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Invité
Sujet: Half-Truism .|. Empty Half-Truism .|. Empty  EmptySam 5 Fév - 20:10

Identité

PSEUDONYME : Empty
NOM : Nightray
PRÉNOM(S) : Ezekiel
QI: 163
DATE DE NAISSANCE : 05 / 05
ÂGE : 18 ans
SEXE (✔) : ✔ M ❒ F
ORIGINE : Angleterre, Londres
Half-Truism .|. Empty  061522174d4eae99e95ac

Physique


Couleur des cheveux : Noirs
Couleur de la peau : Blanche
Tatouage/Piercing ? : //
Couleur des yeux : Bleus-gris
Taille en centimètres : 169 cm
Corpulence: 58 kg


One is for envy and one just for spite
The cuts in my heart, they show in your eyes
Don’t make it better
The twisting knife turns all by itself move on to someone else
Y a plus rien à observer, à admirer. Les temps ont changé, tu sais. Moi, je n’ai plus rien à t’offrir. Moi, je ne veux plus souffrir. Alors si tu veux qu’on te fasse la totale, va voir ailleurs. Sur les ruines de mon malheur, je reconstruirai, peu à peu, ce cadeau douloureux et empoisonné.

Ce qu’il reste de ton corps, ce sont des décombres. T’en as conscience et quelque part, ça te rassure. Parce que ça montre qu’il y a bien quelque chose de concret, de physique, qui expliquerait toute cette douleur, en toi. Elle transpire par tous les pores de ta peau. Comme un parfum douceâtre, âcre, acide. Une malédiction qui fait bouger tes membres frêles et ta constitution fragile.

Tu sais que tu ressembles à un cadavre. Trop maigre, trop fin. T‘as les poignets qui pourraient se briser au moindre choc, les hanches si minces qu’on dirait une fille. Tu sembles trop délicat. On prendrait un malin plaisir à te faire mal. Pour voir la souffrance se lire sur tes traits. Pour voir le mal déformer doucement ta silhouette longiligne. Pour voir la peau d’albâtre se teinter de rouge, de bleu, pour qu’elle prenne les couleur de la douleur. Tu donnes envie qu’on te blesse. C’est pour ça que tu sais te défendre, maintenant. C’est pour ça que les armes n’ont plus de secrets pour toi, que tu ne marches plus sans l’ombre rassurante d’une protection avec toi. Tu as trop payé l’attrait que tu exerces, pour seulement te laisser prendre au piège, encore une fois.

Bleu. Une couleur terne, blessante. Gris. Une couleur morne, blessée. Tu portes ton regard à la luminosité décadente comme une arme, un rayon mortel à la tendre couleur orage. Tes mots railleurs, tes expressions dédaigneuses, au fond, c'est du vent. Tu caches tes cernes, tes yeux éclatés, sous les cils trop sombres. Et tu caches surtout des lueurs d’angoisses, des étincelles meurtrières. Il n’y a rien de beau à voir, dans ton regard, si ce n’est le reflet d’un monstre.

Un monstre à l’apparence si douce, si fragile. Tu te fonds dans ces couloirs avec une telle aisance, une telle suffisance. Tu te résignes à n’être qu’une ombre, à te glisser dans la masse sans craindre l’anonymat. Et parfois, tu brilles, en pleine lumière, comme le prince que t’aurais voulu être. Un gosse arrogant, au sourire fané, au visage gelé dans une grimace de joie-souffrance. Tu es beau à ta façon. De manière indisciplinée, rebelle. Négligée. Une beauté qui se sait et qui ne s’assume pas. Parce que la séduction et l’attrait ne t’ont amené que douleur et peine. Tu leurs craches dessus et tu envoie crever tout ce qui peut vouloir t’approcher.

T’es trop délicat pour être touché par ces types impurs. Tu as déjà fait l’erreur, tu la reproduiras plus. Ils ne sont rien... Des ordures, des déchets.. Tu évolues au milieu d’eux, faisant voir tes sourires carnassiers, l’éclat aveuglant de tes dents parfaites, la courbe douce d’une épaule, le frôlement suggestif d’une main, une caresse douce-amère. Tu te mets au devant de tes frayeurs, hisse ton corps comme unique arme et te ris de voir que cela ne t’atteint plus et qu’on ne te veut plus.

T’es une ruine. Un moins que rien, une abomination aux cicatrices encore à vif, un monstre à la beauté dérangeante et fade. Tu te contentes de te mettre sur un piédestal, une foutue couronne passée dans les cheveux, parce que t’espère qu’on te touchera plus jamais. Tout simplement.

Caractère


Franc
Lucide
Prudent
Attentionné
Réaliste
    Instable
    Photophobie
    Paranoïaque
    Agressif
    Méfiant


Your self-liberation, Will leave this behind
Beyond slings and arrows That rain on our minds
You’ll make it better shake it off
It never mattered anyway...
Hey, gamin, ne me regarde pas. Détourne les yeux, détourne ton cœur, pendant qu’il en est encore temps. Fuis, ris-toi de ma présence, tant que tu peux t’échapper. Oublie, détourne-toi de mon essence, tant que tu peux encore t’y forcer.
Et dans la toile que je tisse, sur tes os qui crissent, je t’entourerai de mon venin.


T’as toujours été le genre de type dont on ne doit rien attendre. Dont on n’ose rien attendre, en fait. Les beaux espoirs, les rêves fous, tu les brises de tes paroles et parfois de ton corps. Tu lances tes sarcasmes comme une arme, tu use de ton ironie comme d’un bouclier. Une putain d’armure dans la quelle tu t’enfermes. Tu rejettes le reste, tu craches sur les mains tendues, sur les regards perdus. T’attends plus rien, après tout, de cette espèce pourrie jusqu’à la moelle. Leurs marques, tu les a gravées sur ta peau. Leurs douleurs, tu les gardes derrière tes paupières closes.

A l’intérieur, tout est vide. Et tu ris, seul, dans ton désespoir. Ton si beau monde d’illusion n’a pas tenu face à cette réalité. Il a volé en éclat, t’a écorché au passage. Tu restes là, les bras ballants, à respirer et à crier comme un dément. T’avais ton cœur éclaté, ton corps écartelé et ton âme désemparée alors qu’ils souillaient, encore et encore, l’innocence qui aurait pu s’échapper. T’as rien à perdre. T’as rien à gagner. Juste ta vie à préserver, ta peau à sauver.

Tu ne fais plus confiance à personne, t’as appris à la fermer. A laisser couler et à cracher avec mépris, seulement. Tu es plus prudent. Moins naïf. Moins humain. Tu sais pas où tu t’es perdu, tu sais pas ce que t’as bien pu faire pour en arriver là. Tu as simplement assisté à ta déchéance, à cette danse funèbre et douloureusement belle qui obligeait ton corps à se mouvoir, à en épouser d’autres, à se soumettre, pour mieux permettre à ton esprit d’émerger.

T’as été un gigolo, pire qu’une catin de bas étage, prêt à tout pour seulement revoir cette lumière qui t’aveugle au lieu de te guider. Le jour, tu l’emmerdes, tu veux le flinguer, t’en as rien à foutre, parce que quand tout est éclairé, quand tu vois les marques sur ton corps, les traces sur ton épidermes, t’as seulement envie de hurler et des les effacer, pour oublier ce qui ne peut s’oublier. Tu t’es perdu trop fort, t’as craqué trop tôt et les conséquences, t’as jamais été prêt à les payer. Tu t’es seulement contenté de te laisser porter. Une poupée de chiffon, pour satisfaire des désirs qui t’ont fait horreur et qui t’ont dégoûté de ce qu’ils appellent si naïvement amour.

T’y crois plus. T’y as trop cru et ça t’a mené dans un chemin que personne ne peut jamais affronter. Tu t’es promis de plus aimer, de plus t’attacher. Tu restes bien naïf, au fond. Tu te fous copieusement le doigt dans l’œil et t’en as conscience. Mais ça t’empêche pas de traiter les autres comme des chiens, de garder ce masque parce que c’est tout ce que tu as réussi à te créer toi-même. S’il s’envole, t’auras l’impression de te retrouver nu, vulnérable, comme avant. Faible, faible, si faible. Maintenant tu peux te défendre. Maintenant, tu le fais. Maintenant, on te craint pas mais au moins, on ne pose plus la main sur toi. La confiance, ça se réapprend et t’es un mauvais élève.

Tes efforts sont là juste pour la forme, tu t’amuses simplement à jouer les dépressifs. Oh ouais, c’en est même jouissif. Simuler la souffrance alors qu’on l’éprouve pas, ça te rebute et ça te fascine. T’en as trop bavé pour te laisser avoir mais tu les suis, ces pauvres ignorants, ces bouffons qui ne regardent que leurs nombril et s’éclatent la voix à hurler qu’ils veulent devenir quelqu’un. Ils ne connaissent pas la réalité. Ils ont pas eu à se mettre à genoux, à jeter leur fierté, leur humanité. T’as gardé des séquelles. Trop. T’es dérangé, sans aucun doute. Quand tu te vois dans un miroir, t’as envie de hurler, de tout faire péter. Tu supportes pas ton reflet, tu te supportes pas toi-même. Et tu supportes encore moins les autres. L’acceptation, l’indulgence, tu connais pas. Il y a seulement les erreurs et les défaites, le reste, c’est la ruine. Le néant.

Alors tu peux bien t’en vanter. Tu peux bien en mourir. Il n’y a plus rien qui a une importance. Tu vis parce qu’on t’a pas encore crevé. Tu te sers de ce bout de chair sanguinolente, endommagée, de ce cerveau dépravé parce c’est ce qu’on t’a reconnu et qu’il te reste plus rien d’autre. Ta voix ne peut plus s’élever, ton cœur ne peut plus aimer, tes oreilles ne peuvent plus écouter, tes yeux ne peuvent plus regarder. Tu te contentes de suivre un chemin qui te mènera à rien mais qui te fera oublier. C’est tout ce que tu veux.

Classe


    Choisir une seule et unique réponse à chacune des questions ci-dessous en supprimant les réponses inutiles. Cette zone sera par la suite éditée par un membre du staff qui vous communiquera ainsi votre classe.


    Définissez vous en une phrase.
      a. Non.


    Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
      e. Une corde.


    Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
      c. Totem et Tabou de Sigmund Freud.


    Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
      c. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »


    La petite manie dont vous vous passerez bien ?
      c. Faire des private jokes.


    Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.

      b. M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.

Histoire



If we don't make it alive
It's a hell of a good day to die.
All the light that shines strong
Only lasts for so long.
And it's ashes to ashes again
Should we even try to pretend?
All the that shines strong
Only lasts for so long.

Un pas en avant, deux pas en arrière. Et pourtant, j’ai l’impression que même comme ça, je finis toujours par avancer. Je me brise les membres à trop forcer, je m’écorche le cœur à encore espérer. Et je suis incapable de la faire taire, cette voix.

« Combien tu prends, gamin ? »

Cette phrase, t’as encore l’impression de l’entendre, partout où tu vas. C’est resté gravé dans ton âme. Dans ta chair. Ça résume toute une partie de ta vie. Et c’est celle que tu peux pas effacer. Elle te reste en travers de la gorge, libère le parfum doucereux de la souffrance. Physique, morale. Tu sais plus, elles se confondent dans ta tête. Toutes tes cicatrices ne font qu’une, s’entremêlent à l’infini pour seulement laisser la lueur rougeoyante de ta fierté qui se noie les réchauffer, une dernière fois.

Tu ris et tu regardes le miroir. Tu veux pas t’en rappeler, mais tu peux pas t’empêcher de le faire. Dans la fumée âcre de la cigarette, t’as l’impression de revoir tes souvenirs.

_____________

Assis, par terre, sans force, sans volonté. Une petite silhouette oubliée, laissée là comme on abandonnerait un jouet trop utilisé. Les plaies doucement ouvertes, le sang qui caresse tendrement sa peau bleuie. Il l’a abandonné là. Il l’abandonne toujours là, après. Un rituel qui ne lui fait plus monter les larmes aux yeux. Une habitude qui ne lui arrache plus des gémissements de douleur. Seulement la résignation. Abominable résignation.

Il n’ose pas en parler. Il ne veut pas. Il sent, confusément, que c’est mal. Que ce n’est pas normal. Mais il est incapable d’ouvrir la bouche pour autre chose que laisser son souffle haletant s’élever en buée. Il a peur, sans aucun doute. C’est encore un gosse terrifié. Incapable de comprendre comment on peut devenir un monstre. Comment il peut lui faire ça.

Et elle, qui ne comprend pas. Elle, qui ne veut pas comprendre. Elle, qui ferme les yeux. Elle, trop fragile, trop perdue elle-même pour lui tendre la main. Il la voit, devant lui, le regard fuyant. Il la voit, qui lui ressemble tant. Il la voit, qui s’excuse par ses gestes, qui s’assassine elle-même par ses expressions. Il la voit qui regrette, qui souffre, autant que lui, mais qui ne peut se résoudre à mettre fin à sa souffrance. Il la hait autant qu’il l’aime. Il se contente de refermer ses bras frêles autour d’elle, quand elle le serre doucement contre son corps tremblant.

Il n’ose pas. Elle n’ose pas. Il est libre de tout. Ils se meurtrissent dans leur prison mentale, s’enorgueillissent de leur lente déchéance.

Elle n’ose pas le sauver. Et il n’ose pas l’appeler mère.

_____________

Tu souris, un peu plus. T’as le cœur infecté, la bile au bord des lèvres. T’as rien eu à espérer. Ils t’ont offert ta misérable existence et ont travaillé à la rendre plus abjecte, encore. Tu te dis vaguement qu’ils ont bien réussi et qu’ils sont partis en accomplissant leur objectif : pourrir les prémices de ta vie. Le reste s’est tout naturellement construit de manière bancale, malsaine. T’avais rien à attendre. Tu continuais seulement ce que t’avais pris l’habitude de faire. Ecarter les jambes et serrer les dents. La belle époque.

_____________

« Viens, suis-moi… »

Un sourire moqueur, sur ses lèvres pâles et il attrape la main tendue. Habitude, habitude. Il regarde son nouveau client. Un fils de bonne famille venu se perdre dans un lieu qui ne lui convient pas, une fois de plus. Il en a vu passer. Il note le tremblant. Dans la voix, dans les doigts qui enlacent les siens. Il se retient de rire. Ce serait malvenu. Son assurance face à une incertitude qui lui brûle le cœur. Il n’a pas le droit, il n’a pas le droit !

C’est tout ce qu’il est capable de se répéter. Ses paroles n’ont-elles été que mensonges ? Il se disait, vaguement… Qu’il ne serait pas comme tous les autres. Qu’il attendrait peut-être autre chose de sa part. Que cela ne finirait pas ainsi. Il voit sa gentillesse se craqueler. Il voit le masque si bien huilé voler en éclat, face à l’avidité. A une faim dévorante, inassouvie. C’était si simple de s’abandonner, de se bercer de si belles illusions. Oublier le reste, oublier tous ces corps avachis sur le sien, tous ces gestes qui s’égaraient sans l’atteindre seulement en songeant qu’il pourrait le revoir. Et qu’il n’attendait pas de sa part la même chose qu’eux. Il se sent trahi, blessé.

Et au fur et à mesure qu’il dénude son corps, qu’il met à nu sa déception et son amertume, il assassine tous les espoirs naissants, fanés, consumés, qu’il aurait encore pu entretenir.

_____________

Tu ricanes et écrase la cigarette sur le miroir. T’as oublié son nom. Mensonge. T’as oublié la sensation de ses mains sur ton corps. Mensonge. T’as oublié ses paroles, leur douceur, murmurées à ton oreille. Mensonges. T’es parti, après ça.

Tu ne sais plus, en fait. Tu t’es souvent dit que tu t’étais trompé, à ce moment-là. Peut-être que tu l’avais mal jugé, une fois de plus. Peut-être qu’il t’avait dit la vérité. Peut-être qu’il t’ai… Non. Tu t’es si souvent interdit d’y repenser que tu coupes les pensées en plein vol, sans difficulté. C’est du passé, tu ne cherches plus à tout retrouver.
Et après, tu es parti. Ça a sonné la fin. Tu as simplement refusé de continuer la mascarade. Ton erreur a été la dernière et elle a suffi à briser tes chaînes.

_____________

Un regard en coin et une tête qui se détourne. Au fond, il n’a rien à faire ici. Le hasard, monstrueux hasard, insaisissable hasard. C’est ce qui lui a permis de fouler ces sols, de raser ces murs. Les mots résonnent encore dans sa tête, se font la malle dans son esprit.

Lui qui n’a été utilisé jusque là que pour son corps, a pu compter sur des aptitudes qu’il ne se connaissait pas. L’ironie lui destin ne lui donne plus ce sentiment d’étouffement, d’emprisonnement. Il y a seulement la certitude d’un nouveau commencement. D’un vide. Et il ne sait pas si, ici, il sera capable de le combler.

_____________

Et tu fermes les yeux, enfin. Tu ne veux plus te voir dans la glace. Tu ne veux plus qu’on pose la main sur toi. Tu ne veux plus qu’on te demande quoi que ce soit. Il y a tant de choses que tu ne veux plus. Mais pour le moment, tu te contentes de tirer un trait sur cette putain de réalité, de te laisser entraîner. Et ça te suffit amplement.

HRP.


SURNOM(S) : Euh.... Rika, ça ira xD
DATE DE NAISSANCE : 15 / 10 / 92
ÂGE : 18 ans
SEXE (✔) : ❒ M ✔ F
AVATAR : Belphegor, Katekyo Hitman Reborn!
DÉCOUVERTE DU FORUM : Euuhm.... Je sais plus quand & où je l'ai vu pour la première fois mais j'ai mis longtemps à m'y inscrire, par manque de temps & de motivation pour rp o.o
NOTE SUR 20 DU FORUM : Nyooooh à première vue, je vois rien à y redire alors j'vais dire 19 parce que voilà !
COMMENTAIRE PERSONNEL QUI SERT A RIEN MAIS TANT PIS J'DOIS M'EXPRIMER : J'ai commencé à écrire sur le personnage avant de lire la fiche en détail & donc, je me suis retrouvée avec une description physique qui sert à rieeen. J'l'ai quand même postée, si elle dites-le moi si j'dois la virer! & puis je m'excuse si le tout semble louche, je m'essaie à de nouveaux trucs, fufu 8D
LYRICS : Half-Truism, The Offspring
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Dernière édition par Empty le Dim 6 Fév - 16:17, édité 2 fois
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Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: Half-Truism .|. Empty Half-Truism .|. Empty  EmptySam 5 Fév - 20:52

Bienvenue sur WH !

Alors par contre je suis vraiment désolée mais Bel est pris é_é
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Invité
Sujet: Re: Half-Truism .|. Empty Half-Truism .|. Empty  EmptySam 5 Fév - 21:04

Marchi 8D

Aaaw je vais changer de ce pas!
Par contre, je vais me montrer très bête mais... j'ai pas vu de bottin ou quoi, pour savoir quel éventuel personnage pourrait être libre o.o Oussekilfochercher? >.<
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Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: Half-Truism .|. Empty Half-Truism .|. Empty  EmptySam 5 Fév - 21:16

Tu n'es pas bête t'inquiète, parce que on a pas encore fait le sujet des avatars déjà pris... on attendait la fin du recensement et... ah bah tiens je sais ce que je vais faire ce soir, merci bien. 8D

Sinon ton personnage est un ALTER !

Bon courage pour finir ta fiche. (et n'hésite pas à me mp pour demander si tel ou tel perso est pris)

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Invité
Sujet: Re: Half-Truism .|. Empty Half-Truism .|. Empty  EmptyDim 6 Fév - 15:33

Youhouuu personnage changé & fiche terminée!
J'espère que ça conviendra >__<
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Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: Half-Truism .|. Empty Half-Truism .|. Empty  EmptyDim 6 Fév - 16:12

Hm alors ta fiche est bien mais il y a juste un petit détail qui me perturbe.

Ses yeux violets, faudrait genre soit mettre que ce sont des lentilles, soit qu'il a une autre couleur de yeux. Parce que bon, les yeux violets ça existe pas quoi.

Voilà si tu pouvais modifier ça ça serait parfait ♥
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Invité
Sujet: Re: Half-Truism .|. Empty Half-Truism .|. Empty  EmptyDim 6 Fév - 16:18

Oups, désolée o.o
J'avais pris un autre personnage (& celui-là, il avait bien les yeux violets, aucun risque là-dessus xD) mais j'ai oublié de changer! Voilà qui est fait! <3
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Feuille de personnage
Wammy’s: House
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Âge: 17
Sujet: Re: Half-Truism .|. Empty Half-Truism .|. Empty  EmptyDim 6 Fév - 20:07

Merci bien !

Et bien validé très cher ! Et lancé de dé fait.
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