PSEUDONYME : Eden, je voulais que ce soit "Petit nounours en guimauve tout rose" mais pour je ne sais quelle raison, on me l'a refusé *soupir* NOM : Karzavosky PRÉNOM(S) : Emraskia Italia QI: 183 DATE DE NAISSANCE : 25 / 07 ÂGE : 35 rides. SEXE (✔) : ❒ M ✔ F ORIGINE : Née en Russie, puis élevée en Italie. Je possède donc un léger accent russe.

Couleur des cheveux : Blond, avec quelques mèches plus claires, une coupe carrée plongeant avec une frange. Couleur de la peau : Blanche. Tatouage/Piercing ? : Un tatouage ? Mais non voyons, je ne me suis pas fait tatoué "ax²+bx+c=0" dans mon dos alors que j'étais bourrée, enfin voyons, quelle est cette idée saugrenue ?!

Couleur des yeux : Mordorés. Taille en centimètres : 181cm Corpulence: Elancée.

Je ne crois pas en la beauté, dans le fait que le physique est une base et racine des plus importantes. Sans lui, nous serions tous pareils, et personne ne se plaindrait.
Moche, moi ? Non, seulement réaliste. Mon physique m’est certes précieux, mais je continue à penser que tout irait bien dans « le meilleur des mondes possibles ». Haha, Voltaire, grand philosophe français, unh ? Un hypocrite aussi ♥.
Mais qui parle en cet instant ? Hé bien, votre chère sous-directrice, la jolie femme derrière son petit bureau ! Approchez-vous, vous me reconnaîtrez très facilement à mon physique.

Quelque chose vous submerge, vous empoigne. Une odeur étrange. Pire. Un regard. On serre les poings, on se calme. Ce n’est que le bureau après tout, que le bureau. La moquette est si belle. Penses à la moquette, pas à la femme près de la fenêtre. Mais je vous fixe, de ce regard intéressé, aux prunelles mordorées. Quelle étrange couleur…On se sent submergé par ces yeux là. Bercer, violenter, et que sais-je encore ! Cet effet de profondeur, d’être lu, est accentué par ces longs cils noirs et cette forme en amande. Non, elle ne va pas vous croquer. Je ne vais pas vous croquer ! Pourtant, ce regard en dit long sur son possesseur. Enigmatique, intense, et charmante.

Votre cœur bat si fort. Vous fais-je peur mon jeune ami ? Mes lèvres s’étirent. Une fine bouche colorée d’un rouge envoûtant. Ca y est, je m’approche. Elle a l’air de sortir d’un cauchemar…Ce visage ovale, au menton un peu pointu et au nez minuscule. Quel étrange personnage ! Tout cela vous submerge. Et encore ! Ses cheveux d’un blond grisé, aux connotations multicolores. Ils rebiquent, ces cheveux. Une coupe bien carrée et qui pourtant admet une frange et quelques révoltes. Pourquoi une telle sous-directrice existe ? Pourquoi on n’a pas une vieille peau ?! Merde alors…

Ces yeux s’immiscent dans votre esprit, on dirait qu’on vous lit, mais vous, non, vous, vous ne pouvez pas comprendre ce personnage au petit sourire frustrant. Et cette peau laiteuse, comblée de quelques couleurs chaudes. La peau d’une poupée, sûr ! Elle n’en a pas la taille …A peine un mètre soixante quinze. Qu’une envie, vous enfuir. Ne plus voir ce visage si mystérieux, cette façade de beauté ne laissant jamais quiconque voir à travers…Mais courir serait signer votre arrêt de mort, non ? Je ne suis pas un monstre, mon petit ♥.

Tout ce brouille dans votre esprit. Une odeur. Une fumée. Ca sent la cigarette. Une drogue qui lui va à ravir et qu’elle tient de sa main gauche. Des ongles manucurés comblés d’un rouge « pomme d’amour ». Comment je le sais ? Sur son bureau. Le petit flacon brille à la lumière. Il lui ressemble bien…
Mais il n’y a pas que ça. Cette fumée envoûtante. Il y a autre chose. Un parfum de glycine oui. Un humus étouffant, qui remplit la pièce de sa présence. Mais rien à faire, on la fixe toujours. On plonge dans cette dorure. Dans ce tailleur serré. Dans ces jambes longues. On se laisse aller. Mais vous savez, vous ne connaissez pas tout de cette institutrice. On ne pourra jamais voir la longue cicatrice ornant son ventre plat. Une marque qui cache tant de souvenirs. Que vous est-il arrivé ma chère amie ? Ah, une gifle, un regard moqueur.
Miss Karzavosky, vous nous cachez bien des choses. Sous ce regard enchanteur, cet aspect de prédatrice sans cervelle, il y a une maladie. Un cancer des plus redoutables. Une chose qui vous dévore si rapidement, qu’elle en prend votre place…N’est-ce pas Emraskia ?

« Chut, tu vas réveiller le bébé ♥ »

Gourmande Souriante Dynamique Amusante Observatrice

Bordélique Fainéante Calculatrice Lunatique Menteuse

On pense connaître une personne. On touche du doigt ses peurs, ses souffrances. Et pourtant, on se trompe sur toute la ligne ; cet ami qu’on croyait nous ressembler n’est rien d’autre qu’un inconnu à la mine mensongère. La Vie est si injuste, mon pauvre chéri ♥.
Il en est de même pour moi. Je ne ressemble pas à ce que je laisse supposer. Ceux qui essaieraient de deviner la vérité de mon âme se retrouveraient pieds et poings liés, à me fixer d’un air surpris comme si je les avais trahi. Et je les aurais trahi…Alors, vous qui serez de nouveaux petits privilégiés, je vais vous faire une fleur et vous montrer tous les recoins de mon esprit ♥.

Au niveau travail, ça donne quoi ? Au premier abord, l’on dirait bien une femme d’affaire la sous-directrice, ou bien une secrétaire avec son tailleur couleur crème et ses hauts talons. Qui penserait que cette jolie demoiselle exerce le métier de sous-directrice ? Personne ! Et on aura bien raison.
Il ne faut jamais se fier aux apparences, la russe est bizarre, et même des plus étranges ! Ce sont les professeurs qui courent partout pour l’attraper afin qu’elle s’occupe des dossiers, des bulletins, bref de la vie de nos chers élèves. Mais Emraskia est si douée qu’elle en reste introuvable ♥. Alors on pleure, et oui, malheur à ses secrétaires. Heureusement que Mr le Directeur principal est là…Une brimade, un dossier à refaire, bref, Eden doit recommencer son boulot. On n’échappe jamais à l’œil de notre supérieur hiérarchique, c’est la loi social, tsk !

Pourtant, il ne faut toujours pas se fier aux apparences ! Et oui, chez elle, Miss Karsavosky est un bourreau du travail ! N’aimant pas le ménage, c’est le bazar assuré, avec des feuilles, dossiers et billets de banques au sol, des stylos et produits de beauté se mélangeant sur la table. Heureusement qu’elle possède une femme de ménage qui ne cessera jamais de hurler de peur en voyant ce capharnaüm. Mais bon, au prix qu’elle la paye, la métissée n’a pas intérêt à s’enfuir ♥.

Et pourquoi tant d’artifices ? La femme aime s’amuser avec les personnes qui l’entourent, même avec ses élèves ! On pourrait la comparer à une spectatrice de la Vie, comprenant chaque mentalité, chaque geste et qui adore observer les gens face à ses diverses actions. Hé oui, pour cette institutrice, c’est un jeu. Personne n’est encore arrivé à l’ennuyer. Malgré tout, elle se comporte différemment en fonction de son interlocuteur et de ses relations. Du jour au lendemain, elle pourra aussi bien vous ignorez que s’intéresser à votre cas avec un de ses sourires énigmatiques qui en fait frissonner plus d’un.

Eden, Eden, Eden…Tu es irrécupérable ! Il est tellement frustrant de ne pas pouvoir t’emprisonner dans une cage afin de mieux te connaître. Rien à faire, on ne pourra jamais t’attraper ! Etrange sous-directrice que voici…Tu as l’air de te moquer de tout avec ton air blasé, cependant si on y regarde bien, tes lèvres s’étirent, tes yeux mordorés fixent avec le plus grand intérêt un élève. Que tu les aimes, ces enfants de tout âge ! Ils sont emplis de vie, de pureté on pourrait dire. Unh que tu aimerais l’avoir, cette innocence ? Une autre gifle. Terriblement instable, l’Eden. Terriblement…

On te trouvera certainement dans un endroit en plein air, ou bien une boutique de luxe, à acheter diverses affaires, pour faire des cadeaux ou bien pour toi-même ! Et tes élèves ? Ah, ces merveilleux élèves, ces merveilleux professeurs ♥. Lorsque l’un d’eux attire ton regard, tu ne le lâche plus. Non, tu ne cache rien, tu n’es certainement pas timide ! La personne qui dit ça n’en sait pas long sur toi. Tu es tellement surprenant, Emraskia ! Tellement qu’on ne sait comment tu vas réagir.

Mais peut-être caches-tu quelque chose après tout. Tes souvenirs ? Un regard meurtrier, des mains sur mon cou, un meurtre occasionné. Emraskia, je t’adore ma chérie ♥.

« Que mon bébé est beau quand il dort. C’est peut-être pour cela qu’il est toujours assoupi ♥. »

Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.


Définissez vous en une phrase.

1. Non.


Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?

1. Un poisson rouge.


Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?

1. Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.


Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.

1. « Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »


La petite manie dont vous vous passerez bien ?

1. N'avoir aucune notion du temps.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.


1. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.

Notre cher narrateur étant malencontreusement décédé, je prends le relais, ce qui est tout à fait normal puisque c’est mon histoire. Alors, par où commencer ? Ma naissance ? Tout ce dont je me souviens remonte à mes yeux grands ouverts sur le médecin, qui me fait un compte-rendu, des plus plats, sur la mort de tous mes proches. Ce qu’il était ennuyeux ! Peut-être est-ce là que j’ai commencé à devenir bizarre…A mes quatorze ans.

Un psychopathe s’était immiscé dans notre maison. Jolie petit habitat de rondins de bois. Un pyromane s’étant enfui de l’asile. En même temps, je le comprends, pourquoi rester enfermé à longueur de journée avec des vieux tout fripés alors qu’on peut foutre le feu à la baraque d’une famille de cinq enfants ? Le deuxième choix est plus jouissif. Manque de bol ou connerie du destin, qu’importe, mon père se fit torturer, ma mère et moi violées et les autres égorgées ou éventrées. Je fus moi de même, le ventre à l’air mais j’ai survécu. Don du ciel ? Haha, vous êtes des drôles vous.

Je ne me souviens de rien, sauf de son sourire carnassier. Même pas du visage de mes parents et des moments que l’on a passés ensembles. Comment recommencer une vie ainsi ? Je fus placée dans un orphelinat pour jeunes filles en difficulté, et en Russie, ce genre de maison n’est qu’un amas de détritus sans nom où l’on se prostitue et que sais-je encore ! Mais, comment dire…A seize ans, il est impossible de se faire adopter. Je suis l’exception de la règle.

Une famille d’italiens. Elle tient encore et toujours une partie des actions du marché mondial, avec à sa tête un génie comme mon père adoptif, chacun possédait trois maisons. Haha, ironie du sort ; je passais d’une pauvre maison de rondins de bois à une villa avec un danois se nommant François. Les milieux sociaux sont déroutants d’un pays à l’autre.

Œuvre humanitaire, voilà la réponse à ma question existentielle « Pourquoi m’avoir adopté ? ». Pas du genre à mentir le padre, et puis il ne pouvait pas me cacher la vérité, j’étais et je suis encore trop douée pour me laisser berner par un mensonge. Oui, intelligente et bizarre. Je connaissais l’anglais, le russe, et l’italien sur le bout des doigts. Mon père disait toujours que c’était mieux ainsi ; apprendre les langues des pays aux échanges commerciaux les plus importants. Tout ce qui concerne la bourse et l’économie, c’est ce génie qui me l’a appris. Bien la seule chose dont je lui suis reconnaissante.

Vie paisible où je m’amusais de tout un chacun. On me surnommait « La jeune fille au regard qui voit tout ». Haha, je connaissais chaque secret, chaque bêtise. Et je me faisais de l’argent dessus ! Un vrai trésor ♥. J’adorais séduire dès mes vingt ans bien qu’aimer ne fit pas parti de mes priorités. J’aguichais même lors de mes études de commerce, ne suivant jamais les cours, m’intéressant plutôt aux personnes comblant l’amphithéâtre qu’aux lèvres du professeur.

Une opération d’urgence. Haha, quel humour ce destin ! La climatisation spontanée de mon estomac subie durant mon enfance avait crée un œdème qui contaminait tous mes organes dû à la future naissance d’un petit humain. Des médicaments, et une opération de l’utérus qui me valut un arrêt du cœur. Déchirement de la peau par les médecins pour un massage à même l’organe et voilà comment arrive une longue cicatrice tout le long de mon buste. Violette en plus…beurk !

Je fis une dépression, me mettant dans diverses situations, fumant comme pas deux. Je venais d’apprendre en deux jours que je portais un enfant et un cancer. Les deux me furent enlevés. Pas cool la vie ! Et je ris de tout cela. Il vaut mieux qu’en pleurer ! Autant dire que mon padre m’envoya en Amérique. Pourquoi ? Certainement pour ne plus voir ma face de dépressive détraquée souffrant de quelques rires nerveux lorsque venait un silence de mort lors de réunions familiales...Peut-être. Ou alors, pour ne plus entendre ma voix tonnant quelques propos ironiques et piquants à souhait à son égard, face à ses associés, peut-être aussi ♥.

Autant dire, que je n'aimais pas l'Amérique, disons que m'engraisser d'un kilo en ayant manger une simple salade au fast-food du coin, avait suffit à me donner une impression légèrement négative sur cet ensemble de pays...Je m'ennuyais ferme dans ce pays, tout ce que j'avais à faire c'est les boutiques ou bien fréquenter les lieux mondains. Autant dire que ses activités se résumaient en trois mots : je m'emmerde. Haha ! Les jeunes femmes riaient avec moi et en mon absence, déblatéraient des inepties à mon égard. Toutes avaient le même discours : on t'aidera à remonter la pente, on est tes amies après tout. Ah ? Nouvelle du jour : j'ai des amies. Wah. Super contente. Vous m'aider là, j'adore. Quelle blague, les américaines sont décadentes et idiotes. 

Pour passer le temps, je me suis mis au professorat. Moi ? Professeur ? Oui c'est possible, ce métier me va comme un gant. Je réussissais brillamment, dans toutes les disciplines, mathématiques, anglais, français, philosophie, langues secondaires, sciences de la vie, mais pas physiques - chimie, étrangement. En fait, j'en avais rien à faire...Pourquoi je réussissais aussi bien ? Disons que le professorat et les élèves marchaient dans mon esprit, comme des actions ou des bourses ; si ça diminue, faut donner un coup de pouce, si ça augmente, faut attendre, et si ça stagne ; game over <3 

Un jour, après avoir reçu mon diplôme, un homme est venu me parler, moustachu, l'air vieillot, puant le coup fourré...Il m'embauchait en tant que stagiaire dans un orphelinat nommé Wammy House...mais qu'est ce que j'irais foutre dans un orphelinat ?! Surtout de cette renommée ! Si c'est pour côtoyer des élèves à l'air bovin ne répliquant pas à mes piques ou autres, je n'en vois pas l'intérêt.

J'ai accepté - en tenant compte du salaire sur les 3 mois de stage. Étrangement, l'idée que je me faisais de l'orphelinat et de ses pensionnaires semblait fausse. Je dis bien semblait, je n'aime pas avoir tort. Je m'y suis bien amusée ! Les élèves répliquaient étonnamment bien, mes méthodes d'enseignante se  firent apprécier et l'enseignement des spécialités était trépidant !

Embaucher pour de vrai ! Durant les quelques années passées en la compagnie des pensionnaires, je m'amusais passionnément  à les observer et les cerner, ils étaient tous uniques, tous extravagants !  Les professeurs semblaient à la hauteur de leur réputation et curieusement, je n'ai jamais rencontré le directeur des lieux. Qu'importe, si c'est pour fréquenter un vieux crouton en chaise roulante ayant la maladie de Parkinson et sentant le grand-père, je préférais qu'il me reste inconnu héhé.

"Eden n' est absolument pas apte à devenir la sous-directrice de ces lieux, ses méthodes d'enseignement sont déplorables, sa maturité désespérante, et je ne parle même pas de son ironie qui relève du burlesque. Si les élèves s'en sont sortis dans sa matière, cela tiendrait du pur miracle." Voici le gentil petit mot qui m'a été adressé lors de ma candidature pour devenir sous-directrice. J'en suis restée coite...Pas du genre sympa le dirlo, il relevait du diable en personne, pas possible autrement ! Vous rendez vous compte que j'ai du ouvrir un livre et travailler pour la première fois de ma vie à cet instant ? Comment j'ai pu le faire changer d'avis, je l'ignore, mais désormais, je n'enseigne plus ma matière et me consacre au budget de l'école, aux examens et autres, aidant le directeur dans sa tâche. Bah vous savez quoi ? C'est lui qui passe derrière moi, m'oblige à bosser et m'engueule car ce que je fais est "déplorable". A cet instant où j'ai posé mes fesses derrière ce bureau, j'ai compris deux choses ; Mr. Le directeur est un perfectionniste, et Mr. Le directeur me tuera en me faisant bosser jusqu'à crever. IL AURA MA PEAU ! Magnifique avenir, j'adore <3

SURNOM(S) : Appelez moi super chamallow 8D /pan/ Nitsu... DATE DE NAISSANCE : 20 / 10 / 1993 ÂGE : 17 ans et des poussières. SEXE (✔) : ❒ M ✔ F AVATAR : Haha...Je ne sais plus c'était dans mes archives T^T... DÉCOUVERTE DU FORUM : Par partenariat avec Endless war 8D NOTE SUR 20 DU FORUM : 18/20 83

Bonjour !

Miru, notre maîtresse à tous, m'a prévenu concernant le rôle de Sous-directrice donc pour moi tout est okay ! 8D

Ainsi je n'ai rien à redire à ta fiche... Elle me semble parfaite ! Miru aurait aimé valider ta fiche mais comme elle a beaucoup de travail et que tu attends depuis quelques temps je me permerts de te valider !

Toutefois le QI me semble un peu élevé, en avez-vous discuté avec Miru ou... ?

Bienvenue sur la Wammy's House et bon jeu ! o/

Moi ça m'allait de toute façon ! o/

Validation ! 8DDD BOOOOUH.