plus solide pour pouvoir survivre au monde extérieur.

~~~

Le prof attrapait la feuille qui dépassait de sous mon cahier de cours, curieux sans doute des pratiques auquel je m'adonnais dans son cours de logique. Moi, je devenais un peu rouge de honte, sans pour autant en baisser la tête. Avec ces huit à douze heure de cours journalières, et ces quatre à huit heure de devoir quotidien, la Wammy's House offrait toute la difficulté que les surdoués pouvaient rechercher. Aucun loisir, aucune détente autre que celle que ce goulag nous choisissait, n'était toléré. Alors écrire pendant les cours, vous pensez bien...

Le professeur lisait maintenant à voix haute le contenu de ma lettre, et moi je bouillais de rage. D'où ce type pouvait faire ça ? Je foudroyai du regard les autres qui ricanaient, cette dizaine de prodige qui avait survécu à l’élimination des plus médiocres. Il tapotait sa règle sur le bord de la table, caricature grotesque des années trente, l'autoritaire sadique en puissance. Je me prenais la honte devant tout les individus présents dans la salle, même V, à qui j'écrivais mon papier. Lui ne rigolait pas, il restait droit, sa stature un peu fluette brillant d'une lueur angélique sous la lumière du jour.

Puis le profs replia ma lettre en papier en une boule et me la jeta au visage en ricanant d'un air méprisant. Mon sang de voyou des rues ne fit qu'un tour, et j'attrapai d'une main une chaise pour la lui lancer en pleine figure. Puis je fus convoqué chez le directeur.

~~~

"Cher V. Je t'écris encore une lettre que tu ne liras pas, car, comme d'habitude, je ne trouverais pas le courage de te la donner. Déjà un mois que je suis ici, à travailler comme un animal de traie, sans jours de repos, excepté quand Watari passe nous voir, une fois par mois. Je vois des gens partir, leurs rêves et leurs espoirs brisés par la lourde tâche qu'est la formation du futur L. Je ne comprends toujours pas pourquoi moi on me garde, alors que je suis le plus mauvais de tous. Watari dit que c'est parce que les professeurs pensent que j'ai encore une belle marge de progression et de capacité. Mais... Est-ce vrai ? Je me le demande.

Enfin. De toute manière, la seule chose qui me soutienne dans cet enfer, c'est ta silhouette frêle et ton regard magnifique, ta chevelure soyeuse et tes traits fins. Combien de fois je me perds dans la contemplation de ton apparence ambigüe ? Je ne sais pas... Je crois que je suis en train de tomber amoureux de toi. Depuis trois semaines, ce sentiment grandit en moi. Je sais que de cette lettre, tu ne verras que des cendres, car elle finira dans les flammes, mais cela me fait du bien de me confier au papier qui..."

Nous étions au cœur de la nuit, et j'avais dix-sept ans. Ma solitude nocturne était devenu une habitude, car les longues heures d'insomnie était quotidienne avec moi. Ce soir là, comme beaucoup d'autre soir, j'écrivais des papiers, des pages à la lueur pâlotte de ma lampe torche, pour essayer de savoir ce que je ressentais. Mais ce soir là, tout fut différent. Car V. se leva et me vit écrire. Il était silencieux, et malgré le clair de lune qui illuminait sa silhouette d'une pâle lueur de ténèbres, magnifique, je ne l'avais pas vu. Quand sa main saisit ma lettre et me la retira, je sursautai, brusquement, honteusement surpris par cet homme dans mon habitude nocturne. Pourtant, je n'étais pas impressionnable, d'habitude. Dix ans de vie dans la rue, ça forgeait des manies et des tics, des carapaces qui ne partait pas. Mais ce soir là, je n'étais pas dans mon état normal. Et cette nuit resta gravée dans ma mémoire.

Il lut ma lettre sans afficher quoi que ce soit sur son visage. Pas un sourire ni un froncement de sourcil. Pas un mot ni un son. Juste un silence. Puis il plia la lettre, doucement, et la glissa dans la poche de son pyjama. Avant de venir se blottir contre moi... C'était spécial, en fait. Sentir un corps chauds contre soi, qui ne demande rien d'autre que de ne pas quitter nos bras. Je ne savais pas quoi penser de cette nuit, à ce moment là. C'était la première fois que quelqu'un m'accordait sa confiance, sans me juger sur mes actes passés ni sur mes manière farouche. Il ne bougeait plus de mon torse, et moi je m'étais laissé faire. Peut-être que je changeais ? Peut-être...

~~~

"Cette nuit là encore, j'ai touché les étoiles du bout des doigts. J'ai effleuré leurs courbes fragiles et caressé du pouce leurs lueurs pâles, délicates et froides au toucher. J'ai encore rêvé ce soir, je suis encore monté très haut en étreignant le ciel, et la terre. Un ange tombé du ciel, en fait. Encore, il m'a fait rêver, il m'a fait vibrer au rythme lent et puissant des forces de la nature, puis il m'a montré la danse violente des pulsions, la rage que parfois les cris envoient, très loin dans les ténèbres. Un monde obscur, parallèle, fait de honte et de désir, de course poursuite dans la soie et de lent soulagement. De sourire invisible dans le noir, de regards enfiévrés. De deux corps qui s'entremêlent, de découverte mutuelle. Avec toi, je touche les étoiles.

Tu as été un peu silencieux au début, tu as pris ce qui te plaisait, puis petit à petit tu as dévoré des parts de ma réticence de plus en plus grande. Poète lorsqu'il le fallait, câlin quand tu le voulais, tu as fait chuter toute mes barrières, et j'ai sauté le pas avec toi des relations entre hommes. J'ai oublié entre tes bras les filles que j'avais connu à treize, quatorze ans, pour me sentir vivre entre tes mains masculines. Oublié ma mère et sa personnalité changeante au fil de ses prises, mes "beau-père" d'un soir, les connards qui me disaient que si je fauchais un sac ou deux pour leurs compte je pourrais manger le soir. Entre tes doigts parfois malhabiles et souvent tendre, entre tes lèvres douces et un peu féminines, j’oublie ma vie de merde un instant et je me prends à rêver. Dieu que ces instants durent toujours. Mais je sais que rien est éternelle et que je me coucherais, épuisé, pour me lever ensuite et reprendre un rythme infernale, afin de devenir comme ce L, à quinze ans un gamin prodige. Ou dix-sept pour moi. Je t'aime, V."

Le temps s'écoulait au rythme rapide de notre travail et des retrouvailles entre V. et moi, dans des endroits insolites. Chacun faisaient rêver l'autre, je crois, et on avait chacun besoin de l'autre pour tenir. Mais si j'avais su que cela ne serait pas suffisant... Je passais deux mois avec mon ami, mon amour, ma came, la plus forte de toute celle que j'avais essayé, qui me faisais voler si haut dans le ciel, magique et éphémère, comme un rêve qui se termine trop vite, avalé par le temps et la cruauté absurde de la vie. Au cours de mon troisième mois à la Wammy's House, nous n'étions plus que quatre ou cinq surdoués. A, le mystérieux et silencieux enfant que je ne parvenais pas à cerner, B, l’adepte du maquillage,  V, Ange parmi les anges et moi-même, W. Et puis les autres qui tenaient, difficilement. Certains autres avaient demandé à partir ou avaient été exclu, perdant du même coup les privilèges que l'on nous avait promis. Bonne place dans la société, bon salaire... Tout cela ne valait pas la motivation de certains orphelins, qui quittait abattu et détruit la fabrique de surdoué. Moi, j'avais V, et je tenais uniquement pour lui, et pour le futur meilleur que nous promettait l'organisation. Sauf que... Un matin du troisième mois depuis mon arrivé...

Un suicide. C'est ce que l'enquête démontrera. Mais moi, je n'y ai longtemps que vu un meurtre. Un meurtre de la part de la vie, sur la personne que j'aimais. Un meurtre de la part du bonheur, qui refusait de devenir une constante dans ma vie. Un meurtre de la part du hasard universel qui régit tout, sorte de grotesque provocation gratuite à mon égard. Je crois que lorsque V s'est jeté en travers d'une poutre, quelque chose s'est brisé en mois. J'ai perdu conscience, je suis partie de la pièce avec cette vision gravé au fer rouge au fond de mon cœur. Overdose de travail. Puis j'ai sombré moi aussi.

Quand j'ai repris conscience de mon corps, trois ans s'était écoulés. Trois ans en pilotage automatique, trois ans en galère sans doute. J'ai appris que je m'étais barré de la Wammy's House en me retrouvant réveillé un matin, dans les bras d'un vieux qui sentait la bière. J'ai eut des flash-back bref de mon départ, de mon passeport volé dans le coffre de la Wammy's, de ma fausse identité, de mon départ de l'Angleterre et ses règles comme un clandestin. Des mois difficiles, des premières prises de shit et autres cochonneries. De mon errance solitaire en Europe, ou je me démerdais en parlant anglais et un peu la langue du pays. Des fois ou voler pour ne pas crever ne suffisait plus, et ou mon honneur brisé gisait au sol, tandis que je me servais de ma gueule et de mon corps, à la Genet. J'sais pas si vous connaissez ce dramaturge qui a fait le tour de l'Europe en se prostituant.

Le choc, j'étais choqué. J'avais poursuivi un passé heureux en m'enfermant dans des dépendances dont je ne suis jamais réellement sorti. Clope, Alcool et drogue, qui ont bâtie mon lot quotidien de rêve, mon empire illusoire et mes espoirs brisés. Je prenais en plein gueule comme un pavé ce que j'avais fuit, à savoir la mort de V et la fuite des étoiles. Même shooté je ne parvenais plus à les effleurer. Je comprenais soudain ma mère et mon triste état, son histoire d'Ange, sa peine. Puis je me levais, et je quittai sans un mot la pièce puante et mon client. Il fallait que je me reprenne en mains. J'avais vingt ans, j'étais en France, il fallait que je fasse quelque chose de ma vie. Je ne voulais pas finir par être une épave, moi.

~Nous nous devons de grandir, un jour. Toujours. ~

En six ans, on en fait des choses... J'avais pris conscience de tous les problèmes que ma ballade en Europe avait causés à mon futur, quand je me suis réveillé ce jour-là. Mais, il faut croire que tant que je serais en vie, je serais un battant. Enfin bref, comment j'en suis arrivé ou je suis actuellement déjà... Ah, oui.

Il y a six ans, donc, j'ai quitté la maison de mon dernier client en cherchant un chemin à suivre dans la vie, utilisant mon intelligence et ma capacité de travail, bien développé par la Wammy's House et ses méthodes de l'époque. J'ai donc erré pendant environ six mois, en cherchant à intégrer les grandes  écoles les plus divers, sans résultats. Et puis je suis tombé sur le bon pigeon. Un mec bien placé dans le gouvernement des français, homosexuel et aimant les jeunes adultes. Je trainais dans le bar où je travaillais comme serveur, et plus si affinités, lorsque l'homme était rentré dans la salle. Lorsque j'ai été "demandé" par ce client précis, pour la passe, je ne pensais pas que je tomberais sur un employé du gouvernement. Je ne l'ai su qu'après "l'amour", lorsque j'ai fais les poches du client, en tombant sur une lettre à son nom et ses papiers d'identités. Et c'est là que mon plan a germé dans mon esprit. Je l'ai séduit, je l'ai appâté, et quand le poisson fut ferré... Je pus obtenir ce que je voulais, à savoir une vraie existence dans les papiers français. Grâce à la magie du gouvernement véreux, on put me faire une carte d'identité à mon nom et une place dans l'état civil. Walter Waylon Winsdom. W. Moi. Grâce à cela, je devins candidat libre pour le baccalauréat, que j'obtins sans peine. Puis je pus m'inscrire dans une école de médecine. Là, les quelques mois à dans l'orphelinat anglais le plus durs et secret du pays me permirent de me dépasser physiquement et mentalement, au niveau du travail. Pendant cinq ans et six mois, j'enchainais les travaux et les cours, par correspondance ou en amphi, pendant près de dix heures par jours. Le reste du temps me servait à manger et à boire, à travailler, satisfaire mon compagnon, cet homme du ministère, et optionnellement à dormir. Je fumais aussi beaucoup de cigarette, et il m'arrivait souvent de finir défoncé avec de la came, pour fuir toute cette surcharge et toute cette pression, et surtout ce visage qui me collait à la peau. V, qui me reprochait sans doute ma vie de catin, la prostitution de mon âme et de mes rêves. Mais je l'ignorais, son fantôme, en m'enfermant dans mon travail et dans mes délires.

Ces cinq années passèrent en un éclair. Je ne vis pas les jours courir et le sablier du temps se vider, tant je vivais dans un état comateux, mon cerveau fonctionnant à plein régime alors que mon corps était vidé par la drogue et par la fatigue. Mes muscles, le peu que j'avais, fondirent comme neige au soleil, et si je gardais une certaine carrure, mes cheveux, eut, perdirent leurs teintes rousses pour blanchir prématurément. Des petites rides couvraient aussi ma peau, mon visage. Je ressemblais à un homme de vingt ans, trente ans mon âge. Mais tant pis, j'avais atteint mon but, et obtenu un diplôme de médecin. Je trouvai un emploi stable dans un hôpital assez grand, fier d'être à mon âge un médecin qui partait sur la voix du succès. J'avais vingt-cinq ans et je pensais que la vis me souriait.

Sauf que voilà. Une nouvelle carte, donnée par un blizzard sadique, distribué par une saloperie de donneur qui déteste voir gagner les gens, un croupier de ces casinos qui truquent le jeu pour gagner gris, venait de chambouler ma main. C'est comme avoir une bonne main possible au black jack et perdre, face à la banque, qui a fait mieux. Deux cartes qui font basculer les enjeux. En l'occurrence, deux mois après mon embauche, j'ai craqué. J'ai fumé de la merde, des cochonneries pour essayer de fuir ce qui me hantait. Je suis arrivé défoncé au taff, et on m'a viré. Saleté. Je savais plus quoi faire quand on me remit ma lettre de démission, alors je pris la voiture de mon client longue duré, et je partis vers la mer. Lorsque j'arrivai, sur ces plages du Nord, cote bretonne qui me rappelait un peu le monde d'en haut, l'Angleterre, je versai un peu de larme, qui roulèrent en des bijoux cristallins sur mes joues creuses. Puis je pensai à sauter le pas, encore une fois. Essayer de voie si la mort me rapprocherait des étoiles, comme le croient les croyants fervents. Mais je ne sautai pas. Je ne pus me résoudre à mettre fin à mes jours, malgré ma tristesse et ma solitude. Je savais où je voulais retourner, au seul endroit où V. me laisserait tranquille. Alors je repris le ferry vers l'autre coté de l'océan.

La marche, solitaire et silencieuse, est une activité de profonde introspection. J'ai débarqué à Calais, une ville du Sud de l'île anglaise, à environ cent kilomètres de la Wammy's House. Des longues distances, j’en avais souvent vu, des photos d’endroit magnifique à des endroits dont j’ignorais le nom, la localisation, à part qu’il était loin et inaccessible. De bien petites étoiles. Mais là, c’est la première fois que je devais traverser le pays sans le sou, avec juste une besace contenant un costume et des clopes. Un peu de bouffe, un peu d’eau. Me fallait du temps en fait, surtout. Du temps pour réfléchir à ce que j’allais dire à Watari et à Roger, du temps pour trouver les mots, pour m’excuser. Du temps pour réapprendre à me soucier de moi, un peu, mais moi en temps qu’humain et pas en temps que fantôme, épave maigrelette et sans beauté. Bref.

Trois jours, quatre, cinq, une semaine c’est sans doute le temps, en marchant toute la journée, pendant lequel un individu normal aurait eut le temps de parcourir la distance. Je mis deux semaines. Et encore. Chaque jour, je marchais, mais je me perdais également. Je m’arrêtai parfois devant un décor qui me plaisait, et je mangeais dessus. Je mendiais en ville, pour pouvoir avoir à manger, quand mes provisions furent terminés. Et puis, un beau jour, Winchester. Le manoir. La maison de Watari…

La suite, elle est un peu floue. C’est surtout un dialogue entre le principal directeur du lieu de formation des surdoués, et moi. Des excuses, des explications quand à mon histoire, des épisodes gardés sous silence, pour ma part. J’ai appris à ce moment là la disparition de B et le suicide de A. C’était dur de savoir que la plupart des orphelins avaient finalement échoué dans leurs buts. Mais j’avais connu pire, après tout. Alors au final, lorsque les  nombreuses heures de dialogues entre mes anciens mentor et moi-même se conclurent, je su que je j’avais été repris. En tant qu’infirmier, et sous condition. Pas de sortie pour ma part, pour éviter que je ne rechute dans les drogues et l’alcool. Pas de drogues, ni de tabac dans ma chambre et mes bâtiments de fonction. Pas vraiment de salaire, à part une somme qui me paraissait un peu ridicule par rapport à ma précédente paye, mais bon. De toute manière, la majorité irait sur un compte en banque pour ne pas que je sois tenté de payer mes collègues ou des élèves pour qu’il me ramène des drogues.

Au final, j’écris cette lettre pour faire le point, avant mon entrée dans l’orphelinat. Je ne connais que deux de mes collègues, et les deux me font penser à des icebergs. Je n’ai aucune idée des orphelins actuellement dans la Wammy’s House, mais je dois faire avec. Je vais découvrir mon nouveau travail et me refaire psychologiquement et physiquement, avant de repartir, un jour. Quand la France aura oublié mes conneries.

Une silhouette grande et maigre, en imperméable, brûle un papier dans les cendres volent au vent. Puis, il entre dans un grand bâtiment, semblable à un petit château. Une nouvelle vie commence…


i got sunshine in my bag.

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Dernière édition par Whisky le Mer 29 Jan - 17:31, édité 7 fois
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Everald Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky 1370770342-idio4
Everald
Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky 145218Riddle1
Sujet: Re: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyDim 26 Jan - 17:48

YO. Alors voilà j'ai commencé à lire ton histoire, vu qu'elle est pas finie, et je la trouve pas mal ! J'aime vraiment ta façon d'écrire, même s'il y a quelques petites fautes d'orthographe :3
Vu ce que tu m'avais dit, je pensais que ton histoire serait vraiment mélodramatique mais c'est pas trop mal finalement, même si j'ai toujours des doutes sur le fait d'être aussi dévasté par la mort de quelqu'un, on peut toujours se reconstruire après, Whisky devrait le savoir vu qu'il a perdu sa mère jeune xD Mais bon c'est pas important, c'est possible anyway, vu que j'imagine qu'il se rattachait à A comme la seule chose douce à son existence.
Après pour la question de la WH qui se situe dans un autre bâtiment, je pense qu'il vaut mieux que ça reste à Winchester, parce que sinon si d'autres personnes veulent faire des adults et se gourent bah... ça fait un contexte plutôt compliqué à gérer orz après je laisse nia (qui va passer après moi pour tout ce qui est en rapport avec DN) donner son avis :3
Je pense que si les cheveux de Whisky blanchissent (et encore je trouve ça hyper cheaté comme truc, limite il se teint les cheveux quoi), il doit aussi avoir l'air bien plus vieux que ça, il riderait et tout, jor vieillissement prématuré de la peau. C'est comme les yeux "varions" ça veut dire quoi, tu voulais pas dire vairons ? ça fait un peu trop, d'autant plus que sur la plupart des images, Ginko Mushishi a les yeux verts non ?
207 de qi ça fait beaucoup aussi xD jor c'est le qi de matt quoi c'est énorme dammit + deuxième arrivé à la wh c'est hyper catégorique, dis simplement qu'il fait partie des premières générations, et précise depuis quand il est employé là-bas !
Après pour ton histoire il vaut mieux que tu fasses le questionnaire, histoire qu'on te dise dans quelle classe était Whisky.
Désolée pour le pavé, bon courage o/
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Whisky Ne pense pas au passé...
Whisky
Sujet: Re: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyDim 26 Jan - 20:33

Merci Everald d'avoir lu mon début de fiche, et re-merci pour tes compliments *.*
Alors alors je reponds a tes diverses questions, pour te donner mon point de vue sur les divers détails que tu as soulevé. Par rapport à la mort de A, oui, il en a été gravement affecté, car c'est la première personne à s'être entièrement interessé à lui ! En effet, sa mère étant souvent en transe ou autre, elle ne lui témoignait qu'une affection restreinte et quasi-innexistante, c'est pourquoi Walter n'a pas pleuré lors de son décès, ni été affecté outre mesure.
Ensuite...
Pour l'autre batiment, je pensais à une sorte de truc vite monté, comme des préfas... Mais oui elle peut avoir été sur le site de l'actuel Wammy's House, non ? Genre comme si le gouvernement aurait re-batis par dessus un truc de qualite, apres avoir vu que cet idée marchait bien...?
Pour ses cheveux et ces yeux tu as raison, j'suis allé vachement loin dans les abus en fait. Donc je pensais à lui enlever les yeux vairons, mais du coup pour les cheveux et la peau,me faudrait un autre physique >.< Si un admin a une idee... /0/ Je vois bien un mec ridée, un peu. /0/
Et je peux baisser son QI, mais je pense pas qu'il soit bas non plus, puisqu'il fait partie des premiers orphelins, calibré pour devenir des clones de L !
Et je modifierais le questionnaire et son ancienneté plus tard, quand j'aurais un pc xD
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Sujet: Re: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyDim 26 Jan - 21:44

Je passe donc en deuxième pour faire l'admin chiante qu'on a envie de taper, je suis vraiment désolée ! (je suis gentille :c )

Tout d'abord la combinaison cheveux blancs / yeux vairons n'est vraiment pas nécessaire. Doublé d'une vie de prostitué et de drogue, je regrette mais c'est un peu trop "gros". On ne demande pas un réalisme à toute épreuve mais là il s'agit clairement de plusieurs "facilités scénaristiques" pour donner une profondeur au personnage, et elles sont superflues.
Avec une couleur de cheveux normale et des yeux normaux ça fonctionne aussi très bien. Nous n'essayons pas de brimer les membres mais tout le monde souhaiterait avoir un des personnages les plus intelligents, les plus anciens, les plus sombres, les plus originaux physiquement...

Donc, ce n'est pas réaliste non plus de laisser les personnages de membres lambdas avoir un QI aussi élevé. Limite le a 200 au maximum.

Dans la même idée, je suis vraiment désolée car ton histoire est bien rédigée :c mais être l'âme sœur du meilleur élève de la WH et celui qui allait prendre le rôle de L, non. Ca fait assez grosbill, du genre "mon perso est sorti avec le meilleur de la WH"...et ce n'est pas non plus nécessaire pour donner une valeur à ton personnage.

La WH a toujours été dans le bâtiment à Winchester, je ne comprends pas où tu as été pêcher cette idée d'un autre lieu. Est-ce précisé dans Another Note ? Je l'ai lu il y a longtemps, je ne me souviens pas, c'est possible que cela m'ait échappé !

Ca m'embête de te demander de tout refondre parce qu'il y a beaucoup de bonnes idées, mais il est important qu'aucun personnage ne combine autant de facteurs irréalistes.

Fais-toi plaisir avec un autre physique, son histoire peut être identique mais avec un autre orphelin doué de l'orphelinat, et essaye de ne pas exagérer. (il n'est pas nécessaire qu'une fiche devienne un film d'action américain avec prostitution sale et irruption du gouvernement, mais à la limite ça tu peux le laisser).

N'hésite pas à poser des questions si je n'ai pas été claire, je suis là pour aider !
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Sujet: Re: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyDim 26 Jan - 22:53

... O.O
Waiiiie... Xx en effet le choc est rude, mais t'as raison, j'ai vraiment trop abusé. X.x
Ouaip, donc je repars sur la refonte de ma fiche et la reecriture partielle de mon histoire, donc. Maiiis... Pitié, vous auriez pas un autre physique ? Parce qu'au niveau de personnage qui font vieux, j'en ai pas vraiment des masses, dans ce que j'ai lu. Xx
Donc bref, je range cette histoire dans ma boite a tresor et j'en refait une autre, basé sur celle-ci, mais sans la liaison avec A. Je vire aussi le physique ( Adieu Ginko ;-; ) mais, je souhaiterais -avec votre accord- gardé son passé de prostitué et de camé. Xx
Et... Oui comme je l'ai dit je vais baisser son QI. Et desole de vous ennuyer en faisant des fiches trop abusé. >3<
Je re-posterais ca le week end prochain je pense ! 0/
PS: Mais nan t'es pas chiante, Nia, tu fais ton travail d'admin et tu le fais bien, sans faire de concession. Au plaisir de recroiser Hurri sur la CB ! :3
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Sujet: Re: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyLun 27 Jan - 18:33

Aaah je suis contente que tu l'aies pas trop mal pris alors : )

Tu peux garder ce physique si tu veux, suffit juste que les cheveux soient une teinture et les yeux des lentilles ? Mais sinon tu voudrais quoi comme genre de physique ? "qui fait vieux" mais genre, cool, badass, etc ? Je peux te chercher un peu ça !

Garde aussi le passé de drogué ça me va !

Bon courage petit padawan !
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Sujet: Re: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyLun 27 Jan - 20:34

Near a écrit:
Aaah je suis contente que tu l'aies pas trop mal pris alors : )
Etant moi-même administrateur sur un autre forum, je connais les aléas des fiches, et je suis aussi d'accord avec toi : les persos trop exagéré et abusés ne sont pas intéressant pour les forums. Et je sais reconnaitre mes abus. :')

Sinon, pour son physique, je pensais à un truc, genre vieux qui à mal vieilli, avec une touche de cool quand même. Ou alors carrément un débris avec tout plein de rides. En fait... Voilà quoi xD

Merci ô Hurri o/ Et à samedi !
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Sujet: Re: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyMer 29 Jan - 17:02

Voilà, petit double post pour signaler au administrateur que ma fiche est terminé, enfin du moins la version 1.5. J'ai normalement tout corrigé, et suivi tout vos conseils, mais bon..
J'vais me chercher un avatar ! o/
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Everald Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky 1370770342-idio4
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Sujet: Re: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyLun 3 Fév - 23:50

Coucouu, je me permets de te valider, puisque tu as suivi les conseils de Nia ! (oui, enfin, désolée pour les nombreuses réécritures que tu as du faire xD) Voilà, re-bienvenue donc, ton perso est vraiment trop chou et l'histoire (ouais bon ok un peu niaise mais osef) est coule :DD Voilà voilàà o/
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Sujet: Re: Do you need smoking ? Euh... Something ? - Whisky Do you need smoking  ? Euh... Something ? - Whisky EmptyMar 4 Fév - 19:34

Merci merci merci Evy ! **
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