PSEUDONYME: Next NOM : Nicolas PRÉNOM(S) : Espérance QI: 186 DATE DE NAISSANCE : 08 / 07 (8 juillet) ÂGE : 16 ans SEXE (✔) : ❒ M ✔ F ORIGINE : Française ANCIENNETÉ : Je suis nouvelle. MANIE : Aucune particulière.
physique
the way you look at me.
Couleur des cheveux : Brun, mais régulièrement teint. Couleur de la peau : Blanche, très blanche. Tatouage/Piercing ? : Aucun
Couleur des yeux : gris-vert Taille en centimètres : 171 cm. Corpulence: Mince
Tu sais, si tu la rencontres, elle va te paraître normale. Elle est belle, au fond. Mais elle est si lointaine, si englobée dans son petit univers qu'elle semble inaccessible. De toute façon, si tu lui parles, tu n'en sortiras certainement pas gagnant. Sa carapace est dure et ses moqueries et sa hargne vers le genre humain ne sont que trop évidentes. Elle ne prend pas plaisir à tout cela. Mais on aurait dit que c'est la seule façon qu'elle connait d'agir.
Cependant, elle est travaillante comme je n'en suis jamais vu. La plupart du temps, elle comprend tout du premier coup. Cela ne l'empêche pas d'aller plus loin. Tu lui enseignes la relation de Pythagore? Le lendemain, elle saura tout ce qu'il est possible de savoir sur sa vie. Lorsqu'elle a une question, elle ne la laisse pas à la légère. Elle va se battre jusqu'à ce qu'elle soit capable d'y répondre convenablement. Il lui faut une explication rationnelle, elle ne croit ni en Dieu, ni en la magie.
Parfois, il lui arrive de se détendre. C'est rare, j'en conviendrais, mais peut-être seras-tu capable de percer sa bulle si elle est de bonne humeur et si tu es un minimum persévérant. Elle ne te laissera pas approcher facilement. Mais au moins, peut-être pourras-tu avoir une conversation avec elle. Si tu réussis, tu verras, c'est un véritable moteur de recherche. Elle a une mémoire phénoménale, c'est impressionnant tout ce qu'elle peut apprendre par cœur. Et le pire, c'est qu'elle ne se contente pas de mémoriser : elle comprend. Enfin, je vous souhaite de la connaître. Au fond, elle n'est pas si méchante.
classe
this is how i see the world.
Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en la mettant en gras et/ou dans une couleur voyante. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.
Définissez vous en une phrase.
Non.
Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
Anthropologiquement parlant ou bien ?
Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
Je suis un.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une bataille navale.
Les hauts de Hurle-vent.
Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
Un poisson rouge.
Une corde.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Finnegans Wake de James Joyce.
H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Totem et Tabou de Sigmund Freud.
Harry Potter de J.K Rowling.
Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
« Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
« D'un point de vu biologique... »
« Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Câliner tout le monde.
N'avoir aucune notion du temps.
Faire des private jokes.
Accro au high five.
Caser des citations partout.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...
histoire
we are born like this !
Je souriais. Je rigolais. J'avais des amis. J'étais heureuse. Je ne raconte pas souvent mon histoire. Je n'aime pas la raconter. Tout ça, c'est merdique, au fond. Il y a que le début de bien. Ce n'est pas vraiment amusant à entendre, ou même à lire. Mais je me dois de raconter. Pour me souvenir, ne pas oublier les détails. Parce que peut-être qu'un jour, je vais oublier tout ça. Ça serait trop beau, par contre. Mais on m'a dit que j'allais passer par-dessus. Que j'étais forte, belle et très intelligente! Mais jamais plus je ne serais la petite fille bien normale que j'étais toute petite.
Je suis née quelque part, ce N'est pas très utile et je préfère l'oublier, donc ne pas le mentionner m'y aidera, je ne pourrais pas y retourner si j'en avais envie, ça ne serait pas une bonne idée. Mais c'était en banlieue, c’était tout beau et chaleureux, l'école était à deux pas de chez moi, J'étais bien heureuse et mes parents étaient très gentils. Ma mère, c’était celle qui faisait les règles, mais aussi celle qui me lisait des histoires avant de m'endormir et qui m'aidait à faire mes devoirs. Mon père, il s'occupait de moi, mais autrement. Il s'occupait de la partie amusante. C'est lui que j'allais voir au moindre de mes problèmes, c'est lui qui m'amenait manger une glace quand je n'allais pas bien. Mon père, c’était mon meilleur ami.
J'avais aussi un frère, un grand frère. Il était gentil, doux et très drôle. Il n'était jamais méchant avec moi et il me laissait jouer avec lui. Puis, il y avait mon amie. Il y avait Marise, elle, c'était la fille la plus distraite que je n'avais jamais vue. Sa mère devait toujours courir derrière elle, car elle oubliait toujours quelque chose. Elle était douce et très compréhensive, on pouvait lui dire tout ce qu'on voulait. Ensuite, il y avait Évangeline, une jeune fille dynamique qui avait toujours son mot à dire et une activité amusante a proposé. C'était une Asiatique et elle était incroyablement belle. Il y avait aussi Bianca, Lily, Carine et Chloé, trois autres filles dont j'étais un peu moins proche.
Et il y avait, bien sûr, Marie. Elle s'était un ange. Toute petite et menue, elle semblait toute délicate et même ceux qui la connaissaient croyaient qu'elle était fragile. Elle semblait gênée, intimidée par toutes les grandes choses qui l'entouraient, les gens voulaient la protégée. Et moi aussi, bien sûr, c’était ma meilleure amie. Mais Marie, elle n’avait besoin de personne. Chez elle, ce n'était pas facile, je n'y ai pas été souvent, mais ses parents se chicanent et son père est parfois violent. Mais pas envers elle, jamais envers elle. Seulement envers sa mère. Mais ce n'était pas grave, disait Marie. Marie, elle était forte, elle était gentille, trop peut-être. Elle ne voyait pas les atrocités du monde. Elle était positive. Je l'adorais.
Je vivais donc cette petite vie toutes simple et tranquille, me faisait parfois grondée par mes parents, comme toute petite fille digne de ce nom, mais trop souvent hein, il ne faut pas exagéré. Je n'étais pas très populaire à l'école, surtout auprès des garçons, mais quand on est jeune, on ne s'en fait pas trop. J'avais mon petit groupe d'amis et ça me suffisait. Moi, je ne savais pas qu'il y avait un voleur dans le quartier. Mes parents ne voulaient pas m'effrayer avec ceci. Mais deux maisons du quartier avaient été cambriolé cette semaine, laissant les habitants de ces maisons aux portes de la mort, ou même plus. Ils étaient inquiets. Et avec raison.
Une nuit, j'entendis d'étranges bruits au premier étage. Pourtant, il était trois heures du matin, ce n'était pas dans les habitudes de mes parents d'être réveillé a cette heure et mon frère dormait chez un ami ce soir, ça ne pouvait donc pas être lui. J'ai donc repoussé mes couvertures le plus discrètement possible et mis mes pantoufles avant de descendre discrètement les escaliers, qui étaient plongés dans le noir. Malgré cela, je savais comment descendre sans faire craquer les planches et je me servis de ce petit talent personnel pour descendre sans qu'aucun bruit ne soit entendu. Il y avait de la lumière à la cuisine. Je trouvais cela étrange, j'entendais deux voix d'homme. L'une était celle de mon père.
Ce fut atroce, et je me demande pourquoi je tiens à raconter les détails. Et pourtant, je sens qu'il le faut. Car je n'ai jamais osé, avant aujourd'hui. Pas même au policier, à ma famille ou à mon frère. Je ne voulais pas. La plupart n'ont pas insisté. Les policiers non plus, ils ont eux les informations qu'ils voulaient sans me demander de tout raconter? Mais aujourd'hui, je n'ai plus d'excuse… Sous la cage d'escalier, il y avait un grand placard avec deux portes. L'une, toute petite était faite pour glisser des objets rapidement à cet endroit. L'autre était plus grande et faisait face à la cuisine. Me faisant toute petite, j'entrai par la première porte et me rendit à la cuisine par cette cachette. C'est en regardant par le trou de la serrure que je vis le drame.
Je m'en rappelle comme si c'était hier et pourtant, j'avais seulement huit ans. Mais un tel évènement… Ma mère était étendue sur le sol, une marre de sang s'étendait sous elle. Elle était nue. Et un couteau était planté dans son cœur. Mon père, lui, était attaché à une chaise, la grosse chaise en bois massif de mon grand-père. Celle-ci était tachée de sang. Celui de mon père. Il pleurait. De douleur. À ce moment, j'étais figé par la peur. L'homme était habillé comme un mécanicien. Il avait une paire de gant, de grosses bottes de travail et il sentait l'huile à moteur. Il était grand, environ deux mètres et il était bâti. Il devait avoir dans la vingtaine. J'ignore pourquoi j'ai pris le temps de le détailler. Mais je l'ai fait.
Mon père regardait vers moi, le regard vide. Pourtant, je vis dans ses yeux le désarroi, l'incompréhension. Ces lèvres formèrent des mots. Des mots que j'avais entendu si souvent sortir de sa bouche que je les reconnus, même sans le son qui les accompagnait également. « Silence et patience », me dit-il, comme il me disait quand j'avais de la difficulté à m'endormir. Puis, il ferma les yeux. Je le vis se crisper, s'empêcher de crier. Au même moment, je tombai de la boite sur laquelle j'étais. Je n'ai jamais eu aussi peur de toute ma vie. Heureusement, l'homme prit ce bruit pour celui de la porte d'entrée, car je l'entendis profaner une série de jurons.
Lorsque je regardai de nouveau par le trou de la serrure, mon père était sans vie, un couteau de cuisine dans le cœur. J'entendis le voleur fouiller la maison. Moi, je m'éloignai de la grande porte, montant sur l'étagère. Je ne sais pas comment j'ai été capable de me cacher là. Mais je le fis, trop bouleversé pour réellement me rendre compte de ce qui venait de se passer. Silence et patience. J'attendis, sans pleurer, longtemps. Des heures. Lorsque je sortis de ma cachette, je n'allai pas dans la cuisine. Je n'y jetai même pas un regard. Ce n'était pas nécessaire. Je savais ce que j'y trouverais. Je regardai la grande horloge sur le mur de l'entrée. Je montai à l'étage, découvrant ma maison en ruine. Tous les objets de valeurs avaient été volés. Ça n'avait pas d'importance. Ma chambre était intacte. Mais ça non plus, ça n'avait plus d'importance. Je trouvai la force de m'habiller. Puis, je descendis, saisit le papier sur lequel était écrit le numéro de téléphone de l'ami à mon frère et je sortis de la maison.
Je regardai des deux côtés de la rue, puis je traversai en allant sonner chez madame Beaulieu. C'était une vieille dame très gentille qui me gardait de temps en temps. Elle vivait avec son garçon, qui lui avait vingt ans. Après de longues minutes passées à toquer à la porte, son garçon m'ouvrit.
— Qu'est-ce qui se passe, petite? Pourquoi es-tu ici si tôt? Viens, tu dois retourner chez toi.
— Il faut appeler la police.
C'était mes premiers mots. Ma voix était rauque et pour la première fois, j'eus envie de pleurer. Longtemps. Mais je restai forte. Aujourd'hui, je me demande toujours comment j'ai trouvé la force de faire cela. Comment une enfant de huit ans, ayant vu ses parents mourir devant ses yeux il y avait à peine quelque heure, avait été capable qu'un tel aplomb, d'une telle force? Personne ne l'a réellement compris. Je crois que je me sentais vide. Aucune émotion, aucune pensée. Seulement survivre. Par instinct. Je ne comprenais pas vraiment, je crois. En fait, j'en ai oublié un bout, à partir de là. Comme si mon esprit avait voulu oublier, l'atrocité de ce que j'ai vécu a ce moment. Mais la scène, elle, n'est jamais partie de ma tête.
Je ne me souviens pas d'avoir parlé à mon frère et à ma famille, j'ai oublié le fait que j'ai parlé au policier, j'ai oublié le fait que j'ai vécu chez madame Beaulieu pendant quelques mois avec mon frère. Ah! au passage, mon frère se nomme Henri. Oui, je sais, mais mes parents ont toujours eux des idées étranges. C'est en l'honneur d'Henri IV, ancien roi de France, si je me rappelle bien. Peu importe. La première chose qui soit vraiment claire dans ma tête, c'est mon arrivée dans ma première famille d'accueil et ma réintégration a l'école. Car bien entendu, suite au traumatisme que j'avais vécu, on avait jugé bon de me retirer de l'école pour quelque temps.
Entre-temps, et vous serez sans doute soulagé de l'apprendre, l'homme a été arrêté. Je n'ai pas été témoin, peut-être à cause de mon âge à ce moment-là, mais sa culpabilité était évidente et il est encore aujourd'hui entre les murs d'une prison quelconque. Je crois que je préfère ne pas savoir où. Ça serait trop dangereux, pour moi comme pour lui.
Pour en revenir à ma famille d'accueil de départ, j'y arrivai seule. Effectivement, mon frère n'était pas avec moi, malgré que nous voulions rester ensemble. Il était dans une autre famille. L'homme se nommait Francis. Il était très gentil et prévenant. Il me faisait penser à mon père. Et parce qu'il se prenait pour lui, je le détestais. La femme, elle, était incroyablement stricte et sévère. Elle aussi, je la détestais. À l'école, pour la première fois, je fis face à l'intimidation. J'avais naturellement changé d'école et à la nouvelle, c'était épouvantable. J'étais naturellement bonne à l'école, très bonne, même. Malgré mon retard dût a mon absence forcée, j'étais en avance sur tout. Mais ce n'était pas la véritable cause de mon rejet.
En vérité, j'avais peur des voitures. Je dois avouer que j'en ai toujours peur. Je n'ai pas peur d'embarquer dans une automobile, C'est bien pire que ça. J'ai peur quand je vois une auto. Je tremble et, si elle est trop près, je pleure. Surtout celles qui sentent beaucoup l'huile à moteur. Commencez-vous à comprendre? Moi, ça ne fait pas longtemps que j'ai compris le lien entre l'odeur du voleur et l'odeur des automobiles. Et j'ai peur des hommes. Surtout s'ils ressemblent au voleur. Si vous faites environ deux mètres de haut et que vous avez une forte carrure, n'approchez pas. Encore plus si vous sentez l'huile à moteur!
Plus sérieusement, c'est ce qui était sujet à moquerie, à mon école. Outre cela, mon comportement avait changé. Je ne souriais plus, je ne parlais plus, j'étais toujours seule. J'avais fait ma carapace. Je n'avais pas eu le choix, vous en conviendrez comme moi! Les autres me dégoutaient avec leur insouciance de bébé. Moi, j'avais vu des choses. J'en avais compris d'autres. J'étais hargneuse, souvent même odieuse. Je n'aimais pas qu'on me parle. Un jour, ma famille décida d'en finir. Et je changeai à nouveau de famille d'accueil.
Il s'agissait cette fois d'un jeune couple. Ils étaient pas mal, ceux-là. Il me laissait tranquille, au moins, J'avais neuf ans à ce moment là, je crois. Pareil pour l'école : elle était petite, mais tout le monde me laissait tranquille. Naturellement, ça ne dura pas. Le gouvernement parla de négligence et j'atterris dans une autre famille quelques mois plus tard. Je vais faire un cours résumé de ce qui s’est passé jusqu'à mes quinze ans. Ce N'est pas bien compliqué. Je changeai encore neuf fois dans les familles d'accueil, restant entre-temps dans des résidences d'accueils, lorsqu'aucune famille n'était disponible en ce moment. Je restai hargneuse, odieuse, méprisante.
À la plupart de mes écoles, je me faisais intimider, surtout à cause de ma peur des automobiles, qu'il m'était impossible de camoufler. Mes tremblements et mes cris de terreur lorsque j'étais surpris par l'une d'elles faisaient l'hilarité générale. Je ne peux pas dire que cela ne me touchait pas, je crois que c'est impossible. Mais je ne m'en souciais pas. Ce qu'ils pensaient, je m'en foutais. Tout simplement. Il faut ajouter que j'étais la plus jeune de ma classe. Effectivement, j'avais sauté une année. J'ai toujours été première de classe, que voulez-vous?
Ma dernière famille d'accueil me plut. Nous étions trois, trois enfants du même âge et pas un ayant les mêmes parents. Trois enfants en famille d'accueil. Les deux adultes ne se prenaient pas pour nos parents et ils nous faisaient confiance. Après un moment passé dans ma famille, ils m'envoyèrent passer des tests de Q.I. Je crois qu'ils se demandaient à quel point j'étais intelligente. Ce n'est que des chiffres, pourtant. Ça ne veut rien dire.
Quelques mois plus tard, alors que je venais de fêter mes seize ans, un gouvernement nous fit une petite visite. Il voulait me parler, me proposer quelque chose. En Angleterre. Je parlais parfaitement l'anglais, ça ne me gênait pas d'aller là-bas. À Wammy's house. Je fus donc amené. Et c'est de là que j'écris aujourd'hui. Je suis arrivé hier et déjà, tout cela me plait. . Je crois que je vais me plaire ici. Définitivement.
HRP
wave your hands.
SURNOM(S) : Sab'ee DATE DE NAISSANCE : 19 février 1996 ÂGE : 16 ans SEXE (✔) : ❒ M ✔ F AVATAR : Je dois avouer que je ne sais pas :x DÉCOUVERTE DU FORUM : C'est Phantom qui m'a fait connaitre le forum. EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? Non, je fais du RP depuis environ quatre ans.
Dernière édition par Next le Mer 19 Déc - 3:16, édité 2 fois
Bienvenue à la WH*, Next ! Malheureusement tu vas devoir changer d'avatar, nous n'acceptons pas les avatars "réels", uniquement des dessins, personnages de manga, ce genre d'avatars.
Sinon j'ai bien aimé ton caractère (je me demande juste, on ne dit pas "travailleuse" plutôt que "travaillante" ?), et le questionnaire place Next dans les Alters. :33
Bon courage pour la suite de ta fiche !
Invité
Sujet: Re: Next. Sam 15 Déc - 1:52
Voilà, j'ai changer d'avatar! Du coup, j'informe que j'ai terminé ma présentation
"Si vous faites environ deux mètres de haut et que vous avez une forte carrure, n'approchez pas." oh mon dieu la pauvre, Slave va la traumatiser au premier regard.
J'aime beaucoup ton histoire et ton style d'écriture, c'était agréable à lire et assez touchant. Je valide avec plaisir ! Je pense que "travaillante" et "travailleuse" se disent tout les deux, mais bon inutile de partir dans un débat. Amuse toi bien parmis nous ! :33