Sujet: Préparatifs :evil inside: Ven 12 Déc - 23:23
Aujourd'hui était un grand jour, n'en doutez pas. Si, je vous assure, aujourd'hui, Jal allait rendre visite à son trèèèès cher et dévoué Tears-chounet afin de mettre en place la future fête qu'il comptait organiser. Notre petite reine était déjà toute joisse à la simple idée de ce qu'elle allait proposer à son valet adoré. Il devait avoir complètement oublié la discussion qu’ils avaient eu quelques mois plutôt – c’était tellement typique de lui ! Enfin, Pour l’heure Jal marchait tranquillement à travers les couloirs en sifflotant et en faisant tourner avec lui des clefs. Un tour à droite, trois à gauche, ça faisait des loops sur son index… il s’était vêtu d’un jeans par endroits délavé et à peine déchiré à quelques autres endroits et qui retombait façon 'loose' sur des chaussures noires en cuir et à bouts carrés. Pour le haut, il avait choisit un sorte de chemise – polo dont les boutons ne descendaient pas plus bas que l’arrêt de sa poitrine. Oui, c’est pas la plus belle formulation que j’ai trouvé pour le dire, et en plus j’ai oublié le nom de cet habit qui, oui, en a un. Bref, cette pseudo chemise dont était plutôt claire, dans les tons crème. Le tout donnait un aspect rilax et décontract’ pas du tout en équation avec le personnage de Jalender, mais pour l’heure, ce n’était pas ce qui comptait. L’effet seul comptait. Et avec son air de mec rilax et décontract, ses cheveux coiffés un peu n’importe comment, sa fine carrure et sa p’tit gueule de pseudo beau gosse, il faisait sacrément pédé le petit. Et, à ce qu’il avait entendu – ah, il avait toujours les oreilles qui trainaient celui là ! le très cher et dévoué surveillant de la Wammy’s avait viré de l’autre bord.
La vie nous réserve pleiiin de surprises. Toujours en sifflotant et en faisant tourner ses clefs d’une meuf, il tripotait une clémentine de l’autre, la main et le fruit dans la poche. Bientôt la chambre de Tears. Ah, voilà la porte. Il rangea les clefs et sortit la clémentine pour la faire rouler dans ses mains. Après un soupir et un large sourire, Jal entra dans la pièce.
WTFFOMG* !! dû penser le pauvre Tears. Eh oui, le sourire toujours large et les yeux en circonflexes, Ayat’ était arrivé en plein dans la séance d’étirements du blondinet. Et oui, des étirements ! ah bah, quand on peut pas jogginger, on étire ! Et alors, pour l’accoutrement, on repassera ! (non, pas les vêtements) Le p’tit Tears était sappé d’un jogging et d’un t-shiiirt, ah mais les amis, le t-shirt quoi ! bon, à manches courtes et attendez que Maria réfléchisse parce que là… il est tard alors son cerveau a du mal ! bref, donc la déco du t-shirt, un moulin avec des tulipes autour. Ouais, ridicule et hideux. Du Tears quoi ! (ah, on me fait signe que ce sont des symboles typiques de la Hollande, Hollandais, veuillez m’excuser !)
Jal resta un instant appuyé sur le pan de porte, le bras au dessus de la tête et l’avant bras pendant dans le vide, la clémentine au bout de la main et l’autre main dans la poche, une jambe tendue et l’autre replié, ouais la pose du beau gosse – et si je décris mal, faites un effort d’imagination. Il se mordit la lèvre inférieure avec un regard douteux, par provocation mais aussi parce qu’il était mort de rire. « Salut chéri. » Lança t-il sur un ton volontairement mielleux mais en réussissant difficilement à cacher son fou rire mental. Il se décolla de la porte avec langueur et plongea sa deuxième main avec le fruit dans sa deuxième poche et continua avec une gueule typique de Yoh – ouais je relis Shaman King en ce moment, kess y a ? « Je viens te voir parce que je vais bientôt faire la fête dont je t’ai parlé. Bref, j’ai besoin de toi, tu sais qu’il me faut une serveuse, sinon les gamins vont pas être contents. Ouais, c’est des casses couilles, mais il faut ce qu’il faut. Bon, il m’en faudrait une autre, j’ai déjà une idée sur la personne. Enfin, quoi qu’il en soit, j’espère que tu as ton costume de soubrette, je compte faire la fête ce week end, Tears-chounet ! »
En-joy !
*What The Fucking Fuck Oh My God !
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Sam 13 Déc - 1:02
Plongé dans des substances oniriques des plus innocentes, Tears dormait grassement comme il était coutume de le faire pendant une grasse mâtinée. C’était son jour de congé, le jour où il pouvait trainer en jogging dans sa chambre, converser avec Flokjes sur diverses théories candides, gober son flamby et lire avec la mèche relevée sur la tête. Cependant, lors de ces journées profondément inutiles, Tears travaillait quand même parce qu’il aimait son travail. Ainsi, à 9h30, le surveillant entreprit d’ouvrir un œil. Ouais, 9h30, c’était le maximum qu’il puisse faire pour une grasse mat, sinon il aura l’impression d’avoir perdu sa journée, son temps, sa vie. Le matin était l’instant qu’il préférait dans la journée, celui où il se disait qu’il avait toute la journée devant lui, tout son temps, toute sa vie. Tears était un peu extrême dans ses pensées, mais il aimait vivre, alors autant en profiter. Ouais, donc, il ouvrit un œil hésitant et le laissa s’habituer au peu de lumière qui osait filtrer par la fenêtre. Un fois fait, il ouvrit l’autre. Son sommeil n’avait pas été sans troubles, oppressé par un sentiment étrange. Ça faisait bien plusieurs mois maintenant qu’il avait comme un pressentiment inquiétant, comme s’il avait oublié quelque chose de capital. Il essayait sans cesse de se rappeler, de se souvenir de cette chose qui manquait à son esprit mais en vain. Alors il soupira quelque peu en fixant le plafond, désespéré de sa propre faiblesse. Après quelques minutes ainsi, le blondinet se redressa difficilement, les yeux encore brumeux de sommeil. Une fois fait, il sortit totalement des abimes du tissu, exhibant à qui voulait bien son pyjama constitué d’un vieux jogging et d’un t-shirt souvenir d’Hollande. Mollasson comme jamais, il décida de se réveiller dans les normes, en douceur pour ne pas se froisser un muscle. Alors, assit sur son matelas, il s’étira quelque peu, essayant de toucher son pied du bout des doigts. Allez, encore un centimètre… La porte s’ouvrit, Tears agrippa son pied.
-"Salut chéri."
Surprit, le blondinet jeta un œil sur la porte. Un jeune homme se tenait là, contre la porte, habillé avec une négligence toute calculée. Abandonnant son pied, le surveillant s’assit normalement sur le lit, fixant l’adulte d’un regard interrogatif. Puis, se levant précipitamment, il le salua de même avec un timide :
-"… Bo… bonjour Earley Queen…"
Il le connaissait, il le croisait souvent dans les couloirs et le saluait toujours poliment autant de fois que leurs rencontres le permettaient. Jamais il ne comprit les regards étranges que l’assistant infirmier lui lançait parfois ainsi que ces sourires bizarres et complices, comme s’il savait quelque chose que Tears ignorait. Ce dernier n’aimait guère énoncer le pseudonyme du jeune homme car il avait du mal à prononcer les consonances érotiques du nom, mais il l’avait dit quand même, juste pour prouver qu’il s’en rappelait. Il l’interrogea du regard, non que ça le dérangerait qu’un élève pénètre son antre, il en était plutôt flatté.
-"Je viens te voir parce que je vais bientôt faire la fête dont je t’ai parlé. Bref, j’ai besoin de toi, tu sais qu’il me faut une serveuse, sinon les gamins vont pas être contents. Ouais, c’est des casses couilles, mais il faut ce qu’il faut. Bon, il m’en faudrait une autre, j’ai déjà une idée sur la personne. Enfin, quoi qu’il en soit, j’espère que tu as ton costume de soubrette, je compte faire la fête ce week end, Tears-chounet !"
Tears, totalement interdit, cligna des yeux un instant. Heiiiin ? De quoi, de quoi ? Le brun devait se tromper de personne, hein ? Le surveillant grimaça un instant à l’écoute de « Tears-chounet » et essaya de reprendre tant bien que mal un visage plus neutre, quoique gêné. Oui, il était embrassé de devoir avouer à ce pauvre monsieur qu’il se trompait de personne. L’assurance d’Earley Queen dans son propos l’amusa néanmoins et il se maudit de devoir casser son enthousiasme. Alors, il balbutia avec un sourire timide et confus :
-"… Je… pardon… je ne vois pas de quoi vous voulez parler… vous devez vous tromper de personne…"
Il avait peur de le décevoir, de le vexer en disant cela, alors il se corrigea ensuite :
-"…. Mais c’est pas grave… je… heu… thé ?"
Glissa-t-il en montrant sa théière. Et pendant ce temps, il réfléchissait. Ce qu’avait dit Earley Queen n’avait ni queue ni tête. Et puis, quel était cette liste de mots barbares ? Serveuse ? Fête ? So… soubrette ? Ah oui, visiblement, il devait s’être trompé de nom, de chambre, de personne. Ouais, tout ça à la fois, c’est possible. On va dire hein. Oh, pitié, faite qu’il se soit trompé. Et pendant ce temps, Flokjes couinait dans sa cage, et tout le monde s’en foutait.
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Sam 13 Déc - 22:31
-"… Bo… bonjour Earley Queen…"
Jalender rigola discrètement puis s'avança et passa son bras autour du cou de Tears. Il se plaça de telle manière à être de profil, plutôt même de trois quart au blondinet. Prenant un ton ironique et doucereux, il répondit, sur un ton enjoué et en dramatisant la chose (c'est à dire qu'il la rend théâtral, sait-on jamais... nooooon pas pour toi Marrriiiaa, juste pour nos chers lecteurs ! )
« Allons, allons, mi amore, appelle moi Jal, ou Earley, c'est trop long mon nom en entier ! Ah, mon chou, tu es bien distant. » Et, glissant à son oreille. « Il paraît pourtant que tu as enfin déterminé ce qui te procurer le plus de plaisir... » Vicieux, il déposa un baiser dans le creux de la mâchoire de Tears-chounet et s'en alla tout content en laissant sa main glisser le long du torse du bonhomme avant de la laisser voleter dans l'air.
-"… Je… pardon… je ne vois pas de quoi vous voulez parler… vous devez vous tromper de personne…"
Décidément, il était hilarant. Par politesse, Jalender se contenta d'esquisser un sourire un peu sournois mais pas méchant. Quel apprêt ! ha les hollandais, irrécupérables. Et bien évidemment, il avait oublié. Délicieusement hilarant. Sa réaction ne l'étonnait pas du tout, l'alcool peut avoir ce genre d'effet...
« Tears-chounet, je vois pas pourquoi tu me vouvoies ! Je vais pas te manger, hein ! En plus, tu sembles avoir oublié notre relation, je suis triste ! »
Il mima une goutte d'un geste de la main et tira la gueule en une sorte de moue tristounette. Il alla ensuite s'asseoir sur un truc près du lit du surveillant. Il ignora royalement la proposition pour une tasse de thé et entreprit de taper la pose. Il posa sa jambe gauche sur la cuisse droite et s'appuya du coude sur la cuisse gauche. Enfin, il plaça son poing fermé sur sa joue et près de l'oreille, avant de débiter, d'un ton un peu mécontent, une expression boudeuse maintenant scotchée sur la face :
« Allez quoi, fais un effort, t’as des neurones, bon beh tu les fais s’accoupler et ça va ptet leur rappeler des joyeux souvenirs. Mets les en connections quoi, que veux tu qu’j’te dise. Il faut que tu t’en rappelle, t’as vraiment pas de mémoire. Promis pour noël j’t’achète un disque dur interne ! »
S'il continuait ainsi, il allait vraiment faire péter sa durite au pauvre petit Tears. En réalité, il s'amusait beaucoup. Le pauvre blondinet devait se demander MAIS DE QUOI IL POUVAIT BIENNNN PARRRLLLLEEERRR TT__TT !! Ah ah ah, Jalender le savait très bien. Il voulait d'abord laisser cogiter notre cher surveillant hollandais avant de lui rafraîchir la mémoire et de lui faire vraiment péter un plomb.
Soudain, il se rendit compte qu’il est assis sur la cage de Flokjes, une idée lui germa dans sa tête. Mais ce sera pour plus tard.
Ah la la, l'heure des révélations allait être formidable les amis, franch'ment les amis, rester pour le spectacle, ça vaudra le coup moi je vous le dit ! Bon par contre là je sais plus quoi dire et il me faut faire 50 mots de plus, alors voyez, certains partent dans des délires qu'eux seuls comprennent (mais oui ma moscovite sucrée, j't'adore) et certains bahhh, y sont bien emmerdés. En plus, j'vais pas vous dévoiler la suite de l'intrigue, ce serait pas drôle, puis il faut que Tears réponde quoi, histoire que ça soit... BEN UN RP QUOI, enfin, là ça devrait aller, écoutez, manière, j'ai plus de main, j'ai écris 10 pages en 1h15 tout à l'heure (partiel <3), ouais YEYK* donc voilà, mes mains demandent leur repos, elles se sont syndiquées et tout, donc j'vais leur accorder, j'crois. Et voilà comment ajouter 115 mots de conneries, la classe !
* YEYK : You Even You Know (toi même tu sais)
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Dim 14 Déc - 0:28
Gah, mais d’où il mettait son bras autour de son cou, d’où il était aussi prés, d’où il… il … kljhkjh ? Non non non, trop près trop près, zooooou éloigne toi, maudite créature. Pas touche, c’est pas à toi ça, na. C’est à Octave d’abeur. Traumatisé à vie par ces simples gestes plus qu’embarrassants, Tears tressaillit d’autant plus en écoutant ce qu’EQ (les initiales, ça fait pro) avait à lui dire :
-"Il paraît pourtant que tu as enfin déterminé ce qui te procurait le plus de plaisir..."
Les yeux grands ouverts et les mains tremblantes, il n’en crut pas ses oreilles. C’était quoi ce sous entendu ? Il ne serait quand même pas au courant… ?!? A cette idée, plus qu’affreuse, plus qu’honteuse, il en rougit jusqu'au blanc des yeux. Il s’en fichait qu’on le sache, mais il ne voulait absolument pas mêler son aimé dans des histoires et des rumeurs qu’il ne désirait pas. Mais, visiblement, le "il paraît" ne concernait que le blondinet, et peut être allait-il en souffrir, de ses rumeurs, mais si c’était sur lui que se portaient les coups, alors soit. Déjà qu’on ne l’aimait pas trop, alors si en plus ils savaient… si ils savaient… ils n’allaient faire qu’une bouchée de lui. Earley ne parlait que de plaisir, comme si sa relation avec Octave n’était qu’à but sexuel, et ça le vexait, et ça le mangeait. Tears ne cherchait nullement à se procurer du plaisir comme on se procure de la drogue, ça n’avait strictement rien à voir, absolument rien. L’orphelin aux cheveux carbone n’avait rien de comparable à un objet, et à l’idée que quelqu’un puisse le traiter ainsi, il en devenait rageur. Il aimait, c’était tout et beaucoup trop à la fois. En sentant des lèvres sur sa mâchoire, le blondinet afficha une tête terrifiée et affligée. Non mais non quoi.
-"Tears-chounet, je vois pas pourquoi tu me vouvoies ! Je vais pas te manger, hein ! En plus, tu sembles avoir oublié notre relation, je suis triste !"
Entrouvrant légèrement la bouche, le surveillant dû se forcer pour ne pas que sa mâchoire en tombe. GNEEEEEEE ? Une relation ? Heiiiin ? Le ventre broyé au mixeur, les pupilles tremblantes, il essaya discrètement de se mordre l’intérieur de la joue pour vérifier qu’il ne rêvait pas. Il était stressé au possible, ne sachant que dire, que penser, que faire. Non, ce n’était pas possible, il ne l’avait vu que dans les couloirs. Il se moquait de lui, il n’y avait pas d’autres solutions. La brune s’assit sur la cage de Flokjes, déprimée et boudeuse. Non, non, ce n’était pas vrai, ça ne pouvait pas l’être. Pitié que ça ne le soit pas.
-"Allez quoi, fais un effort, t’as des neurones, bon beh tu les fais s’accoupler et ça va ptet leur rappeler des joyeux souvenirs. Mets les en connections quoi, que veux tu qu’j’te dise. Il faut que tu t’en rappelle, t’as vraiment pas de mémoire. Promis pour noël j’t’achète un disque dur interne !"
Paniqué, angoissé et totalement déconcerté, Tears se chauffait la cervelle du mieux possible. Bon dieu, mais mais mais qu’est ce que ça voulait dire ? Rien ne lui venait à l’esprit, alors il se forçait, fermait les yeux, rageur, pour connaître une quelconque vérité. Une image de mégots de cigarettes écrasées le heurta en un flash. Hein ? De quoi ? Quel rapport ? Inquiet, il rouvrit les yeux et fixa Jalender d’un air de supplice, comme un "Dis moi, pitié, dis moi…" Les lèvres angoissées et le cerveau en surchauffe, il se tortura l’esprit longtemps, saignant ses neurones un à un. Autre flash, une carte à jouer… Pensant cette image inutile, Tears la bazarda loin derrière lui. Il voulait savoir, il en savait besoin, alors quoi ? Enervé contre lui-même et profondément frustré, sa lèvre inférieure était devenue rouge à force de mordillements et ses yeux humides alors qu’il regardait dans le vide. C’était un jeu ? Earley Queen avait toujours été gentil avec lui, alors pourquoi se plairait-il à le manipuler ? Finalement, son regard se porta à nouveau sur le jeune homme alors qu’il prit la parole, la voie tremblante et sourde.
-"… Je suis désolé… pardon… je…"
Il baissa les yeux, l’air fautif et accablé, torturé par un doute bien trop atroce.
-"… Je ne vois vraiment pas… pardon… dis moi… s’il te plait…"
Tears aimait bien Earley, Earley était gentil. Mais tout de suite maintenant, Earley lui faisait un peu peur.
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Dim 14 Déc - 21:40
-"… Je suis désolé… pardon… je…Je ne vois vraiment pas… pardon… dis moi… s’il te plait…"
Il était trop – vous trouvez pas ? C'était trop mignon ! Le pauvre, Jal ne put se retenir « Pff ha ha ha ! » Je veux dire, c'était carrément drôle. Il était complètement en train de se décomposer intérieurement, c'était carrément flagrant (admirez l'assonance en « han »). Il en pouvait plus, il devrait trop serrer, péter un boulon. Il se mordit la lèvre pour s'empêcher de rigoler encore mais c'était irrésistible. Il porta sa main à sa bouche pour cacher celle-ci. Après s'être calmé, il soupira et passa sa main dans ses cheveux, qui retombèrent immédiatement dans un ordre anarchique. Il se redressa et revint en direction de Tears. Il passa sa main dans son dos mais sans aucune ambiguïté cette fois, puis il expliqua le geste :
« Allez, viens t'asseoir, j'ai pas envie qu'en tombant dans les pomme tu te fracasse le crâne. »
Il l'entraîna gentiment sur son lit et lui permis de s'asseoir. Il savait que le blondinet était de nature particulièrement sensible, et ne l'aurait-il pas su, il suffisait de voir comment il venait de réagir pour en être convaincu (paf assonance en « u »; dans le... crâne ! Bande de mal poliiiiiiis, on parle de psychologie là heiin pas de choses qui, bien qu'étant plus logiques, sont moins... bref...). Donc, il le fit asseoir, et commença ainsi :
« Bon, il faut que tu sois fort, mon petit, mais tout va bien se passer, tu verras. C'est qu'un moment, pas super agréable, et après ça ira tout seul. » Zyeux circonflexés et sourire parenthésétirée. Il savait pertinemment qu'à ce moment précis, Tears était encore en train de flipper sa maman et de se demander ce qu'il avait bien pu faire, comment il allait s'en sortir, qu'est-ce c'était que cette histoire, oh mon Dieu, dans quoi je me suis encore fourré – dans ton homme, mon cher ? Ah, maman, sauve moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je veux pas crever ! Bref, ce genre de truc mignons, mais ne vous inquiétez pas mes chers lecteurs – car maintenant, je sais que j'ai des lecteurs, et autres que Maria elle même, au passage je vous aime, public, si, si, tous autant que vous êtes - ne vous inquiétez pas donc, car Jalender était sur le point de délivrer Tears de son mal, quelle âme généreuse, ce Jal, décidément !
Stresse encore un peu mon ami, c'est bon pour la santé. Un sourire étira davantage les lèvres de notre chère Reine. Bon, puisque je sais qu'il me reste encore une centaine de mots et que je ne vais pas vous faire le coup à chaque fois, adonnons nous à un jeu ensemble, vous voulez bien ? Je vous chantonne les paroles d'une chanson et vous me dites d'où ça vient, et après, si vous trouvez, on inverse, ça vous tente ? Quoi ? Non ? Vous voulez que je vous raconte TearsxEQ, la suite... Arf, zetes pas drôle, j'vous boude... Manière, que vous dire de plus ? Bon, voilà, ils sont assis sur le lit de Tears, côte à côte, Jal a repassé son bras autour du cou du blondinet afin de le réconforter pour sa syncope future, et voilà ce qu'il était en train de lui dire :
« Bon, quoiqu'il en soit, il faut que je te le dise, parce que manifestement, ta mémoire ne veut pas te rappeler ce magnifique moment que nous avons passé ensemble. » Il marqua une pause. « Cela dit, sache que je suis vexé que tu l'ai oublié. » Autre pause. « Mais, voilà, il te faut savoir...
C'était par une jolie journée d'août, le soleil brillait, comme ce n'est pas son habitude, ici en Angleterre, et... »
Et TBC HAHAHAAHA Mais pour ce faire, il vous suffit de vous rendre ici, soit dans le 'Ed quoirteur' des Tchoklaitte Randjeurze, et ein-djoïlle, bien sûr.
Et il écoutait, il écoutait, buvait ses paroles, les recrachant parfois, en gobant certaines, en vomissant d’autres. Les yeux traumatisés, parfois compatissants, parfois choqués, souvent choqués d’ailleurs. C’est ainsi que Jal finit son récit, avec son sourire habituel, le laissant seul à ses pensées. Seul face à ce qu’il s’était soi-disant passé, seule face à lui-même. C’était une horrible impression, tout simplement épouvantable. Devait-il le croire ? En avait-il le courage… ? Ou bien était-ce de la naïveté que de tout gober sans réfléchir ? Oh, et sa tête, qu’est ce qu’elle lui faisait mal. Il fixait Jal, comme pour lui dire "… C’est bon, elle est drôle ta blague arrête maintenant…" ne voyant que ça n’avait aucun effet, il opta pour "… Hey, c’est bien une blague, non ?" pour finir en "Non, dites moi que c’est pas vrai !" Les yeux désespérés, attendant toujours le moment où la brunette éclatera de rire en avouant sa mauvaise farce mais son espoir fut vain, et ce moment n’arriva jamais. Non non non ça ne pouvait pas être vrai, hein ? Ce… ce n’était pas possible. Un rêve, une blague, une fanfreluche, une boutade, une chnachna, un trulutut, mais ça ne pouvait point être vrai. S’il avait été accepté dans je ne sais quel organisation douteuse, il s’en serait rappelé. Totalement HS, les yeux comme des tourbillons, son regard allait chercher le vide. La gorge nouée, le cerveau éraillé, il ne savait que penser, que dire, quoi faire. Quel intérêt avait-il de lui mentir ? Oui mais non, il était certain de ne pas l’avoir vu autre part d’au réfectoire ou dans les couloirs… sa mémoire ne pouvait pas lui jouer de tours pareilles, c’était trop batard. Cependant, dès lors qu’il essayait de chercher dans sa tête, et avec l’aide du récit de Jal, des images lui vinrent. Oui, ce vieux canapé, le voilà… ah, et l’agrafeuse.
Cependant, Tears était têtu tel St Pierre. Même s’il savait que c’était vrai, même si toute la scène se retraçait honteusement dans sa tête, il ne pouvait pas l’accepter. Il n’en avait pas la force. Ca lui été totalement impossible, ça lui passé au dessus de la tête. Toujours assis sur son lit, il se prit la tête dans les mains, passant ses doigts dans ses cheveux, recouvrant ses joues rouges et honteuses, ce regard perdu et dérouté. Il s’arrachait presque le cuir chevelue, agrippant sa cuirasse sans douceur aucune, s’en voulant être aussi médiocre et con. Il s’en mordait l’intérieur des joues, crispant les yeux devant son impuissance et celle de cette situation, comme une fourmi près à se faire écraser par un pied énorme. Fuir ne sert à rien tant le pied est démesuré et peut vous poursuivre partout. Enfin donc, tout tremblotant, il se recroquevillait sur lui-même comme un enfant lors d’un orage. Puis, levant faiblement la tête, il le considéra, et bredouilla alors :
-"… Je… c’est… ce n'est pas vrai… hein… ?"
Il quémanda quelques réponses dans ses yeux, aux plus profonds de ses yeux menthes avec une moue larmoyante.
-"… Vous… vous n’avez… pas de preuves n’est ce pas… enfin… vous parliez… d’un papier… vous… vous l’avez toujours ?"
Vouvoiement à nouveau, prise de distance, inquiétude. Il agrippa ses genoux et le supplia du regard de lui dire que non, c’était une blague, que non, il n’avait jamais rien signé, que non, il n’allait pas devoir servir les orphelins en soubrette et se faire humilier de la sorte.
Leeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee pauvre petit !!!! il était tellement déboussolé que pendant un instant, Jalender faillit effectivement lui dire que tout ça n'était que fable et fabulation. Après tout, regardez le. N'est-il pas attendrissant ? L'œil au désespoir, le cœur battant, les jambes molles – heureusement qu'il était assis, la bouche entre ouverte, et haletant. Ça aurait touché tellement de gens... tellement de gens, mais pas Jal, faut pas abuser quand même.
Alors que Tears se décomposait, Jalender jubilait. Dans son esprit, la seule composition qui avait lieu, c'était celle du plan suivant : comment dire au pauvre adulte, que non, mon cher, ceci n'est point un rêve. Et ne compliquez point la chose en rétorquant que d'après Calderon, la vie est un songe, ou un cauchemar, et que selon le point de vue des Baroques, tout n'est qu'illusion, qu'elles soient merveilleuses ou horripilantes. Non, je ne prendrais pas ça en compte ! Avec un sourire qui ne cessait de croître alors que Tears se transformait en eau, Jalender s'approcha. Ce sourire, toujours ce sourire. Ne fanait-il jamais ? Non, mes chers, je garderai le sourire même lorsque vous songerez à vous suicider. Sachez-le.
Pour en revenir au hollandais qui ne devait plus voler très haut, voici ce qu'il 'disait' ou plutôt suppliait Jal de lui dire : -"… Je… c’est… ce n'est pas vrai… hein… ? … Vous… vous n’avez… pas de preuves n’est ce pas… enfin… vous parliez… d’un papier… vous… vous l’avez toujours ?"
Hein, hein ? Allez, pitié ! Sto plait, dis moi pas que j'ai fais ça, j'ai pas pu faire ça ! C'est pas moi, c'est pas vrai ! Pleaaaaaaaaaaase ! Nay, no mercy for slaves like you ! Bwahahahaha ! Jal posa sa main sur son épaule, debout en face de Tears, dominant le blond de tout son long, il le contemplait de haut, entre compassion et perversion. Lentement, il sortit le papier de sa petite poche intérieure – et tout cela grâce à la commodité littéraire car, oui, en effet, quand nous avions commencé ce topic, nous ne savions pas qu'il y aurait un petit papier, que Jal n'a donc pas pu prendre dans les premiers posts, mais magie, magie, maintenant, il l'a, youhou ! - et le déplia. Puis, lentement, il le donna au surveillant.
« Désolée ma puce, mais malheureusement, ceci n'est pas un rêve. Maintenant, je te donne 10 minutes pour flipper, t'énerver, chialer si tu veux, fracasser les murs et les portes, foutre ta chambre sens dessus dessous, et pour au final te calmer et redescendre sur terre. Désespère donc, mais ne t'apitoies pas indéfiniment, il faut quand même qu'on la prépare, cette fête ! »
Il avait dit cette phrase sur un ton autoritaire mais qui n'était ni sec ni dur. Il y avait tout de même un soupçon d'empathie : je sais c'est difficile, mais il faut que tu sois fort ! Il faut que tu surmontes cette étape mon cher ! Je sais, ce n'est point évident, la vie est cruelle ! Mais c'est comme ça. Deal with it, comme on dit. En attendant, Jalender alla s'appuyer contre la table, non loin du lit de Tears et croisa les bras, ainsi que la jambe, la faisant tenir en équilibre sur le bout de son pied. Après un certain temps, il commença à tapoter le sol de sa chaussure, des petits coups brefs et répétés. L'air toujours aussi calme, il observait la réaction de Tears, prêt à intervenir en cas d'AVC impromptu.
Le regard levé, il regarda Jal, totalement écrasé par sa présence, soumis à son charisme et anéanti par ces révélations. Une main sur son épaule. Ah, tendait-il de le rassurer ? Suffocant, l’œil hagard et humide, la moue tremblante. Il avait bon fond hein. Il allait lui avouer sa farce hein. Mais le cœur du petit surveillant s’emballa vivement en voyant l’assistant pioché un papier dans la poche intérieure de sa veste. Se pourrait-il… ? Après l’avoir déplié, il tendit le petit bout chiffonné à Tears, qui n’eut même pas besoin de le lire pour savoir que c’était bien ça. La main tremblante, il prit le papier le regarda d’un œil traumatisé, comme si les lettres dansaient dans des hallucinations extravagantes.
-"Désolée ma puce, mais malheureusement, ceci n'est pas un rêve. Maintenant, je te donne 10 minutes pour flipper, t'énerver, chialer si tu veux, fracasser les murs et les portes, foutre ta chambre sens dessus dessous, et pour au final te calmer et redescendre sur terre. Désespère donc, mais ne t'apitoies pas indéfiniment, il faut quand même qu'on la prépare, cette fête !"
Et pendant qu’il parlait, sur ce ton autoritairement compatissant, effectivement, Tears se mit à pleurer. Mais discernement, juste une petite larme pas assez humide pour tracer tout le long de la joue. Elle s’arrêta au milieu de la pommette, invisible mais étincelante. Il n’y avait pas de quoi s’énervait, c’était fait, c’était fait. Fatalité. Que pouvait-il contre ? Rien, nada, niet, il n’était rien, elle était tout. Reniflant quelque peu, il essaya d’assimiler toutes les conséquences de cet acte inconscient. En gros, il allait devoir faire la bonniche pendant une fête avec des gens, du bruit, tout plein d’adolescent partout qui l’étoufferaient, une senteur d’alcool et de cigarette, des cris de toute part…. Et … et il avait parlé de soubrette avant… non ? Ah, ça, pas de quoi s’inquiéter. C’était surement une expression. "J’espère que tu as ton costume de soubrette" voulait surement dire "J’espère que tu es prêt à entrer dans ton rôle de serveur." Il n’avait rien contre les fêtes, ça ne lui dérangeait pas de participer à en organiser une pour le bon vouloir des orphelins, mais certains mots du contrat l’inquiéter quelque peu. Et si la brunette l’avait fait signer alors qu’il était totalement ivre, c’est que le contrat ne devait pas être si rose qu’il le présentait. C’est vrai quoi, s’il était venu "Bonjour Tears, j’organise une fête pour faire plaisir aux orphelins, tu veux bien m’aider ?" aucun doute que le surveillant aurait accepté. Même servir de serveur, oui, servir des boissons, ce n’était pas si terrible. Alors pourquoi, pour se faire, il devait vendre son corps comme écrit sur le contrat ? Et bonne à tout faire, c’était vraiment vraiment vaste. Les yeux rouges et le nez bouché, il regarda Jal d’un air dépité :
-"… Je n’ai pas… le choix, n’est ce pas ? … Enfin… j’ai juste à aider à la préparation… et distribuer les boissons, et être gentil… non ?"
Dans son récit, l’adulte gentleman avait énoncé quelques uns de ses devoirs futurs. "Les aider, les servir, être physiquement agréable, porter de jolis costumes, s’assurer qu’ils n’ont besoin de rien, répondre à leurs attentes"… mais c’était toujours vaste, quels costumes ? Quelles attentes ?
-"… Alors… pourquoi… pourquoi vous m’avez fait signer… alors que… je n’étais pas dans mon état normal… ?"
Voix enrhumée, regard humide. Cet assistant n’était-il donc pas de cœur ? Ah, et puis, j'suis pas ta puce.
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Mar 23 Déc - 0:30
Une larme coula le long de la joue de Tears pour s'arrêtait à mi chemin. Pauvre enfant. Jalender compatissait pour l'unique raison suivante : qu'est-ce qu'il aurait détesté être l'instrument d'un être comme lui ! Heureusement que c'était lui, le master of puppets, sinon il se serait déjà flinguer. Avec une immense tristesse et les yeux rougis par la crise de nerfs qui le traversait présentement, Tears réussit à articuler : -"… Je n’ai pas… le choix, n’est ce pas ? … Enfin… j’ai juste à aider à la préparation… et distribuer les boissons, et être gentil… non?"
Pauvre petite marionnette... « Oui, c'est ça. Allons, Tears, ne dit pas ça comme ça, on dirait que tu es accablé d'un poids si lourd que même Atlas refuserait de le porter. Tu crois que c'est si terrible ? Tu me crois bourreau si cruel ? Arrêtons d'exagérer, je ne te demande rien de surhumain, rien d'exécrable, rien d'indignant. Tu as bien résumé : il te suffira d'être gentil et de servir des boissons. Est-ce que c'est une tâche horrible ? » Bien sûr, c'était un peu du foutage de gueule, parce que demander ce que Jal demandait à quelqu'un comme Tears, c'était horrible. Parce que le blond était introverti et timide. Et que se trimballer en soubrette, c'était humiliant pour lui. Mais foncièrement, Jalender avait raison, il pouvait être bien plus terrible et démentiel et vicieux et pervers. Cette petite boutade n'était qu'une farce bien gentille. Il n'y avait, à bien y réfléchir, rien de vraiment méchant. Enfiiiiiiiiiiiin bref !
-"… Alors… pourquoi… pourquoi vous m’avez fait signer… alors que… je n’étais pas dans mon état normal… ?"
Ah ah ah... à ton avis gros bêta ? Jal esquissa un sourire avant de répondre : « Voyons, mais pour plusieurs raisons ! » Il se redressa et se détacha de la table puis, se rapprochant de Tears, il laissa un de ses bras se libérer de l'étreinte de l'autre pour le laisser voltiger, pendant que son autre main était posée sur son premier bras (oui, complexe...!). « Premièrement, parce que c'était très drôle de te voir bourré, sans rire ! J'ai adoré. » Il lui sourit franchement, dévoilant ses dents blanches et alignées, ses dents qu'il montrait si peu. « Secundo, parce que dans ton état normal, tu n'aurais rien signé, et je n'aurais pu le souffrir. Et troisièmement... » Il marqua une pause et se rapprocha encore de Tears jusqu'à lui faire face. Il posa ses deux mains sur les deux épaules du blond et le regarda droit dans les yeux avec beaucoup de sérieux. « ... parce qu'il est temps de te décoincer ! » Sa phrase lui fit perdre toute sa gravité, et il ne put s'empêcher de ricaner. Il se recula un peu et commença à se déplacer dans la salle en faisant des signes de bras et de mains afin d'appuyer ses propos : « Non mais c'est vrai. Bon j'avoue, en matière de décoincement, je pense qu'Octave a déjà fait du bon boulot ! Celllaaaa dit... il ne s'est attelé qu'à te faire comprendre que le sexe, c'est bien. » Pause. « Ce qui en soit est déjà très bien, n'allons pas penser que je suis contre ce qu'il a fait, mais, mon ami, surprise : y a pas que le sexe qui fait que la vie vaut d'être vécue. Bon, j'admets que cela prend une bonne partie dans le diagramme des plaisirs humains, mais il n'est pas seul ! Écoute, tu vas voir, franchement, c'est pas la mort, on va s'amuser. Cette fête, c'est fait pour que les mômes s'éclatent, mais c'est aussi fait pour nous, les adultes là, les vieux pas encore morts et pas encore ridés ! Et toi, sérieusement t'es d'jà vieux, tu mérites vraiment d'être déridé ! »
Il revint vers Tears et, s'asseyant à côté de lui, il posa sa main dans son dos, et laissa l'autre parler pour lui : « Tears... tu verras, tout se passeras bien. Ça serait très bien, tu verras ! » Et il acheva sa phrase par un sourire chaleureux et rassurant. Soyons objectifs, qu'y avait-il d'affreux dans la proposition de Jal, si ce n'est la manière dont il l'avait formulé...
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Ven 26 Déc - 17:16
Reniflant faiblement, il fixait Jal avec ce regard las, presque désespéré. Il essayait de positiver, ce que la brunette l’aider à faire en déballant de puissants euphémismes concernant son futur travail. Vu comme ça, ce qu’il lui demandait paraissait tellement simple que même un préado boutonneux, chieur et appareillé aurait accepté de passer l’accord avec l’assistant infirmier. Mine de rien, ça le rassurait. D’un coup, tout cela lui semblait tellement simple qu’il se demandait pourquoi Earley Queen ne lui avait pas expliqué ça avant. Tears avait l’air ridicule maintenant, à pleurer alors qu’il devait juste servir des boissons. Il s’essuya la joue d’un revers de manche, honteux de son propre égoïste. On lui demandait de l’aide, il avait failli refuser, quel scandale, quel vanité ! Mais le contrat lui avait fait un peu peur de part son aspect très, limite trop, généralisé. Le blond, désespéré de sa propre paranoïa qui étouffait sa gorge sèche, décida de rendre les armes, ou plutôt, de baisser son bouclier. Il devrait se sentir honorer qu’on lui fasse confiance, qu’on lui lègue une tâche, qu’on prenne appuis sur son épaule d’apparence fragile. Pourquoi avait-il hésité devant cette proposition qui, d’apparence, n’apportai que des plus ? Le surveillant ne saurait vous le dire. Un mauvais pressentiment peut être. Ah, ces pressentiments, ce qu’il pouvait être ennuyeux parfois ! Lâchant un faible sourire, le blondinet reprit une respiration normale, desserrant ses poings sur le tissu de ses genoux. Allé, calme toi va, c’est rien, t’as eu tord de t’inquiéter. Jal souriait, comme à son affreuse habitude, tout en se décollant de l’appui qu’était le bureau de Tears et s’approcha du corps frêle et encore un peu tassé.
-"Premièrement, parce que c’était très drôle de te voir bourré, sans rire ! J’ai adoré."
Ah. Devait-il se sentir flatté ou humilié ? Allé, le bon côté ou le mauvais ? Etirant très légèrement ses lèvres souples, il tenta un sourire. Ca faisait quelque mois maintenant, qu’il avait décidé de laisser tomber son voile de pessimisme qui lui barrait la vue de la vérité. Même si la vérité était parfois pessimiste et souvent ailleurs, il essayait maintenant de la voir avec le plus de recul possible. Sans trop savoir pourquoi, les paroles lui faisaient chaud au cœur, au moins il avait fait plaisir à quelqu’un hein. C’était une bonne action, et qu’importe s’il devait se sentir avilissé, il se sentait bien. Le bonheur des autres passait avant le sien, et c’était à travers les autres qu’il se sentait heureux et vivant. Le seul bonheur pur et véritable qui passait autant à travers lui qu’à travers un autre, c’était sa relation avec Octave. Sur ce plan là, oui, il était égoïste autant qu’il était généreux.
-"Secundo, parce que dans ton état normal, tu n’aurais rien signé, et je n’aurai pu le souffrir."
Vraiment ? Pourtant accepter ce contrat lui semblait tellement évident maintenant. Cependant, pourquoi signer officiellement un document écrit alors que ce n’était qu’un service gratuit dans le but d’aider un collège de travail à faire une petite fête… ? C’est vrai, ce n’était toujours que pour jouer au serveur, et si Jal lui avait expliqué ça au lieu de flouter ses intentions pourtant honnêtes, le surveillant aurait accepté sur le champ. "Aide-moi donc à organiser une fête et servir les boissons." présenté comme ça, comment refuser ? Ou alors cachait-il un détail douteux ? Non, non, ne te prend pas la tête, tout est si simple, arrête de voir le mal partout. Certes, Tears n’était pas des plus fêtards, mais quand il s’agissait d’aider ou de faire un quelconque plaisir honnête, il n’hésitait pas.
-"Et troisièmement…"
Deux mains se posèrent avec douceur sur les épaules rentrées du surveillant et des yeux sérieux et intimidants se braquèrent sur lui comme de puissantes lampes hallucinogènes, immense jungle florissante regorgeant de mystères brumeux. Mon dieu, que s’apprêtait-il donc à dire ? Les globes clairs encore un peu humides et blessés le fixèrent avec une certaine appréhension.
-"… parce qu’il est temps de te décoincer !"
Heiiiiin ? Interdit, il cligna cependant des yeux, quelque peu surpris. Alors comme ça… comme ça, il le voyait comme un coincé lui aussi ? Il le voyait comme un introverti d’une timidité maladive ? Bon, c’était vrai, mais il avait fait tellement d’efforts ces derniers temps. Il avait cru devenir un homme nouveau, il avait cru qu’on s’en apercevrait. Ca faisait mal au cœur d’un coup. Ca faisait deux mois maintenant, depuis qu’il avait vu son aimé à la piscine, qu’il s’appliquait à devenir un peu plus ouvert, un peu plus audacieux. Peut être cet effet n’était-il présent que lorsqu’il était avec lui… alors, ce n’était qu’une douce illusion ? Ou alors, ces élans d’audace et de cran n’étaient destinés qu’à cet être seulement ? Seulement réservé à son amant. Oh, quel bel égoïste Tears faisait parfois. Parce qu’il comptait le brun comme faisant parti intégrante de lui. Jal se recula, fit quelques moulinés avec ses mains, et, comme s’il avait lu dans les pensées légères et amoureuses du blondinet, il reprit :
-"Non mais c’est vrai. Bon j’avoue, en matière de décoincement, je pense qu’Octave a déjà fait du bon boulot ! Celllaaaa dit… il ne s’est attelé qu’à te faire comprendre que le sexe, c’est bien."
De… de… de quoiiiiiii ??? Alors alors alors, il était au courant jusque là ? Ces sous-entendus lui avaient fait comprendre qu’il savait à propos de son penchant, mais de là à savoir qui quoi comment où quand… enfin, par jusque là, mais presque. Comment qu’il savait ? De qui de quoi lui avait dit ? Eh oui, un Tears qui panique est un Tears qui ne parle pas français. Ses yeux ne cachaient pas sa surprise, son angoisse, sa peur soudaine et brutal. Jusqu’au était-il au courant ? Et qui d’autres ? Et et et mais mais mais… ! Ses traits, auparavant détendus, se crispèrent de nouveaux en une pulsion de tension des plus intenses et c’est presque si l’on pouvait voir des petites nerfs rouges apparaître dans ses globes claires. En plus de dévoiler, comme si de rien était, le fait qu’il savait, voilà que sa Majesté parlait de sexe comme s’il s’agissait d’un sujet des plus légers. "Te faire comprendre que le chocolat, c’est bon." ben, le ton était le même. Tout rouge, les pommettes enflammées, il déglutit de travers tant la gêne lui faisait offense.
-"C’est qui en soit est déjà très bien, n’allons pas penser que je suis contre ce qu’il a fait, mais, mon ami surprise : y a pas que le sexe qui fait que la vie vaut d’être vécut. Bon, j’admets que cela prend une bonne partie dans le diagramme des plaisirs humains, mais il n’est pas le seul !"
Noon, c’est vrai ? Tears avait bien vécu 26ans sans sexe, il savait ça, il le savait presque mieux que quiconque. Et dans ses 26ans de désert sexuel, il ne s’était jamais plaint de manquer de quelconques plaisirs humains. Les plaisirs les plus simples le rassasiaient déjà beaucoup… faire du Badmington avec Cain, lire des contes à Anomaly, papoter de tout et de rien avec Snow, tout cela, il les comptait amplement dans les plaisirs humains. C’est vrai que ça n’avait rien à voir avec tout ce qu’il vivait à présent, le bonheur changeait de nature, d’ampleur et conséquences. La différence entre bien aimer quelqu’un, et l’aimer à en crever. Alors évidement, évidement que maintenant, le sexe avait une certaine importance, mais de là à le prendre pour un pervers qui ne pensait qu’à ça, il ne fallait quand même pas exagérer. Gêné par le sujet principal de cette discussion, il adopta un regard fuyant, une moue rouge jusqu’aux oreilles et les mains quelques peu tremblantes.
-"Ecoute, tu vas voir, franchement, c’est pas la mort, on va s’amuser. Cette fête, c’est fait pour que les mômes s’éclatent, mais c’est aussi fait pour nous, les adultes là, les vieux pas encore morts et pas encore ridés ! Et toi, sérieusement t’es d’ja vieux, tu mérites vraiment d’être déridé !"
… Il… quoi ? Il venait de le traiter de vieux ? Triste affaire, s’il Jal le voyait vieux, ça voulait dire que… merde. Il aurait dit ça à Tears il y a quatre mois, ce dernier n’aurait pas bronché : plaire physiquement aux autres n’était pas prioritaire dans sa naïve pensée. Mais maintenant, maintenant, s’il venait à ne plus plaire, à ne plus lui plaire… qu’adviendra-t-il ? Se tâtant désespérément le visage à la recherche de quelconques rides, il se mit à s’alarmer pour un rien. Il ne voulait pas vieillir, pas maintenant, tout sauf maintenant. Un poids sur le lit, une main sur son dos. Jal le tuait et tentait de le ressusciter après, il le blessait et le soignait, le déprimait et le consolait. Et Tears ne savait que penser. Du bien, bien sûr. Du bien.
-"Tears… tu verras, tout se passeras bien. Ca serait très bien, tu verras !"
-"Comment vous savez pour… comment vous…"
Les yeux hagards, la voix tremblante et faible, il n’en pouvait plus des hauts et des bas que la brunette s’amusait à enchainer sur lui, comme une souris blanche dans une cage. Pour l’instant, ce qu’il voulait c’était… connaître l’ampleur de la rumeur et puis… et puis, ne pas vieillir, surtout, ne pas vieillir. Ce genre de pensée superficielle qui n’occupait habituellement que les ménagères fumeuses et moches de soixante ans vint percer l’esprit du blondinet. En temps normal, il s’en foutait bien de son physique, mais là, c’était différent. On devient un peu con quand on est amoureux.
-"… Je… je suis prêt à t’aider, ça ne me dérange pas… j’aurais signé… vous savez... j’aime aider… alors j’aurais signé…"
Tout ça, tout ça… parce qu’il ne savait pas ce qui l’attendait.
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Dim 28 Déc - 20:47
"Comment vous savez pour… comment vous… … Je… je suis prêt à t’aider, ça ne me dérange pas… j’aurais signé… vous savez... j’aime aider… alors j’aurais signé…"
Jalender manqua de peu de soupirer. Parfois, il était relou le blond. Il allait encore falloir qu'il lui répète ce qu'il venait de dire. Qu'il le rassure encore. Ça l'ennuyait. Rassurer un peu, ok, c'était dans l'ordre du plan, mais ça ennuyait toujours Jal quand il fallait s'attarder sur un point précis du plan. Et là l'étape « maiiis allez ça va aller ! » commençait à devenir sérieusement longue et pénible. Bon, il faut ce qu'il faut, hein... avec pas mal de réticence, la Reine auto-titrée rétorqua, non sans vigueur due à son exaspération :
« Bien sûr que non, tu n'aurais pas signé ! Allez fais pas cette tête, on dirait un condamné bon pour la chaise. C'est bon, relaxe toi hein, ça va être niquel, tu verras. Et puis tu ne seras pas seul, il y aura moi, tu sais. Et mieux, il y aura Octave. » Ponctuation : un sourire de circonstance un peu loufoque et douteux. Bizarrement en coin et pourtant trop large déjà. Sa joue suivait le mouvement, indolente, mais comme elle gagnait en relief, elle semblait mettre en valeur ce sourire vil et sardonique. Et pourtant, malgré tout, il n'y avait pas de quoi être effrayé quand on le regardait, il y avait une chose indicible... un trait étrange, un truc quoi, qui vous donnez un très étrange sentiment de confiance. Il y aura ton homme, tu sais, il sera là pour toi, tu vois bien qu'il n'y a pas de quoi se mortifier. Et également : kru kru, it's gonna be a hell of a party !
Une chose au moins était évidente : Jalender s'impatientait. Il avait véritablement hâte, comme le gamin qu'il était, que la fête commence. Il ne doutait point qu'il serait un parfait organisateur, mais il espérait juste que les gamins sauraient abandonner leur côté sérieux pour s'éclater. Pour les CR bon, il leur faisait confiance, mais pour le reste ? Enfin, c'était des adolescents, ils seraient sûrement contents de quitter leur peau de surdoué au moins un soir – ou deux, allez savoir. Il repensa à son frère, que je n'ai toujours pas mis en personnage prédéfini, mais que je ferais un jour, et qui était néanmoins à l'orphelinat. C'était le seul à être un peu comme lui, influences obligent. Jal aimait son frère. Lui aussi il devait en faire voir des vertes et des pas mures à ses petits copains ! Mais il était tout de même plus sage. Il avait ce côté réfléchi et posé qu'Elke aimait beaucoup. Tellement pas comme les autres. Ce petit...
Jalender se reprit. Décidément, Tears avait la faculté de le faire dériver. De le rendre quelque peu nostalgique. Enfin, ce n'était pas tellement Tears, c'était ces associations d'idées totalement incongrues et parfois liées les unes aux autres. On a tous nos petites faiblesses, après tout. Earley se leva et s'approcha de Tears qui était toujours un peu interdit malgré les 'paroles rassurantes' prononcées quelques minutes plus tôt. Lui faisant face, il se pencha en s'appuyant d'une main sur ses épaules : « Allons, tu verras, tu me fais confiance, non ? » Puis, prenant un ton plus léger : « Alllezzz, tire pas c'te tête. » Il posa ses doigts sous le menton du hollandais, sécha une dernière larme qui était resté au coin de l'œil du pauvre surveillant. Dans son genre lui aussi il portait bien son surnom ! « Dis toi plutôt que tu es l'homme de la situation ! Je suis ravi moi, que tu veuilles m'aider ! » Les circonflexes et le grrrrannnd sourire ! ça faisait longtemps ! « T'es chou, merci ! » Et comme il n'avait jamais fini de torturer ses proies, pour bien enfoncer le clou et finir en beauté de 'rassurer' ce pauvre petit Tears, il l'embrassa. OMFG !!! Mais rassurez-vouuus, ce ne fut l'affaire que de quelques secondes. Enfin, en quelques secondes, Jal ne s'était pas contenter de poser connement ses lèvres contre celles du surveillant – certainement en train de faire un ulcère...! - il fit son malin, et prit la lèvre supérieure du blond entre les deux siennes. Vice, quand tu nous tiens. Le pire dans l'histoire, c'est qu'il le fit avec une douceur qu'on ne lui soupçonnerait pas du tout ! Bwahahahah ! Enjoy mon ami.
Avec lenteur il se retira, et se redressa de tout son long. Puis il se dirigea vers la porte, natuuuuree le gars, et s'y appuyant :
« Bon, t'es prêt pour m'aider alors ! Parce qu'on va pas trainer ! »
-"Bien sûr que non, tu n'aurais pas signé ! Allez fais pas cette tête, on dirait un condamné bon pour la chaise. C'est bon, relaxe toi hein, ça va être nickel, tu verras. Et puis tu ne seras pas seul, il y aura moi, tu sais. Et mieux, il y aura Octave."
Ah ? Vrai de vrai ? Tu jures et tu craches par terre ? Ben oui, si Octave y allait aussi, ça changeait tout hein. Quoiqu’il s’était déjà bien mis en tête d’accepter le contrat, cette révélation évapora ses derniers soupçons de doutes, de l’ordre du femto mètre. Le blondinet tenta un sourire mais celui-ci s’évanouit quand il se rendit compte que l’assistant n’avait pas répondu à sa première "question". Oui oui, "Comment vous savez pour" signifiait en réalité "Pouvez vous, noble jeune homme, me dire comment être vous au courant concernant la relation que j’entretiens avec le dit Octave ?" Ca le perturbait. Il avait horreur qu’on ignore une de ces questions, même s’il se disait que c’était rien, que Jal n’avait pas entendu ou pas compris le sens de ce qu’il lui avait demandé. Mais il avait toujours ce goût amer dans la bouche qui l’empêchait, même s’il en avait envie, d’afficher un quelconque sourire. Il savait qu’il ne fallait pas insister, que ca ne servirait à rien, juste à énerver. Il y avait des questions dont il admettait qu’on ne lui réponde pas, mais quand ça piquait sa curiosité, sa sainte curiosité, alors son cœur se faisait lourd de n’avoir en répartie qu’un silence hautain. Le blondinet se réconforta à l’idée de la présence de son mâle à sa fête qui, petit à petit, devenait un superbe événement pour lui. Louchant quelque peu sur Jal, il remarqua encore cette étrange expression sur son visage et ne put l’identifier, car aussitôt, (et là, j’ai envie de faire une boutade) la femme sans barbe (voilà c’est fait) se redressa. Un rapprochement, une main sur son épaule, un clignement d’œil.
-"Allons, tu verras, tu me fais confiance, non ? Alllezzz, tire pas c'te tête."
Un hochement de tête, un micro sourire, un regard remplit de confiance. Et voilà Tears totalement embobiné, emballé, enrubanté, la totale. Prêt à le suivre jusqu’au bout du monde, à respecter ses ordres, à devenir son larbin le plus obéissant. Affichant un beau sourire, rempli d’une franchise épatante, il laissa le bel assistant poser quelques doigts sur son menton (attention heiiiin, ça, c’est de la preuve de confiance) et sourit mignonnement quand il vint récolter une larme restée coincée dans le coin de son œil.
-"Dis toi plutôt que tu es l'homme de la situation ! Je suis ravi moi, que tu veuilles m'aider !"
Daw, qu’il était aimable. Enfin quelqu’un de reconnaissant, enfin quelqu’un auprès duquel il pourrait être utile. Puis il était gentil d’essuyer ainsi ses larmes avec ce grand sourire qui faisait…….. qui faisait quand même un peu peur. Oui, mais c’était tout mignon, sans ambiguïté : tant que ça ne touchait pas ses zones privés tels que les lèvres, les fesses ou la zigounette, ça passait. Essuyer une larme, ce n’était pas ambigu, ils le faisaient tout le temps dans les films, que ce soit entre mère et fille, fille et père, amis… enfin voilà, le séchage de larme vaut pour tout le monde. Pas que les amoureux, c’était pas comme un bisou sur les lèvres hein.
-"T'es chou, merci !"
……………………………… Daaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah, vas-t-en ! Va-t-en ! KESSKETUFOULA !!! On fait pas comme les amoureux ils font quand on est pas amoureux et puis et puis dhjkghrjkdhtgrgh. Se faisant sauvagement violer buccalement, il resta con de surprise et d’indignation. Si l’entreprise avait été violente ou agressive, il aurait sûrement tenté de rompre ce contact obscène, mais là… là c’était si doux et furtif qu’il s’en retrouva tout ébahi. Du genre "gné ? gnéééééé ?" Sa lèvre supérieure encore humide par les bons soins de l’autre vil personnage, il afficha un air beat et outré, les joues aux plus rouges de leurs formes. Pourquoi avait-il fait ça ? Comment avait-il osé, alors qu’il savait qu’il était pris ? Etait-il goujat à ce point ? Saisit d’horreur, il commença le geste pour essuyer sa bouche mais se stoppa en remarquant le regard du monstre sur lui. Si ce baiser avait pour but de s’attiser la sympathie de Tears, de lui dire "(h)ais confiiiiance mon enfant", c’était assez fichu. Il avait plutôt envie de lui foutre une torniole, bien que la flatterie coloriait ses joues et la gêne empêchait toute colère de transpercer son regard. Une chose était sûre, si Jal lui avait fait ça de manière si légère, il pouvait aussi le faire à n’importe qui. Ce genre de personne, qui laissait leur bon plaisir passer avant les sentiments des autres, le dégoutait fortement. C’était donc bien du dégout qui transparaissait, accompagné d’incompréhension, au fond de ses pupilles rougis de larmes. Peut être bien qu’il y a quelques mois, il aurait réagit différemment, mais maintenant, c’était comme ça. La confiance venait de s’écrouler comme un château de cartes. Mais Tears, réfléchit, réfléchit, peut être que pour lui, c’est juste un geste d’affection, pas de quoi en faire un drame. Ouais mais non, on demande avant. Oui mais ça gâche tout. Ouais mais ta gueule, uhjhjkhuh, j’fais ce que je veux, il a pas le droit, y a qu’Octave qu’à le droit, alors sreugneugneugneu. Appuyé à la porte, le plus naturellement du monde, comme si de rien n’était, l’énergumène finit par déclarer :
-"Bon, t'es prêt pour m'aider alors ! Parce qu'on va pas trainer !"
Gnnnnnnnnnnnnnnééééééééééé ? Il l’embrasse et il se tape la pause après ? L’idée de prendre son oreiller et de lui envoyer dans la tronche vint un instant à l’esprit de Tears. Finalement, il saisit le coussin pour le serrer dans ses bras, ne laissant que ses yeux dépasser du carré de tissu fourré. Comme ça en plus, super discrètement, il pouvait s’essuyer la bouche. EH BEN NON J’VEUX PLUS ! Tche. Oui, le surveillant pouvait se révéler extrêmement gamin. La fête… Octave y allait aussi. Jal avait-il employé les mêmes moyens pour le faire venir ? Il y a un temps, il serait resté affligé, murmurant un faible "… oui…", mais là, mais là, s’il avait fait pareil à son homme, ça allait pas le faire. Tears mode super seiyen.
-"… Non… vous... ça ne se fait pas.... de faire ça... aux gens... je veux plus..."
Eh ben ? Il est où le super seiyen ? Haha, le voici : oui, parce qu’après sa timide réponse, le surveillant agrippa l’oreiller et le balança mollement à la tronche du… du… truc. BAM DANS TES DENTS ! Son méfait accompli, il afficha sa moue la plus boudeuse, genre "Voilà, t’as eu ce que tu voulais, dégage maintenant. J’ai pas que ça à faire." Et tac tac, tout de suite après, instinctivement, il étala une expression d’excuse réelle, baissant les yeux et regrettant son geste. Et Flokjes couina.
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Mar 30 Déc - 0:16
Alors que Jal avait déjà la main sur la poignée, prêt à ouvrir la porte et à se casser, l'autre... hu, l'auuutre quoi, répondit :
-"… Non… vous... ça ne se fait pas.... de faire ça... aux gens... je veux plus..."
WHATT THHE !! OH MAAAÏ !!! NOAANN?!! Il déconne là, hein ? Allez, tu déconnes l'ami, ha ha ha, BAH C'EST PAS DROLE !!! Cela vous est-il déjà arrivé ? Avoir des envies de meurtres comme ça ? Non mais, je veux dire, à quoi ça servait, franchement, tout le mal qu'il s'était donné. Bon sang, il était plus casse couille qu'il n'en avait l'air, le foutu hollandais ! En Août il s'était montré plus coopératif. Bon sannng, ça s'était encore un coup d'Octave, il avait dû le dévergonder, et un peu trop ! Je vous jure, ces jeunes. Et en plus, non MAIS EN PLUS ! Il lui avait balancé son coussin à la gueule. Bon, ça c'était secondaire parce que Jal était en train de bugger sur le refus de Tears, mais merde, il s'y croyait lui ?
Et là, l'intervention divine. Flokjes ! LA BESTIOLE DIVINE ! L'action du Saint Esprit lui même ! Tout énervé qu'il était d'avoir dépensé tant d'énergie pour rien, Jalender, après sa grande envie de meurtre, songea qu'il n'avait pas dit son dernier mot. Oh, non, croyez moi. Alors que la colère commençait à lui monter du bas ventre pour se répandre à travers veines et muscles, Jalender prit une proofoonnde inspiration, esquissa un sourire, et pour se calmer, il se baissa et ramassa l'oreiller. Après cela, il s'approcha avec beaucoup de calme de la cage de Flokjes. Ah ah, mon petit Lapin, Väch Muchten de moi ! Jalender posa l'oreiller sur le bureau de Tears et s'essuya les mains comme si le tissu était recouvert de poussière.
« Garde ton coussin pour les batailles de polochons nocturnes. » Il avait prononcé ça d'une manière tellement Jalendienne ! C'était ironique, c'était pour faire de l'humour, mais comme il était encore un peu énervé et qu'il essayait de ne pas laisser transparaître ses pulsions meurtrières, il l'avait dit avec un ton ferme et sérieux... pas évident de savoir comment réagir du coup. Il avait également un air très grave, le visage soudainement beaucoup plus adulte et masculin qu'à l'ordinaire. A vrai dire, la réaction de Tears l'avait un peu froissé. A deux niveaux. D'abord, bordel de merde, Jalender supportait très mal de dépenser de l'énergie pour rien. La vie était un jeu, et il en était le gagnant. Son plan avait été suffisamment bien concocté pour que Tears ne le fasse pas trop chier, et là, il trouvait encore son mot à dire ? Mais il te faut quoi booordel ?! S'il avait su, Jal aurait prit une serveuse bien plus obligeante ! Et ensuite, parce que franchement, il s'y croyait ? Après son refus, Jal n'était plus du tout d'humeur à plaisanter, alors le coup du coussin là, comme faible démonstration de force, ça lui paraissant tout simplement pitoyable. Gars, qu'est-ce t'as ? C'est des lèvres, pas ton trou d'balle. Voilà, ça le rendait vulgaire. Il soupira plus mentalement que concrètement, et rouvrant les yeux qu'il avait fermés afin de trouver le calme plus rapidement, il se mit à genoux devant la cage de Flokjes et l'ouvrit.
Mon petit ustensile...! Le sourire lui revint. Dire qu'il avait faillit oublié qu'il lui serait d'une précieuse aide. Il y avait pensé en rentrant dans la chambre, mais le passage Remembrance & co(nneries), ça lui avait chassé ses bonnes intentions de l'esprit. Il avança deux doigts en explorateurs qu'il agita pour que lapinou réagisse. Le flocon ne tarda pas à s'activer et vint lécher le bout des doigts de Jal. Parfait. Après un moment qui sembla surement lourd à Tears à cause du ton employé dans la dernière phrase d'Earley, mais qui lui permettait de prendre tout son temps, Jalender décida de prendre dans ses bras le lapin qui semblait à présent lui faire confiance. Et oui, il s'était laissé caressé, le petit novice. Même avec les animaux, Er Queen était une vraie pétasse manipulatrice.
Il prit donc Flokjes dans ses bras et, tout en ne cessant de le caresser, l'air tout à fait innocent, un sourire tendre et enfantin aux lèvres, feignant parfaitement le : « oooh yé trooopp miiimiii!! » il se tourna vers Tears, et après un temps, en s'armant de son sourire mythique large et plein de sous-entendus, et de ses yeux en circonflexes, il dit :
« Teeeeeeeeeeeeeeeeaaaaaaars mon chouuuuu, tu commences à m'exaspérer (TRES BEAUCOUP MEME !), faisons simple. » Il serra fort Flokjes contre lui : « Si tu me dis encore une seule fois non, alors que je me suis donné tant de mal pour toi (pour toi, LOL), je vais faire de Flokjes ma pantoufle <3 ! » Puis, en lui laissant digérer l'information : « N'est-il pas mignooooon ? Avec ses deux petites oreilles ! » il souligna la chose en faisant bouger lesdites oreilles de ses doigts. « TROP mignon, il serait parfait à mon pied !! »
Puis, il s'adressa ensuite à Flokjes lui même, et lui fit un bisou. Hein que tu m'irais trop bien au pied, pantoufle <3 !!
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Sam 3 Jan - 19:16
Ce post est un hommage à Muffins
-"Garde ton coussin pour les batailles de polochons nocturnes."
Tché. Vil. Tears, les yeux toujours baissés s’en voulait d’être aussi puéril. Non mais aussi, il l’avait provoqué le Jal. On n’embrasse pas les gens. Point. Oui mais bon, oui mais il avait énervé la Reine, et ça, c’était impardonnable. Et maintenant, il avait sûrement perdu un ami, et rien ne faisait plus de peine au surveillant que de voir une amitié s’évaporer. Le surveillant étant le roi incontestable du "Oui mais", il se tortura ainsi, divaguant entre la moue déconfite de la peine et le regard plus satisfait de "Tu l’as mérité." L’air grave de la brunette ne manqua pas de troubler le blondinet qui avait osé un œil vers lui dans l’espoir de le voir prendre ça avec humour. Raté, il était out of him mais dedans quand même. L’assistant avait la force de camoufler un tantinet tous les sentiments qui l’envahissaient, chose tout à fait impossible de la part de Tears. Maintenant, Jal ne l’aimait plus. Sûrement qu’il le dégoutait aussi, vu comment il avait feint la saleté de son beau cousin panda. Le voilà qui rouvrit ses yeux fermés. Ahwai, il l’avait vraiment vraiment énervé. Il camouflait très bien ses envies de meurtres, Tears le sentait. S’enfonçant un peu dans son lit pour tenter de disparaître de la surface de la terre, il regardait Jal s’approcher de la cage de Flokjes.
Deux doigts dans la cage, le lapin aveugle sentir l’odeur de l’intrusion et s’approcha. Peut être que c’était ce dont la brunette avait besoin pour se calmer, un peu de douceur. Que c’était mignon. Le blondinet n’avait pas eu pour but de froisser le jeune homme, il voulait juste lui faire comprendre ce qui se faisait ou non, juste lui montrer que ce n’était… bon, oui, c’était un pantin, mais bon. La réaction de Tears venait surtout du fait qu’il s’imaginait Jal embrassant n’importe qui, comme ça, pour rien, dont… dont son aimé. Et ça, mon petit gars, ça passe pas. Et dire qu’il s’attendait à quelques excuses. Le lapin lécha le bout des doigts de la Reine alors que Tears s’apitoyait. Ca ne devait pas être à lui de se rattraper, et pourtant, il en mourrait d’envie. Comme il voulait fondre à ses pieds pour pardonner sa réaction stupide, mais il fallait qu’il soit fort. Jal prit la boule de poil dans ses bras et le caressait avec un sourire candide, tourné vers Tears. Ce dernier sourit quelque peu à cette vue. Alors c’était bon ? Il ne lui en voulait plus ? Le surveillant lui rendit donc un petit sourire, qui paraissait bien pâle face à la tronche "Kawaiiiiiiiiii" de sa Majesté.
-"Teeeeeeeeeeeeeeeeaaaaaaars mon chouuuuu, tu commences à m'exaspérer (TRES BEAUCOUP MEME !), faisons simple."
Ah. Le sourire du "chou" s’évapora quelque peu. Il ne savait pas pourquoi, il n’avait aucune raison pour qu’il le soit, mais il avait peur. Une crainte dansait la maquarena dans son ventre.
-"Si tu me dis encore une seule fois non, alors que je me suis donné tant de mal pour toi, je vais faire de Flokjes ma pantoufle <3 !"
……….. Hein ? Hahaha, comique avec ça. Il était drôle, sauf que ce n’était… pas drôle. Ah wai. Un coup d’œil à la naïveté feinte de la brunette suffisait à faire comprendre qu’il ne plaisantait pas. Merde. MERDE NON PAS TOUCHE ;_; Les yeux en mode mouche et la bouche entrouverte, Tears se figea. Alors là non, alors là, tout mais pas Flokjes. Fouette moi, fais moi manger ce que tu veux, découpe moi les oreilles, mais ne touche pas à mon lapin. Le dit lapin couinait gentiment contre les bras de Jal, les yeux dans le vide, la truffe au vent. Cette boule de poil aux côtes fragiles et délicates, au petit cœur qui battait si vite, si vide et ses poils si doux que s’en était délestable rien qu’a la vue.
-"N'est-il pas mignooooon ? Avec ses deux petites oreilles !"
Les oreilles se balancèrent avec l’aide des doigts de la brunette, ces petites oreilles toute poilues et blanches, toutes pures et jvdhvj.
-"TROP mignon, il serait parfait à mon pied !!"
Et là, c’était le drame, images mentales. La chair disloquée de Flokjes, le sang, on racle la chair, on jette les organes, on met des yeux en verre et une truffe en plastique. Un peu de couture, on fourre de coton, on incruste une semelle… Ces images ne manquèrent pas d’horrifier totalement notre surveillant dont les larmes coulaient de nouveau. La Reine embrassa le Flokes, un baiser provocateur. Oui, il embrasse vraiment tout et n’importe quoi. Les petites pattes du lapin s’agitèrent un peu. Ces petits pattes trop craquinouilles avec ces petits coussinets. Aw. Le surveillant, en plus d’être épouvanté, devait aussi encaisser une profonde déception. Jal était un bâtard. Jal faisait du chantage. Jal était vil. Bouh. Bouleversé comme pas deux, il se leva précipitamment, les yeux rouges et joues humides pour grappiller l’amitié.
-"Arrête, oui je… d’accord… lâche le… tu serres trop… tu lui fais mal…"
Tendant désespérément ses mains pour tenter de récupérer son bien, il le supplia du regard. Il en avait même oublié de la vouvoyer tellement la situation lui sortait par les trous de nez. Voyant que son "Ok j’accepte rend moi ça" n’avait pas trop d’effet sur son interlocuteur, de part la légèreté de l’acceptation, Tears tenta de se calmer de reprit plus posément.
-"… Pardon, c’est d’accord, je… c’est parce que tu… vous avez des manières bizarres, alors… ça m’a un peu… déstabilisé… mais je… ne faites rien à Flokjes… je, je ferai tout ce que vous voudrez…"
Invité
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside: Lun 5 Jan - 18:59
[ Muffins tu étais le plus mignon et le plus tendre. Nous t'aimions Muffins ;____; Une minute de silence pour notre gentil chat ]
-"Arrête, oui je… d’accord… lâche le… tu serres trop… tu lui fais mal…"
Jalender soupira, now relieved. Il lâcha Flokjes et le laissa gambader à souhait dans la chambre. Eh ben tu vois quand tu veux ! Mon Dieu. Heureusement que ça prenait enfin fin, franchement, est-ce que Tears pensait qu'il n'avait que lui à voir et à convaincre ? Une bonne fête réside dans la bonne organisation qui la précède. Enfin, elle dépend également des gens qui vont y squatter mais l'important est d'avoir de bonnes bases pour pouvoir repousser la faute sur les autres. Allons, allons, je m'étais débrouillé de préparer cette soirée du mieux que j'ai pu, et tout y était, rien ne manquait, alors je n'y peux rien moi, si les gens ne savent pas s'amuser... Parce qu'en réalité, la plus grande peur de Jal, si l'on peut parler de peur, était que ces pauvres petits surdoués ne sachent pas abandonner leur côté intello déjà blasés de la vie alors qu'elle vient à peine de commencer pour s'adonner quelques heureuses heures à faire la fête, comme des « jeunes de leur âge ». Imaginez, Jal avait quitté beaucoup de choses dans l'espoir de recommencer à zéro et de trouver mieux. Donc y avait plutôt intérêt à ce que tout se passe bien, sinon, il allait encore être déçu, et pour le moment, il n'était pas encore prêt à laisser son frère, son unique frère, son frère bien aimé tout seul.
-"… Pardon, c’est d’accord, je… c’est parce que tu… vous avez des manières bizarres, alors… ça m’a un peu… déstabilisé… mais je… ne faites rien à Flokjes… je, je ferai tout ce que vous voudrez…"
Tears sortit Jal de sa rêverie. Qu'il pouvait être distrait lorsqu'il pensait à son frère. Jalender se redressa et s'épousseta pour faire partir les poils du lapin. C'est aimable les bestiaux, mais Earley n'aimait pas des masses ressembler à Chewbacca. « C'est bon, ce n'est pas comme si j'allais vraiment lui faire du mal. » Sourire de circonstances. T'as bien flippé, hein ? Ha ha ha ! « Enfin, quoiqu'il en soit, je suis ravi de te l'entendre dire, et arrête de me vouvoyer, je trouve ça désagréable. » Ce après quoi Jalender se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Avant de partir : « Oh, et je compte sur toi pour venir avant que la fête ne commence. Il faudra quand même tout préparer avant que les mômes ne débarquent. » Et sur ce, il lui fit un clin d'œil et ferma la porte.
Quant à moi, j'aurais bien clos le post ainsi, mais à la demande de Marthe mon adorée, je vais à présent vous entretenir sur la passionnante vie des poissons de l'étang. Mais si, l'étang même qu'il y a près des bois et que peu de monde va visiter parce que, c'est bien connu, les surdoués sont des gros no-life qui passent leur temps chez eux et qui n'oseraient jamais, ô grand jamais, sortir de la douce cloison, autrement pensé du chaleureux abri que les quatre murs de leur bâtisse représentent. Ces petits poissons, donc, stagnaient comme l'eau dans l'étang, et vivaient, par extraordinaire, quelques aventures extrêmement prenantes. D'autant plus que l'on trouvait dans ces eaux marécageuses une infinités de variétés de poiscalle. Vous pouviez trouver les carpes, oui, les carpes, les mêmes qui trainaient dans le bassin chez Amélie Nothomb (qui se retournait dans la sienne, si elle en avait une !Wai Lomyr je l'ai placée !), des mérous, des poissons rouges, des pirhanas (de chez Tomb Raider ou de chez vos chinois, au choix), des golden fish, comment ça je les ai déjà cités ? Et même, figurez-vous, des poisson vache, oui, le genre que vous croisez que sur South Blue. Bref, de quoi alimenter vos soirées père Castor pour un bon bout de temps !
Tout ça pour dire, qu'il est grand temps que vous alliez lire la suite de l'histoire palpitante de Tears et Jalender dans l'épisode suivant. To be continued...!
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Préparatifs :evil inside:
Préparatifs :evil inside:
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum