I don't care !
Débordant d'énergie ♦ amical ♦ sportif ♦ Appliqué ♦ Bon joueur ♦ Bon dessinateur Peu sociable ♦ Bruyant ♦ Fatiguant ♦ parle même tout seul ♦ pessimiste ♦ Geek Bien qu'il soit peu sociable, Nostalgeek reste quelqu'un assez amical quand il le veux, bien sûr. En général, même s'il n'apprécie pas forcément la personne, il ne va pas être méchant envers celle-ci. Il ne lui parlera pas ou il la regardera tout simplement de travers, mais il ne s'attaquera pas à elle. Par contre, si on le cherche, on le trouve. Si jamais on l'embête, il ne se laissera pas faire et rendra de si tôt la pareil. Nostalgeek est quelqu'un d'assez pessimiste, car au premier nuage venu, il trouvera le moyen de dire qu'il fera froid et mauvais toute la journée, même si ce n'est pas spécialement le cas, il le reportera au lendemain. Et encore ce n'est qu'un exemple. Après, il a souvent menti, ce qui fait que presque personne ne l'écoute. Quand il se sent seul et qu'il ne sait pas quoi faire, il lui arrive de parler totalement seul. Même lui, ne sait pas l'expliqué pourquoi. Enfin, s'il essayait de s'approcher plus des autres, au lieux d'attendre qu'ils viennent à lui, il ne serait pas si souvent seul. Il lui arrive d'être bruyant, bien qu'il ne le fasse pas vraiment exprès. Mais, il arrive à déranger son entourage, car il est parfois énervant. Toujours en train de geeker que ça soit sur un ordinateur ou sur une simple console de jeu, qu'elle soit d'époque ou non. En fait il s'en moque, car, peut importe les jeux dessus, il trouvera le moyen de finir le jeu entièrement et geeker toute la journée, s'il le faut. Enfin, ne le voyez pas comme le "mauvais garçon". Il n'a pas que de mauvais défauts. Il a aussi des qualités. C'est quelqu'un de très appliqué, s'il fait quelque chose, il le fait à 100 %. De plus, il est bon dessinateur, mais vu qu'il est bien pessimiste, il ne les trouve pas spécialement réussit et il ne dessine pas souvent non plus. Il est débordant d'énergie, il ne manque jamais de ressource pour faire quelque chose. C'est un bon point pour quelqu'un de très renfermé. D'ailleurs, il est assez sportif et sa spécialité est le Sprint. Il pratique aussi le demi-fond. Peut être qu'il serait capable de se faire des amis même. Mais ça, c'est quelque chose d'assez indéterminé pour lui. Il n'est pas très ouvert pour cela et vu qu'il est peu sociable, il ne parle pas souvent aux autres, ce qu'il devrait faire vu qu'il reste amical. Son pseudonyme, à la Wammy's House, il l'a lui-même choisit. C'est un de ses pseudonymes qu'il avait avant, car beaucoup aimaient l'appeler : " Black Cat " à cause de ses goûts vestimentaires. Oui, certains de ses habits comprennent des oreilles de chats. Mais celui qu'il a pris c'est bien " Nostalgeek ". Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il joue souvent à la console et qu'on peut dire qu'il geek toute la journée. En fait, c'est un jeu de ne mot avec " Nostalgie " et " Geek ". En fait, Nostalgeek, à souvent un sentiment de nostalgie qui ne le quitte jamais. C'est pour ça qu'il en a fait le rapprochement. En ce qui concerne son look, cela en a fait parler plus d'un. Oui, un style vestimentaire pas du tout discret. C'est comme ça qu'il se démarque des autres. Il se sent plus... Différent. Du moins à ce niveaux. Il aime bien ce style et il ne sait pas comment l'expliqué. En même temps, sa couleur préférée étant le noir, cela s'explique. Il lui arrive de mettre des habits très colorés et toujours aussi tape-à-l’œil, mais il ne les porte que très peu. Après, on peut voir qu'il a des piercings et pourtant il est assez jeune pour en porter. Mais, bon il n'en a qu'un de vrai et c'est celui qui a une chaîne qui part de sa boucle d'oreille jusqu'au piercing de sa lèvre, les autres ne sont pas de vrais piercings et il lui arrive de les perdre. Après, il a normalement des lunettes, mais il refuse de les porter. Il n'aime pas ça, du coup, il ne les met que très peu, voir pas du tout. Du moins rarement. Quand il joue et qu'il a mal aux yeux, pour les soulager il les met, mais ce n'est que dans cette situation. S'il n'aime pas les lunettes, il aime les bijoux en tout genre : les bagues, les bracelets, les colliers, les ras-de-cous... Il en porte très souvent et il en porte, d'ailleurs, beaucoup. Parfois pour s'amuser ou alors il les mets pour que ça suit avec ses habits. En fait, Nostalgeek est quelqu'un qui se " chouchoute " beaucoup. Il est du genre a resté des heures et des heures à se préparer. Il est un peu efféminé en quelque sorte. Après en ce qui concerne le physique, il est très légèrement musclé et est normalement dans la norme. Après, pour les yeux, ce n'est pas un manque de mélanine, mais bien des lentilles. N'allez pas croire qu'il est albinos...
" I don't care ! I love it ! "
Story Time ! The night of Black Cat...
" Je suis fils unique et je vivais avec mon père et ma mère. Oui, j'avais des parents qui m'aimaient beaucoup. Un peu trop même. J'avoue qu'ils me gâtaient souvent. Si je désirais quelque chose, ils me l'achetaient. Une fois, c'était un piercing attaché à une boucle d'oreille par une chaîne. Je le trouvais tellement beau que j'ai demandé à mes parents de l'acheter. C'était chose faite, car, je la portais tous les jours avec mes habits de style gothique. Mon père n'aimait pas trop que je sortais comme ça, mais vu que j'y tenais, il s'était mis d'accord. Ils faisaient beaucoup attention à moi et je pense même que c'était bien les seuls. Les autres se moquaient de moi parce que je m'étais du vernis, des faut ongles... Il n'y avait que mes parents qui se moquaient de ça. Mais ils se disputaient souvent et dans ses moments là, j'étais comme... spectateur, je ne pouvais rien dire, rien faire... C'était d'ailleurs à cause d'une dispute que mes parents avaient décidé de divorcer. En plus du divorce, ils avaient dû faire appel à un avocat pour savoir qui m'aurait en charge. A chaque fois qu'ils en parlaient, je devais aller voir ailleurs. Dorry, une amie d'enfance à mon père, avait décidé de me prendre en charge. Je dû quitté Houston, une ville au Texas, pour la rejoindre à Londres. Une femme assez sympa et toujours à mon écoute. Mais bien qu'elle soit très sympa avec moi, me prenant presque comme son enfant, j'étais bien tracassé par ce qui pouvait bien se passer du côté de mes parents. Je me demandais : "comment ça se passe ?", "qui m'aura en charge ?" et "qu'est-ce qu'on raconte sur moi ?" Au fond, cela m'énervait presque. En plus, c'était le début des vacances de Noël et je voulais en profiter avec mon père et ma mère. Mais bon... Comme mes parents ne pouvaient pas fêter cela avec moi, Dorry avait préparé pleins de bonnes choses délicieuses.
Une semaine s'écoula et toujours pas de nouvelles. Que de rares coups de fil de mes parents pour Dorry, mais rien n'était encore totalement décidé. Quand elle était au téléphone, j'étais là, près d'elle, l'écoutant en train de prendre des nouvelles. Mais désespérément rien. Rien de plus.
Voilà maintenant une nouvelle semaine qui venait de s'écouler. Noël approchait, mais toujours aucune bonne nouvelle... Pas la moindres, non. Puis un soir, alors que j'allais dormir, Dorry reçue un coup de fil de l'avocat s'occupant de mes parents pour le divorce. Je l'entends encore dire :
- Personne ? - Ils ne le veulent pas ? - C'est à cause de l'argent, c'est ça ? - Oui... ?
Je me suis dit que mes parents ne me voulaient plus... Des larmes coulaient le long de mes joues et je pensais encore négativement :
" Ils ne veulent plus de moi ? Je resterai chez Dorry ? Pourquoi ne pas l'avoir dit directement ? "
Je suis un vrai pessimiste et de toute manière, j'ai toujours pensé comme ça. J'avais alors couru jusqu'à ma chambre, m'écroulant en sanglot sur les couettes de mon lit.
Le matin, quand je suis descendu, je suis allé directement vers Dorry. Elle me prit dans ses bras. Elle était aussi triste et d'ailleurs, on ne s'était même pas parlé de la journée. C'était quelque chose de rare... Rien... même pas une seule petite phrase... Seulement quelque regard, triste, certes... mais c'était tout ce que nous avons trouvé...
L'hiver était là et la neige aussi. Le froid se faisait sentir... J'étais dehors en cette matinée d'hiver, ramenant les courses pour Dorry. Il ne restait plus que deux jours avant Noël. Quelque livre sterling en main, juste ce qu'il fallait pour un journal que je me hâtais de ramener, malgré la neige qui me faisait un peu ralentir. C'était de retour à la maison de Dorry que je fis une macabre découverte. Les pompier était là, devant chez elle. Je criais de toutes mes forces pour appeler quelqu'un et comprendre ce qu'il s'était passé. Mais rien. Un des pompiers me demanda de reculer et même de partir. C'était alors que je vis les pompiers emmener Dorry sur une civière. Je l'appelais en vain. Elle était décédée, apparemment d'un arrêt cardiaque. C'était tout ce que je savais et je ne savais pas si c'était vraiment ça. Je m'était retrouvé seul, dehors. J'y était resté un long moment, les larmes aux yeux. Soudainement, la neige c'était mise à tomber. Je levais la tête admirant ce spectacle. J'hurlais vers le ciel, lui demandant même ce qui pouvait bien m'arriver de pire. En rentrant dans la maison de Dorry, qui était d'ailleurs très vide, je déposa mes affaires. Accidentellement, j'avais fait tombé le journal sur un gros titre qui me frappa. Accident mortelle aux USA Etant donner que l'article se déroulait là ou j'habitais, je me suis mis à lire un peu intrigué et en descendant mes yeux sur les images de l'articles, la photo de mes deux parents apparaissait. Il était donc lisible dans l'article :
Brian Mckyler, ainsi que sa femme Roxanne Juliette Mckyler sont mort dans un terrible accident se déroulant dans l'une des rues principales de New York. Un camion les auraient percutés alors qu'ils étaient dans leur véhicules. Une autre personne était à bord de la voiture, mais malheureusement le corps est totalement carbonisé. Nos enquêteurs affirment que ce serait le très jeune avocat Ander William chargé des affaires familiales. Choqué, je reconnaissais de suite le visage sur la photo. C'était bel et bien l'avocat chargé de mon cas. A ce moment précis, mon corps se glaçait, mes bras et mes jambes tremblaient et je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps. J'étais ... Comme ... Paralysé ... Aucun mot de plus pouvait traduire mon état... Je ne savais plus quoi faire. Ma première idée, c'était de retourner chez moi ... Mais comment ? Je ne savais pas... Désespéré, je pris les seules affaires que j'avais amenés chez Dorry... Je pris aussi le peu d'argent que j'avais sur moi pour m'en aller. Je ne savais pas ce que j'allais faire. Les gens dans la rue me regardaient bizarrement. Puis, je ne savais pas où j'allais et je ne savais pas ce qu'il allait m'arrivé. Je marchais ... C'est tout! La neige était toujours présente et la nuit allait tomber. Je m'assoupissais contre un mur, blottit dans mon manteau, mes affaires à mes côtés. Quand je me suis réveillé, la pleine lune était là, dans le ciel sombre. J'avais reprit la route quand je suis tombé un peu plus tard sur ma route. C'était certainement parce que j'avais faim et que ma tête me tourmentait ... Du moins ... ça je ne m'en souviens plus réellement. Je sais qu'à mon réveil, j'étais devant une cheminée, au chaud et qu'une vieille dame attendait mon réveil.
- Ça va ? Tu es réveillé ?
C'est alors, qu'elle m'expliqua ce que je faisais chez elle, car, elle m'avait trouvé dans la rue alors qu'elle se promenait : j'étais étalé devant sa maison. A mon tour je lui avait dit ce que j'avais expliqué, le "pourquoi du comment" j'étais dans la rue. Elle l'avait bien compris, j'étais devenu Orphelin ... Elle m'avait aussi raconté que je ne pouvais pas resté chez elle. Elle avait raison après tout. Peggy - c'était son nom - me raconta qu'elle n'avait aucun droit sur moi, parce que je n'étais pas son enfant. De plus, elle ne pouvait pas non plus me garder car elle était trop vieille et que un jour ou l'autre elle ne serait plus là. La seule chose que Peggy pouvait faire pour le moment pour moi, c'était de m’offrir à manger et me loger pendant quelque temps. Je resta chez elle et ses chats - car oui elle en avait pleins -pendant trois jours. Elle s'était chargée de me trouver un orphelinat. Ce n'est pas qu'elle ne voulait plus de moi si tôt, mais il est vrai que plus les séparations sont rapides, moins on est triste. Et c'est totalement vrai, car cette vieille Peggy allait certainement me manquer. Ainsi, je fut conduit à un orphelinat. Conduit en Taxi, je regardais autour de moi. L'orphelinat était assez vaste. J'avais une chambre, mais malheureusement, je n'étais pas seul et en plus on me détestais. Pourquoi ? Certainement parce que je parais très différent d'eux. Pourtant, c'était d'égal à égal ici, mais apparemment... Ce n'étais pas le cas pour eux à mon égard. C'est ainsi qui j'y suis restait trois longue année. Oui, je ne m'y sentais pas à mon aise et tout le monde me prenait pour un "Intello", comme il le disait si bien. J'avais les meilleurs résultats et j'étais même le plus doué. C'est alors qu'on m'expliqua que j'allais changé d'orphelinat. J'aurais aimé qu'on me dise que j'avais été adopter, mais cela me paraîtrai trop étrange... Pourquoi ? Parce que personne ne voudrais du "Black cat". Ce surnom, m'avait été donner par un autre garçon qui m'aimait un peu plus que les autres. Mais, il ne s'approchait pas trop de moi, par peur que les autres ne lui parle plus. Il avait raison de faire ça, en plus, je ne serais jamais resté assez longtemps pour me lier d'amitié. Enfin voilà... Des gens m'ont expliqué que je devais passer des genres de test pour être admis à un orphelinat un peu spécial. Je réussit d'ailleurs ce test avec brio, parce que je fus admis à la Wammy's House - qui est le nom de l'orphelinat - avec 151 de QI et je fais parti des Shape. Parce que c'était le groupe qui me correspondait le mieux. "
" the black cat in the street "
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