Le Deal du moment : -20%
Sony PULSE Elite – Casque PS5 sans fil (blanc) ...
Voir le deal
119 €

Partagez
 

 c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Invité
Sujet: c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. EmptyMar 9 Aoû - 18:01

c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. 110809022212530619

“ i'll kick your ass, i promise „

Aurore s'appelle en fait Ariane Shepherd, oui comme docteur mamour dans Grey's Anatomy, et a rejoint la Wammy's House grâce à un QI de 169, ce qui est peu en soit quand on sait que certains ici atteignent 190. Elle est née le seize juillet mille-neuf-cent quatre-vingt seize et est aujourd'hui âgée de seize ans. D'origine anglaise, née dans le petit village de Pulford, elle est d'abord passée par un orphelinat de base avant de rejoindre la WH à l'âge de douze ans.
c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. 110809020913842351


Physique


c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. 110809070950233754

Couleur des cheveux : châtains, bruns
Couleur de la peau : pigmentation normale je pense
Tatouage/Piercing ? : aucun
Couleur des yeux : bleus normalement mais marrons selon les fanarts :'D
Taille en centimètres : 1m70
Corpulence: normale



Caractère


c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. 110809060711631050

qualités
généreuse malgré tous les défauts qu'elle peut avoir, elle sait se montrer gentille, pour la simple satisfaction de voir le bonheur sur le visage de quelqu'un grâce à elle. que ce soit grâce à un acte, ou à un cadeau, des trucs du genre. cependant, elle n'avouera jamais que ça lui fait elle-même énormément plaisir, et vous sortira sûrement des phrases du genre 'j't'en prie c'est rien, tu vas pas pleurer non plus, vraiment c'est pas comme si je t'avais rendu riche'.
calme aspect contradictoire de sa personnalité excentrique, puisqu'effectivement, de surface, aurore est quelqu'un de calme. calme dans le sens où elle n'est pas excessivement bavarde, par exemple. ça ne lui empêche pas d'avoir de bonnes conversations, mais elle ne passe pas son temps à parler.
dynamique on pourrait la confondre avec hyperactive ; mais non, elle est dynamique et aime bouger. elle n'aime cependant pas le sport plus que ça, en vérité, elle n'aime pas vraiment ça. mais elle ne peut tout simplement pas rester assise tranquillement sur une chaise. elle a toujours besoin de faire quelque chose. et, si elle est calme dans ses gestes, c'est forcément qu'elle se sent fatiguée et rien d'autre.
honnête certes, elle utilise parfois le mensonge pour se sauver d'une situation un peu trop compliquée ... en plus, elle n'excelle pas dans le domaine, vu qu'elle a du mal à prendre sur soi et sur ses émotions. mais elle n'aime vraiment pas toutes les personnes appartenant au genre de manipulateur, hypocrite, et tout ce qui s'en suit. ce sont juste des gens à kidnapper et à balancer dans une fosse jusqu'à ce qu'ils étouffent.
charmante ce n'est pas par rapport au physique, puisque cela reste subjectif, évidemment. mais ce contraste étonnant de sa personnalité est souvent considéré comme plutôt charmant par ceux qu'elle apprécie. elle peut s'embraser d'un instant à l'autre, pour tout et rien, et c'est ce que certaines personnes trouvent plutôt comique chez elle.
    défauts
    hystérique mademoiselle crie. mademoiselle serre les poings. mademoiselle tente de frapper. mademoiselle rage. mademoiselle s'emporte. mademoiselle est une hystérique. elle passe du plus grand calme à la plus furieuse des colères en un instant, pour un seul mot que vous ayez dit, ou un seul geste que vous ayez fait. c'est assez violent et surprenant, mais on s'y habitue vite. après tout, elle ne devient pas vraiment violente sauf cas sérieux, et sauf si elle déteste réellement la personne - ce qui est rare, mais qui peut arriver.
    impulsive c'est sous ces excès de colère qu'elle finit par ne plus réfléchir et agir bêtement souvent. c'est surtout parce que c'est quelqu'un qui se laisse facilement emporter par ses émotions, et, comme elle se rend compte qu'elle perd le contrôle de ses sentiments, elle s'emporte - d'où son hystérie régulière - et ... agit donc de façon bête.
    susceptible changeante, lunatique ... mais surtout susceptible. il vaut mieux éviter d'avoir un mot trop déplacé, vexant, ou autre, même si c'est pour taquiner ; bien qu'elle ne vous fera évidemment pas vraiment de mal, mais elle rentrera tout de même dans une colère noire encore une fois.
    insolente on ne peut pas dire qu'aurore est vulgaire. elle l'est parfois, mais ce n'est pas pour le plaisir de l'être, et ce ne sera pas sans raison. elle manque vraiment de respect à certaines personnes par sale caractère ou emportement, c'est tout.
    bornée vous pouvez lui faire un monologue de quarante minutes afin de prouver que son idée est fausse, elle ne vous écoutera pas. elle est vraiment têtue, et par fierté ... c'est elle qui aura raison. mais elle est surtout très fixée sur une idée : les gens qui se morfondent sur leur sort, ceux qui pleurnichent pour rien ... ce sont des faibles, et ils sont pathétiques.et ils méritent tout simplement une bonne claque. c'est sa vision des choses.


“ this is how i came here, but, listen, you don't have to trust me „


Pulford, ANGLETERRE (août 2000)


La pluie s'abattait avec une brutalité rare sur les petites fenêtres solides du village de Pulford depuis dix-sept heures et quelques, conduisant tous les habitants à se réfugier chez eux le plus vite possible. Bien que l'été était là, le temps ne suivait malheureusement pas depuis quelques jours. C'était plutôt une bonne chose après la sécheresse qui avait ravagé les cultures et terrains. Mais ça restait quelque chose de triste, qui abattait facilement le moral de toute une population, aussi petite soit-elle.
La cloche de l'église tinta huit fois de suite, poussant les oiseaux posés en hauteur à s'enfuir d'un vif battement d'ailes. La lourde porte en bois du bâtiment religieux s'ouvrit dans un grincement grave, laissant sortir un homme brun d'une quarantaine d'années, vêtu d'une simple chemise blanche aux manches remontées et d'un jean bleu marine dont les couleurs étaient délavées par endroits. Il s'avança de quelques pas, de façon à laisser la pluie le noyer. Peut-être pensait-il qu'elle pourrait laver le chagrin dont il était prit depuis quelques jours ? Qu'elle pourrait effacer les mauvaises périodes dont il avait été victime toute sa vie ? Car, malgré les paroles de la bonne personne qu'était le prêtre de cette ville et qui étaient censées le réconforter, il n'y arrivait pas. Le bonheur qu'il avait autrefois éprouvé semblait s'être dissipé en un instant, en un coup de vent, par la simple disparition d'une des personnes qu'il chérissait le plus au monde, mais qu'il savait condamné depuis bien longtemps. Il était préparé, oui, il s'y était préparé depuis le début. Et pourtant ... C'est comme si toutes ses défenses étaient tombées en l'espace d'une seule journée.
Il n'avait qu'une seule envie. Partir. C'était lâche. Très lâche. Mais son désespoir avait atteint un niveau tel qu'il n'arrivait pas à penser à ses deux enfants. Nathaniel et Ariane. Il savait combien leur lien était fort. L'aînée saurait s'occuper du plus petit. Il le savait. Elle avait toujours été très autonome. Lui, il ne pouvait plus. Il n'arrivait plus à faire partie de ce monde. Il ne pouvait plus continuer ainsi. Pas sans sa femme. Et c'était cette putain de maladie qui l'avait emportée. Il le savait, il s'y attendait. Mais il n'y arrivait plus. Ce n'était plus vivre, c'était survivre. Malgré l'amour qu'il avait pour ses enfants. Il savait qu'ils s'en sortiraient sans lui. Ils le devaient. Car le lendemain, il ne serait déjà plus là. C'était lâche. Oui. Mais ça ne changeait rien.


Orphelinat de Bradford, ANGLETERRE (mars 2003)
Ariane, sept ans. Nathaniel, quatre ans.


c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. 110809060613428857

Petite déjà, je n'étais pas le genre de fille à rester assise et calme, à écouter sans rien dire ou sans rien faire. Il m'était d'ailleurs insupportable de rester assise sur une chaise. Le personnel me considérait parfois comme hyperactive. Cependant, je pouvais me calmer d'un coup, changeant complètement de caractère, ce qui avait tendance à déstabiliser les autres. J'étais vraiment très instable comme fille. Et, pour ne pas vous mentir, je le suis encore aujourd'hui. Mais le fait était que je m'emportais très facilement, surtout lors d'un de ces sujets sensibles qu'était mon frère.

« Imbécile ... Imbécile ... Imbécile ! »

La furie qu'était la petite brune se pressait vers le fond de la cour de l'orphelinat, les poings serrés, la démarche nerveuse et agitée. Le sang lui était monté aux joues, et elle n'avait qu'une envie, c'était d'aller écraser son poing sur la tronche de ces petits morveux. Certes, son frère était un faible. C'était une vraie victime dans l'orphelinat. La victime de cette bande de petits mecs incapables de s'attaquer à plus grand qu'eux. Qui n'avaient, selon Ariane, « pas de couilles ». Mais c'était Nathaniel, et elle tenait à lui plus qu'à sa propre vie. Alors, elle s'était promi de « tuer tous ceux qui tenteraient de lui faire du mal ».
Elle s'était arrêtée juste derrière eux, eux qui étaient tournés vers son petit frère recroquevillé contre le tronc d'un arbre. Il avait encore été martyrisé, ou traîté comme un chien, à coup sûr. Les trois gamins se retournèrent un à un, faisant face à la brune furieuse.

« A-Ariane ? bégaya l'un d'eux. On ... On discutait juste avec Nate, c'est pas- ... »
« LA FERME ! hurla-t-elle, hystérique. La ferme. Si vous ne dégagez pas tout de suite ... grogna-t-elle, la voix basse, contenant sa rage entre ses petits poings moîtes dans lesquels elle enfonçait ses ongles. Si vous ne dégagez pas, reprit-elle, je vous enfonce les yeux dans le crâne, petits bâtards. »

Les intéressés ne se firent pas prier deux fois et quittèrent précipitament le champ de vision de la fillette, avec des « elle est complètement tarée » et autre dénigrements de ce genre. Elle se détendit enfin, relâchant ses muscles dans un soupir, pour reposer ses mains sur ses hanches, le regard posé sur son frère. Un regard tout aussi coléreux que celui qu'elle avait opté avec les vandales. Un peu moins, quand même.

« Mais qu'est-ce que tu fais ?! Combien de fois est-ce que je devrais te dire de pas te laisser faire ? Tch'. Vraiment. »

Elle avait croisé les bras, vraiment déçue. Son frère était un imbécile. Il était faible. Et Ariane ne supportait pas cette faiblesse. Elle savait qu'elle ne pouvait pas le blâmer pour ça. Pour sa timidité, son léger traumatisme suite à la mort de leur mère et au suicide de leur père, toussa toussa. Mais elle ne pouvait pas s'en empêcher. Elle, qui restait si forte face à ce qui leur était arrivé, passait peut-être ses nerfs sur son frère ? Mais elle restait cependant aimante envers lui, et le chouchoutait à sa façon. Durement, mais elle l'aimait beaucoup et ne voulait pas qu'il reste faible toute sa vie.
La brune fait quelques pas vers lui pour se baisser à son niveau, essuyant les larmes inondant son visage de la manche trop long de son pull-over.

« Nate. Tu ne voulais pas devenir plus fort afin de me protéger ? Ce n'est pas ce que tu as toujours voulu ? »
« ... Si ... pleurnicha-t-il dans un reniflement. »
« Alors arrête de pleurer ! lança-t-elle, excédée, avant de s'apaiser un peu. Ce n'est rien. »
« ... Ariane ... J-Je ... Je veux maman ... Et papa ... »

La petite fronça de nouveau les sourcils, les mains posées sur ses épaules.

« Tu ne comprends donc pas ? Ils ne reviendront pas. Ils sont morts. Mais toi, tu vis encore. Alors tu vas continuer à vivre et grandir, et mener une vie heureuse. Tu ne les oubliera pas, mais tu ne les pleurera pas non plus. D'accord ? »

Il hocha la tête, se jetant dans les bras de sa soeur afin de pleurer à chaudes larmes. Elle soupira, puis finit par sourire, attendrie par sa réaction. Sa main se porta à ses cheveux qu'elle caressa longuement, le prenant à son tour dans ses bras. Elle avait beau déverser toute sa colère sur lui lorsqu'il se faisait faible, jamais elle ne pourrait s'en séparer.

« Ca ira ... Je serais là ... Je serais toujours là, Nathaniel. »


12 ans. (2008)


« ... Et, c'est un très bon orphelinat. Beaucoup plus grand que celui-ci. Ils te désirent dans leur établissement à cause de ton QI, qui a été décelé suite aux tests que tu as passé. Mais tu seras vraiment mieux là-bas, je te l'assure, Ariane. »

La jeune adolescente, posée en tailleur sur la chaise, les mains sur les chevilles, avait du mal à se concentrer sur ce que disait le vieil homme. Elle gigotait, regardait partout autour d'elle, pensant à ce qu'elle pourrait faire en sortant de ce bureau miteux.

« Ariane ? Tu m'écoutes ? »

L'intéressée leva enfin les yeux vers Mr Richards d'un air blasé. Ce qu'il lui disait ne l'intéressait pas du tout.

« Oui, et alors ? Si Nathaniel ne peut pas me suivre, je n'y vais pas, c'est tout. »

Soupir de la part du directeur. Cette petite n'avait jamais été un cas facile. Il 'lavait reçue une bonne dizaine de fois dans son bureau depuis qu'elle était ici. Mais il espérait que celle-ci serait la dernière. Car c'était vraiment une bonne opportunité pour elle.

« Ariane, écoute, nous prendrons soin de ton frère. Tu pourras même le revoir parfois si tu veux. Mais cet orphelinat, c'est vraiment une bonne chose pour toi. De plus, tu pourras le quitter à tes dix-huit ans si tu le désires. Ce n'est pas dans si longtemps que ça. Mais, vraiment, tu dois y aller. Ce n'est pas ce que tu voulais faire ? Enquêtrice ? Détective ? Eh bien, le but de ses orphelins-là est tout simplement de surpasser le plus grand détective du monde. Je sais que c'est ce que tu veux faire. Découvrir si oui ou non ton père s'est suicidé. Même s'il ne fait aucun doute que c'est le c- ... »
« Arrêtez ! Stop ! Stop ! s'écria-t-elle. Ca ne vous regarde pas ! Je ... J'irais. »

Cependant, sa vraie motivation n'était pas celle de devenir détective - elle avait un peu changé d'avis sur ça en fait, et s'était faite une raison sur son entêtement enfantin ; son père s'était bel et bien suicidé, point. Simplement ... Si elle se séparait de son frère quelques années ... il serait sûrement motivé à grandir en maturité et se défendre seul. Et là, à ce moment-là seulement, il deviendrait fort. Elle le savait.

« J'irais, répéta-t-elle. Mais si ça ne va pas avec Nathaniel, je ... Je veux revenir. »

A vrai dire, le vieil homme savait bien qu'il lui serait impossible de revenir, autant que de lui apporter Nathaniel afin qu'elle le voit. Ca ne marchait pas comme ça. C'était un orphelinat spécial là-bas. Seulement, s'il lui disait, elle changerait peut-être d'avis alors ... Oui, c'était mauvais, mais il préférait que ça se passe comme ça.

« D'accord. »


c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. 110809051323693501

“ i'll come back, when you call me, no need to say goodbye „


Assise sur la chaise dans un bureau nouveau et inconnu, les genoux repliés contre elle, ses bras entourant ses jambes, le menton dessus, Ariane semblait perdue dans ses pensées. Elle repensait à son frère, duquel elle avait du se séparer quelques heures plus tôt. Il avait pleuré, évidemment. Elle l'avait ensuite traité d'imbécile, lui expliquant qu'il deviendrait plus fort sans elle. Qu'il le devait. Et qu'elle reviendrait. Assurément. Ce fût en fait la seule fois où elle versa quelques larmes devant lui. Pitoyable, pensa-t-elle dans un sourire, avant de renifler, conséquences des précédentes larmes qu'elle avait lâché dans la voiture. Elle détestait les pleurnicheuses, et détestait lorsqu'elle en était une ; ce qui était rare, au fond. Elle se détestait, à ce moment-là. Ce n'était pas un aurevoir. Ce n'était pas la fin. C'était le début de quelque chose.

« Nous t'avons déjà expliqué pas mal de choses je crois, Ariane ? l'interrogea l'homme. »
« Hein ? s'exclama-t-elle en relevant soudainement la tête, reprenant conscience qu'elle était en pleine discussion. Oh, euh, oui ... Oui, je suppose ... »
« Ne t'inquiètes pas. Tu t'y feras. C'est un très bon orphelinat, avec une bonne ambiance. Tu t'y sentiras comme chez toi. »
« Je n'ai pas besoin de le savoir. J'en déciderai par moi-même. »
« Je vois. Tu sais, ici, par soucis de confidentialité, on cache sa véritable identité. Il te faut un surnom commençant par la lettre de ton prénom. Ou de ton nom. Arrogance t'irais bien, non ? »

La petite brune le fixa un instant en silence, avant de secouer la tête.

« Non, j'aime pas. »
« Bien, bien ... Est-ce qu'il y a quelque chose que tu aimes par-dessus tout ? Une passion, un loisir ? Un aliment ? »
« Vous voulez me donner le nom d'un aliment ? pouffa-t-elle. »
« Il y a de jolies choses tu sais, comme Ambre ... etc. »
« Moui, c'est joli ... Mais non. »

L'homme soupire, se frottant la tête en baissant les yeux sur son bureau. Elle ne l'aidait vraiment pas, elle était plutôt difficile.

« Vous savez ... »

L'interpellé relève la tête, espérant qu'elle ait une idée.

« ... j'aime beaucoup tout ce qui touche aux astres. Au ciel, aux phénomènes célestes, disons. J'aime beaucoup. C'est joli. »
« Oh ... soupire-t-il, compréhensif. Et ... commence-t-il dans un sourire. Tu dois donc savoir ce que sont les aurores boréales ? »
« Je ... Je n'ai pas vraiment eu l'occasion de m'y intéresser, en fait, à l'orphelinat. Ce n'était pas un orphelinat riche, et on avait pas beaucoup de matériel. Je passais simplement beaucoup de temps à regarder les étoiles, ou m'émerveillait devant des arc-en-ciel. Non, je ... Je ne sais pas ce que c'est. »

Dans un sourire, l'homme se lève et attrape un gros livre placé dans sa bibliothèque personnelle, venant s'accroupir près de la brune. Il tourne les pages un moment, semblant chercher quelque chose. Puis, d'un coup, il pointe son doigt sur l'une des pages, montrant une énorme photo en couleur. La petite se penche, avant d'afficher un visage fasciné.

« C'est ... C'est magnifique ... commenta-t-elle, frôlant la photo de ses doigts. »
« N'est-ce pas ? Que dirais-tu de t'appeler ... Aurore ? lui proposa-t-il en levant les yeux vers elle. »

Elle resta silencieuse un instant, en pleine réflexion, avant d'afficher un léger sourire, puis d'hocher la tête positivement.

« Alors, ce sera Aurore. »

Classe

    Définissez vous en une phrase.
    1. Non.
    2. Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
    3. Anthropologiquement parlant ou bien ?
    4. Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
    5. Je suis un.


    Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
    1. Une bataille navale.
    2. Les hauts de Hurle-vent.
    3. Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
    4. Un poisson rouge.
    5. Une corde.


    Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
    1. Finnegans Wake de James Joyce.
    2. H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
    3. Totem et Tabou de Sigmund Freud.
    4. Harry Potter de J.K Rowling.
    5. Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.


    Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
    1. « Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
    2. « Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
    3. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
    4. « D'un point de vu biologique... »
    5. « Je comprends ce que tu ressens... »


    La petite manie dont vous vous passerez bien ?
    1. Câliner tout le monde.
    2. N'avoir aucune notion du temps.
    3. Faire des private jokes.
    4. Accro au high five.
    5. Caser des citations partout.


    Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
    1. Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
    2. M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
    3. Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
    4. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
    5. Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...


HRP.
SURNOM(S) : POUCHIE 8D ou Ember, Emby, tout ce que vous voulez
DATE DE NAISSANCE : c'est malpoli de demander ça aux dames. me demandez pas pourquoi j'en sais rien, je viens de le décider :'D
ÂGE : seize ans
SEXE (✔) : ❒ M ✔ F (pas sûr mais normalement c'est ça)
AVATAR : NONC'ESTPASVRAIELLEVIENTPASDEPOKEMOND8. Bon, si, en fait, malgré l'orgie de persos venant de pokémon, elle ... Oui, c'est bien White. :'D
DÉCOUVERTE DU FORUM : je ne m'en souviens déjà plus D8
EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? of course not

Sivouplééé, je sais qu'elle a un caractère un peu trempé et que donc le questionnaire est en conséquences de ça mais je veux pas qu'elle soit shaaaape ;w; Et désolée de l'histoire bateau mais bon tous les orphelins ne peuvent pas avoir une histoire exceptionnelle. :'D
c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. 70265a526043
Revenir en haut Aller en bas
End c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. End10
End
c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. 490550Shape3

Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. EmptyMar 9 Aoû - 19:18

Bienvenue sur Wammy's House ! \o/

Alors alors, j'aime beaucoup le personnage et Aurore grâce au ciel (haha /SORT) est une Riddle ! J'espère que ça te convient. Et puis bah lancer de dés effectué et je te valide avec plaisir :3

Amuse toi bien sur WH !
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Sujet: Re: c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. EmptyMar 9 Aoû - 19:20

    J'ai précisé en bas que j'étais Ember :3 Merci beaucouuuup !
    OMG Riddle le parfait contraire de Shape :'D
    Merci encore End :3
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

c'est si rare maintenant une femme a du tempérament, que lorsqu'une femme en a, on dit que c'est de l'hystérie. – auroriaurora.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Les rêves, ça appartient au monde du sommeil. Il est temps de se réveiller maintenant. - Dreamy

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Wammy's House :: Complément :: ♔ Corbeille-