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 La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End

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Sujet: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyMar 27 Oct - 13:54

[ne m'en veut paaas, je voulais trop écrire >///<
Et désolée à Bou-choute, je me mettrais à ta réponse, je le juure è__è]


Âge de Shadow ~ 16 ans.
Date ~ Un beau jour de Juillet 2008
Lieu ~ Chambre de Shadow


    Un beau jour, rayonnant de magnificence et ensoleillé comme un ciel pourrait être ensoleillé en Angleterre, un orphelinat vit. Regardons de plus près ce magnifique détail.

    Rapprochons nous donc. Dans le parc de cet orphelinat, une flopée d’adolescents boutonneux et tout ce qu’il y a de plus normal devrait s’amuser en fumant de l’herbe ou en cramant des poubelles. Oh, mais non. Ici, c’est un orphelinat –pardon : un asile- pour enfants surdoués. Et tarrés. Bien que la grande partie de ceux à l’extérieur se balance, parlent tout seul, boive du sang, mange comme quatre, et autres joyeusetés, il y en a, pourtant, qui reste à l’intérieur. Parce que malgré le beau soleil anglais (et tout le monde sait que dès qu’un rayon s’échappe, les anglais sont tous dehors pour en profiter), certains orphelins internes –et internés-, préfèrent vivre à l’intérieur, et encore plus lorsqu’il fait beau. Shadow faisait parti de ses enfants. Un petit zoom sur lui s’impose, non ? Donc. Le petit bouton sur son front qu’il tentait vainement de percer pointa de nouveau le bout de son nez/un zoom un peu moins grand, peut-être… Voila.

    Devant son bureau, Shadow, ex Sho Dowel qui avait choisi son surnom en rentrant à l’asile, dort. Parce que la grande partie de son temps, Sho dort. C’est un peu sa grande passion, une sorte d’habitude qu’il avait prise. Tout était donc normal. Le problème résidait plus dans le fait que c’était sur son BUREAU qu’il dormait. Il faudrait pourtant en effet une explication à ce comportement. Et pour répondre à la question, rapprochons nous un peu, encore (on va vraiment finir ras les pâquerettes, là). Sur le bureau, un amoncellement impressionnant de choses et d’autres. Capotes usagées, bouteilles d’alcool, qui était bu ou ne l’était pas, fringues, anti-mouche, pour chasser les mouches. Et puis, sur le côté, près de sa main, un paquet de clopes. Normal, me direz-vous, Shadow fume, même à 16 ans, il est ultra-dépendant de sa nicotine. Mais ce ne sont pas les clopes qui l’ont rendu dans cet état, non, loin de là. C’était ce qui était caché SOUS les cigarettes. Un filtre, du tabac, un briquet (un rose, son préféré, et un violet <3) et puis, un peu éparpillé, de l’herbe. De la très bonne herbe, qu’il s’était fournie chez Lazy, comme toujours, et qu’il venait de fumer. La chambre, donc, puait l’herbe, et la sueur du garçon avait émis son odeur un peu partout (oh, comme c’est sexy).

      Flash Back ~

      Assis sur son lit, je regarde comme je le peux ce joli paquet qui m’attend gentiment, sur mon bureau. C’est bizarre, mais j’ai une flemme énorme d’aller le chercher. J’veux dormir. Ouais. Dormir. Je ne comprends pas pourquoi tout les insectes farfouillent dehors. C’est moche, le soleil, en plus. Ca brule les yeux et ca fait suer. J’aime pas. Pfff… Mon premier été ici, j’en ai déjà marre. Même aux USA, il faisait plus beau, et pourtant ils étaient pas tous en train de crier, s’émerveiller, dire, énerver les autres : « waaaah, il fait beaaau ; waaaaah, on va se mettre à moitié à poiiiil et faire peur à tout le mooonde parce que il fait BEAU ; Lalala, je broonze sous le soleeeil. ». Non. On comprenait mieux que tout le monde ne souhaitait pas forcément voir nos corps, aussi beaux soient-ils.
      Ce petit paquet, je crève d’envie de l’ouvrir, pourtant.
      Soit. J’allume une simple cigarette, la porte à mes lèvres. Oh, sensation veloutée et plaisir informe, j’aime ca, j’aime toujours autant. Vraiment, si il y a un truc dont je me lasserais jamais, c’est bien les clopes. Et le cul, mais ca, c’est spécial. Je me retourne sur mon lit, m’assois sur les draps plissés qui ont vu vivre deux corps masculin cette nuit. Merde, je me souviens même plus de qui c’était, dommage, c’était très bien. Bref, c’est pas tout, mais elle m’attend toujours l’herbe. Le soleil l’illumine, connard de tout-puissant, si tu existe, pourquoi tu me fais subir ça, hein ? Trop la loose. Bon. Je me lève, me retrouve debout et manque de tomber. Il faut bien que la circulation sanguine se refasse normalement, je suis quand même resté affalé dans mon pieu cinq heures –si on ne compte pas la folle nuit que j’ai vécue.

      Je me retrouve devant elle. Allez, quand faut y aller, faut y aller. J’ouvre le paquet, le porte sous mon nez et respire cette bonne odeur. J’ai bien fait de l’ouvrir, aah.
      Un filtre, du papier, et je me mets à l’œuvre. J’étale le mélange sur le papier, replis, retourne, roule, roule, roule, et le rend sublime. Enfin finie, c’est une œuvre d’art, véritablement. Un peu énorme, mais c’est pas grave. Après la clope, ca va surement faire mauvais effet, mais tans pis, j’veux me détendre. Je l’allume –avec le briquet rose- et la porte à mes lèvres. J’inhale cette bonne odeur qui emplie alors mes poumons, mon corps tout entier. Cette sensation qui m’envahit, je me sens bien. Je souffle de bonheur, elle est vraiment très bonne, cette herbe, merci Lazy. Une nouvelle fois, puis une autre. Je m’assois au bout de dix minutes, c’était peut-être pas une bonne idée, en fin de compte, j’aurais peut-être du mon contenter de la cigarette. Mais c’est pas grave.

      Ah, j’ai sommeil. Sommeil… Sommei… Som… BAAM !!

      ~ C’est ainsi que maintenant, je dors comme un bébé sur mon bureau, et que je me perds dans mes rêves.

      Fin du flash back ~


    Ou presque. Puisque, toujours affalé sur ses affaires, Shadow n’entend pas grand-chose. Bien sur, il rêve, là, complètement dans son trip, il a fumé, tout de même.
    Soudain, il sent de l’air sur sa nuque. La fenêtre n’est pas ouverte, la porte est fermée. On crève de chaud, ici. Alors d’où cela viendrait-il ? Sho se réveille doucement, et se rend compte avec malheur de ce qui va maintenant lui arriver si quelqu’un se rend compte de ce qui s’est pas passé, dans cette chambre. Tant pour les clopes, l’alcool, le sexe, et surtout, l’odeur de l’herbe qui brulerait les yeux de n’importe qui, qui ne serait pas habitué. Ses yeux s’ouvrent doucement, et il tourne, amorphe, la tête. Un gars, sous ces yeux, il ne le connaît apparemment pas.

    - qui-que-t’es-toi ? *voix monotone et endormie, air de shooté, odeur de drogue*

    Il aurait préféré dormir plutôt que d’avoir à gérer ce genre de situation.
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Sujet: Re: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyMar 27 Oct - 15:01

    HJ - Je ne t'en veux pas, j'aime ♥ Et j'avais trop envie de répondre aussi x'D


    Un beau jour, rayonnant de magnificence et ensoleillé, ouais mais non ça pue le soleil, ça fait monter l’odeur des merdes des clébards, ça fait mouiller les aisselles en juillet de tous les orphelins et donc ça pue. Pire, la pollution était presque arrivée à passer les murs du grand orphelinat, les teintant d’un gris plutôt esthétique. Oh, s’ils étaient de la pollution pourraient ils s’échapper eux aussi ? Réponse explication de choc pour se donner l’excuse de fumer comme une cheminée toute la journée. La pollution de l’extérieur n’était rien comparée à celle qui était ici. Cul, drogue, clope, cul, tafioles, strings, alcool, cul, rock, capote, cul. Bienvenue dans le vrai monde du toxique mon enfant. C’était la plus agréable aussi, celle qui consommait le plus d’oxygène à la seconde et surtout celle qui ne changerait jamais quoique les verts fassent.

    Bref, End non plus n’aimait pas le soleil, surtout que quand on ne porte quasiment que du noir on finit par être cramé vite fait, heureusement les murs de pierre, religieusement froids avaient pour effet de repousser la chaleur, ça ne plaisait pas à tout le monde, bah oui, toutes les allumeuses de l’orphelinat préféraient profiter du beau temps et exposer leurs soutifs etam rembourrés aux bishos plutôt que de se les cailler à l’intérieur où il n’y avait âme qui vivait, ou Roger peut être. La piscine devait également être remplie, inutile de préciser ce qui pouvait s’y passer. La journée avait été chiante, même si les cours étaient finis depuis quelques semaines déjà et que pas mal d’imbéciles de profs étaient retournés dans leurs foyers ou dans leurs familles il n’y avait ici rien à faire. Les voyages dans d’autres pays était minimisés et interdits pour certains tels les Others, si bien que les orphelins s’occupaient comme ils le pouvaient.

    Le pseudo gothique marchait vite, dans les couloirs, énervé au possible, énervé par le manque. Il portait un t-shirt assez décolleté, gris, avec des graphismes glauques et noirs trop classes, un jean pas très moulant contrairement à d’habitude, trop chaud pour les slims, trop chaud pour les accessoirs bracelets de force mais quand même, et les shorts c’était ridicule, ridicule et il portait pourtant des tongs, comme à la plage, ouaip, en plus des tongs à têtes de morts roses, on aurait vu ses ongles de pied manucurés qu’on se serait pas étonnés, bref. Et ça crevait de chaud quand même. Il était énervé, tout simplement parce que Lazy avait soudainement augmenté les prix du shit, comme par hasard, prétextant que les affaires étaient dures en été et que les flics étaient souvent en patrouille pour surveiller les éventuels touristes attentateurs. En gros il n’avait pas sa dose, depuis quelques jours déjà, et se sentait proche de la crise de nerf. Vous savez ce que c’est quand ya qu’une chose qui vous maintient « heureux » et qu’on vous la prive ? Oui, bah c’est chiant, et le soleil ne faisait qu’échauffer ses méninges. End jurait tout seul à haute voix, se promenant pour évacuer la tension, auquel cas il allait sûrement finir par frapper le premier qui passait.

    Quand soudainement un frisson le prit à la nuque, il y avait une odeur dans le couloir des chambres, une odeur qu’il connaissait… ouais, ça puait la coke à plein nez, peut être que quelqu’un qui n’avait jamais connu le nirvana de la drogue aurait sentit là dedans une douceur odeur de fleur fanée. Celui qui avait répandu cette odeur était dans la merde s’il se faisait attraper. Et voilà le sens de l’homme viril affolé par l’envie et le poison, transformé en animal qui sent l’odeur de la bouffe. Toutes les portes des chambres étaient fermées… après tout c’était pas ses oignons si ?

    Quand soudain un courant d’air le décoiffe et une porte –probablement mal fermée- claque, s’ouvre et se referme, encore, dans un grincement assez macabre. Y va ou y va pas ? Le mec genre, sans gêne. Puis End passe, comme si de rien n’était, un peu plus lentement, non beaucoup plus lentement devant la porte qui s’ouvre toute seule pour apercevoir à l’intérieur de la chambre… une limace noire… non, une grosse peluche, un mort, un humain mort, ah. Il ne fait rien, ne dit rien et se contente d’hausser un sourcil en voyant le garçon, affalé sur son bureau, entouré de tout son shit, de toute sa merde, et l’odeur le fait cligner des yeux, frotter le nez qui est sollicité. Faudrait qu’il appelle les secours non ? Bah, une bonne claque et il se réveillera, faudrait pas voir à le dénoncer non plus. Quand soudain la chose se réveille, elle est née, vivante, il est…. Complètement défoncé et ça se voit. Oh, mon Dieu, la chose parle, elle est encore douée de conscience, la chose a conscience de l’autre chose qui la regarde, trop attirée par l’odeur pour partir. La chose va parler.

    « qui-que-t’es-toi ? »

    … Le brun plisse un peu les yeux sur le jeune drogué puis regarde dans le couloir, Roger. Roger au bout du couloir. S’il vient la chose est cuite. Et lui aussi peut être. End, en ange gardien rentre dans la chambre et la ferme à clef, de toute façon s’il lui avait dit de le faire la chose n’aurait pas eu le temps de réagir, peut être pas la capacité de se lever, et en plus ça aurait paru louche. Il attend, contre la porte, que le vieux soit passé, et quand ses pas se font lointains il pose de nouveau son regard ténébreux sur la chose.

    « Aucune importance. Mais toi tu ferais mieux d’être discret quand tu te défonces la gueule, le vieux a failli te coincer là. »

    Ses mains sont contre la porte, la tête légèrement baissée, le regard levé.

    « … »

    « Comme je suis gentil de t’avoir couvert. »

    « Tu me laisseras bien profiter un peu de la bonne odeur de ta chambre ? En plus si je sors avec ça…Ya les pions qui patrouillent et… »


    Il montre tout le matériel du petit drogué qu’il avait avec lui, qu’il avait amené en espérant pouvoir avoir la drogue de Lazy, c’était du prêt à consommer quoi. Il haussa un peu les sourcils, un mini sourire en coin, s’il fallait qu’il lui achète un peu de drogue il le ferait, c’était l’occasion.

    Il vient vers lui, l’observe et le secoue.

    « Woohoo, c’est l’heure de se réveiller, tu vas pas te shouter tout seul c’est triste. »

    Espoir espoir mon pauvre End, la drogue est l’or de l’adolescent.
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Invité
Sujet: Re: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyMer 28 Oct - 12:43

[... sans commentaires, je suis trop partie en live avec l'ukulélé XDDDDD
et OMFG, j'aime ton post >w< Ce RP me fait vraiment trop rire <3]


    Il étais une fois, dans un joyeux orphelinat de campagne anglaise, ou tout le monde ri et s’amuse… Un camé complètement défoncé et avachi telle une masse informe et sans intérêt, comatant, comme une larve sur son bureau. Heureusement pour lui, un compagnon qui le comprenait et le soutenait venait d’arriver.

    Le truc qui venait de s’infiltrer discrètement dans sa chambre paraissait danser avec un ukulélé à la main, une banane dans le nez et un ballon de foot sous le bras. ( ?) Shadow observa comme il le pouvait ce musicien improvisé qui flottais dans son esprit brouillé, et lui avait demandé un peu à l’arrache qui il était. Sho tentais d’apercevoir des détails qui le renseignerait sur l’identité de l’inconnu à ukulélé se déhanchant devant lui. La réponse ne se fit pas attendre, le brun apercevait vaguement la masse qui ouvrit la bouche (la banane tenait encore, je vous jure).

    « Aucune importance. Mais toi tu ferais mieux d’être discret quand tu te défonces la gueule, le vieux a failli te coincer là. »

    … Il parlait très fort.

    *ouaaaah mes oreeeilles*

    Si, ca avait de l’importance, et bien qu’il pense que non, ce n’était pas tout les jours qu’on voyait ce genre de personne dans l’orphelinat. S’il avait pu –et avait eu le courage de se faire attraper par tous les pions de l’orphelinat-, il aurait crié à l’infiltration. Heureusement pour le musicien, visiblement brun, aussi, Shadow n’en avait pas la force. Il aurait préféré décanter tout seul, tranquille, mais à en croire le peu du caractère qu’il voyait, l’autre brun ne paraissait pas vouloir partir. Pfff, quand est-ce qu’on le laisserais enfin tranquille, le pauvre ? Jamais, au grand jamais, il ne pourrait se bourrer la gueule tranquille, fumer son shit tranquille, se défoncer tranquille. Vivre tranquille. Un mec par ci, un mec par la, un vendeur de clope, et voila qui suffirait à le rendre heureux. Pas un joueur minable d’ukulélé à moitié nu. Ca, il n’en avait pas besoin pour vivre, non, loin de là. Oh, il arrêtait la musique. Dommage, ca faisait un peu d’ambiance dans cette pièce morbide qui puait et dans laquelle avait parue pourrir un cadavre depuis bien un mois entier. Ce qui n’était pas foncièrement faux, mais passons.

    Mais Shadow, lui, il voulait connaître le nom de cette chose informe sur la pas de sa porte, qui jouait de la musique hawaïenne divinement bien.

    - Guuuuh… Joli… Ukuuléléé. Burp. Héhéhé !!

    Pathétique au possible, il perdait bien toute dignité, là. Complètement défoncé, mais heureux, il trouvait vraiment l’instrument de musique joli, même s’il n’y voyait pas grand-chose, de toute façon. Oh, le ballon avait disparu entre-temps, peut-être que ukulélé-boy l’avait jeté sans que Shadow ne s’en rende compte. Et… La banane avait surement été mangée. Ouais, ca devait être ca.

    En plus de ça, ukulélé-boy l’avait apparemment sauvé de Roger-la-vieille-bique. Apparemment. Il serait passé dans le couloir alors que s’échappait magnifiquement toutes les odeurs du shit brulé de la chambre. Et Shadow ne préférait pas se faire choper. Si ca avait été le cas, il aurait été confisqué de tout les produits illicites de sa chambre, autant dire qu’elle aurait été presque entièrement vidée. Et cela, Sho n’aurait pas pu le supporter, oh ça non. Plutôt crever que de plus pouvoir fumer. La cigarette, c’était plus que sa vie, c’était son âme, c’était un lui complémentaire qui le faisait vivre, pire qu’une drogue, mauvaise pour la santé, inutile au possible, chere (surtout avec la crise). Mais il aimait.
    Et pour cela, pour avoir sauvé son âme, en quelque sorte, il remerciait ukulélé-boy. Pas trop quand même, un simple merci suffirait grandement. Encore faudrait-il pouvoir parler correctement, et là, on était plutôt loin du compte. Aligner deux mots entiers relevait maintenant du défi surhumain. Mais Shadow ETAIT surhumain (un peu comme toutes les créatures peuplant l’orphelinat) et on sait tous qu’il PEUT le faire. Allez, Shad’, nous sommes avec toi. Un mot, et tu seras fier de toi tout le reste de ta vie.
    Pas de chance, au moment ou le pauvre Shadow tentait d’ouvrir sa bouche en se préparant à dire son mot (vu comme ca, il passe pour un gosse qui cherche la bonne prononciation), Ukulélé-boy le prit de court, et parla. En effet, plus de banane.

    « Comme je suis gentil de t’avoir couvert. »

    Il lisait dans son esprit ou quoi ? Maintenant, et uniquement maintenant, on pouvait dire que Sho ne pouvait plus réfléchir par lui-même et qu’il passerait dorénavant… pour un con. Pauvre petit. Tout ca a cause d’un paquet de shit.
    Mais non, il devait out de même dire son mot, c’était son objectif, s’il ne le faisait pas, il s’en voudrait toute sa vie.

    - M… Merciiiihihihi.

    Raté.


    Malheureusement pour lui, ukulélé-boy avait l’air entreprenant. Shadow ne comprenait pas encore ce qu’il cherchait vraiment à venir dans SA chambre, pour respirer SON shit, et voir SON état pathétique au possible. En plus, dans un tel état, le brun ne pouvait pas trop interpréter les comportements, alors que c’était sa plus grande fierté, d’observer. Et même s’il voulait essayer, cela se transformerait surement en « ukulélé-boy ne veut pas jouer de la musique quand Roger est là, mais en plus, il est naïf de penser que moi (Shadow), je vais l’écouter gentillement sans rien dire alors que je préférerais comater sur mon bureau avec ma cam. » Autant dire qu’il ne valait donc mieux pas qu’il essaye.
    Toute sa vie, Sho n’avait jamais partagé quoi que se soit avec qui que se soit. Alors si les intentions d’ukulélé-boy étaient de lui piquer son shit, la réponse serait clair et unique. Même s’il avait été gentil. Ukulélé-boy était un gentil garçon, même si ses gouts vestimentaires étaient plutôt… spéciaux.

    « Tu me laisseras bien profiter un peu de la bonne odeur de ta chambre ? En plus si je sors avec ça…Ya les pions qui patrouillent et… »

    En annonçant cela, il se faisait apprécier par Shadow, tout en se faisant détester : C’était un bon garçon s’il appréciait l’odeur, mais c’était un mauvais garçon s’il voulait en profiter. Sho n’est jamais content, aussi, on ne peut pas vraiment lui en vouloir de ne pas prendre de décision complète telle que « il est complètement gentil ? » ou « complètement méchant. ». Bref.
    Il inspirait également la pitié, avec tout son petit matériel de drogué, maintenant. Conclusion : il était totalement gentil. Mais il n’avait pas vraiment intérêt à manipuler le petit Shadow, tout le monde sait que c’est mal d’utiliser plus faible que soi.
    Shadow, pendant se temps là, était étendu de tout son long sur son bureau, avec la tête tournée vers la porte, mais toujours affalé. Il observait, les yeux vides et pupilles brillantes, comme il le pouvait, essayant de percevoir les détails et les mouvements de ukulélé-boy qui lui présentait l’air de rien tout ses petits instruments si attachants <3

    Muet, Shadow bavait devant tous les trucs de métal qu’il ne possédait pas. Pas assez de moyens pour ça. Il fallait faire un choix : Drogue, Clopes et autres joyeusetés, ou bien petits sextoys pour ces derniers. La preuve, ukulélé-boy, avec toute sa technologie, ne paraissait pas avoir de drogue sur lui. En plus de ça, Shadow y allait toujours à l’arrache quand il fumait du shit. Et il n’avait pas besoin de tout ces joujoux, vu qu’il ne se piquait jamais, par contre (ceci représente le cerveau du brun qui veut se mettre en tête qu’il ne rêve pas d’avoir tout ces jolis jouets, et que cela lui est inutile.)

    Se regard se perdait encore et toujours, et ukulélé-boy, pendant ce temps, c’était rapproché de lui.
    Il secoua Shadow, qui, dans un ‘’blublubluuuuh’’, se dit qu’il aurait largement préféré dormir. Mais c’était déjà ça.

    « Woohoo, c’est l’heure de se réveiller, tu vas pas te shooter tout seul c’est triste. »

    - whahahahaha, rien n'est triste dans la viee lalala <3

    Mon dieu, Shadow, Shadow…

    Il regarda fixement ukulélé-boy, tout en laissant tomber sa tête ça et là.

    - Dodo. Laisseeeuh moi dodo. Guhuhuhu. Mais, c’est quoi ton nom, joli ukuléléééé ? héhéhéhé…

    Parce que c’était jamais drôle de parler à des gens dont on ne connaît pas le nom, tout simplement. Et qu’il voulait mettre un mot au nom d’ukulélé-boy-son-sauveur-de-la-privation-générale.

    - Veux’ voir tes joujouux, laisseuh moi jouer...

    Tout en parlant, il secouait les mains pour attraper la sacoche ou était planqué les jouets. Et qui était plusieurs mètres derrière, mais mieux vaut ne pas le contredire.

    En y regardant de plus près, en fait, ukulélé-boy c’était transformé en un truc sans ukulélé. Pas drôle.
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Sujet: Re: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyDim 27 Déc - 18:38

Let’s back away from here
Step back to initial-prima-scene

    C’était…c’était finit pour la chose, définitivement.
    Pas qu’il pense ça pour méchanceté mais ce type était presque encore pire que lui. Tant mieux, il se sentait moins seul à s’engloutir dans la merde dans laquelle ils se trouvaient. En fait … non. C’était eux. Ils étaient la merde de ce monde. Les déchets, la poubelle, les consommateurs de drogue qui faisaient joyeusement tourner l’industrie des trafiquants, et plus loin la mafia. Et il y avait de cette pourriture à chaque coin de rue, à chaque angle, et maintenant il suffisait de pousser une porte pour trouver un semblable, comme Shadow et End. Ils étaient sensés être intelligents non ? Peut être était ce justement à cause de cette particularité que les orphelins de la Wammy’s étaient si désespérés. Et comment mettre fin à cette abominable souffrance ? L’oublier. Et comment l’oublier ? En se détruisant le cerveau à l’aide d’un peu de crack, ça suit une logique implacable n’est ce pas ?

    End n’avait pas pitié de Shadow. End n’avait pitié de personne à vrai dire, mais voir cet adolescent dont il ne connaissait même pas le nom au Walhalla ne lui apportait ni plaisir ni pitié, non rien. Un vide. Juste une vague sorte d’amusement peut être due au fait que ce mec racontait vraiment n’importe quoi. Mais pourquoi diable s’était il retrouvé dans sa chambre ? Ironie du sort ? Destin ? Message de Dieu ? En tout cas si End s’en allait cette chose se ferait vite repérer puis mise en colle, voire se faire supprimer toute sa drogue et être obligée de vider une nouvelle fois son porte monnaie pour cet enfoiré de Lazy. C’était très cruel. End n’avait peut être pas pitié mais il pouvait se montrer compréhensif, il n’aurait pas vraiment aimé qu’on la lui retire sa drogue. Il y a très peu de gens qui rendent la pareille de ce qu’on leur a offert à Wammy’s House. Mais peut-on rêver.

    Et là il entendait la chose brune vociférer et rire à plein poumons avec cet air d’attarder qui font qu’on confond un mongol avec un drogué. C’était décidemment un spectacle super comique à regarder et End ne put s’empêcher d’hausser les sourcils et sourire, dents serrées, ce qui voulait dire « mais oui mais oui mon grand ». Il avait cette gueule aussi quand il était drogué ? C’était décidemment un état peu glorieux. Ce mec … attend. C’était bien… mais oui… En fait non, c’était qui ? Les deux garçons bien qu’ils soient tout deux en classe 2 ne semblaient même pas se connaître. Forcément, vu l’intérêt qu’ils portaient chacun aux autres. Pour End c’était limite si il savait qui est Near. Forcément… Apparemment les drogués se montraient discrets.

    Était-il vraiment destiné à rester ici à écouter les histoires d’un mec en bad trip ? Pire qu’un mauvais film pornographique ça. Oh jeunesse décadente. End n’était pas assez vautour pour rester là et voler le shit de ce pauvre mec, mais pas assez sans cœur pour laisser la pauvre chose se faire prendre, mourir comme une merde dans sa chambre. Il voyait déjà la cérémonie funéraire du lendemain « un jeune homme se suicide en sautant par la fenêtre, se croyant soudainement Peter Pan. » Les instruments pour se droguer la tête, il pouvait tout à fait les cacher sur lui, ce n’était pas le problème. Restait plus qu’à ce qu’un pion avisé ne respire pas la bonne odeur d’herbe qui émanait de la pièce. Pour l’instant ça allait. Vu qu’il venait de fermer la porte à double tour.

    Alors que le Dark Nightmare secouait le pauvre drogué, celui-ci émit des bruits étranges, vous imaginez quelqu’un rire et baver en même temps ? Non, bon tant pis.

    « whahahahaha, rien n'est triste dans la viee lalala <3 »

    « Ouais, haha, youpi… »

    Méchant End sarcastique. Méchant End qui profite d’un moment d’euphorie pour se foutre de la gueule de Shadow. Nan, sérieusement ce mec aurait un bon acteur de film d’horreur, ou alors clown dans un hôpital, c’est pareil. Pas qu’il était moche non, mais il bougeait vraiment bizarrement. D’abord il était canon ce mec, personne pouvait dire le contraire. Enfin sans l’air de demeuré qu’il se tapait il devrait sûrement être un peu plus beau mais que voulez vous.

    « Dodo. Laisseeeuh moi dodo. Guhuhuhu. Mais, c’est quoi ton nom, joli ukuléléééé ? héhéhéhé… »

    « …Jean-Bernard et toi ? »


    Juste parce que y’a pas plus drôle que faire marcher quelqu’un, sauf que lui il marchait pas il courrait. Et toi, simple question de politesse, quoique…End n’était pas sûr que ça fasse vraiment quelque chose à ce camé. Enfin…juste voir si il allait marcher, puis après il le lui dirait son pseudo, si ce mec voulait vraiment le connaître…

    « Veux’ voir tes joujouux, laisseuh moi jouer... »

    « C’est pas pour toi, c’est pour les grands garçons. »

    Tout en observant Shadow essayer d'attraper le sac, End souri, mais il savait bien que parfois c’était bien dangereux de se mettre en travers de la route d’un mec bourré jusqu’à la tête.

    « Tiens tu vois je te donne ça en échange. »

    Il fouilla dans sa poche et ne trouva que son briquet qu’il fourra directement dans la main de Shadow puis tapota sa tête. Un briquet ma foi bien compromettant, sur lequel était représenté une femme nue en position plus ou moins inhabituelle. Il pouvait pas trop faire de conneries avec un briquet hein ? C’était même impossible à faire marcher un briquet quand on tremble comme un vibromasseur hein ?

    Et voilà qu’il se retrouvait nounou. Et merde, il devait absolument résister à l’envie de se fumer là maintenant tout de suite un joint. La porte était fermée donc logiquement ça ne poserait pas énormément de problèmes…après restait à voir si ils s’en sortiraient indemne. Putain d’odeur. Putain de tentation.

    Dépendant. Complètement dépendant.
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Invité
Sujet: Re: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyMar 2 Fév - 21:14

[HJ : ... J'espère que ça t'iras, malgré le lourd du post, j'étais trop insprirée XD

J'ai aussi honteusement abusé de Spade, je m'excuse T_T.
Léa, si tu veux pas, je remplacerait par Vanilla. (ou alors par Bella-la-cruche HAHAHA *spaf*)]


    Son nom ? Il venait, à l’instant et avec humour, lui dire. Un brin cynique – voire pire -, Sho, ce pauvre enfant, pensait qu’ukulélé-boy s’appelait… Jean-Bernard. Oui, un peu comme les Saint-Bernard, cette race de chien, avec du vin autour du cou. Du vin, oui. Du vin… De l’alcool !!
    Shadow se rua sur une bouteille, non loin de là, et avala goulument ce qui s’y trouvait. Elle était bien là depuis plus d’un mois, et le gout acre et acide de l’alcool lui fit avoir quelques remontées. Tant pis, et dans tout les cas, il ne s’en rendait même plus compte.
    Complètement pathétique, complètement hors de lui, de ces moyens et totalement déshumanisé, devant les yeux perçant… de Jean-Bernard. Son regard, lui, ne pouvait plus distinguer réalité et merveilleux [le mot étant peu approprié, mais lui le voyait comme cela].
    La bouteille finie, aucune goute n’ayant été laissée au hasard, il la jeta sur le sol. Fracas, bruit de verre brisé, ses oreilles furent touchées avec une force improbable, et l’envie de silence lui traversa très lentement l’esprit. Oui, du silence. SILENCE.
    Mal de tête. Mal de tête. Non, sa tête allait exploser. Pire, elle le brulait, ses neurones – en avait-il vraiment- s’enflammaient, les parois de son crane explosant sous la pression de ce bruit, intenable. Intenable situation.

    - SILENCE !! AAAH SILENCE, PUTAIN !

    Il s’affala sur son bureau, pleura comme un enfant. Il ne comprenait toujours pas les vrais composants de ce qu’il avait fumé… A vrai dire, il ne se souvenait pas même des dix dernières minutes. Vite, ce sentiment s’évapora, et il voulu en savoir plus sur les jouets de Jean-Bernard.
    Cacophonie de geste, de sentiments, de sensations, tous plus contradictoires les uns que les autres.
    Il voulait. Il voulait toucher cette chose que Jean-Bernard avait. Les posséder, les toucher, leur forme, leur texture, tout. De même que, maintenant que le garçon à ukulélé ne l’était plus, ce dernier devenait de plus en plus intriguant.

    « C’est pas pour toi, c’est pour les grands garçons. »


    Il balada ses bras, les jetait pour les lâcher une fois en haut, plus de forces, plus de forces. Il tomba, et ria un peu. Puis il pleura. Avant de se remettre à rire.

    Pathétique, pathétique situation.

    Jean-Bernard lui refusa gentiment le sac de provisions, en le narguant. Shadow, après avoir fait une crise de larmes quelques secondes, agenouillé sur le sol, son visage entre ses mains – en fait, i l était entre rires et larmes – remarqua le jeune homme s’approcher. Il fouilla dans ses poches.
    Un cadeau ?? Il lui offrirait une villa, un château ? Une belle voiture, une pute ? Que sortirait-il de sa poche ? Une clope – encore- ? Non, non… mieux.

    « Tiens tu vois je te donne ça en échange. »


    Une retira un objet brillant, mieux que l’or, mieux que le platine… Un briquet. Shadow le prit violemment des mains de l’adolescent, et la porta à son cœur, comme s’il venait de retrouver un amour perdu durant des années. Son cœur s’emballa quand il se rendit compte que le dessin – oh, qu’il était réaliste !- ne représentait ni plus ni moins une femme. Nue. Dans une position compromettante. Pourquoi se grattait-elle les fesses ?
    Sho n’avait jamais été attiré par les femmes que dans ses trips. A vrai dire, il venait de s’en rendre compte. Une fois, il était tombé sur Spade, prenant sa douche. Cela ne lui avait rien fait. (En même temps, Spade ne représentait peut-être pas l’idéal de la femme pulpeuse et sexy que tout les hommes peuvent se faire ? Qu’importe, c’est l’intention qui compte). Même les petits gestes et bruits de la chatte (pitié, n’y voyez aucune allusion) n’y avait rien fait. Il était resté là, comme si elle avait trente épaisseurs de pull et trois caches-oreilles, qui lui cacheraient toute ses formes et courbes de fille. Non non, Shadow en avait donc fait l’expérience : C’était la première fois qu’il rougissait devant une photo de femme.
    Le trip, le trip.
    Lorsqu’il reprit ses esprits – si on peut dire ça, au vue de la situation- , il alluma le briquet, une lueur brillante d’amour et de compassion brillant dans ses yeux, et le porta au ciel, comme si la flamme était devenue une offrande divine. C’était le cas. Il prononça quelque incantation soi-disant indoue, et lâcha la molette. Il huma l’air, ses poumons envahis par cette odeur de feu qu’il aimait tant. Et il eu le malheur de regarder Jean-Bernard dans les yeux. Jean-Bernard, lui, le regardait déjà. Ses pupilles, dilatées, sa bouche, asséchée. Oui, il aurait crevé pour fumer un peu. Surement. Il se retourna, vérifia un possible entrebâillement de la porte, et re-scruta, comme une bête sauvage Shadow. Ce genre de regard, cela ne lui faisait rien. En général. Là, cela n’eu que l’unique conséquence de lui donner le tournis, et il s’affala sur le sol, fatigué. L’hystérie envolée, un temps passa, ou il n’écoutait plus rien que les battements de son cœurs, cette même cadence qu’il supporterait toute sa vie durant. Lorsqu’il rouvrit les yeux, il regarda de son regard le plus sérieux, et le plus fixe, Jean-Bernard.

    - Eh. Ça te dirais, de fumer un peu, histoire d’utiliser cette jolie chose que tu viens de me donner avec grâce ? ♥

    Il afficha un joli sourire narquois, et, en se relevant, continua.

    - Avant ça, Jean-Bernard, jpeux te poser r’une question ?

    Le côté camé du jour aurait pu disparaître, mais non, cela ne fut pas le cas.

    - T’as du vin autour du cou ? *o*

    Regard fasciné, regard brouillé, il ne parvenait toujours pas à cerner réel et imaginaire.


    > Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire.
    Guillaume Appolinaire
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Sujet: Re: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyJeu 4 Fév - 19:46

    End ne comprit pas très bien... plusieurs choses se passèrent pendant un laps de temps durant lequel ce garçon qu'il venait de rencontrer semblait illuminé par la volonté divine... ou contrôlé par un sadique. Ou quelque chose du genre. En gros ce drogué ria, et pleura en même temps, et End avait l'impression de visionner une mauvaise vidéo en arrière et en accéléré. Vous savez, quand les voix deviennent suraigüe, et que les gens commencent à faire des mouvements étranges qui n'ont aucun but. Vraiment, ce mec devrait faire acteur ou quelque chose comme ça, et la tête que tira le brun incrusteur devait sûrement faire peur peur à voir. Il fronçait les sourcils, l'air suspicieux. Au cas où la chose se jetterait sur lui d'un coup, tout était possible. Ca tournait au random. On avait l'air si bargé quand on est en bad trip ? Il fallait croire.... Mais... End ne pouvait pas laisser ce type tout seul ici, il allait sauter par la fenêtre en criant qu'il apprenait à voler...ou autre chose il n'en savait rien. Et en plus il venait de s'avaler de l'alcool. Vraiment...

    End posa deux phalanges sur son front comme s'il allait murmurer "ooh misère." parce que là ça commençait à le blaser plus que ça ne l'amusait. Surtout parce qu'il s'était mit dans de beaux draps en venant ici. Maintenant il se retrouvait nounou, enfin euh... gardien d'asile.

    Quand Shadow eu prit le briquet en main il continua à le regarder comme si End venait de lui offrir un billet de
    500 livres, ou un doudou perdu depuis des années, ou quelque chose comme ça. Le brun ne put pas s'empêcher d'émettre un rire nerveux en voyant ce pauvre adolescent perdre ses esprits comme ça. C'était bizarre... généralement pour ce qu'End avait pu en voir ce type était...plutôt discret... il ne connaissait même pas son nom. Trop poli pour être honnête hein ? Soudain Shadow s'affala sur le sol, comme s'il venait de se rendre compte qu'il avait utilisé toutes ses forces dans son petit sketch de tout à l'heure.

    « Eh. Ça te dirais, de fumer un peu, histoire d’utiliser cette jolie chose que tu viens de me donner avec grâce ? »

    End haussa les sourcils. Tiens, il se rendait compte de sa présence maintenant. Mais il fut prit au dépourvu... Il lui proposait quoi là? De lui donner une clope ou de fumer avec lui ? End sentit sa gorge s'assécher, c'est vrai que depuis qu'il était entré ici il ne voulait rien d'autre que fumer...terrible une telle dépendance.

    « Bon... c'est demandé si gentiment....»

    Apparemment Shadow n'avait jamais vu de femme nue pour avoir été à ce point obnubilée par le dessin sur le briquet. Puis il se releva, suivit du regard par son interlocuteur.

    « Avant ça, Jean-Bernard, jpeux te poser r’une question ? »

    End esquissa un sourire crispé au nom de Jean-Bernard. Bon, ce mec l'avait cru, il était définitivement foutu pour les 24 heures prochaines.Avant qu'il ai eu le temps de répondre Shadow reprit la parole.

    « T’as du vin autour du cou ? *o* »

    Le brun aux accessoires gothiques haussa un sourcil dubitatif, comme s'il se trouvait en face d'un objet non identifié. Il faisait référence aux Saint-Bernards ? End eu pendant une demi seconde l'image mentale de lui même déguisé en Saint-Bernard. Non c'était pas drôle.

    « What the fuck ? »

    Il aurait presque pu rire parce que Shadow était trop mignon comme ça, étoiles dans les yeux. Mais bizarrement il semblait presque prêt à se jeter sur lui pour lui sucer le cou jusqu'au sang. Euh... c'était peut-être à éviter...Il baissa les yeux vers ses colliers...ça ressemblait tant que ça à des tonnelets d'eau de vie ?

    « Tu crois pas que t'es déja assez bourré comme ça ? »

    Il souria, l'air de celui qui se veut bon élève modèle. Mais il n'en pensait pas le moindre mot en fait...

    « Non, mais j'aimerai bien... »

    Le mec faisait très peur, on aurait dit qu'il avait les yeux malsains et brillants. D'ailleurs... il en avait marre de l'appeler "le mec". End prit en main un de ses colliers, dont le pendentif représentait une tête de mort. Puis il le tendit à l'autre adolescent.

    « T'as qu'à mordre ça si tu veux, si tu vois une bouteille. »

    Pause de deux secondes.

    « En fait c'est quoi ton nom dis moi petit drogué ? »
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Sujet: Re: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyDim 14 Mar - 10:28

La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End 10294771
> La réalité c'est l'illusion créée par l'absence de drogues.
[Richard Desjardins]


    « What the fuck ? »

    Shadow-le-camé dut décomposer l’expression afin de la comprendre avec plus de facilité. Malgré le fait qu’il la connaisse, et ce depuis déjà des années lumières, la drogue qui s’infiltrait dans ses veines lui empêchait définitivement toute forme de réflexion. Donc, il commença par le début. Afin de sa concentrer, il baissa les yeux au sol et se gratta la tempe avec son index droit, puisque sa main gauche était maintenant prise par un nouveau mélange de paradis artificiel ♥ Allons-y et suivons pas à pas Shadow, qui réfléchit. « What… Hem, c’est ‘’quoi’’, je crois savoir. The… ‘’LE’’ ! Et puis fuck… » C’était bien le seul mot pour lequel il n’avait pas eu à réfléchir. « Baiser, ou enculer. » Mis bout à bout, cela formait quelque chose d’absolument incompréhensible. Ainsi, Sho décida que dorénavant, il ne tenterait plus de réfléchir.

    Pendant que Jean-Bernard observait consciencieusement les petits tonneaux de vin autour de son cou [A force, ils étaient apparus, malgré Shadow], le drogué retomba sur le sol dans un petit rire étouffé. Il se frotta les fesses qui, par le choc, avaient subis le poids de tout le corps de l’adolescent.
    Mauvaise idée, mauvaise idée.
    Il espéra que Jean-Bernard s’assoie aussi, auquel cas il donnerait bien vite le tournis à Sho, qui l’observait tanguer, d’en bas. A vrai dire, Jean-Bernard se composait de trois personnes. Ils avaient tous la même expression dans les yeux, et le même petit sourire figé. Peut-être des triplés liés intimement par leurs faits et gestes ?

    « Tu crois pas que t'es déjà assez bourré comme ça ? »

    Shadow balança sa tête de droite à gauche, très vite. Putain de tête. Il avait mal, très mal. Un marteau lui frappait délicieusement dans les tempes, en rythme et cadence, encore, et encore…

    - Non non non non non nooooon….

    Il chuchota cette dernière réplique pour s’en persuader lui-même, comme si Jean-Bernard n’était plus rien que son Alter Ego, qu’il lui posait des questions par la force magnifique de la pensée.
    Jean-Bernard était un gentil chien, mine de rien. ♥

    « Non, mais j'aimerai bien... »

    De quoi il parlait, l’autre, là ? Sho lui fit comprendre cela par de grands yeux qui ressemblaient un peu à ca « o___O » et s’empressa une nouvelle fois de réfléchir à l’énigme qui lui était posée. Et merde, la bonne résolution de la journée de tenait plus. Déjà.
    De quoi avait ‘’parlé’’ Shadow, avant ? De.. AH MAIS OUI ! Des tonneaux de vins ! Donc, par simple déduction, l’adolescent en déduit le fait que Jean-Bernard aurait bien voulu avoir de l’alcool accroché au cou. Pourquoi avait-il des tonneaux vides, alors ? Incompréhensible…
    C’était CA, la force d’un surdoué de a Wammy’s house, cet orphelinat pour dingue qui ressemblaient à des mini-Einstein.

    - Alors, déjà, SIT DOWN.

    Il lui ordonna d’un geste de la main, montra du doigt le sol, puis tapota sur ce dernier pour montrer un exemple.

    - Viens viens vieeens !! Allez, J-B, soit cool !

    Blanc. Un petit « huhuhuhuhu » s’échappa du gosier de Sho, qui se mit une nouvelle fois à se marrer pour rien. Ah si, pour le vent qu’il risquait de se prendre. Pourtant, on pouvait facilement lui faire confiance, à Shadow, non ?

    Durant le laps de temps ou J-B, alias Jean-Bernard, réfléchissait, il se dit que vraiment, il devrait rester, l’autre.
    Ce n’était pas cool, les bad trip tout seul, dans le noir. Mais visiblement, par chance, Jean-Bernard avait l’air plutôt excité à l’idée de fumer avec Shadow. Il paraissait aimer et se délecter des drogues, quelle qu’elles soient. Il paraissait même plus, il paraissait respectueux envers elles. Oui. C’était une vraie relation entre un toxicomane et sa drogue.
    En conclusion, « on ne voit pas d’un mauvais œil le stupéfiant en question, et il nous le rend bien. ». Imaginez Loréal qui représente la drogue [putain, ca va finir en thèse…], et la fille avec les cheveux emmêlées et colorés horriblement. Voila.

    Jean-Bernard le sortit de ses thèses bizarres en lui mettant sous le nez une tête de mort. Il voulait le tuer ? Ou bien cela signifiait qu’il était déjà mort ? Ou bien…

    « T'as qu'à mordre ça si tu veux, si tu vois une bouteille. »

    C’était quoi, l’intérêt de bouffer une tête de mort quand on voyait une bouteille ? On aurait dit un vieux remède de psychologue des années 50 qui essaye par tous les moyens de faire arrêter les « mauvaises choses méchantes et pas bonne pour la santé » à son patient.
    Dans la mesure ou Shadow voyait des bouteilles partout, qu’elles soient véritables ou imaginaires, il se mis à croquer furieusement le collier, comme un petit chien et son os. Il grignota l’objet, toujours en regardant de ses mignons yeux son nouvel ami – désigné malgré lui.

    - Merchi.

    Il se remit à mangeotter son nouveau jouet.. D’un côté, cela l‘empêchait de rire comme un beta. D’un côté.
    De l’autre, il avait vraiment l’air d’un petit toutou qu’on calme comme on peut

    « En fait c'est quoi ton nom dis moi petit drogué ? »

    Shadow réfléchît et enleva de sa bouche le pendentif, maintenant croulant sous la bave.

    - Heu… Shajoow. Sha-JOW. Merde. Sha-dow. Shadow, Shadow.

    Il pouvait arrêter avec les questions, un jour ?

    Sho sortit se sa manche un bout de papier qui était déjà mélangé à des tonnes de trucs tous plus illicites que les autres, et le tendit, un petit air navré et cynique sur son visage.
    Il craquerait, il craquerait. Bien sur qu’il craquerait.

    Parce que le drogué craque toujours.


[Putain, c'est lourd........ U___U Désoléééée.]
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Sujet: Re: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyLun 17 Jan - 20:31

    Vous n'êtes pas censé le savoir, mais End était faible. Très faible. Pourquoi utiliser l'imparfait d'ailleurs, End est faible et c'est tout. Malgré le fait qu'il se donnait des airs de garçon fort et intouchable End était très sensible au monde extérieur. Il suffisait de rien pour lui miner le moral, mais non, oh non jamais il ne le montrerait, il n'était pas une tapette, merde quoi. Il ne voulait pas être faible, il l'avait déja été un peu trop au cours de sa vie, et ce n'était pas maintenant qu'il devait faiblir, pas maintenant.

    Mais la réalité était bien différente de cette écorce dure qu'il tenait à montrer, End ne savait pas résister à ses envies. Dés qu'il voulait un truc il l'avait. Il était assez dur pour lui dé résister à la tentation, c'est ainsi que par des tours de ruse End obtenait ce qu'il voulait. Cela était particulièrement vrai pour la drogue. End aurait beau se dire ce qu'il voulait jamais, jamais il ne pourrait faire une cure de désintoxication tout seul, si oh, grand dieux il était capable de se dire qu'il faudrait en faire une. Autant rester dans sa merde jusqu'au bout. End n'avait pas l'intention de changer, du moins pas tout de suite, il ne pouvait pas se résoudre à abandonner sa meilleure amie, elle lui apportait trop pour ça.

    Elle lui apportait l'amour, la paix, le bonheur. C'est triste à dire mais c'est comme ça. Même malgré le fait qu'elle le tuait lentement, que cet amour, que ce bonheur n'était fait que d'illusions, que c'était une amie empoisonnée qu'on ne pouvait pas quitter si facilement... non. ça End le savait, il n'était pas bête au point de ne pas connaître les effets pervers des substances illicites. Mais pour l'instant il se droguait trop pour les ressentir.

    Et enfin il rencontrait quelqu'un qui était dans la même merde que lui, ça faisait plaisir égoïstement.

    « Shadow...»


    Il murmura son nom, les yeux baissés vers la chose droguée.

    « Et bien tu as de la chance Shadow, pour toi je veux bien fumer un petit peu. »


    Le brun attrapa le papier que l'autre brun lui tendait. Puis il sortit son briquet, sur lequel était dessiné une femme à moitié nue dans une postion douteuse. La flamme se rapprocha du joint qui prit feu. End inspira une bouffée, la laissa couler dans sa gorge puis expira de nouveau. Non, il n'avait pas pu résister à la tentation, en même temps comment voulez vous résister à un drogué qui vous tend un joint si joliement roulé.

    « Shadow, je vais bientôt de rejoindre. »


    Une nouvelle bouffée. Un nouvel enfer hilarant, uene nouvelle fois.
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Sujet: Re: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyVen 4 Mar - 22:59

    J-B en veut. Ça se voit sur son visage, ça se lit dans ses yeux, c’est rempli de petits tics, c’est rempli de toutes ces choses qui font craquer le premier camé venu. Oh et, l’exitation de découvrir un mélange inédit ! Shadow avait mélangé dans une sorte de tube à essai qu’ il avait piqué dans la sale de physique un amas étincelant de plein de choses qu’il serait innutile de citer puisque les trois quarts sont illégales et forumactif nous punirait de citer ce genre de genre.
    Et son regard vers la chose. Allez, Jean-Bernard, craque !

    « Shadow...»

    Oui c’était son nom. Bel esprit de déduction, J-B. Un petit regard, un petit sourire, un petit chose. Allez, allez, tend ta main.
    Sho tenta de bien viser dans sa main. Mais pourquoi la terre bouge-elle ainsi ? Pourquoi la pièce se retourne-elle ? On dirait une fête forraine, ça en donnerait presque la nausée… Mais c’est si bon. Cet état de jubilation, cet état de joie, cet état de couleur et de douleur à la fois, la drogue qui se répand dans ses veines, c’est si bon. Aussi bon que le sexe.
    Et Jean-Bernard attrapa le joint que Shadow avait préparé à l’avance ; intelligent, ce petit, ça lui évitait de s’en occuper une fois dans les vapes.

    « Hinhin, ché bon hein ? »

    Petit sourire en coin, sale vicieux, Sho, sale vicieux que tu es. Peut-être qu’il venait de faire replonger un pauvre gosse qui n’avait rien demandé à ça.
    Et ses pupilles se dilatent, et il voit de belles choses, des couleurs, du rouge, oh, du blanc, et du tissu, du vent qui donne du mouvement au tissu, et une femme, on une femme nue, qui marche, qui va sortir de derrière le drap étendu au bord de la fenêtre de sa chambre, pourtant pourrie. Il ne saurait dire à qui elle ressemble, mais pour une nana elle est plutôt bien gaulée. Et elle le regarde, lui sourit, on dirait presque qu’elle veut l’exciter. You fail madame, car monsieur ne réagira pas. Elle lui fait un clin d’œil, et POUF, disparaît.
    Sho secoue la tête, mais qu’arrivait-il ? Jamais il n’avait maté un nana ainsi… Même un ananas qui dansait la samba lui faisait plus d’effet. Même une clé USB dont le bouchon tombait par terre, l’intéressait plus qu’une… GONZESSE.
    Et donc, il se mit face à son interlocuteur, son nouvel ami Jean-Bernard, et lui sourit niaisement. Histoire de.

    « Shadow, je vais bientôt de rejoindre. »

    « Azy y’a une gonzesse dans la chambre, Zean-Bernard ! hinhin. »

    Quel con. Comme si cette femme allait les déconcentrer. Mais d’où venait-elle, bordel de merde ? De son imagination ?
    Peut-être qu’elle était sortie du briquet de Jean-Bernard. Un regard suffit à Sho pour remarquer que merde elle avait en effet disparu du briquet.

    « Merde, merde, J-B ! On nous observe ! »

    Et il pointa le mur, qui, pour le commun des mortels, n’avait absolument pas changé.
    D’après vous, est-ce que les hallucinations peuvent se transmettre entre différentes personnes qui ne vivent pas de la même façon, qui n’ont pas les mêmes fantasmes, qui ne mangent pas la même chose ? A la manière du gout du foutre, parait-il qu’il devient sucré en mangeant du pamplemousse.
    Et si on fume du pamplemousse alors… On voit la même chose ? Reflexion à creuser.
    Sho se posa un instant la question si elle n’était pas qu’une vision. Mais non voyons, pourquoi aurait-il des visions pour si peu…

    Sur le tube à essai étaient inscrit pas moins de 7 noms de drogues à fumer différentes. […]pour si peu…[…]. Ou pas.


    Que l’expérience n°1021684 nommée Femme VS Sho-Bernard commence.
    ROUND 1.


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End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End End10
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Sujet: Re: La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End La fabuleuse histoire de la clope géante { PV End EmptyMar 8 Mar - 23:19

    End fumait. Il tirait sur sa cigarette, se concentrait pour bien réinspirer la fumée déjà dans sa bouche pour ensuite la faire couler dans ses poumons et enfin recracher l'air toxique. Il se sentait déjà mieux, merde, l'herbe lui avait trop manqué, comment avait il pu croire qu'il pourrait s'en passer. Ce monde si merveilleux allait bientôt lui ouvrir ses portes, et ce, gratuitement, grâce à ce petit Shadow, si généreux. Bon, ce n'était pas la seule raison du pourquoi il aimait s'être retrouvé ici. Shadow, ça lui faisait un compagnon de voyage, un voyage au pays des rêves et des délires loufoques. Vraiment. Il goûtait l'herbe et en conclu que c'était vraiment de la bonne. Elle allait vite lui monter au cerveau, oui, très vite il se retrouverait dans le même état que l'autre orphelin.


    « Azy y’a une gonzesse dans la chambre, Zean-Bernard ! hinhin. »


    End leva les yeux vers l'endroit que Shadow regardait. Bien entendu il n'y voyait rien. C'était peut être la pute sur son briquet qui avait changé d'endroit dans l'esprit torturé du brun. End émit un petit rire, et toussa un peu.

    « Argm, ouais, elle est bonne ? »

    Parce que oui, lui aussi il aurait bien voulu voir une femme aux formes pulpeuses se pencher au dessus de lui et lui faire toute sortes de choses interdites. C'est pas que les filles de WH n'étaient pas jolies, non, au contraire, mais des pulpeuses comme celle que devait voir Shadow ça se trouvait pas parmi les orphelines vierges qu'il pouvait croiser dans les couloirs.

    « En parlant de bonne, elle l'est ta beuh. »


    Mais Shadow ne répondit pas et pointa de nouveau du doigt le mur.


    « Merde, merde, J-B ! On nous observe ! »


    « Sérieux ? Danse la macarena, peut etre qu'il nous observera plus après. »


    Oui, non, ce n'est pas que End est méchant, ce n'est pas qu'il veut s'amuser à ridiculiser Shadow, c'est juste que... c'est tellement tentant. Et End fume, et refume. Qu'est ce qu'il faut pas faire, j'vous jure. Avec tout ce qu'il fumait là maintenant il était parti pour un voyage direct au pays de la folie sans moyen de faire marche arrière.

    End ferme les yeux, penche la tête en arrière et souffle la fumée qui s'échappe doucement de ses lèvres. Il s'amuse et fait des petits ronds, ou s'étend sur le lit pour regarder la pièce de bas, plongée dans la fumée blanche.

    « Aah, c'est bon. »

    « Je crois que je suis parti là. »



    End papillonne des cils, la fumée le pique. Mais qu'est ce que c'est bon putain. Il attend quelques instants et se redresse, puis il vient appuyer ses coudes sur ses genoux, le visage dans les mains avant d'émettre un petit rire qui se transforme en éclat.

    « Hééé, tu sais quoi, en fait je m'appelle pas Jean Bernard. Tu t'es fait baiser comme un con, pfuhahaha. »

    « A propose de baiser j'ai des envies là, la gonzesse elle est toujours là ? »


    Pauvre End, ouais, t'es parti.
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