PSEUDONYME : Dew NOM : Partridge PRÉNOM(S) : Duncan QI: 159 DATE DE NAISSANCE : 24/04/92 ÂGE : 19ans SEXE : ✔ M ❒ F ORIGINE : Anglais
Physique
Couleur des cheveux : Noir Couleur de la peau : Bronzée Tatouage/Piercing ? : Aucun
Couleur des yeux : Chocolat Taille en centimètres : 182 Corpulence: Sportif
Caractère
Good guy, good friend Vivant, très bon vivant Gentillesse qui vire à l’adorabilité Naturel (corps&esprit) Passionné
Intellectuellement flemmard Lent à la détente Vision simpliste des choses Crétin chronique Hahahaha
Non, on ne dit pas : "Dew est bête", on dit : "Dew n’a pas le mental facile." Non, en fait même pas… Dew est simplement un gros flemmard quand il s’agit de s’astiquer un peu les méninges, du coup celles-ci ont prit la poussière. Ah bien sûr, les rouages de son corps marchent fort bien et pour lui, c’est tout ce qui compte. Dew est facile à vivre et à revivre, même à ressusciter. Son optimisme lui fera comparer un tsunami à une chasse d’eau, et vous donnera plus d’une fois l’envie de vous taper la tête contre le mur plutôt que de voir le "côté positif des choses." Dew est social. Avant même que vous ne voyiez une bande de jeunes filles et que vous ne commenciez à vous demander si vous allait leur parler ou pas, il est déjà en train de leur taper la discute. Et ça avec absolument n’importe qui et n’importe quoi : le facteur, une vieille dame dans la rue, ta mère, ton frère, ton cousin issu-de-germain et même ton chien. On dirait qu’il s’entend avec tout le monde et que son expression faciale ne change pas suivant qu’il parle à quelqu’un de très sympa ou à un vrai connard qui le vanne tout le temps. Vaguement si en fait, on dirait qu’il s’amuse toujours plus avec les têtes brûlées. Mais il ne se vexe presque jamais, ça lui passe tellement haut au dessus de la tête que c’en est presque effrayant. Soit parce qu’il est trop lent pour ne serait-ce comprendre que 1) c’était pas gentil, 2) ça s’adressait à lui, 3) non, c’était pas pour rigoler. Ou alors est-ce parce qu’il sait que ce sont des paroles en l’air, pour le plaisir d’avoir l’air badass ? En tout cas, lui c’est le contraire, d’origine niceass, il ne cherche pas les embrouilles et est totalement pacifiste. Dew aime les résumés, les choses simples, les trucs bateaux. Il préfère prendre une batte de baseball que de se prendre la tête. C’est quelqu’un de très cool, fair-play et digne de confiance. Il est patient, aussi. Mais c’est quand on sait que les gens sont patients qu’on en profite le plus et quand la date limite de patience est passé, c’est comme manger les yaourts périmés. Ca se retourne parfois contre vous.
Classe
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Définissez vous en une phrase.
Non.
Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
Anthropologiquement parlant ou bien ?
Sérieusement, t'as pas quelque chose d'autre à faire que me demander ça ?
Je suis un.
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Une bataille navale.
Les hauts de Hurle-vent.
Le DVD d'Ed Wood par Tim Burton.
Un poisson rouge.
Une corde.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Finnegans Wake de James Joyce.
H2G2 : The Hitchhiker's Guide to the Galaxy de Douglas Adams.
Totem et Tabou de Sigmund Freud.
Harry Potter de J.K Rowling.
Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Le si n'aime pas le ré pour la centième fois ! »
« Ton niveau s'élève à la dérivée d'une constante. »
« Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »
« D'un point de vu biologique... »
« Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Câliner tout le monde.
N'avoir aucune notion du temps.
Faire des private jokes.
Accro au high five.
Caser des citations partout.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Faire mes devoirs. Mais je les ai jamais fait, commencer maintenant serait pas judicieux pour ma réputation.
M'excuser au près de la personne que j'ai insulté il y a trois semaine. Peut-être. On verra.
Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?
Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.
Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...
Histoire
Bon heuu l'histoire, c'est exactement la même que mon ancienne fiche (⊙△⊙)
Spoiler:
Il y eut un jour, il y eut un matin… où Duncan attrapa une batte. Il devait avoir 8 ans, peut-être 9. C’était le soir, vers 19h après l’école, dans un parc. Le soleil n’était pas encore couché, mais il commençait lentement sa décadence vers l’obscurité. Le ciel, légèrement orangé, laissait aller aux rêves et aux passions alors qu’une petite brise fraiche ébouriffait avec tendresse les cheveux des cinq enfants. On lui envoya une balle en mouse, il l’a renvoya. Il l’a renvoya et découvrit entre ses mains toute une sensation d’ivresse palpable comme jamais. Les yeux remplis de ce qu’on appelait un nouvel amour, il demandait à se qu’on lui envoie plus de balles, parce que la sensation qu’il avait, de cette batte qui cherchait à atteindre cette balle, à l’atteindre et la renvoyer le plus loin possible, était extraordinaire. C’était bien dans un parc, à Londres, un soir de novembre. Il était resté, avec ses amis de classe, jusqu'à 23h. Son père vint le chercher, le parc était à deux pas, il n’était pas vraiment inquiet mais il fallait qu’il dorme. A sa grande surprise, son fils revint, pétillant, aussi excité que jamais. "Papa, papa, achète moi une batte !" C’était bien rare que son fils exige quelque chose. Mr Partridge aimait les passionnés, était un passionné, et se disait que… peut-être, enfin, son fils avait trouvé sa vocation, ce pour quoi il pourrait dévouer sa vie. Le petit môme avait déjà essayé plusieurs sports, avait essayé plusieurs activités artistiques (il était piètre dessinateur) mais rien ne l’avait autant motivé que cette batte en bois qui sifflait à ses oreilles. Pendant des heures, en faisant de grands gestes, il lui décrivait comment il avait réussie à atteindre l’arbre qui était super loin, comment tout son corps avait été entrainé dans le mouvement et comment il était tombé sur les fesses. De nombreux pères auraient pensés "C’est sa nouvelle lubie, demain ça lui passera" mais Partridge père, lui, savait. Il n’avait encore jamais vu son fils aussi enthousiasme, aussi passionné et passionnant. Huit ans, c’était peut-être trop tôt mais l’adulte lui, avait découvert l’escrime à six ans. Depuis, il n’avait vécu que pour ça, avait reçu des prix… mais après cinquante-huit ans de passion, il fallait un jour s’occuper de sa famille. Ainsi, il souria à son fils. Duncan hein… ? C’était pas le nom d’un joueur de baseball américain ça en plus ? Faudrait qu’il vérifie. Quelque année plus tard, Dun’ était déjà la vedette de son équipe de baseball et rare était une photo de famille où il n’était pas en uniforme. Durant ses années de collège, il n’était pas des plus doués. Il fallait le comprendre, il jouait et s’entrainait tout les soirs, parfois très tard dans la nuit. Son père le priait toujours de rentrer avant une certaine heure mais ne s’inquiétait pas trop pour ses notes, parce qu’après tout "T’as pas besoin de savoir faire les divisions pour bien frapper dans une balle, hein, fiston !" Il y avait entre les deux hommes, cette complicité virile caractéristique des relations père/fils. Il n’y avait pas un jour ou Mr Partridge n’était pas fier de son fils. C’était le petit "Dune" du quartier, l’adorable petit "Dune." -"Papa, pourquoi les gens disent Dune et pas Duncan ? -Parce que c’est plus courts surement. Pourquoi, t’aime pas qu’on t’appelle comme ça ? -Beh, c’est sec les dunes, ça tue la végétation… Moi… moi je voudrais être… la pluie ! -Ehhh ? La pluie ? -Pour nourrir le sol et le nettoyer. C’est super cool la pluie, tu penses pas ? -Haha, t’en manques pas à Londres en tout cas !" Ca arriva un jour de pluie. Le collège de Duncan allait affronter un autre collège, réputé pour être extrêmement farouches. Agé de 15ans, il s’était entrainé tous les soirs une semaine durant. "Pa’, tu viendras me voir, hein ?" -"Bien sur ! -Papa, tu viendras, hein ? -Oui, je te l’ai déjà dis, allé, file dans ta chambre, la prof d’histoire m’a enguelé comme quoi tu connaissais aucune date. -Ah… mais, je dois m’entrainer ! C’est demain que… -Tu retiens la date de Charlemagne tu peux aller t’entrainer. Ca sert à rien de toute façon de connaître des dates, haha." Un grand sourire, l’an 800 dans la tête, il partit au parc s’entrainer. Le lendemain, dans les vestiaires, il restait cool, respirait à grande pompe mais quand même… c’était la première fois qu’il allait jouer devant autant de monde. C’était le soir et de grands éclairages illuminaient le terrain alors qu’il entrait, lui et son équipe, la tête remplit d’espoir mais avec cette appréhension qui fait la modestie. La casquette visé sur le crane, une goutte d’eau tomba sur la visière. Le match se déroula dans la boue et les cries lointain des spectateurs alors que "Take me out to the ball game", l’hymne du baseball, résonnait puissamment à travers l’averse. Duncan jouait du mieux qu’il pouvait, la sueur mêlée à la pluie, les dents serrés, il ne pouvait pas savoir si son père le regardait, il y avait trop de monde. Ce soir là, il donna son maximum, au risque de se froisser un muscle, il courait aussi rapidement que ses jambes le lui permettait, de base en base. La boue claquait contre ses mollets nus, il devait se concentrer pour ne pas glisser. Il aurait quand même voulu distinguer sa voix dans la foule, entendre un "Vas y fiston !" mais rien, juste des hurlements informes. Dans sa course, sa casquette tomba, la pluie inonda son visage, allé, plus qu’une base. Il devait résister pour ne pas fermer les yeux, les gouttes d’eau lui brulaient la peau alors qu’il ne sentait plus ses jambes, mitraillé de boue. La balle était-elle toujours en l’air ? Non, elle était à terre, glissait le long de l’herbe mouillé alors que les défenseurs essayaient de l’attraper, en vain, elle leur coulait entre les mains. Il sauta sur la dernière base. Tour complet, il fondit sur son équipe dont les hurlements de joie étaient sans précédent. Au dessus de lui, la lune le couvait de sa lumière, d’une lumière que les éclairages ne pouvaient reproduire. Duncan chercha frénétiquement son père des yeux. Eh bien ? Ne s’était-il pas lever des tribunes pour venir le voir ? A la fin de la partie, ils regagnèrent les vestiaires. Ils avaient gagnés, la joie générale était dans tous les cœurs. Duncan sortit des vestiaires, des dizaines de parents attendaient leurs enfants. Son père n’en faisait pas partie. L’inquiétude le gagna et finit par le dévorer totalement quand un ambulancier s’avança vers lui. -"Duncan Partridge ?" Il n’avait pas besoin d’entendre ce que cet homme allait dire, c’était assez facile à deviner. Les mots de l’adulte atteignait ses oreilles comme un écho lointain, mots sourds arrière la pluie. Un accident de voiture… un bête, un banal accident de voiture. Et des larmes.
-"Je m’appelle Toby… mais tu peux m’appeler Tobydiot… - Haha, Toby suffira." Quelques mois plus tard, le voilà dans un orphelinat de Croydon, dans la banlieue de Londres. Un lieu sympathique, à n’en pas douter. Il fallut quelques temps, comme tous enfants pendant un deuil, pour que Duncan sache retrouver le sourire. Son anniversaire arriva peu après, beau jour d’avril, 16 ans déjà. Le baseball l’aidait sensiblement à tenir, mais un enfant arriva définitivement à lui rendre son sourire. Il s’appelait Toby, il avait 14ans. C’était un de ses mômes dont la simple vue vous donne une envie irrésistible de le protéger. Un brave enfant, gentil comme tout, froussard et parfois assez exaspéré de la facilité avec laquelle Duncan prenait la vie. Toby était un peu la tête de turc de l’orphelin, et il était très fier d’avoir Duncan en ami, parce qu’à peine quelques mois après son arrivé, ce dernier était déjà extrêmement populaire et respecté. C’était le genre d’ami qu’on rêvait d’avoir, protecteur, sympa et gentil. Un jour pourtant, Toby dut accepter un deuxième protecteur. Il accepta. Duncan, lui, dut accepter un nouvel ami. Il accepta. L’autre, non. L’autre, lui, n’acceptait que Toby. Ca faisait longtemps que l’autre n’était plus l’autre pour Duncan, mais qu’il était devenu William Tempest Harper. Puis Will. Puis Willy. Mais pour Willy, Duncan était toujours "l’autre". -"Tu viens d’Italie ? Woah, c’est pas là bas qu’on a peint la Joconde ? -Ouais, c’est là-bas aussi que les crétins disparaissent mystérieusement quand ils disent trop de conneries, tu veux essayer ?" Le trio était formé. Toby étaient bien content de s’être trouvé des amis aussi géniaux, même si le protectionnisme de Will l’étouffait parfois. Duncan lui, était bien content aussi, Will était vraiment super cool, il racontait des histoires sur la mafia (il a beaucoup d’imagination !) et avait vraiment la classe. Aussi, il était vraiment drôle quand il s’énervait, les yeux noirs, les dents serrées. C’était presque mignon. C’est ainsi que Duncan (aussi appelé Ducon par on ne sait qui) réussit à croquer la vie à pleine dents à l’aide de la merveilleuse chose nommé amitié. Certain pouvait trouver Will relativement désagréable (tout l’orphelinat avait peur de lui) mais Duncan le trouvait relativement amusant. Mais tout était relatif. Même si parfois, il en prenait plein la gueule, il essayait toujours de s’en sortir par un sourire. Des fois marchaient moins bien que d’autre. Ils se chamaillaient pour savoir qui était le meilleur ami de Toby, ce dernier essayant tant bien que mal de rester en dehors de tout ça. C’était le bon temps, Toby au milieu de leur vie. Mais fut un jour où Toby dut partir. Il allait être adopté. Duncan était heureux pour lui, parce qu’il se devait de l’être, en temps qu’ami. Au fond, en temps que ce même ami, il n’avait pas du tout envie qu’il parte. Peu de temps après son départ cependant, on lui annonça qu’il allait lui-même être changé d’établissement. Paraît-il qu’il avait un super bon QI… ha ? A contre cœur, il fit sa valise. La vie sans Toby était déjà plus très drôle, alors si en plus il devait aussi partir de là où il y avait tout ses amis, de là où il y avait Willy… -"Bah, tu fais ta valise toi aussi, Willy ?" Alors c’était comme ça, on avait voulu les éloigner, tous les trois. Pourquoi ? Pourquoi fallait-il devoir tout recommencer. Il s’était si bien intégrer, il avait été si bien ici. Willy prit la même voiture que lui, il le fixait pendant tout le trajet. Me quitte pas, toi aussi. -"Je me suis toujours dis, que si j’étais la pluie, toi tu serais un grand ouragan, haha !" Hop, sourire débile pour masquer la tristesse naissante. Le chauffeur allait le déposer dans son établissement, et continuer sa route pour déposer Willy dans le sien… c’était trop cruel. Il faudrait s’y faire. Après tout, il se ferait de nouveaux amis et… il lui manquerait toujours quelque chose. Plus jamais Will ne lui raconterait ses histoires de mafia pour lui faire peur, le traitant de mauviette après. Perdre Toby c’était beaucoup, perdre aussi Willy c’était trop. La voiture s’arrêta. Le chauffeur sortit et ouvrit la portière. Allons bon, lequel des deux allait voir partir l’autre ? -"Vous deux, venez." Un moment interloqué, il descendit de la voiture. -"Bienvenue à Wammy’s House, le directeur vous attend." Un large sourire. Vraiment vraiment large. Il devait avoir l’air bête. -"Ca alors, c’est génial, on est ensemble !"
Roger était assit à son bureau, les mains jointes devant le menton. Il leur expliquait le but de l’orphelinat, la compétition pour L, le fait de ne dire son vrai nom sous aucun prétexte. C’était vraiment un drôle de jeu. Puis commença dès lors le choix des pseudonymes. -"Vous avez une idée de pseudonyme ? -… Hurricane. " Duncan, à la fois surpris et ravi que Will approuve ce qu’il lui avait dit, quelques minutes plus tôt, afficha un large sourire. C’était drôlement classe en plus… Hurricane. Ca sonnait bien. -"Et toi, Duncan ?" Un long "heuuuuuu" parce que là, maintenant, tout de suite, il n’avait aucune idée. Rain ? C’était trop cru et trop triste… Drop ? Nous, il fallait quelque chose de plus doux. Alors il réfléchissait, murmura parfois ses pensées. Hmm, ça non… ah, c’était dur. Il fallait quelque chose de court, doux et en rapport avec la pluie. C’était ça qui lui plairait. Ca lui plairait vraiment d’avoir un surnom comme ça. -"Vous savez quoi ? C'est moi qui vais choisir pour toi. Tche." Les paroles de Will, tout nouvellement Hurricane, le sortirent de sa profonde réflexion météorologique. Il releva le visage et fixa son camarade, agréablement surpris et impatient de savoir ce qu’il allait trouver. Allez, à tous les coups, ce sera Crétin, Idiot, Abruti… Le brun se pencha sur les rapports alors que l’italien était en train d’écrire. DE… allons bon, Débile ? Décérébré ? DEW. Le garçon cligna un instant des yeux. Dew… ? La rosée du matin ? C’était… super jolie, parfait et… niais. Il afficha un grand sourire, aux anges, de la sonorité et de la signification de son nouveau surnom. Un sourire amusé aussi, parce que ça… venant de Will, c’était quand même quelque chose. Un regard noir sur lui, il se contenta de sourire. Au final, chacun avait choisi le surnom de l’autre. C’était chouette. Haha.
HRP.
SURNOM(S) : Maria DATE DE NAISSANCE : 06/06/1991 ÂGE : 19ans SEXE : ❒ M ✔ F AVATAR : Yamamototo <3 DÉCOUVERTE DU FORUM : En essuyant une lampe magique. Ou par Near, aussi. NOTE SUR 20 DU FORUM : ∞/20
Invité
Sujet: Re: Hahaha I'm back ! Dim 30 Jan - 2:03
Quelle surprise lolz Dew est un... SHAPE. (genre tu le vois parmi les riddles, paumé, à expliquer ses tactiques de base ball.) Et je te valide ehehe 8DD.