PSEUDONYME: Loon NOM : Lowell PRÉNOM(S) : Mercy Pleasance QI: 174 DATE DE NAISSANCE : 06 / 06 ÂGE : 16 ans SEXE : ❒ M ✔ F ORIGINE : Anglaise ANCIENNETÉ : 10 ans MANIE : Lorsque mon esprit s'égare, je suis le tracé des murs.
physique
the way you look at me.
Couleur des cheveux : Blond Couleur de la peau : Pêche Tatouage/Piercing ? : None
Couleur des yeux : Marron Taille en centimètres : 168 Corpulence: Charnue
caractère
where is my mind ?
Sang Froid à toute épreuve Joviale Prudente Joueuse Imprévisible
S'attache facilement Paresseuse Difficultés à suivre une conversation Très peu d'empathie Bipolaire
C'est étrange. Lorsque l'on dit que l'on hait la Terre entière, nos amis nous répondent que c'est bien pour ça qu'ils nous aiment. Il y a très peu de personne que je trouve intéressantes, je déteste parler de choses banale, comme le beau temps et la température extérieure. Ainsi, en général, si je discute avec quelqu'un, ce sont de choses qui me passionnent, qui m'intrigues. Mais il est vrai que parfois vous pouvez me surprendre à rire avec d'autre sur de futiles blagues, ou avoir un comportement social plutôt normal. Non, aucune formule magique ne m'aurait guérit de ma maladie, à moins que la drogue et l'alcool en soit une. Car oui, ma différence me fait parfois souffrir lors de période d’extrême lucidité, et la découverte de ces inhibiteurs me permette d'agir de manière plus spontanée. Sans ça, personne ne peu me toucher sans déclencher un brin de violence de ma part. Je ne supporte pas les contactes physique. Pour ces raisons, je parais généralement froide aux yeux de ceux qui ne me connaissent pas. Pourtant je suis assez amicale et m'attache très vite aux gens, même si je les trouve sans intérêt. Je déteste rester seule, et la présence de quelqu'un m'est quasiment indispensable, et comme en général les autres ont une envie irrépressible d'établir un lien social, je n'échappe pas à l'amitié d'autrui. Comme je ne parle pas souvent, on me prend beaucoup pour une confiante. J'écoute ce que l'on me dit, et en général rien de ce qui est raconté ne sort de ma bouche, puisque que je ne trouve pas utile de raconter les histoires des autres (Mr Poussin et Mme Poussine sortent ensemble, alors que Mr Poulet est encore avec Mme Poussine, ça ne fait pas le poids face à l’immensité d'une supernova, ma spécialité). Mais voilà, si je sert de défouloir, je n'endosse pas le rôle de la psychologue, en effet j'en suis incapable. Peut être pourrais je donner un conseil, mais ça serais tout de même rare. J'écoute, et puis c'est tout. On me considère souvent comme une bonne amie, même si les problèmes des autres ne me paraissent pas important. Je suis très franche, et toujours plus ou moins de bonne humeur, allant même au stade fêtarde lors de la prise de substance illicite. On me dit souvent que je suis super quand je suis "défoncée". Moi je trouve ça juste amusant.
classe
this is how i see the world.
Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en la mettant en gras et/ou dans une couleur voyante. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.
Définissez vous en une phrase. [*]Anthropologiquement parlant ou bien ?
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ? [*]Un poisson rouge.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ? [*]H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement. [*]« D'un point de vu biologique... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ? [*]N'avoir aucune notion du temps.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait. [*]Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
histoire
we are born like this !
La douceur de cette première semaine d'aout était si agréable, que la promenade au bord de la mer ne pouvait être en option. Celà faisait deux mois que Mercy était née, ici, à New Romney, en Angleterre. Cela faisait aussi deux mois que l'enfant suscitait des questions dans l'esprit de ses parents. « Il est vrai que c'est étrange de voir une si jeune enfant aussi calme. » C'est ce qu'avait dit la meilleure amie de Margaret, la mère de Mercy. Daisy était elle aussi maman de deux jeunes garçons très dynamiques, qui lui prenaient tout son temps. Le plus jeune des deux, alors agé de trois ans, faisait partie de la balade improvisée par les deux mères. « Elle ne répond à aucun de nos sourires, fuit nos regards, ne dit jamais rien, elle ne rigole que lorsqu'on est loin d'elle. Je sais que c'est idiot de dire ça, mais j'ai l'impression qu'elle nous ignore. » Les amies échangèrent un regard. Il était clair que Margaret était inquiète du comportement de sa jeune fille, et Daisy n'hésita pas à la rassurer, en déclarant qu'elle préfèrerait bien que son dernier ait la même manière de se tenir, et d'agir que Mercy. On entendit aussitôt les cris et les pleurs d'un enfant. Le petit garçon était tombé par terre, s'ouvrant le genoux, à la suite d'une course avec un autre jeune de son age.
Il est 15h30. Deux femmes discutent autour d'une belle table ronde, décorée d'une vieille nappe à dentelle blanche. Elles ont toute deux une tasse de thé à la main. Des biscuits gisent çà et là sur le tissu terne, jaunis par le temps et le soleil. Une petite main inconnue s'aventura sur cette table. A tâtons, elle chercha un des biscuits sec. Une des deux femmes, ayant remarquer le petit intrus, trop petit pour dépasser la table en hauteur, attrapa un des gâteaux en rigolant. « Voyons Mercy, tu sais très bien que tu peu demander à en avoir, tu n'as pas besoin de venir en prendre comme une voleuse. » La fillette s'avança devant sa mère, penaude. La femme lui donna le gâteau qu'elle avait dans les mains, et Mercy s'enfuit avec en direction du piano. « J'ai pas entendu le mot magique Mercy ! Revient tout de suite ! » Pas de réaction. Énervée, la mère de l'enfant se leva et marcha dans sa direction. La petite blonde observa la femme un moment, avant d'aller vers le chat qui était couché non loin de là. L'enfant fixa sa mère, confiante. « Tu sais très bien que j'aime pas les biscuits à la fraise. » La femme, surprise, observa le biscuit à la main de sa fille. « Excuse moi, je pensais t'avoir donné celui au caramel. Viens, je vais t'en donner un autre. » Elle tendit la main en direction de celle de sa fille pour l'entrainer avec elle vers la table. Mercy laissa tomber le biscuit sur le sol. Le chat l'observa un moment, avant de l'engloutir sans avoir eu le temps de sentir un quelconque goût. « Oups. » Mercy, sans s'en rendre compte, pris un ton sarcastique. La mère, fâchée, interdit à sa fille de prendre un biscuit pour le reste de la journée. La petite blonde ne compris pas la décision de sa mère, à ces yeux elle n'avait rien fait de mal et lui demanda même quelle était la raison de cette privation. Celle ci la fixa, visiblement exaspérée, prétextant un comportement désinvolte. Mercy ne comprenait pas sa réaction, elle ne comprenait son expression du visage, et pourquoi des petits plis se formaient sur sa peau aussi souvent. Devant cette lourde interrogation, la fillette de deux ans alla rejoindre le chat et le piano. Elle fixa longuement l'animal sans bouger, puis, subitement poussa un cris d'énervement, tapa sur les touches du piano, produisant un son semblable à la musique dodécaphonique, et partie en courant dans sa chambre. Margaret soupira une fois l'enfant partie, et confia à son amie que la situation ne faisait qu'empirer.
Il était impossible de continuer ainsi. Les plaintes de la maitresse d'école ne faisait qu'empirer, et la dernière fut la sonnette d'alarme. On avait entendu tant de choses sur cet enfant. Elle ne s'intégrait pas dans l'école, mais elle était plutôt bonne élève. Elle est détestable, elle ne fait que ce qu'il lui plait, on lui demande de faire un ballon prisonnier, elle ne veut pas toucher le ballon, elle mord ses camarades lorsqu'ils veulent jouer à chat avec elle, elle se tape contre les murs, ne réagit pas lorsqu'un de ses camarades pleures. Elle est égocentrique, elle pense que tout le monde est comme elle. Elle passe ses heures de cours de dessins à classer, crayons de couleur, feutres et peintures par leur ordre dans le cercle chromatique... Chaque jour, une nouvelle remarque était rapportée aux parents, et chaque semaine un rendez-vous. La situation devenez invivable, et les parents de Mercy décidèrent qu'il était tant d'aller voir un psychiatre. L'enfant fut soumise à toutes sortent de questions et test. Il en ressorti tout un tas d'informations qui laissèrent les deux adultes totalement perdu. Le professionnel, après l'analyse de ses notes, et après un mois complet de tests en tout genre, en conclu que Mercy était atteinte d'autisme de haut niveau. Dans l'incompréhension la plus totale, ses parents se regardèrent, sans doute un peu paniqués.
Mercy était assise sur une chaise, à coté de ses parents, en face du psy. L'enfant, contrairement à ses parents n'écoutait pas et était bien trop occupée à compter les motifs de la tapisserie. Durant l'entretient, la famille Lowell apprit que leur progéniture avait probablement un problème cérébral qui l’empêchait de réagir correctement à certaine situations sociales. Mercy était donc incapable de ressentir de l'empathie pour les autres, ou à faible niveau. Elle aurait aussi beaucoup de difficultés à suivre une conversation en entier, et discuterait que très rarement avec d'autres, sauf sur un sujet qui l'intéresse et dont elle sera "experte". Il ajouta aussi que les crise d'angoisse seront présente tout au long de sa vie et quelle vivra difficilement le fait de changer d'environnement. Ce qui retint l'attention des deux adultes, ce fut le dernier point abordé par le psy. En effet, leur fille était dotée d'une très grande mémoire, et de capacités de l'on pourrait juger d'innées.
Aujourd'hui le piano produisait de jolies notes. Mercy jouait sans s'arreter, et sans écouter son professeur à la fois exaspéré et stupéfait par la vitesse à laquelle elle apprenait. Il ne lui manquait que la souplesse du doigté pour arriver à un très bon niveau musical. Mais alors qu'elle jouait un air de Mozart, la fillette entendit un bruit qui ne vint pas de son piano et s’arrêta brusquement, en plein milieu d'une mesure. Elle sortie en courant, s'apercevant que la voiture de son père venait d'entrer. Une couleur rouge inhabituelle tapissait le sol, une drôle de forme se trouvait au bout de ce tapis rouge. Margaret sortie à son tour. « Oh mon dieu !! » La femme s'empressa de cacher les yeux de la petite blonde. « Je suis vraiment désolé Mimi, je ne l'ai pas vu venir sur moi, je... » La fillette enleva doucement les mains de sa mère de son visage, et contempla l'animal inerte sur le sol. Du liquide rouge s'échappait de son corps meurtrie. Elle posa sa main sur le pelage du chat et le caressa doucement. « On t'en achètera un autre si tu veux ma chérie. » Mercy resta un moment sans rien dire, caressant le chat qui n'était plus des leur. Les deux adultes s'observèrent, l'un remplis de remords, l'autre essayant de se contenir. Mercy jeta un œil sur sa mère en larme. Pourquoi pleurait elle ? La blonde comprenait bien que son ami ne reviendrait pas à lui, mais elle n'arrivait pas à imiter sa mère. Elle lui fit une dernière caresse. « Au revoir Loon. » La mère s'avança et aida Mercy à se relever. Les parents étaient tout les deux étonnés de voir que leur fille prenait ça plutôt bien. Ils se disaient qu'après tout, elle ne devait pas comprendre ce qu'il allait advenir de Loon. « On ira à l'animalerie demain, d'accord ? » Mercy regarda sa mère qui l'entrainait vers la maison, dans le but certain de lui laver les mains. Elle avait touché la mort, et pour ses pauvre parents, la mort, le sang, les tripes, c'est « sale ». « Maman... Je préfèrerais un poisson. » La jeune femme acquiesça, guidant la fillette à l'évier le plus proche.
La voiture se gara dans un immense parking, où d'autre véhicules étaient entreposés. La petite famille était arrivée dans un aérodrome. Pour célébrer le sixième anniversaire de leur unique fille, le couple avait décidé de s'inscrire à une initiation de pilotage en petit planeur. En fait, ils allaient plus s'amuser que la fillette. Elle, partirait dans un planeur, en compagnie d'un professionnel, car elle n'avait pas l'age de s'essayer au pilotage... En fait c'était bien plus un cadeau qu'il s'étaient fait, et finalement, c'était mieux ainsi, même si ils avaient utiliser le prétexte de l'anniversaire, ce qui était pour le moins assez immonde. Mais ces gens là étaient du genre à avoir besoin d'une occasion pour profiter de la vie. Tristes âmes. Quoi qu'il en soit, les deux parents partirent dans un planeur, ensemble, après avoir suivit bien attentivement les instructions d'un professionnel.
Quel couple pathétique... Une femme totalement soumise, sans la moindre ambition, liée à un homme qui se disaient sans cesse tolérant envers la gente féminine, mais qui n'en était en rien. La femme se sentant libre, l'homme se sentant libéral. Non vraiment, de tristes âmes, noyées par leurs propres illusions, à un tel point qu'ils en étaient devenus aveugles. Malheureusement, Mercy ne s'en sera jamais vraiment rendu compte, et personne ne pourra jamais le lui dire. Mercy observa la jeune femme rousse, qui devait avoir entre 28 et 32 ans, en compagnie de l'homme blond d'une trentaine d'année. Aucun d'eux ne semblaient en bon poids. L'homme paraissait de grande taille, sans doute un peu plus d'1m80. La femme quant à elle, était plus petite, avoisinant les 1m70. Ils allaient bien ensemble, c'était sur, et Mercy ne l'a d'ailleurs jamais nié. Pas de disputes, pas de non accord sur les choix importants. Ils étaient d'assez bon parents, bien qu'ils aient des dificultées avec la différence de leur enfant. Ils avaient sans doute besoin de s'amuser un peu, de souffler, et aujourd'hui était l'occasion en or à leurs yeux. En or. Le couple fit un geste de la main, à l'enfant qui les regardait sans le moindre sourire. Ils étaient si impatients de voler. L'homme laissa la priorité à la femme pour monter dans l'avion. Ridicule. La porte se referma hermétiquement. Mercy les observa un instant, avant de monter à son tour dans l'autre engin volant. La sensation du décollage était magique. Plus aucun contact avec le sol, avec cette Terre bien aimée et meurtrière, où repose bon nombre de nos ancêtres. Une libération de taille. Il faut être fou pour ne pas avoir envie de voler, loin de toute vie. Finalement, le cadeau d'anniversaire s'avérait bien plus utile qu'au premier abord. Une vraie partie de plaisir.
Le pilote avait l'air paniqué. Il fixait l'horizon, l'air inquiet. Mercy tenta d'observer la même chose que lui, ne comprenant pas son expression, peut être y avait il quelque chose d'interessent. En effet, ça l'était. L'autre planeur ne semblait pas fonctionner correctement, et plongeait en chute libre vers un immense champs. La fillette, le cœur battant, demanda qu'est ce qu'il n'allait pas avec l'avion de ses parents. A peine avait elle prononcer sa question que le planeur s'écrasa au sol brusquement. Mercy arrêta sa respiration sous le choc. Le pilote retourna à l'aérodrome en toute vitesse, dans l'espoir de trouver de l'aide, même si il n'y avait peu de chance que le couple ait survécu. « Ne t'inquiète pas ma puce, ca va aller. »
La panique gagna très vite la totalité des personnes présente à Terre, et il faut dire que Mercy ne se sentait pas tellement bien non plus. Une jeune fille resta avec elle, le temps que d'autre personnes ailles voir le lieu du crash. Pas de survivant. La fillette sentit comme un énorme poids lui tomber dessus, comme ça, sans prévenir. Elle était seule. Les questions fusèrent autour d'elle. Non elle n'avait pas de famille en Angleterre, oui elle était fille unique, non elle ne voulait pas aller en orphelinat. Et pourtant, elle n'avait pas le choix.
Il ne s'est pas passé beaucoup de temps avant qu'un homme ne vienne la voir après l'accident de ces parents. Mercy ne savaient pas comment, mais il était au courant de tant de choses à son sujet... Elle avait apparemment quelque chose de plus que les autres orphelins qui trainait par là. A partir de cette rencontre, la vie de la blonde allait changer complétement, allant même jusqu’à prendre une autre identité. Bienvenue Loon.
Il faisait noir, et des sanglots se faisaient entendre. Il semblait que deux personnes discutaient derrière la porte. Ils disaient que sa réaction était tout à fait normale en vue de sa maladie. La poignée bougea, Mercy l'entendit et son cœur s’emballa. Une lumière l'aveugla un instant. Par reflex, elle se replia sur elle même, se cachant les yeux. La voix d'une jeune femme retentit, lui demandant si elle avait faim ou soif. Un long gémissement se fit entendre, et finalement Mercy répondit que non. Avant de partir, la femme lui conseilla de sortir une fois qu'elle se sentirait rassurée. L'ombre ré envahie la pièce.
Le temps d'adaptation fut long, et les crisent d'angoisse très forte. Après les sept ans de Mercy, l'enfant retrouva un peu de paix intérieure, se faisant de nouveaux repères dans sa nouvelle maison. Elle resta longtemps sans parler aux autres enfants, les évitant le plus possible. Elle ne cherchait pas leur compagnie, et restait seule dans son coin. Ce n'est qu'a partir de ses 11 ans que la blonde prit la peine d'établir un lien avec d'autres, mais sans grand intérêt. Elle restera plutôt discrète dans l'orphelinat, quoiqu'un peu considérée comme une bizarrerie asociale, se levant à pas d'heure pour faire le tour de l'école, collée au mur, ou faisant d'autre bizarrerie, totalement encrée dans son monde, sans faire attention au regard des autres.
HRP
wave your hands.
SURNOM(S) : Shou DATE DE NAISSANCE : 18 / 06 / 93 ÂGE : 19 SEXE : ❒ M ✔ F AVATAR : votre texte DÉCOUVERTE DU FORUM : Je me suis déjà inscrite avec le même perso ya longtemps, j'ai déserté, et maintenant j'ai envie de revenir, en améliorant ce même perso. EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? Na
Dernière édition par Loon le Ven 20 Juil - 14:35, édité 16 fois
LOOOOOON REBIENVENUE ! J'adore quand y'a des retours comme ça ! o/
Alors ton personnage est un EXPERT, il te faut donc lui conférer une spécialité scientifique et en parler brièvement que ce soit dans l'histoire ou dans son caractère. Il faudra aussi songer, une fois bien à l'aise dans le RP, que les Experts travaillent en binôme, donc sur ta fiche de lien ça peut être sympa d'en demander un.
Hum hum que dire sinon que j'aime encore plus Loon qu'avant qu'elle est...oh my god je l'aime. J'aime ta fiche. Je valide. Enjoy et bon jeu parmi nous.
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None || Loon II
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