Black bodies float in the sea. We can see but they can't see me. A starlit shroud like the dark to you laughter echoes in my private room. Kissing fireflies on a beach. How sweet that we can be. Everyone has love to give, our hearts will teach us how to live.

‹ Mourn the memories later, laugh now alligator. Laugh now alligator.
Parce que : c'est tout ce qu'il aurait à dire sur le sujet. Autrement, c'est une vengeance amère que personne n'est en mesure de comprendre : inspirée par un souvenir douloureux (la mémoire qui nous revient peut-elle seulement être heureuse ?), par le sentiment que lui inspirait une personne en particulier -Shame, son chemin était tout tracé.

‹ Song of flesh on flesh young, hearts burst open wounds bleed fresh. Laugh now.
Le père, la mère, son patrimoine généalogique : de toute façon il ne s'en sert jamais. Les documents administratifs sont signés avec ses initiales : les documents de moindre importance ne soulignent généralement que son prénom. Miller Caleb. Comment mélanger deux cultures complètement opposées, en guerre de surcroit, avec autant de mauvais goût. Miller l'américaine, la rousse gourgandine, amoureuse des plages de sable chaud et du soleil, des voyages et de la Méditerranée. Caleb, le sémite : rien à rajouter.

‹ Oceanward and somber, slumber sleeping. Flowers in the water.
Saan-Abel, que peut-on en dire ? C'est un prénom, sans doute mieux que certains, moins pire que d'autres. Un choix à la mode, pour ne pas parler de cette fièvre maladive qu'ont eues (et qu'ont toujours) les mères pour se servir de prénoms composés. Comme si elles ne se souciaient pas du contenu et que seul le trait d'union comptait. À la mode, à la mode de chez nous. Pour être subjectif, il s'en moque : de toute façon il ne lui sert plus. Maintenant c'est Shame, et rien d'autre.

Spoiler:

Toujours en cours ?

Sans réponse depuis une semaien j'archive la fiche mais il est possible de la récupérer en téléphonant au 360/sbaf en m'envoyant un MP !