PSEUDONYME : Divine NOM : Cooper PRÉNOM(S) : Diana, Elizabeth QI : 161 DATE DE NAISSANCE : 13 / 10 ÂGE : 28 ans SEXE : ❒ M ✔ F ORIGINE : Anglaise RÔLE : Professeur de MSIU

Couleur des cheveux : Roux flamboyant Couleur de la peau : Pâle Piercing/Tatouages : Une rose au creux des reins

Couleur des yeux : Marron doré Taille en centimètres : 177 cm Corpulence: Pin-up !

Optimiste Energique Débrouillarde Courageuse Enjouée Appliquée Sincère

Immature Workaholic Egoiste Matérialiste Autoritaire Brutale Avare

Derrière toi ! Devant ! T'es lent ! Tiens, prends toi une tape derrière la tête comme fait Gibbs dans NCIS, tu l'as bien mérité. Quoi ça tu me connais pas ? Mais si, je suis ta prof de MSIU ! Tu sais bien ! Celle qui gambade un peu partout sans raison, celle qui rigole un peu fort, celle qui a la classe internationale et qui n'oublie jamais de donner son linge à laver ni d'arriver à l'heure en cours et qui ne se ramasse jamais par terre en courant un peu vite dans les couloirs fraîchement lavés............ bref, celle que t'entends se disputer avec ses collègues préférés sans raison parfois, celle-là même qui te regarde en ce moment même, fixement, pour essayer de t'hypnotiser et te rappeler qui elle est !
Ca te revient toujours pas ? Mais il faut le faire quand même, pour m'ignorer comme ça ! Je suis du genre bruyante, quand même... Oui, bon, on m'entends souvent avant de me voir, mais je vois pas en quoi c'est péjoratif, c'est plutôt bien même non ? Je préviens, moi. Pas comme le danger ! Lui, c'est un sournois. Sneaky little bastard. Je le connais, lui, je l'aime bien même. J'ai un petit faible pour le danger. Contrairement à tous les mecs, lui au moins, il te satisfait, quand t'as vraiment besoin d'adrénaline, tu vois. A la fin d'un petit moment passé avec lui, ne serait-ce que le plus infime, un petit baiser volé, une caresse, t'as le coeur qui palpite, tous les sens en alerte. C'est L'EXTASE, GARCON. J'espère que tu connaîtras ça aussi un jour, ces sensations exquises ! Ma préférée c'est la chute dans le vide. T'as l'impression que ta dernière heure est venue, et en même temps t'as jamais été aussi vivant. Bon, fais du parachute pour ça, hein. Saute pas d'un immeuble. Ca pourrait faire mal, et je suis quelqu'un de bien moi, j'ai pas envie que tu souffres. Regarde-moi quand je te parle, tu veux ? … Je suis sympa, non ? Je te fais un sourire, tiens regarde. Un sourire tout gentil comme j'en ai le secret ! Et je te tapote un peu la tête, aussi, parce que je t'aime bien. Quoi ? Bah, oui, je t'aime bien. T'as pas l'air mesquin, et j'en connais un rayon sur les mesquins, comme je te disais, mon ami le danger est... Oui, bon, tu as compris, d'accord.
Je disais donc ! … Je disais quoi déjà ? Tu m'écoutais pas ? Mauvais point ça... Allez, tu me feras plein de pompes pour compenser ! Oui je sais que je ne suis pas ta prof de sport, mais c'est pas une raison. C'est à peu près pareil. Oh j'y suis ! Tu préfèrerais que je te fasse conduire un 4x4 dans la cambrousse, sans te donner de coup de main. Ou que je te jette devant une horde de zombies affamés pour voir comment tu survis en situation d'urgence... Non ? Bon, alors fais du sport, t'en as besoin petit !
Huh ? On fait de la résistance ? On se rebelle face à l'autorité ? Bah, c'est bien, je t'aime encore plus ! Moi tu sais, comme j'ai toujours fait comme on m'a ordonné, je me suis rendue compte qu'obéir aux ordres, ça gâche la vie. Du coup j'en donne aux gamins comme toi pour voir lesquels font la différence entre des ordres rationnels ou ceux qui suivent comme des moutons. Yes, j'aime bien les gens nerveux et pas dans les cases qu'on leur a donné. En même temps, c'est aussi pour ça que j'adore cet orphelinat. Jamais vu un tel ramassis de cas sociaux. Quoi ? Non, je rougis pas de plaisir, non. Et puis arrête, toi, on dirait presque que t'es en train de m'analyser ! J'ai déjà ma psy de meilleure amie pour ça, merci bien ! Tu me fais passer pour une méchante en plus. Méchante, bavarde, et un peu idiote. Ce qui ne me correspond pas vraiment... Je sais très bien être sérieuse quand il faut, et j'abandonnerais jamais personne. Marche ou crève, oui, à condition que je sois derrière pour t'aider si jamais tu décides de crever. Parce que je t'autorise pas. Quoi je suis autoritaire ! Je te l'avais dit ! Tu m'écoutes pas, décidément, t'es du genre chiant ! Je te préviens, je hurle plus fort que toi. J'ai fait l'armée, moi monsieur. Comment ça ça se voit pas ?! … Je suis trop grassouillette c'est ça ? J'ai trop de courbes ?! … Non ?... Bah. Toi t'es qu'un asticot, je vois pas pourquoi je me comporterais comme une militaire avec toi. Ca t'ennuierait. Je sais que les militaires sont pas réputés pour être très malins, mais à ça j'ai une petite réponse qui me vient d'un jeu que j'aime bien. (oui parce que parfois la nuit je peux pas sortir faire de la moto, alors je reste devant un petit jeu sympa. Des fois.)

« Certains pensent qu'ils peuvent être plus malins que moi. Peut-être... peut-être. Mais j'ai pas encore rencontré de mec plus malin qu'une balle... »

Je ne suis pas immature pour un sou, j'aime juste m'amuser. Profiter de la vie. Des choses comme elles viennent. Tu n'as pas peur, toi, de regretter, dans quelques années, tout ce que t'as pas pu faire ? Moi ça me panique. Alors je fais tout. Dès que possible. Et ça inclut t'en coller une autre, tiens. Pour la forme. Je t'aime bien.

Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe. Définissez vous en une phrase. e. Je suis un. Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ? d. Un poisson rouge Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ? b. H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams. Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement. c. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! » La petite manie dont vous vous passerez bien ? d. Accro au high five Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait. a. Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.

Elle n'avait pas eu le temps de prendre une photo. Le vide. Sous elle, la planète, au-dessus d'elle, l'infini. Elle était entre les deux. Et elle tombait. Elle tombait tellement vite qu'elle ne se rendait plus compte de la vitesse. Tout était vide dans sa tête, les quelques secondes que durèrent la chute libre. Elle aurait voulu que ça dure toujours. Elle était bien.

Allez, encore un petit, un tout petit effort. Il fallait tenir. Elle n'entendait plus rien, ne pensait plus à rien, rien qu'au silence tout autour d'elle, dans cet univers bleu et frais qui l'entourait. Elle ne battrait pas le record d'apnée, oh non, mais elle faisait de son mieux. Le soleil se voyait à peine, quelques rayons loin au-dessus d'elle glissaient au milieu des poissons, et elle aurait pu s'y laisser mourir.

Au-delà, là-haut, l'inconnu. Il l'appelait, et elle n'hésitait pas une seconde pour faire tout ce qu'il fallait pour le rejoindre. Quelques cailloux qui tombaient, une prise qui se faisait la malle ; elle ne paniquait pas, et elle s'accrochait. Des cliquetis de métal, des gouttes de pluie qui rendent le tout plus difficile que prévu. Elle n'y arriverait peut-être pas, et la déception serait certainement au rendez-vous. Mais peu importe.

Ca ne serait jamais aussi dur que le service militaire. Jamais aussi intense que l'armée. Elle n'y était pas restée longtemps, juste assez pour s'endurcir, juste assez pour comprendre ce qu'elle attendait de la vie. Une fille en service militaire ? Quelle idée, me direz-vous. Et elle s'était dit pareil. Elle voulait de l'action, elle voulait autre chose. Oh, son père était riche. Elle avait deux chambres, elle avait tous les vêtements qu'elle désirait, les bijoux, les fourrures, les soirées VIP. Elle avait droit à tout. Et elle en avait marre. Tout ça ne l'amusait plus. Elle se sentait enfermée, recluse dans un petit monde dans lequel les seuls risques qu'on prenait étaient les actions en bourse et où le secret pour avoir un ne serait-ce qu'un tout petit peu d'adrénaline se trouvait dans la prise de drogues dures. Elle voulait plus que ça. Elle voulait de grands espaces. Elle voulait des frissons. Elle voulait de l'action. Elle voulait vivre, en somme. Elle avait déjà essayé de conduire sans permis à des vitesses folles. Ca ne suffisait plus non plus. Marcher sur les rambardes des ponts, à cloche-pieds, en talons aiguilles, avec 0,8 grammes d'alcool dans le sang. Ca l'avait amusée un temps, quand elle était môme. Mais maintenant elle avait besoin de quelque chose de plus.

Ou bien peut-être qu'elle voulait juste fuir la réalité. Prise pour une moins que rien parce qu'elle n'était pas spécialement intelligente, incapable de quoi que ce soit car trop riche pour avoir eu besoin de travailler. Elle se sentait vide, futile, et bonne à rien.

Le service militaire avait été difficile à supporter psychologiquement. Tous ces garçons prétentieux ou stupides qui pensaient qu'elle ne faisait pas le poids. Ils avaient raison, elle ne le faisait pas. Elle était frêle, délicate, une vraie demoiselle, de celles que l'on sauve dans les James Bond, pas de celles qui s'évadent toutes seules en assommant les ennemis. Et c'était ça qu'elle voulait. La deuxième option. Etre une bimbo inutile et faible, être la princesse qu'on devait sauver, elle laissait ça à d'autres. Les moqueries cessèrent quand elle décida de cesser de pleurnicher quand on la bizutait. Dès lors, les garçons de son équipe comprirent qu'il n'y avait rien de plus dangereux qu'une femme extrêmement irritée. Elle ne devint pas la meilleure combattante de son régiment, évidemment, mais elle avait appris à se faire respecter. En gros, elle était passée de la fille à papa exigeante à la casse-burnes autoritaire qu'elle était maintenant. D'aucuns la surnommaient affectueusement « la Grosse Bertha ».

En sortant de là, elle avait compris une chose essentielle. Elle pourrait faire autant de sports de combats qu'elle voudrait, elle ne serait jamais aussi forte physiquement que tous ces bonhommes qu'elle avait côtoyé. Elle en avait pleuré des heures en donnant des coups à ce qui lui passait sous la main, à se bourrer la gueule avant de provoquer des bagarres dans des bars miteux, à rentrer chez elle en sang, blessée par des types qui pensaient qu'elle faisait la proie idéale pour être violée, avant de ne plus jamais pouvoir pratiquer l'acte sexuel avec qui que ce soit à cause du manque de patience de la jeune demoiselle et du couteau qu'elle portait sur elle. Elle avait eu assez de soucis avec les policiers et assez de séjours au coffre, avant de comprendre que c'était parmi eux qu'elle avait sa place.

Sans attendre, elle s'était retrouvée embauchée. Et là, le coup de foudre.

Les armes à feu. Ces petits trésors brillants et bruyants qui ne faisaient pas de distinction de sexe. Elle pouvait tuer le plus gros des loubards, sans faire le moindre abdo. Elle pouvait se faire respecter sans même hausser la voix. Et mieux que tout cela réuni ; elle n'avait jamais ressenti autant de plaisir dans aucune des choses qu'elle avait faites avant. Un petit sourire content aux lèvres, dès qu'elle posait ses doigts manucurés sur l'armature délicate de son petit préféré, un joli SIG Sauer P226 rien qu'à elle. Dès lors, elle avait trouvé sa voie. Elle excellait. Son père aurait sans doute préféré qu'elle continue de porter des robes Chanel et porter des chaussures Alexander MacQueen... car maintenant, elle portait des Browning et des Colts, et ses yeux ne pétillaient jamais autant que lorsqu'elle avait le droit de porter des Rifle d'assaut. Perdez une obsession, remplacez-la par une autre...

Elle travaillait dur sur le terrain. Et vint un jour que même l'adrénaline du travail ne lui suffisait plus. Elle passait ses week-ends à utiliser l'argent de papa pour se payer des expériences inédites toutes plus risquées et intenses les unes que les autres.

Wow, wowowow, elle n'aurait pas du s'approcher autant, mais c'était trop tentant. Dans ses yeux brillait les lueurs rougeâtres et flamboyantes de la lave en fusion. Depuis le temps qu'elle en rêvait. Elle suffoquait presque dans son casque de protection, mais elle jubilait. Si elle trébuchait, elle était morte. Cela la faisait sourire.

Tel Bear Grylls (son héros), elle semblait n'avoir peur de rien.
C'est d'ailleurs ce qui attira l'attention du directeur de l'orphelinat Wammy's House qui avait besoin d'un professeur de Mise en Situation d'Urgence. La jeune femme n'aurait jamais dû accepter, parce qu'elle savait qu'enseigner la vie à des petits jeunes innocents et mesquins, trop intelligents pour leur propre bien, n'était vraiment pas le métier le plus exaltant du monde. Sceptique, elle avait commencé par refuser, et puis elle avait réfléchi. Elle avait déjà essayé presque tout le reste. Ce n'était peut-être pas une si mauvaise idée après tout... Et puis, refuser aurait été de la lâcheté. Et ça, elle ne l'aurait pas supporté.

Au pire, elle pourrait toujours retourner une de ses armes contre elle, s'était-elle dit en haussant les épaules, en s'imaginant le pire. Et finalement, dresser ces surdoués s'était avéré être un métier bien plus passionnant qu'elle ne l'aurait soupçonné.

SURNOM(S) : Nia DATE DE NAISSANCE : 24/08/1990 ÂGE : 10 000 ans SEXE : ❒ M ✔ F AVATAR : Yoko Littner - Tengen Toppa Gurren Lagann DÉCOUVERTE DU FORUM : : Gnééé NOTE SUR 20 DU FORUM : : Je l'aime puissance²

Fiche terminée ! :3

(Je la réécrirais à l'occasion)