Sujet: SORROW ; j'ai ligoté les deux sorcières de la maison en psychotrope. Sam 4 Aoû - 15:07
SORROW
PSEUDONYME: Sorrow. NOM : O'Leary. PRÉNOM(S) : Indiana Stuart. QI : 197. DATE DE NAISSANCE : 20 / 10 ÂGE : Quinze ans. SEXE : ❒ M ✔ F ORIGINE : Sud-africaine. (Bloemfontein) ANCIENNETÉ : Un an. MANIE : Regarder dans le vide en soupirant, se pincer le nez puis revenir sur le visage en caressant son menton avec son index et son pouce.
Stuart n'est qu'un bouquin aux pages arrachées, un puzzle dont les pièces de s'emboîtent pas. Elle sera tout, elle ne sera rien. Elle sera amie, amante, ennemie, confidente ; mais ne sera jamais "votre", et c'est une bêtise que de penser qu'un jour son être pliera devant quelqu'un. L'adolescente a pour credo d'être libre. Elle souffle sa fumée brûlante dans la gueule des passants, sourit d'un air moqueur en vous voyant. C'est choquant, cette gamine aux jolis yeux bleus qui vous regarde de haut en se foutant de vos manières. Surtout qu'elle reviendra sûrement vous voir, curieuse, pour en apprendre plus sur vous en vous provoquant un peu. Indiana est un paradoxe. Il y a là, en elle, cet immense dérèglement de son être, si bien qu'elle peut être violente un jour, puis douce et d'une infinie tendresse l'autre. Vous ne savez pas si elle ment, tant elle est incompréhensible, vous embrassant corps et âme pour mieux vous rejeter. Elle-même ne se comprends pas, rassurez-vous. Indiana se contredit sans cesse, et sans être capricieuse, n'arrive pas à savoir ce qu'elle désire réellement. Alors elle teste tout, agissant à l'instinct comme un petit être sauvage, et se plaît dans sa liberté, dans son insoumission totale et entière. Elle est désagréable avec ses amis quand ils l'exaspèrent, ou simplement parce qu'elle en a envie, et fait semblant de ne pas comprendre leur désarroi, pour ne pas s'appesantir sur ses actes. Il y a une chose à dire sur Sorrow, cette fille qui vit comme si elle allait crever demain. Elle est passionnée. Par tout, par rien, et ses obsessions peuvent changer du jour au lendemain, ou durer éternellement. Mais quand elle aime quelque chose, elle fait tout pour atteindre la perfection. Seulement ses passions violentes et irrépressibles sont caractéristiques. Ce sont des périodes, des périodes durant lesquelles la demoiselle se consacre entièrement à ce qui l'obsède. Stuart est toujours en quête de renouveau, et n'obéit qu'à elle-même.
TIME HAS COME TO MAKE THINGS RIGHT.
Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en la mettant en gras et/ou dans une couleur voyante. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.
Définissez vous en une phrase.
Je suis un.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Un poisson rouge.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Finnegans Wake de James Joyce.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« D'un point de vu biologique... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
N'avoir aucune notion du temps.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
YOU AND I MUST FIGHT FOR OUR LIFE.
Avant la naissance d'Indiana, il y a la rencontre de ses futurs parents. Il faut, certes, en parler, sans quoi on ne parlerait pas d'un des éléments clés d'une histoire qui plutôt que d'être uniquement celle de Sorrow, est celle d'un petit monde en extension. Le père de Stuart s'appelait Bressal. Il faisait partie de la petite communauté irlandaise de Boston, et il est inutile de lier qu'il faisait partie de la pègre locale, malgré ses apparences de salarié responsable. Quant à la mère de la surdouée, Rachel, elle était une australienne émigrée en Afrique du Sud, jolie femme encore jeune et à la vie aisée, vivant encore dans la maison de ses géniteurs en collectionnant les conquêtes.
C'était un simple voyage pour Bressal, et bien qu'il du être séparé de sa famille, les O'Leary, pendant une douzaine de mois, la perspective de découvrir un autre pays, l'Afrique du Sud, différent du sien, l'exaltait. Il était encore jeune, alors, insouciant aussi, et une aventure d'une nuit ne pouvait avoir d'incidence sur son futur, qu'il soit proche ou lointain. Il avait rencontré Rachel, ils avaient partagé une nuit, un lit, et rien de fâcheux ne pouvait -ne devait arriver. Cependant neuf mois plus tard, ou peut-être plus, alors qu'il se baladait sur le marché, il retrouva la femme, un bébé dans les bras, tandis qu'elle faisait ses emplettes. La surprise fut de taille, d'autant plus que l'australienne, ce rêve d'un soir, lui fourra le nourrisson entre les mains et n'hésita pas à s'enfuir, sans oublier de lui lancer un regard haineux. La petite fille toute fragile, c'était la sienne, et sa mère venait de l'abandonner. Enfin, même, Rachel avait du peut-être la laisser téter son sein, mais sur aucun registre le bébé n'avait été inscrit, et sa mère le traitait quasiment comme un bibelot encombrant.
Après diverses formalités administratives, Bessal rentra. Avec une gamine de quelques mois dans les bras, qu'il nomma Indiana Stuart. Il ne s'y connaissait pas trop, avec les enfants, mais n'avait pas pour habitude de fléchir devant la moindre difficulté. Et il avait sa famille. Toujours là, pour l'aider, l'épauler. Un enfant en bas-âge est toujours un peu difficile. Mais l'homme ne s'en tira pas trop mal, même s'il devait fréquemment laisser Indiana à d'autres, une affaire à terminer, une journée de travail. Et puis vint l'âge où la fillette marcha, celui où elle parla. C'était d'ailleurs une vraie bavarde, pourtant attentive et curieuse de tout, observatrice. Elle s'entendait bien avec son père, même si au final ses visites étaient brèves, bien que nombreuses et régulières. A tour de rôle, les O'Leary, quelques O'Tool et les Kennedy -familles irlandaises liées à la sienne, s'occupaient d'elle, et elle apprenait.
Quand elle fut plus âgée, ayant dépassé la barre des douze ans, Bessal devint plus présent dans sa vie. Très mauvaise mémoire, mais pourtant bon professeur, intelligent et logique, il lui apprenait beaucoup de choses, et la contraignait à une discipline de fer : apprendre à manier les armes blanches, le combat au corps à corps et surtout, toujours se méfier. Mais en dehors de ça, la passion de Stuart, comme elle préférait être appelée, endossant son prénom à connotation masculine plutôt qu'assumer le "Indiana" trop féminin à son goût, sa passion était tout ce qui touchait aux actes passés dans le monde. Elle adorait écouter son oncle ou une autre connaissance parler de leur immigration, de Dublin jusqu'à Boston, de la façon dont ils s'étaient faits une place ici, et même des légendes, des guerres, et de toutes ces choses dont on soupçonnait l'existence sans avoir de preuves concrètes. Et puis de toute manière, elle était curieuse de tout. Tout ce qui était susceptible de lui servir dans un futur même incertain l'intéressait, et les bâtiments raisonnaient des questions qu'elle posait à un peu tout le monde. Outre l'Histoire qu'elle appréciait, il y avait le fait d'étudier les mouvements des autres, leurs tics, leurs paroles pour mieux les comprendre, les calculer. Stuart se plaisait à traîner dans les rues sans but si ce n'était brutaliser les jeunes du quartier, ce qui au final déboucha sur la gamine provocatrice et tristement lunatique que l'on connait.
Et un jour, Bessal se fit tirer dessus. Indiana connaissait l'existence du réseau de crime organisé dont il faisait partie, et cela semblait inévitable qu'un jour, il eut des problèmes. Elle n'osait pourtant se résoudre à imaginer sa mort, et cependant elle vint. Alors Stuart entra à la Wammy's House, après quelques mois, encore triste et hébétée par cette mort soudaine. Elle serait libre et heureuse, en portant ce deuil en elle : « Sorrow ».
L'orphelinat, les cours, devinrent sa routine, et sans oublier cette mort qui lui paraissait si étrange, elle vivait, se complaisant dans l'atmosphère viciée et différente de la Wammy's House.
SORROW
SURNOM(S) : evelatroll DATE DE NAISSANCE : Pas en sixième, merci. ÂGE : Quelque chose comme j'ai une gueule d'androgyne. SEXE : 13 ans. Bouh, âge maudit. AVATAR : Euh, lulz. DÉCOUVERTE DU FORUM : Blue de Pokémon. EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? Qu'est-ce que c'est ? Hein, quoi ? Enfin, fermez la porte, jeune homme, vous voyez bien que le courant d'air s'engouffre chez moi ! Je dois nourrir mon chat. Moustache, viens ici ! Oh, ça ? C'est une photo de mon petit fils, Arnold. C'est un gentil garçon, il vient m'aider à faire les courses une fois par semaine.
Dernière édition par Sorrow le Dim 16 Sep - 10:05, édité 10 fois
Sujet: Re: SORROW ; j'ai ligoté les deux sorcières de la maison en psychotrope. Ven 7 Sep - 18:07
Hello !
Bon. Je garde le pseudo et l'avatar, mais je change radicalement d'idée de personnage. Donc j'ai refait le questionnaire. Et le caractère. J'attends d'avoir un petit commentaire pour rédiger véritablement l'histoire, et puis si jamais vous avez quelque chose à redire, vu que je suis incapable de voir mes propres erreurs. Même si pour moi Sorrow c'est juste "je fais ce que je veux et j'en ai rien à faire de toi".
Des bisous à vous, bon courage pour vous occuper des fiches et tout !
Sujet: Re: SORROW ; j'ai ligoté les deux sorcières de la maison en psychotrope. Dim 16 Sep - 10:06
Coucou !
J'ai enfin fini ma fiche, en bâclant au passage l'histoire. Je voudrais une Sorrow experte... Même si sa spécialité est confuse à mes yeux. Psychologie ? Si c'est possible, à moins que quelqu'un ai une meilleure idée. :B
Sujet: Re: SORROW ; j'ai ligoté les deux sorcières de la maison en psychotrope. Mer 19 Sep - 21:19
Sorrow est juste trop adorable *www* j'aime vraiment beaucoup.
Et bienvenue sur WH donc chose que je vois sur l'hp et qui dit de belles paroles /pan.
Je te valide avec plaisir ♥
(ouais, la spécialité c'est toujours un peu confus pour tout le monde XD en fait c'est plus du genre tout ce qui a rapport avec l'environnement, physique, biologie, chimie ou plein d'autre si meilleure idée (on accepte un peu tout en fait /meurt), d'autant que plus que ce sont les Alter qui sont spécialisés en Psychologie :3) (donc au pire dis moi ce que tu veux et je te valide ensuite ?)