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 Le Sens du Manège.

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Invité
Sujet: Le Sens du Manège. Le Sens du Manège.  EmptyLun 30 Mai - 14:33


Identité
« va savoir ce qu’on est
des bouteilles à la mer
des fleurs et des couteaux
du bétail au sang chaud »
PSEUDONYME : Gambit
NOM : Fraser
PRÉNOM : Gabriel
POSTE : jardinier
QI : 132
DATE DE NAISSANCE : 29 / 02
ÂGE : 26 ans
SEXE : ✔ M ❒ F
ORIGINE : britannique
Physique
« puisqu'au bout
nos cendres... se ressemblent »
Couleur des cheveux : châtain foncé
Couleur de la peau : hâlée
Tatouage/Piercing ? un discret anneau d'argent à l'oreille droite
Couleur des yeux : vairons
(le droit est bleu et le gauche est noisette)
Taille en centimètres : 179
Corpulence : basique


Caractère
« mets-y ce que tu veux
du rouge et des passions
du mauve et des chagrins
du sentiment corail, des souvenirs d’enfant »

sympathique
attentif
compréhensif
appliqué
observateur
    malhabile
    névrosé
    introverti
    maniaque
    distrait
Celui-là était un garçon somme toute assez banal, un individu de type lambda sans rien de bien extraordinaire pour égayer ce portrait que l’on dressait de lui. D’aucuns diraient de lui que c’était un bon gars, un jeune homme intègre et honnête bien que peut-être un peu trop sérieux pour un âge dont certains n’en faisaient que le prolongement de cette période farfelue qu’est l’adolescence.
Mais Gabriel c’était un peu comme s’il avait déjà bien rangé sa vie, balayé les erreurs passées et les remords qui vont de pair, bouclé à double tour ces coups de folies qui vous traversaient parfois l’esprit, ces envies subites de tout et de rien. Gabriel parfois, faisait penser à ces hommes d’une cinquantaine d’année, pères d’une famille de deux enfants avec une petite femme aimante, une maison, un chien et deux voitures. Ces hommes dont on pensait que le plus intéressant de leur vie est déjà relégué tout au fond d’eux-mêmes, ces hommes dont le seul leitmotiv à longueur de journée n’était autre que manger-boulot-dodo. Ces hommes terriblement ennuyeux qu’on croisait au détour d’une rue et qu’on oubliait instantanément.
Oui mais voilà, Gabriel n’avait que 26 ans. Et visiblement un sérieux handicap social.
Ce n’est pas tant qu’il n’aimait pas les autres – oh, bien au contraire –, c’est simplement qu’il ne savait pas très bien comment s’y prendre avec eux. Et tout ça à cause d’un problème, un problème d’une insignifiance absolue au début mais qui avec le temps s’était développé jusqu’à finalement adopter une envergure non négligeable.

En effet, si Gabriel pouvait passer toute une journée les avant-bras fourrés dans du terreau, la simple idée de devoir serrer la pince d’une personne dont les mains seraient moites suffisait à réveiller en lui un irrépressible dégoût parfois même couplé d’une sale envie de vomir. Et encore, s’il n’y avait que ça.
Mais le jeune homme avait développé au fil du temps une espèce de phobie – dans une moindre mesure cependant, ici le terme de « phobie » est à fortement nuancer – de la saleté, plus ou moins prononcée selon la situation, et ceci uniquement vis-à-vis des humains. Il était par exemple fréquent de le voir « nettoyer » du plat de la main le siège de la chaise sur laquelle il comptait s’asseoir avant d’essuyer cette même main de manière fébrile sur son pantalon, et ce même alors que ladite chaise semblait parfaitement propre ; il suffisait simplement que quelqu’un d’autre s’y soit assit avant lui.
Dans un autre registre, il eut été impensable que Gabriel permette à toute autre personne que lui de pénétrer le petit chez-soi que constituait la chambre allouée par l’orphelinat – il en refusait même l’accès aux personnes d’entretiens, préférant y faire le ménage lui-même –, et se faisait un point d’honneur à ne pas poser ne serait-ce qu’un pied dans celles des autres – à noter qu’il existait cependant quelques exceptions à cette dernière règle, bien que pouvant se compter sur les doigts d’une seule main. De ce fait, il n’était pas bien dur d’imaginer à quel point les toilettes publiques ou autres lieux du même genre pouvaient se révéler une véritable hantise à ses yeux, et transformer une envie pressante en véritable expédition commando.

A ce stade, on imaginait alors aisément pourquoi Gabriel avait tant de soucis à se lier avec ses semblables. Le moindre détail chez son vis-à-vis, même infime – un vêtement taché par le repas précédent, une blessure exposée pas tout à fait refermée, des ongles noircis, etc. –, suffisait à provoquer chez lui un certain malaise qui le rendait maladroit et qu’on interprétait assez facilement comme étant de la timidité alors qu’en réalité c’était là juste un sentiment de dégoût qu’il éprouvait à votre égard et dont il en tirait lui-même une honte cuisante. Un observateur attentif pouvait aisément déceler ces manies qui ne trompaient pas dans ces conditions-là : un regard mal assuré, un tic nerveux qui agitait sa joue gauche, une façon parfois presque frénétique de se mordiller la lèvre inférieure, des mots qui butaient sur ses dents au moment d’être exprimés… ces petits tics étaient selon le degré de ce qu’il trouvait dérangeant chez vous à ce moment là, et il était d’ailleurs déjà arrivé de le voir faire un bond en arrière de surprise parce que son interlocuteur avait sans crier gare posé sa patte sur son épaule au détour de leur conversation.
Notez cependant que sur le point de vue purement professionnel, Gabriel n'avait aucun problème avec les personnes qu'il était amené à fréquenter régulièrement. Il lui suffisait simplement d'observer une distance respectable, voire de se détacher complètement de lui-même s'il advenait que son vis-à-vis atteigne des sommets concernant tout ce qu'il ne pouvait supporter. En réalité, les choses se compliquaient réellement lorsque les personnes qu'il côtoyait commençaient à devenir un peu plus que de simples connaissances. Pour exemple, le fait d'avoir remarqué que Mr X. ne se lavait jamais les mains avant d'aller manger pouvait virer à l’obsession chez lui... ce qui expliquait sans doute en partie qu'il n'aie jamais eu de petite amie, par ailleurs.

On rangeait alors Gabriel dans la catégorie des gens effacés, ceux qui faisaient partie du décor et qu’on ne cherchait pas à connaître plus que ça. On le classifiait comme étant un nolife vivant par procuration au travers des comics et romans qu’il lisait plutôt que de profiter de sa propre vie. On le trouvait sympathique toutefois – sérieusement, qui serait capable de songer le contraire en le rencontrant ? –, on le savait être quelqu’un de confiance, il arrivait même à certain(e)s de le trouver attachant par certains côtés. On aimait parfois venir le trouver le temps d’une bonne partie d’échec ou de deux – il était étonnamment doué à ça –, les lecteurs passionnés appréciaient discuter roman et héros avec lui mais au final, bien peu pouvaient se targuer de le connaître vraiment et de s’intéresser à lui pour autre chose qu’un simple passe temps.
Parce que Gabriel avant tout ce n'était que ça, le jardinier un peu bizarre mais pas méchant qu’on appréciait un temps mais à qui on ne s’intéressait pas tellement.

Classe
Définissez vous en une phrase.
  • Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...

Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
  • Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.

Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
  • Totem et Tabou de Sigmund Freud.

Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement. Sérieusement ? Je l'imagine pas dire un de ces trucs, alors si en plus c'est plus ou moins censé être redondant dans son vocabulaire... |D alors dans son cas ça sera plus le truc qu'il aura le plus de chance de dire tout court
  • « D'un point de vue biologique... »

La petite manie dont vous vous passerez bien ?
  • N'avoir aucune notion du temps.

Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
  • Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?

Histoire
« parlons de jours inouïs
où le soleil couche avec nos vies »
« Aux échecs, on appelle Gambit une technique sacrifiant un pion mais permettant de prendre l’initiative et de gagner du temps. »


Le jeune garçon – on lui aurait donné tout au plus sept, huit ans – écoutait son père avec une attention non dissimulée, à plat ventre sur le sol du petit appart qu’ils partageaient deux jours par semaine. L’adulte, assis en tailleur sur le sol, avait posé un plateau d’échecs entre eux deux et s’était mis dans la tête d’en apprendre au gosse les règles. Oui, malgré la jeunesse évidente de ce dernier. Cela faisait déjà bien une heure qu’il s’était lancé dans cette entreprise, et bien une heure qu’à aucun moment Gabriel n’avait montré un signe d’impatience devant l’obstination de son père à lui enseigner les bases d’un jeu nécessitant bien plus de réflexion que tout ce dont il était capable, à son jeune âge.
Mais qu’importe, il restait là à écouter, silencieux, essayant de retenir et d’assimiler tout ce qui était dit. Ses yeux suivaient avec attention chacun des pions déplacés à chaque fois que son père illustrait ce qu’il venait de dire. Une fascination non dissimulée pour ces petites pièces en pierre artisanales où le moindre détail avait été reporté avec soin, méticuleusement, par l’artiste qui les avait fabriquées. Le plateau en lui-même était déjà une pièce magnifique. S’il y avait bien une chose qui avait de la valeur dans ce trois pièces miteux c’était bien ce jeu, aussi vieux que l'arrière grand-père qui le lui avait donné, si ce n’était plus.
La première fois que Gabriel y avait touché, inconscient de sa valeur, il s’était fait engueuler par son père et avait laissé tomber le pion qu’il tenait dans sa main sous l’effet de la surprise, lequel s’était brisé en percutant le sol. La gifle que le mioche avait récolté en échange l’avait dissuadé de retoucher au jeu avant longtemps. Et puis voilà qu’aujourd’hui il avait visiblement décidé de lui expliquer en quoi consistait le jeu, ce qui avait enchanté l’enfant pour deux raisons : d’abord, parce que la curiosité à l’égard de ces pièces soigneusement entreposées hors de sa portée n’était jamais vraiment partie en dépit de l’interdiction formelle qu’il avait d’y toucher. Ensuite parce que son père, qui ne s’était jamais franchement occupé de lui et ne lui prêtait d’habitude qu’une vague attention de surface tout le laissant tranquille dans son coin du moment qu’il ne faisait pas de bêtises, venait de ce fait de radicalement changer d’attitude à son égard. Gabriel n’avait pas cherché à savoir s’il y avait une raison derrière tout ça, ne s’était pas posé la question de savoir si ça n’était que temporaire ou s’il aurait droit désormais à un peu plus de consistance aux yeux de son père parce qu’à son âge, on ne songe pas vraiment à ce genre de choses. Alors il s’était contenté d’acquiescer à la proposition de son père, enthousiaste, et voilà comment les choses en étaient arrivées là une heure plus tard.



On ne peut pas dire de Gabriel qu’il vécut une enfance heureuse. Mais affirmer le contraire eut été largement exagéré.
Après tout, il avait encore ses deux parents. Il avait une famille – plus ou moins – et puis un toit sur la tête.
Sa mère et son père s’étaient rencontrés alors qu’ils étaient encore de simples étudiants. Une amourette comme il y en a des masses, de celles qui ne sont pas faites pour durer. Qui se termine comme ça un beau matin et qu’on oublie sans regret.
Mais le Destin est parfois jouasse, souvent mauvais bougre. Gabriel en était le fruit non désiré, un bête accident en somme, et parce que la famille de la fille était croyante et ne pouvait concevoir la naissance d’un enfant son père, il en avait résulté un mariage dont aucun des deux jeunes adultes ne voulait. L’union avait cependant tenu quatre ans. Quatre années durant lesquelles, en réalité, Gabriel avait été refourgué aux bons soins de la grand-mère maternelle tandis que les parents prétextaient avoir trop de travail avec leurs études pour s’occuper de lui. L’excuse avait été jugée bonne puisqu’après tout, il fallait bien qu’ils aient de quoi se trouver un travail pour assurer un avenir à cet enfant. Les choses avaient cependant basculé quand, malade depuis longtemps, elle avait finalement passé l’arme à gauche. La mort avait toqué à sa porte petit jour sans prévenir, juste comme ça.
De ce fait le mariage – qui n’avait de mariage que le nom – avait explosé peu après le triste évènement, et le gamin s’était retrouvé trimballé entre deux parents qui n’avaient ni le temps de s’occuper de lui, ni l’envie d’en trouver. Trop jeune pour passer au-dessus de toute cette agitation brodée d’indifférence à son égard, nul ne doute que cet épisode de sa vie fut particulièrement dur à encaisser et qu’il y eut donc quelques répercussions dans son développement psychologique. Enfin, ce sont là de bien grands mots pour la réalité, après tout on ne parle pas là d’un gosse qui serait devenu instable ou je ne sais trop quoi d’autre par la suite.

Heureusement qu’il y avait l’école, pourrait-on dire, mais malheureusement ce n’était pas vraiment le cas : le garçon se montrait plutôt introverti et effacé, présentant déjà quelques difficultés pour se lier avec les autres de son âge. Pas besoin d’être un psychologue diplômé pour comprendre que ce n’était là que les conséquences directes dues à la non-relation qu’il avait avec ses géniteurs. Aussi, à la période de l’enfance où les amitiés se font et se défont d’un jour à l’autre et où il est primordial pour tout gamin d’avoir des camarades de jeu en veux-tu en voilà, lui se trouvait tout juste apte à prendre part à quelques-uns de ces ébats futiles dont l’enfance est bourrée.


Et puis le temps passa, doucement. Les choses finirent par se tasser ou bien c’est l’habitude qui s’installa, allez savoir. A quatorze ans, Gabriel ne s’étonnait plus d’entrapercevoir sa mère tout juste une heure par jour, surbookée comme elle l’était par son travail. N’est pas chirurgien qui veut, hé. Il s’estimait heureux quand elle sacrifiait son temps libre – qu’elle passait habituellement avec son amant – pour s’occuper un peu de lui, à croire qu’elle avait finalement décidé d’assumer – au moins un peu – que oui, elle avait bel et bien un gosse. Qui grandissait.
Pour ce qui était de son père, leurs relations s’étaient améliorées depuis cette histoire d’échecs. Disons simplement qu’ils avaient trouvé un bon terrain d’entente avec ça. L’un enseignait, l’autre apprenait, et puis ils passaient des heures à mettre la théorie en pratique. Gabriel perdait la plupart du temps mais indéniablement, il s’améliorait. Et trouvait dans ce jeu qui exigeait patience et réflexion ce qui deviendrait plus tard l’une de ses passions.
… on était cependant encore bien loin des relations père/mère-fils, mais il y avait du progrès. Bien qu’un peu trop tardif. Enfin, on fait avec ce qu’on a – ça aurait pu être pire – et puis, peut-on vraiment avoir des regrets pour quelque chose qui n’est jamais arrivé ? Alors non, Gabriel ne s’estimait ni malheureux, ni mal aimé puisqu’après tout, les choses avaient toujours été ainsi pour lui.


Et puis il fut majeur. Comme une brusque prise de conscience, il réalisa que dix-huit ans venaient de passer. Qu’il avait validé son GCSE, se retrouvait avec un A-level en poche et puis… quoi ? Gabriel n’avait jamais vraiment eu d’ambition, ne s’était jamais fixé d’objectif, n’avait pas d’envie particulière quant au métier qui lui ferait gagner sa vie.
Gabriel, c’avait toujours été ce gamin peu turbulent, poli. Cet adolescent discret et déjà bien effacé qui passait ses journées à bouquiner à l’ombre rafraichissante d’un arbre plutôt qu’en compagnie d’autres jeunes de son âge.
C’est à peu près à ce moment-là qu’il avait fait la connaissance de Jerrold. Jerrold ou celui qui se rapprocherait sans doute le plus d’un ami pour lui durant les années pendant lesquelles ils se fréquentèrent.

Jerrold était un homme d’Eglise jovial et ayant dépassé la soixantaine, qui partageait ses journées entre ses devoirs de religieux et son amour pour la nature. Une des tâches qui lui incombait était d’ailleurs la gestion du petit parc qui bordait l’église et la séparait du cimetière. Ce même parc dans lequel Gabriel adorait traîner été comme hiver, y appréciant tout autant le renouveau de la verdure et des couleurs estivales que l’épais brouillard qui s’accrochait aux branches effeuillées et les longues allées dépeuplées. Au début ils ne faisaient que se côtoyer de loin, les activités de l’un brodant l’arrière plan des rêveries de l’autre. De fil en aiguille, ils en étaient venus à échanger quelques sourires, un bonjour, un salut de la main ; puis quelques mots, quelques phrases. Jerrold, surtout, prenait la parole et puis Gabriel écoutait, comme toujours. Le premier racontait, expliquait, exposait. Il était d’un naturel plutôt bavard mais, loin d’être importun, la passion brillant dans ses yeux lorsqu’il parlait teintait ses propos d’un intérêt qui eut tôt fait de trouver un écho chez son interlocuteur. Ainsi une complicité assez particulière avait fini par s’installer au détour de ces conversations sans qu’ils ne s’en rendent vraiment compte.
Gabriel fut alors saisi de nouveau par cette envie d’apprendre, de comprendre ce pour quoi Jerrold pouvait si facilement passer deux heures penché sur un massif floral à l’entretenir soigneusement malgré l’inconfort que la position lui procurait, couplées aux douleurs musculaires que son âge avancé ne lui épargnait pas.
Et comme avec son père quelques années plus tôt lorsqu’il lui apprenait à jouer aux échecs, le désormais jeune homme se retrouvait à nouveau élève, quoique le « sujet d’étude » était radicalement différent. Eeh oui, croyez-le ou non, mais le jardinage ne se limite pas qu’à la tonte du gazon et à la taille des haies. Il y avait autre chose derrière, ce petit plus justifiant un sourire ravi qui s’emparerait de force de nos lèvres lorsqu’au petit matin l’on découvrirait quelques fleurs frivoles fraîchement éclose, et cette grâce particulière qu’elles dégageraient alors sous un timide rayon de soleil.

… Mais vous savez, certains trouvent leur bonheur en collectionnant des timbres et l'on ne se moque pas d’eux pour autant. Une passion reste une passion, peu importe la forme sous laquelle elle se manifeste et qu’elle se découvre à vous plus ou moins tardivement.

En ce qui concerne Gabriel, il s’avéra bien vite qu’il avait la main verte ; il fallait bien après tout, qu’il ait quelques qualités qui lui soient propres dans un domaine en particulier.




Pour ce qui est de son arrivée au sein de la Wammy’s, on verra là un simple concours de circonstances. Ils recherchaient quelqu’un pour un poste auquel le profil de Gabriel convenait plutôt bien. Une chance qu’il ne faille pas obligatoirement sortir d’Harvard même pour un emploi de ce genre, dans un établissement comme celui-ci où le plus jeune des pensionnaires possédait un QI bien supérieur au sien.



HRP.

SURNOM(S) : on va dire Gambit aussi, hein.
DATE DE NAISSANCE : who cares ?
ÂGE : cf. ci-dessus.
SEXE : ❒ M ❒ F ✔ Parasite
AVATAR : un random guy qui se baladait par là.
DÉCOUVERTE DU FORUM : bonne question.
NOTE SUR 20 DU FORUM : partons du principe que si je me suis inscrite, c'est qu'il me plaît suffisamment pour ne pas donner une note inférieure à 10, d'autant plus que je ne m'inscris que sur coup de coeur.
Le Sens du Manège.  110530033630925633


Dernière édition par Gambit le Dim 12 Juin - 10:21, édité 4 fois
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Invité
Sujet: Re: Le Sens du Manège. Le Sens du Manège.  EmptySam 4 Juin - 12:17

    bienvenue sur WH * !
    le truc des toilettes m'a tuée, j'ai imaginé le "mission du jour : faire pipi èAé"
    et le gif power rangers m'hypnotise aussi.

    bref, ton questionnaire indique que tu es un EXPERT ~
    ça tombe bien pour un jardinier. bon courage pour la suite de ta fiche ! (pas de souci pour ta période d'inactivité, ça valait le coup d'attendre krr.)
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Invité
Sujet: Re: Le Sens du Manège. Le Sens du Manège.  EmptyDim 12 Juin - 3:06

Eewww. Bon, cette foutue histoire m'aura donné du fil à retordre, je suis loin d'en être satisfaite. Et la fin me laisse un goût d'inachevé mais j'arrive pas à écrire comme je veux ;; Je m'excuse par avance vis-à-vis de la personne qui devra s'en coltiner la lecture... je suis vraiment pas douée pour rédiger l'histoire d'un personnage (par contre je suis douée pour écrire des lignes avec rien dedans, d'habitude je fais plus court ça abrège les souffrance du lecteur ;D mais là ben euh, je sais pas).

Enfin, je crois qu'on peut considérer ma fiche comme bouclée, pour de bon cette fois.
sinon, ça dérange pas si je réécris l'histoire à tête reposée genre quand j'aurais plus de limite de temps, si jamais l'inspiration me revient subitement ? (l'espoir fait vivre, hein...)


Bon. Par contre je fais la relecture quand j'aurais un peu dormi, pas la foi là.
edit; c'est fait.




(et micro ps, c'est pas les power rangers mais les biouman genre => 8D)
... bref.
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End Le Sens du Manège.  End10
End
Le Sens du Manège.  490550Shape3

Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: Le Sens du Manège. Le Sens du Manège.  EmptyDim 12 Juin - 19:27

Et bien non, tout est parfait je trouve ! :3

Validé mister ! Amuse toi bien sur Wammy's House !
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