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 J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer.

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Matt J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. 898611sansavatarWA
Matt
Sujet: J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. EmptyLun 10 Mar - 17:18

Still don't know what I was lookin' for.

J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. Deathnote04 J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. Deathnote02
Matt ■ Mail Jeevas


âge : 15 piges
date de naissance : 12 Mars
qi : 207
sexe : Mario
origine : Nouvelle-Zélande
ancienneté : 12 ans
manie : Jouer aux jeux vidéos toute la sainte journée
cheveux : Auburn
yeux : Marrons
peau : Pâle
taille : 1m74
tatouage/piercing : Nope
corpulence : Fluet. Une grande perche.

you're gonna go far, kid.


Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous ; un membre du staff viendra ensuite vous communiquer votre classe.
Définissez-vous en une phrase.

    ■ Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...


Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?

    ■ Un poisson rouge.


Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?

    ■ H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.


Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.

    ■ « D'un point de vu biologique... »


La petite manie dont vous vous passerez bien ?

    ■ Faire des private jokes.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.

    ■ Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.



Up start down B, walking randomly

Loyal ■ Amusant ■ Attentif ■ Optimiste ■ Entraînant ■ Docile
Indifférent ■ Manipulable ■ Paresseux ■ Gamin ■ Renfermé ■ Obsessionnel
Matt est ce genre de mec qui pourrait presque être invisible, si l'on n'avait pas tant l'habitude de le trouver à un endroit précis. Il se fond carrément dans le paysage, plus habitué à converser avec ses jeux passionnants, qu'avec le reste de l'humanité. À vrai dire, certains pourraient même lui donner l'audacieux surnom de « ce geek-là », parce qu'il est là depuis tellement longtemps, a subi si peu d'évolution, que les gens ont, en général, du mal à définir son caractère. Il ne s'ouvre qu'en de rares occasions, avec les personnes qu'il apprécie, mais, le reste du temps, l'adolescent reste bloqué dans le même silence scrutateur, jetant parfois un coup d’œil par dessus sa gameboy au reste de l'assemblée. Si Near est dans le mutisme le plus total, Mello dans la colère, Matt, lui, est dans l'observation. Rien n'échappe au regard, en apparence blasé, qu'il lance au monde. Mais plongeons un peu plus en profondeur dans ce caractère, et vous découvrirez qu'il fourmille d'une intense vie intérieure, de cet appétit d'action qui ne peut être calmé que par les pires conneries. Mais ce n'est pas pour autant qu'il se désintéresse totalement des situations extérieures aux siennes ; Mail peut se montrer extrêmement attentif envers les gens qui retiennent son intérêt, bien qu'il n'ira pas jusqu'à se confier à eux. Il considère que ses pensées personnelles doivent rester du domaine privé, si bien qu'il est quasiment impossible de le faire sortir de ses gonds. S'il est en colère, il préféra le cacher sous un sourire conciliant, avant de se rabattre sur sa console oú il n'en défoncera que plus de gens (GTA reste l'un de ses basiques pour une situation de crise).
On pourrait presque le qualifier d'hypocrite, s'il n'était en réalité si je m'en foutiste. C'est comme pour la compétition qui règne en incontestable maîtresse sur tout l'orphelinat ; il ne se fatigue pas énormément pour pallier à ses exigences, et s'en porte très bien, parce que, au moins, ça lui permet de garder du temps pour jouer, tout en restant à la hauteur.

En parallèle, Matt reste un adolescent, avec ses hormones en ébullition et ses sourires grivois. Il aime la chair, quoi, bien que, pour l'instant, il n'ait pas trop eu l'occasion de s'y pencher de très près. Ses techniques de drague se rapprochent du flirt de maternelle, plutôt que d'une réelle volonté de séduire. Et puis même s'il le voulait, il n'arriverait pas à garder assez de sérieux pour se plonger dans l'entreprise parce que voilà, il a un peu la flemme, quand même.
D'un autre côté, il manque d'agressivité ; il ne se laissera pas marcher dessus, mais il ne réagira pas non plus à la provocation. Il posera plutôt un regard moqueur sur son interlocuteur, avant de reprendre son jeu là oú il l'avait arrêté. Matt a tout de même un côté assez positif et amical, lorsqu'il ne décide pas, tout simplement, de rester dans sa chambre. Il ne tombera jamais dans le défaitisme excessif, plutôt décidé à motiver les troupes avec un jeu de mots à la con. C'est peut-être son côté un peu noeudnoeud qui fait qu'il reste apprécié par la communauté orpheline.
Mais le problème, c'est qu'il se laisse facilement entraîner dans des situations dangereuses (je ne vous dirais pas à cause de qui, on s'en doute très bien) et il a un goût inné pour les choses qui sortent de l'ordinaire. Après avoir été longtemps bloqué dans un état catatonique suite à la mort de ses parents, il compte bien rattraper tout le temps perdu, en profitant autant que possible des frissons délectables de l'illégalité dans lequel l'autre blond le place plus souvent qu'il ne le faudrait. Mais sinon, Matt est une bonne pâte, qui n'hésitera pas à vous tapoter l'épaule d'un air compatissant, sans pour autant lâcher sa gameboy.  

Faut quand même pas abuser, hein.
 



WE WILL MAINTAIN THE ANARCHY



Les doigts de Mail, amincis par des années de pratique,  frappaient à toute vitesse sur le clavier de son pc, tandis qu'il mâchonnait distraitement la clope éteinte qui pendait au coin de ses lèvres. La personne un peu attentive qui se serait penchée sur son écran aurait remarqué que l'occupation à laquelle il s'adonnait était bien lointaine des préoccupations de la moitié des orphelins de la Wammy's House. Matt dirigea Léon vers la porte, assurant la prise de ses doigts sur les touches qui manipulaient le personnage. Il mit son jeu en pause quelques secondes, le temps de rallumer sa clope.

Avant de s'enfermer dans l'Angleterre pluvieuse et bornée, Mail avait été un gamin du soleil, trop rieur et attaché à cette existence de petit sauvageon qu'une simple seconde avait suffit à briser. Il ne se rappelait plus vraiment de ses parents, mais il se plaisait à les dépeindre toujours souriants et détendus au soleil, sur la terrasse de leur bungalow. Il s'imaginait alors qu'il perpétuait la tradition familiale d'éternelle béatitude, lorsqu'il s'allumait une cigarette, revoyant dans les mouvements sinueux de la fumée le fantôme lointain d'un joint tenu entre les doigts fuselés de sa mère. Ses parents n'avaient rien de commun ; au tout début des années 90, le père Jeevas était un étudiant brillant de Yale (spécialisé dans le droit) lancé sur la fameuse route 666 dans la T-bird qu'il avait voulue aussi verte que celle de Thelma et Louise. Embarqué avec ses copains de fac pendant l'été, il avait aperçu au bord d'une route solitaire la silhouette longiligne d'une hippie dépenaillée qui faisait de l'auto-stop. Ses potes avaient ri d'un rire gras lorsqu'il avait stoppé la bagnole à côté d'elle. Elle avait affiché un large sourire en s'asseyant sur le siège passager, avant de demander si elle pouvait se préparer une douille. Ces détails-là n'avaient jamais été racontés à Mail. Bêtement amoureux après cet été de poussière et de voyage, les deux jeunes gens avaient décidé de s'expatrier en Nouvelle-Zélande, pour vivre au calme leur commune passion de la nature. Le bungalow donnait sur le lac Ohau Lodge et Matt croyait se rappeler que sa mère travaillait dans une boutique de fringues de la ville la plus proche. Elle lui ramenait chaque soir un petit cadeau, un rien du tout qu'elle plaçait avec délice entre les mains potelés de son fils. Parfois, c'était une friandise qu'il s'empressait de dévorer, tandis que son père passait une main brunie par le soleil dans ses cheveux roux. Matt était né sur cette île, couvrant d'un regard vif la silhouette des volcans qui se dessinait à l'horizon, sans cesser d'imaginer qu'ils pourraient un jour s'éveiller de leur sommeil millénaire. Mais quand on a deux ans, on ne se soucie pas vraiment de ce genre de détails, pas plus que de la poursuite d'une cigale ou d'un daim, en tout cas. Son père était à la maison toute la journée, et Mail le suivait de près, sa petite main crispée sur la toile épaisse de ses pantalons. Déjà, il avait du mal à être indépendant, mais parfois, on pouvait le retrouver, assis sur le bord de la terrasse, perdu dans la contemplation muette du lac qui venait s'échouer sous son regard rêveur. Le soir, ses parents le laissaient souvent dormir dans leur lit, quand Mail avait trop peur de l'obscurité. Il se nichait doucement entre eux, le pouce bloqué entre ses lèvres, le visage enfoncé dans le dos de sa mère. Oh, l'existence était douce, pour le garçonnet roux, et l'été éternel.

Mais si ses parents s'étaient autant enfoncés dans le vide vert de l'île, c'était aussi pour profiter tout à loisir des paradis artificiels. Le père, de souche russe, était loin d'être un imbécile, mais, écœuré par l'extérieur, il noyait ses capacités dans l'héroïne, incapable d'affronter la dure réalité de la vie sans sa dose quotidienne de douceur blanche. Il posait alors sur son fils un regard doux, transfiguré par la chaleur électrique qui coulait dans ses veines. Et Mail ne s'en perdait que plus dans le bruissement soyeux des jupes de sa mère, enfouissant son visage dans leurs plis lorsqu'un chagrin d'enfant menaçait de le faire pleurer. Bercé chaque jour dans le doux roulement de la voix de son père et des chansons hippies que ce dernier se plaisait à écouter, il maîtrisa sans peine l'anglais et le russe paternel. Mais il semblait toujours être un peu en retard car, à l'âge oú d'autres gamins balbutient leurs premiers mots, Matt, lui, restait silencieux, simplement parce qu'il ne ressentait pas le besoin de s'exprimer.

Un jour, l'enfant s'échappa pour aller flâner dans les herbes hautes, et, lorsqu'il revint aux dernières lueurs de l'après-midi, ce fut pour tomber nez-à-nez avec le corps congestionné de son père, une seringue encore plantée dans son bras tanné. Mail le regarda fixement, pas sûr de bien saisir toute l'ampleur du drame, la mort était un concept totalement inconnu dans son vocabulaire. Tel Simba, il s'avança vers l'homme d'un pas légèrement titubant et grimpa sur ses genoux raides, pour se loger dans l'étreinte glacée. Il pressa son petit nez contre sa joue cireuse et l'appela d'une voix plaintive. L'homme ne bougeant naturellement pas d'un cil, Mail se roula en boule contre lui, avant de fermer les yeux, sûr d'être la victime d'une mauvaise farce.
Lorsque sa mère rentra, elle l'arracha avec brutalité à l'étreinte putrescente du cadavre. Sanglotante, misérable, elle enfouit son visage dans le cou de l'enfant, pour le serrer avec plus de force contre elle, comme si, soudain, il était le remplaçant de l'homme disparu, ou l'ombre qui lui dissimulait ce spectacle de mort. Mail jeta ses bras au cou de sa mère et éclata d'un piètre sanglot.

Il fut décidé que le bungalow serait vendu après l'enterrement et qu'ils iraient tous deux vivre en ville. Lorsque Matt dût quitter son lac, il promena ses courtes jambes sur son rivage paresseux, goûtant une dernière fois au silence royal qui régnait sur cet endroit. Et puis, vaguement mal à l'aise, il remonta d'un pas hésitant jusqu'au bungalow oú sa mère l'attendait. Elle le ceintura sur le siège bébé et le gamin prit l'un de ses jouets favoris dans le carton qui était posé à côté de lui. Il manipula avec précaution la petite fusée bleue, les yeux baissés. À l'avant, sa mère sanglotait férocement, maudissant la triste passion de son mari. Elle avait glissé dans l'autoradio la cassette préférée de ce dernier, et la voix nonchalante de Bob Marley égrainait les paroles de Woman no cry. Tragiquement, elle repéra trop tard le camion qui fonçait en face. La voiture dévia brutalement, dans un crissement de roues. Mail eut tout juste le temps d'apercevoir le regard de sa mère dans le rétroviseur, avant que le véhicule ne heurte un arbre.

Lorsqu'il se réveilla, il fixa le plafond trop blanc qui le surplombait. Quelqu'un avait posé sa petite fusée sur la table de nuit, et il s'en empara avec avidité, avant de se rendre compte que tout son corps était douloureux et qu'un bandage lui bouchait l'oeil gauche. Il serra le jouet de son bras valide, sentant une panique insensée faire trembler ses lèvres. Lorsqu'une infirmière finit par venir pour voir s'il était réveillé, le gamin lui demanda d'une petite voix oú était sa mère. La femme posa sur lui un regard nerveux, et lui tendit quelques pilules, « pour bloquer la douleur », lui indiqua-t-elle, sur un ton qui se voulait rassurant. Mais oú est m'man, continuait à demander Mail, ramenant ses genoux contre lui. Elle finit par lui avouer que la pauvre femme était morte sur le coup, lorsque la voiture avait heurté l'arbre, le visage fracassé contre le volant.
Matt crispa ses doigts sur le jouet. Il se mordilla avec une ardeur malsaine les lèvres, en sentant que les larmes lui montaient aux yeux. Le visage rassurant de ses parents se fondit dans une brume, qui finit par s'étendre à tout son corps. Le garçonnet tomba dans une profonde mélancolie, qui se limitait à regarder par la fenêtre lorsque les gens lui demandaient s'il allait bien. Ses souvenirs refusaient de le laisser retourner au lac, là oú il s'était toujours senti calme et heureux. Les médecins pensèrent très vite qu'il était catatonique et lorsque ses os recommencèrent à se souder entre eux, il fut décidé qu'il serait placé dans un orphelinat de la capitale.
Là-bas, le comportement de l'enfant ne changea pas d'un poil. Il se terrait à longueur de journée dans un coin, sans se mêler aux autres gosses qui prenaient, plus ou moins bien, leur absence de parents. Mail décida, avec une maturité excessive, de se laisser mourir. Il ramenait ses genoux contre son torse, assis près d'une fenêtre, le regard vague, boudeur. Lorsque son état de dépression - « comment un gamin de 3 ans peut-il être à ce point déprimé ? » s'étonnaient les éducateurs – fut assumé par les autorités, le petit fut envoyé chez un pédopsychiatre. Ce dernier vit en Mail, non seulement son état lugubre, mais aussi les premiers frémissements d'une intelligence vive qui faisait qu'il n'était pas à sa place dans cet orphelinat oú les gamins se contentaient de jouer et de suivre des cours basiques. Incapable de réagir, Mail fixa sur l'homme un œil terne, lorsque celui-ci lui annonça que pour son bien, il allait être muté dans un autre orphelinat, oú il rencontrerait des enfants qui auraient le même potentiel que lui.

La perspective de quitter la Nouvelle-Zélande ne l'enthousiasmait pas des masses, mais il se contenta, docilement, d'agripper la minuscule valise qu'on lui tendit. Ce n'était pas comme si beaucoup d'options s'offraient à lui, de toute façon. Il grimpa dans un avion avec la même placidité, et s'envola pour l'Angleterre. Le pays lui déplut au premier coup d’œil. Un vieil homme l'accueillit sobrement à l'aéroport et l'accompagna jusqu'à son nouvel orphelinat, acceptant son mutisme. Le gamin roux leva un regard sombre vers la haute bâtisse qui s'offrait à lui, lorsque la voiture s'arrêta. « C'est ici que tu vas vivre dorénavant, Mail. » lui annonça l'homme, avant de lui ouvrir la porte.
Mail. Matt. Son nom était devenu soudain aussi trouble que son caractère.

Les deux premières années – les plus longues, les plus douloureuses - se passèrent sans heurt, le garçon restant enfermé dans un mutisme inquiétant, qu'il daigna transférer sur la passion qu'il se découvrit plus tard, lorsque son regard tomba pour la première fois sur un jeu vidéo. Il s'en empara, comme s'il n'avait attendu que ça pour se forger une nouvelle existence. Ça n'empêchait pas ses notes de dégringoler doucement, mais, au moins, il n'avait plus besoin de penser. Sa solitude était le meilleur miroir pour son ridicule ego. Il vivait au jour le jour, comme s'il attendait que quelqu'un le bouscule et le fasse sortir de cette torpeur infernale dans laquelle il sombrait. Son intelligence géniale manquait de ce stimulus nerveux qui rendrait soudain les choses plus vives. Jusqu'au jour oú il rencontra la tempête.

La férocité de Mello donna à son caractère placide la décharge de colère dont il manquait. Matt s'éveilla au défi et à l'amitié, comme tant de gens se sont accrochés, avec plus ou moins de succès, à d'autres raisons d'exister. Soudain, il n'avait plus ce goût d’écœurement tenace sur la langue ; il s'étirait avec la langueur d'un homme qui avait passé des siècles dans un sommeil de plomb. Parce que Mello était comme une tempête qui emportait tout sur son passage, sa résignation, son dégoût disparaissaient dans les méandres de la folie blonde, remplaçant son mutisme par des sourires trompeurs. Puisqu'il allait survivre, Matt se devait de dépasser sa solitude pour se plonger à corps perdu dans la nouvelle vague d'exaltation qui faisait déborder sa vie de sensations.

Le roux remit le jeu en marche et shoota dans la tête du premier zombie qui l'approcha, lorsque soudain, la porte s'ouvrit brutalement. Et il accueillit d'un sourire entendu l'imposante présence qui tempêtait dans la chambre.

« Salut. » lança-t-il, d'une voix enjouée
« Ouais ouais salut, allez bouge ton cul, on va tondre Near. » Rétorqua le blond

Et Matt sentit que c'était ça, l'attente qui l'avait bloqué pendant si longtemps dans un état de placidité avancée. L'attente de la décharge salutaire qui relancerait son esprit défectueux sur la tracé d'un nouveau désir.
Mello était comme cette petite fusée bleue qui lui permettrait de s'élever vers d'autres passions, loin de toute préoccupation humaine et de ses pauvres souhaits translucides.


i got sunshine in my bag.

J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. 12387998
pseudonyme : Bread
âge : Toujours la même vieille mamie.
sexe : Zelda
avatar : Eh. Matt.
découverte du forum : C'est une longue histoire qui a commencé il y a bi... eh, vous endormez pas.
est-ce votre premier forum rp ? Plus trop
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Dreamy J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. 895584AvatarDreamy
Dreamy
J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. 240137minus

Feuille de personnage
Wammy’s: H/A
Double Compte:
Âge: 15 ans/23 ans
Sujet: Re: J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer. EmptyLun 10 Mar - 19:52

Bon ben. Validé hein.

Amuses-toi bien ; )
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J'irai peut-être au paradis, mais dans un train d'enfer.

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