PSEUDONYME : Luciole NOM : Richardson PRÉNOM(S) : Lilith QI: 195 DATE DE NAISSANCE : 24 / 12 ÂGE : Dix sept hivers. SEXE (✔) : ❒ M ✔ F ORIGINE : votre texte

Couleur des cheveux : Ambrée. Couleur de la peau : Porcelaine. Tatouage/Piercing ? : Un tatouage en forme de salamandre sur le coin de sa hanche droite.

Couleur des yeux : Cobalt bleu. Taille en centimètres : 170 cm. Corpulence: Voluptueuse

Courageuse Charismatique Franche Attachante Séductrice

Volage Insensible Droguée Fourbe Têtue

Luciole est une fille nonchalante, pleine d'ambition, attachante, drôle, droguée et. . . Bi. (mais chut, faut pas dire.)

- What about love ? -
«  L’amour ? Synonyme d’autodestruction, j’aime pas ça, j’y fais pas attention et pis c’est tout. »
Luciole fait partie de ces femmes qu'on nomme "croqueuses d'amants". C'est dire qu'elle s'évertue inlassablement à collectionner des hommes qu'elle cherche à tenir à sa merci mais qu'elle délaissera après, sans regret. Elle a l'étonnante capacité de faire table rase de ses amours passées et de commencer une nouvelle liaison comme si c'était la première. Lorsqu'elle n'aime plus, inutile d'insister : ni prière ni colère ne peuvent l'émouvoir. Son copain ne devrait donc pas trop compter sur sa fidélité. Il serait illusoire d'espérer qu'une fois dans une relation elle se range tranquillement. Rien ne l'empêchera de faire des incartades quand elle en aura envie. Pour elle, l'amour et l’amour avec un grand « A » sont deux choses bien distinctes, comme la diététique et la gastronomie. Les jalousies et possessivité ont peu d'incidence sur son comportement. L’adolescente est une excellente maîtresse. Elle est apte de combler les désirs de l‘homme le plus sensuel. Mais il ne peut en aucun cas compter sur la jeune fille pour "ronronner". Chez Luciole, cette partie est singulièrement réduite. L'amour ne l'intéresse que dans la mesure où il reste encore à conquérir. Dès que les choses deviennent faciles, l’adolescente s'en lasse ; c'est pourquoi on dit que la jolie blonde n'est vraiment pas faite pour ce sentiment. Il faut lui faire comprendre, à n'importe quel stade de la relation amoureuse ou conjugale, que rien n'est encore définitivement acquis. En amour, elle est allergique à l'état d'accomplissement et à la routine.

- What about you ? -
« Y paraît que j’suis insensible et souriante, y paraît.  »
Le sens moral chez la jolie blonde est assez douteux. Il semble qu'elle ne s'embarrasse guère de scrupules. Tout ce qui lui donne l'occasion d'agir lui procure en même temps une justification morale suffisante. Ayant le rire facile et la faculté de voir le côté drôle de la vie, Luciole a l'habitude de ne rien dramatiser. Pour elle, les situations les plus dramatiques ont toujours quelque chose d'amusant sur lequel elle se concentre instinctivement. C'est un état de grâce qui la préserve de la morosité, de la tristesse, du découragement et des dépressions nerveuses. De l'humour, elle en a à revendre. On ne saurait s'ennuyer en sa compagnie. Elle peut sortir à n'importe quel moment des boutades qui vous font tordre de rire. C'est un boute-en-train par excellence qui sait parfaitement s'y prendre pour égayer une atmosphère tendue. La suspicion est un des principaux composants du caractère de Luciole. Elle fait rarement confiance à ceux sur lesquels elle devrait normalement s'appuyer. En revanche, elle se fie entièrement aux personnes de son propre choix et qu'elle croit loyales et honnêtes. Peu influençable et impulsive, Luciole n'en fait souvent qu'à sa tête. Il serait bien difficile de lui donner un conseil, même avec la meilleure intention du monde. C'est là son point faible, car elle a une confiance démesurée en sa propre force.

- What about the friends ? -
«  Il y a un adage qui dit que les amis se comptent seulement sur les doigts de la main. »
Gare à ceux qui s’amuse à jouer avec les sentiments de la demoiselle. Tout manque de loyauté envers elle pourrait l'amener à réagir de façon brutale alors qu'en général elle est gentille, franche et boute-en-train. Même si son désappointement ne se traduit pas en actes ou paroles féroces, elle ne sera pas prés d'oublier l'affront qu'elle a subi. Elle ne se laisse donc pas marcher sur les pieds ce qui lui vaut sûrement ce tempérament. Ceux qui veulent lui faire du mal en feront l'expérience. Quand quelqu'un de son entourage l'offense sérieusement, elle a tendance à faire la tête. C'est sa façon de dire au coupable : "Je croyais que tu étais meilleur que les gens, et je me trompais." Mais sa bouderie se dissipera rapidement comme les nuages dans le ciel. Une parole douce, un geste conciliant, suffisent pour accélérer le processus de détente. L'amitié est la grande affaire de sa vie. Luciole y attache une importance capitale. C’est à dire qu'elle préfère la qualité à la quantité. Elle choisit soigneusement ses amis, les observe et les juge longuement avant de les admettre dans son intimité. C'est avec ces amis qu'elle aime engager des conversations profondes et interminables dans la tranquillité et le confort de son petit univers. C'est d'eux qu'elle tire sa force et sa joie de vivre.

- The others ? -
«  une monstruosité exquise dépourvu de tout scrupules. »
Un des défauts de Luciole est de se croire plus avisée que les autres, à tel point qu'elle n'a pas beaucoup d'estime pour eux et traite volontiers certains de « con ».Bien sûr, elle prend soin de ne pas laisser transparaître ses sentiments et de toujours garder une apparence d'affabilité et de sociabilité. Bien fins sont ceux qui savent la démasquer. Les plus sévères d'entre eux n'hésiteraient pas à la prendre pour une hypocrite — ce qui n'est pas toujours justifié. Lors de ses rencontres négatives, sa répartie devient alors moqueuse, se transformant en piques acérées prêtes à se clouer dans la mémoire de son interlocuteur. Dans ces moments-là, impossible de dire si ce que l'on lui reproche l'atteint. Lorsque c'est le cas, elle le dissimule, cachant sa faiblesse sous un masque d'indifférence, serrant les dents en se disant qu'elle ne laissera pas son rival savoir qu'il a réussi à le blesser. Luciole - comme tout autre personne - possède cependant un côté sombre. En dépit de son charme et de sa confiance en soi, elle détient un caractère arrogant et se croit souvent supérieur aux autres sans que ceux-ci s'en aperçoivent.

Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.


Définissez vous en une phrase.

1. Non.
   
2. Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
   
3. Anthropologiquement parlant ou bien ?
   
4. Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
   
5. Je suis un.


Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?

1. Une bataille navale.
   
2. Les hauts de Hurle-vent.
   
3. Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
   
4. Un poisson rouge.
   
5. Une corde.


Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?

1. Finnegans Wake de James Joyce.
   
2. H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
   
3. Totem et Tabou de Sigmund Freud.
   
4. Harry Potter de J.K Rowling.
   
5. Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.


Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.

1. « Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
   
2. « Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
   
3. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
   
4. « D'un point de vu biologique... »
   
5. « Je comprends ce que tu ressens... »


La petite manie dont vous vous passerez bien ?

1. Câliner tout le monde.
   
2. N'avoir aucune notion du temps.
   
3. Faire des private jokes.
   
4. Accro au high five.
   
5. Caser des citations partout.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.


1. Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
   
   
2. M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
   
   
3. Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
   
   
4. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
   
   
5. Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...

Mémoire d'un vol. ♪

La petite Luciole blessée
Pleine de rêves inavoués
Touche du doigt sans y penser
Les plumes de sa liberté

Elle ne connait pas les étoiles
Et veut déjà hisser les voiles
Sur son navire imaginé
Embrasser d'autres voies lactées

La petite Luciole tombée
Croyait pourtant pouvoir voler
Vers le bonheur qu'elle espérait
Loin de nos rêves surannés

Comme un Icare tombé des nues
Luciole en quête d'Absolu
Rêver au ciel d'une autre vie
Luciole est tombée du nid

Luciole, mon oisillon
Tu croyais pouvoir leur dire non
Mais quand on ne sait pas voler
On marche droit et on se tait.

« Luciole, c’est d’abord un corps. Elle bouge très bien, sa démarche est inédite, quelque part entre force et fragilité. »

- Génocide d’un ange.

Avant le mariage, ils s'étaient aimés secrètement, plongé dans les étoiles. Ça avait été d'abord une rencontre charmante sur une plage de l'Océan. Il l'avait trouvée délicieuse, la jeune fille rose qui passait, sur le grand horizon marin. Il l'avait aimée, blonde et frêle, dans ce cadre de flots bleus et de ciel immense. Et il confondait l'attendrissement que cette femme à peine éclose faisait naître en lui, avec l'émotion vague et puissante qu'éveillait dans son âme, dans son cœur, et dans ses veines. Elle l'avait aimé, elle, parce qu'il lui faisait la cour, qu'il était jeune, assez riche, gentil et délicat. Elle l'avait aimé parce qu'il est naturel aux jeunes filles d'aimer les jeunes hommes qui leur disent des paroles tendres.

Alors, il y eut mariage.

Ça avait été d'abord une sorte de rage sensuelle et infatigable, puis une tendresse exaltée faite de poésie palpable, de caresses déjà raffinées, d'interventions gentilles et polissonnes. Tous leurs regards signifiaient quelque chose d'impur, et tous leurs gestes leur rappelaient la chaude intimité des nuits. Maintenant, sans se l'avouer, sans le comprendre encore peut-être, ils commençaient à se lasser l'un de l'autre. Ils s'aimaient bien, pourtant ; mais ils n'avaient plus rien à se révéler, plus rien à faire qu'ils n'eussent fait souvent, plus rien à apprendre l'un par l'autre, pas même un mot d'amour nouveau, un élan imprévu, une intonation qui fît plus brûlant le verbe connu, si souvent répété. Ils s'efforçaient cependant de rallumer la flamme affaiblie des premières étreintes.

Alors, il y eut Lilith.

Puis, tout s’assemble, se désassemble pour former une structure organique imparfaite. Madame Richardson était enceinte. Avec de la chance, peut-être, la flamme de leur passion éteinte reprendrait de plus belle ? Malheureusement, lorsqu’on essaye de s’accaparer l’éclat de feu, on s’y brule les ailes. Les mois s’écoulèrent, et les cris douloureux jaillirent, annonçant l’arrivée de Mademoiselle Lilith Richardson. La naissance, le fœtus ne fait qu'un avec sa mère. C'était le temps de la fusion, indispensable, où elle puisait assurance et force. Mais il faut grandir et, pour cela, se séparer, prendre de la distance. Elle n’était déjà âgée que de quelques mois qu’elle donnait déjà du fil à retordre à ses deux parents. Parents, qui ne s’aimaient plus. La naissance de Lilith ne mena à rien, conclut la mère. La vaisselle s’écrasait dans un bruit affolant, on vomissait des insultes. Lilith Richardson grandit et se développa dans cet environnement hostile et instable. Monsieur et Madame Richardson ne s’entendaient plus.

Alors y eut divorce.

Troublé par leur passion autodafé, Madame Richardson ordonna le divorce. Monsieur accepta. Il ne pouvait pas refuser. Cela faisait trop d’années que leur passion était éteinte. Et Lilith, dans tout ça? Elle n’existait pas. Pour les deux, elle représentait un fardeau à porter. Ce fruit empoisonné qui avait germé dans leur folie passionnante et animale. La jeune enfant, âgée de huit années fut confiée à sa mère. Et elle grandit, parmi les amants de sa mère remariée plusieurs fois. Supportant les nouveaux visages et sourires de ces différents hommes, à qui elle vouait une haine viscérale. Quant à M. Richardson, selon des racontars, on disait qu’il errait dans les dédales de l’ivresse.

Et il y eut l’adolescence.
Anna, sa mère, recherchait désespérément l'amour et se remaria pour la sixième fois à un homme que Lilith n’appréciait pas.

« Pourquoi tu n’aimes pas Josh? Il est gentil…
- J’l’aime pas, c’tout.
- Lilith…A quinze ans, la crise d’adolescence est fini, tu sais. Pourtant, je m’étonne à croire que tu l’auras toute ta vie.
- En même temps, s’tu fais gaffe et si tu vois dans l’environnement dans lequel j’ai grandi, j’crois qu’y a d’quoi s’poser des questions, t’as vu. Puis ton mec, il est genre super moche. »

Elle se lève, elle part, sa mère l’observe, elle se tait. Elles ne se sont jamais entendus et ne s’entendront jamais, Lilith doit partir, Lilith anéantit le bonheur qu’elle tente de bâtir depuis des années.

Puis on y passe tous, La drogue grave les prémices de la décadence chez la plupart des adolescents.

Le premier joint de Lilith Richardson marqua l'ouverture d'une pièce dramatique, qui la projeta au devant de la scène en tant que protagoniste principal. Les substances se succédèrent et ses envies s’amplifièrent. Ce besoin de briller, d'avoir le beau rôle, était susceptible de pousser l’adolescente jusqu'au bord de la témérité. Elle ressembla alors à l'éphémère qui se brûle les ailes en voulant accaparer l'éclat du feu qui la fascinait. Puis, elle devint avide de plaisir charnel pour oublier sa mère, son père, ce foyer qu’elle haïssait tant. Elle portait des vêtements échancré qui la mettait en valeur, elle allumait. La passion de ces garçons pendant une nuit, elle la voulait. Car elle n’aura jamais l’amour de celui dont elle avait toujours eut besoin, son père. Lilith devait compenser pour ne pas sentir le vide envahir son esprit. L’adolescente souhaitait prouver qu’elle était entière.

Alors, il y eut Wammy’s House.

Madame Sturluson fraichement renommée Madame Farewell décida d’avoir une conversation avec sa fille, ne supportant plus ses écarts de conduite envers ses amants.

« Lilith, ici.
- Qu’est-ce tu veux ?
- Je ne te supporte plus! C’est quoi tout ces garçons qui viennent ici?!
- C’mes amants maman. J’t’avais dit qu’c’étais genre super chiant, hein? Quand tu les vois défiler, surtout que j’suis au meilleur d’ma forme moi, j’suis pas encore atteint d’la ménopause héhé~. »

S’ensuivit un bruit retentissant. Une gifle. Incapable de comprendre ce qui venait de se passer, la demoiselle ne mouvait plus, incrédule. Elle perdit son éternel sourire en coin. Un instant, elle chercha à se lever de sa chaise mais tomba à genoux au sol. Sa mère se leva et sortit à l‘extérieur, s'enfonçant dans la pluie fine comme un voile. Lilith la vit passer sous un bec de gaz, puis disparaître dans l'ombre pour ne jamais revenir. Disparu? Pourquoi pas. Alors un orphelinat se désigna pour la prendre, puisque sa mère ne se réclamait pas. Elle partit pour Wammy’s House. Ecole de surdoués, ou la compétition est « hard » ‘fin c’est les rumeurs. Lilith mourra, pour laisser place à Luciole. Une nouvelle vie ? L’avenir n’est peut-être pas si noir, qui sait…

Haut en cuir moulant,
Pantalon indécent,
Poumon fumant à 100%.
Allez casse-toi.
T'es collant,
Je suis pire qu'une none
Quand je fais baver les hommes
Je veux que ces paroles résonnent
Allez prends un...
Cul-sec de rhume!

SURNOM(S) : votre texte DATE DE NAISSANCE : 24 /08 /1994 ÂGE : 16 ans SEXE (✔) : ❒ M ✔ F AVATAR : Lily de Vocaloid :3 DÉCOUVERTE DU FORUM : En vagabondant de partenariat en partenariat... NOTE SUR 20 DU FORUM : 20 \ô

[i]

Bienvenue sur Wammy's House =)

Alors, ton personnage est un Expert, il faudra lui trouver un sujet scientifique dans lequel il excelle.

Et lancer de dés effectué

Bon courage pour finir ta fiche !

Et j'ai....finiiii \o
Désolée pour l'attente, j'ai pas trop eut le temps d'écrire, j'espère que ça ira. : )

Validéée !