PSEUDONYME : Acid NOM : Shepherd PRÉNOM(S) : Alphaïce Azel QI : 172 DATE DE NAISSANCE : 13 / 12 ÂGE : Onze ans SEXE (✔) : ✔ M ❒ F ORIGINE : Anglaise

Couleur des cheveux : Blancs, mais teints en bleu azuré. Couleur de la peau : Pâle. Tatouage/Piercing ? : Non.

Couleur des yeux : Bleus. Taille en centimètres : 132 centimètres. Corpulence: Normale.

Simple Juste Sincère Innocent Attachant

Un brin insolent Timide Colérique Capricieux Pleurnicheur

Il n’aime pas les adultes. C’est une évidence qu’il s’efforce de souligner autant que possible. Ce garçon a un véritable problème en ce qui concerne l’intolérance dont les plus grands font preuve. Il ne comprend pas comment est-ce qu’on peut le rabaisser sans arrêt en lui disant que ce qu’il fait n’est pas encore assez bien et qu’il ne peut entrevoir la complexité du monde parce qu’il n’a pas assez d’expérience. L’expérience. Terme qu’il entrevoie comme une excuse pitoyable de la part de ceux à qui il n’a rien à envier. Se faire nommer ‘gamin’ l’agace et ses traits laissent se dessiner une moue boudeuse dès qu’il entend le terme, preuve qu’il est encore incapable de juste ignorer. Cela le met parfois en colère. Tout peut lui faire piquer une crise. Échouer est un mot qui lui arrache des pleurs. Acid a tendance à être passif pendant une longue période avec les autres avant d’exploser soudainement. En général, la colère laisse rapidement place aux larmes et il ne pourra que s’enfermer dans sa chambre avec un livre en attendant que cela passe ensuite. Étrangement, il travaille bien mieux lorsque son cerveau est dans cet état de rejet de tout ce qui l’entoure. Ainsi, une bonne crise peut lui être utile de temps en temps. A l’inverse, cela le fatigue pas mal et il est souvent boudeur pendant quelques jours après.

L’enfant n’apprécie pas les sciences ni les mathématiques. Ce sont des domaines qui l’ennuient car il a l’impression que l’on tente toujours d’aller vers l’avant sans avoir résolu les énigmes du passé. L’Histoire le passionne, surtout les périodes les plus floues, où les événements n’ont pas vraiment de sens tant ils semblent impossibles. Les croisades, par exemple. Acid est capable de rire devant la futilité de cette entreprise. Et il le fait, généralement. Ce n’est pas qu’il soit mauvais ou quoi que ce soit. Jusque que l’homme est si ridicule que, parfois, l’on ne peut faire autrement que de se moquer. Surtout en ce qui concerne les religions, qu’il abhorre. Cependant, ses rires sont souvent intérieur et il a tendance à être discret, sauf quand il décide de piquer une crise ou de faire un caprice. Cela lui arrive lorsque l’ouvrage qu’il désire emprunter à la bibliothèque n’est pas disponible, par exemple. Comme avant une crise de colère, il fait la moue. Mais là, il se contente d’aller se balancer sur une chaise dans un coin de la pièce, les bras croisés et il tire la langue à tout ce qui passe dans son champ de vision. Jusqu’à ce qu’il se rende compte de sa stupidité. Ce qui peut lui demander quelques heures.

Vous le cherchez ? Il sera probablement seul dans un coin. Trop timide pour parler aux autres. Parfois, il a même peur des plus grands. Acid estime ne pas être capable de les comprendre. Les projets de groupe sont un cauchemar pour lui tant il a du mal à prendre la parole et à s’entendre avec les autres. Et, au final, ce n’est qu’un enfant un peu plus malin que les autres, enfermé dans une grande baraque avec des tas de génies, parfois meilleurs que lui, parfois non, qui a juste du mal à s’intégrer. On remarquera qu’il adorerait devenir un héros, un de ceux qui défend les autres. Mais au lieu de voir avec une cape ridicule, il aimerait plutôt devenir avocat ou juge. Là, c’est réel, on peut vraiment sauver des vies ou faire payer ceux qui en ont arraché.

Acid apprécie de porter une blouse de scientifique un peu trop grande, par-dessus ses autres vêtements, en permanence. Pourquoi ? Bonne question. Juste parce que cela lui donne l’impression d’être protégé. C’est ça, sa fameuse cape de super héros, au final. Sa façon de parler suit le même schéma. Des éclats de sérieux la traversent. Puis les pleurs, les ‘na !’ et autres mots stupides la rendent dénuée de sens. Cet enfant ne possède pas le moindre équilibre. Il va d’un extrême à l’autre. Timide mais colérique. Juste mais capricieux. Ce mélange d’oppositions est peut-être ce qui le rend si attachant. Et surement ce qui fait que certains ne peuvent souffrir sa présence.

Le sang. Vous trouvez que cela est normal d'être intéressé par le sang? Non. Cependant, Acid y voue une sorte de curiosité presque malsaine depuis la mort de ses parents. Ce n'est pas quelque chose qu'il contrôlait au début mais, à présent, il y voit un véritable intérêt. Chaque petite éclaboussure peut amener à quelque chose. C'est fascinant.

Définissez vous en une phrase.

1. Je suis un.


Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?

1. Un poisson rouge.


Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?

1. Finnegans Wake de James Joyce.


Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.

1. 
   
2. « D'un point de vu biologique... »


La petite manie dont vous vous passerez bien ?

1. N'avoir aucune notion du temps.


Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.

1. Ranger ma chambre si je trouve un jour le temps.

Le journal de l’existence diffère pour chacun, même ceux qui vivent ensemble. La communauté a été le lieu de naissance de ce garçon. Une petite ville perdue au Nord de l’Angleterre. Vous savez, le genre d’endroit où tout le monde connaît tout le monde. L’endroit était divisé en deux parties. Les gens qui poursuivaient leurs existences en se posant des questions mais en finissant par les ignorer et les autres. Un groupe de croyants doté d’un patriarche qui devait les guider vers un monde meilleur à la fin de leur vie mortelle. Une secte me direz-vous. Pas que vous ayez tort. Mais, en ce lieu, on ne faisait payer personne. On n’arrachait pas les secrets pour les utiliser comme armes contre celui qui désirerait fuir. On se réunissait cependant à l’église chaque matin, pour écouter les vœux du dirigeant et prier un peu. Une jeune mère de seize ans, un couple homosexuel, des albinos. La majorité des gens présents cherchaient leur voie, à comprendre l’incompréhension et le rejet. Après, il ne pouvait y avoir que quelque chose de grand et de mieux. C’est dans cet univers qu’Alphaïce Azel Shepherd a vu le jour. C’était le fils d’un couple d’albinos. Lui-même en est un. Du type VI-A pour être plus précis. Cela signifie que sa peau est normale, sa chevelure blanche, dans son cas en tout cas et ses yeux bleus-gris. Un risque de cancer est également lié à ce type mais ce n’est pas le plus élevé. Et quelle importance tout cela pouvait-il faire ? Ses parents l’aimaient plus que tout au monde. Il était leur petit miracle. La preuve que la communauté était un havre de paix ou tout pouvait se produire.

Miracle. C’était le mot d’ordre de l’endroit. On ne vous jugeait pas et tout le monde devait s’entraider. Le pire étant que cela se passait ainsi et que l’on ne trouvait rien à y redire dans la ville. Les habitants qui n’adhéraient pas cohabitaient avec les autres sans se poser de questions. Après tout, personne n’était venu leur proposer de donner des millions pour construire un monument à la gloire du patriarche, leurs enfants n’étaient pas invités dans des suicides party. Donc, tout allait bien.

Alphaïce était un enfant comme les autres, choyé et aimé. Les gamins étaient élevés ensemble, dans le sens où des activités étaient toujours organisées pour eux. Comme des pique-niques ou des après-midis de jeux. L’école, ils n’y allaient pas avant leur six ans. C’était la communauté qui devait se charger de leur apprendre les base de la vie, et du culte, durant les premières années. James, un ‘grand’ de douze ans, disait que c’était les années ‘lavage de cerveau’. Notre petit albinos l’appréciait, ce garçon qui venait leur lire des histoires ou bien les surveiller à l’heure de la sieste. Il employait des mots qui étaient compliqués et il avait quelque chose dans son ton qui faisait que les adultes le disputaient parfois, mais il était chouette quand même. On ne criait jamais. Encore moins sur les petits. La communauté préférait expliquer les choses calmement. Décidément, ce coin ressemblait au Paradis. Même si quelques instants étaient incompréhensibles. Comme lorsque l’on disait que le Seigneur leur apporterait le pardon. Ou que cette vie n’était qu’un passage peu utile. Une sorte de punition composée de chair. Ce n’était pas vrai. C’était idiot. Comment est-ce que ce qu’on vivait chaque jour pouvait être futile ? Le garçon ne le comprenait pas. Et, frustré par ce qu’il nommait son idiotie, il laissait les sanglots le traverser jusqu’à ce que son esprit soit trop engourdi pour qu’il puisse réfléchir. Et poser des questions ne lui apportait rien d’autre que de gentilles tapes sur le crâne accompagnées de sourires condescendants. Cela n’était pas juste. Mais Alphaïce découvrirait en grandissant que rien ne l’est de toute manière.

* * * * * *

Parfois, James l’emmenait en ville, parce qu’il le trouvait amusant. L’adolescent aimait la façon dont le gamin venait toujours vers lui pour l’écouter parler là où les autres petits préféraient leurs livres de coloriages ou leur mamans. Alors il faisait s’asseoir son cadet derrière lui sur son vélo et ils se rendaient au cœur de la petite ville. Ce n’était jamais beaucoup. Juste une glace, un passage à la bibliothèque, un film pour enfants au cinéma. C’était juste différent des activités de groupe. Ici, le garçon se sentait traité comme un individuel. Un être à part et pas juste une pièce de quelque chose de plus grand qui le dépassait. Personne ne trouvait son amitié avec le garçon plus âgé étrange à cause d’un système instauré par la communauté. Chaque adolescent devait veiller sur un enfant. Ceci étant sensé permettre à chacun de pouvoir s’exprimer et avoir une sorte d’ange gardien. Pour ses six ans, l’enfant eut le droit aux mêmes cadeaux que les autres de son âge. Si ce ne fut ce bouquin d'histoire qui fit soulever les sourcils des ‘vieux’ et que le patriarche se sentit obligé d’ouvrir avant de rire, un peu gêné, en disant que c’était sans doute une erreur. James haussa les épaules pour ensuite rendre l’objet à son propriétaire ; Alphaïce. Le potentiel du gamin était évident, son aîné l’avait bien remarqué depuis qu’il l’avait vu en train de lire un de ses manuels de géographie quelques mois plus tôt avant de lui ressortir les principaux points d’un cours que lui-même n’arrivait pas à apprendre en vu d’un contrôle.

La surprise se transforma en quelque chose d’étrangement grand et le patriarche déclara que la communauté, même si elle n’était composée que de gens spéciaux, était le point culminant de l’évolution humaine et de son génie. Et tous les joyeux membres de cette secte pacifiste se réunirent pour féliciter le petit qui ne désirait qu’un peu de paix. Par contre, lorsqu’il entra à l’école quelques mois plus tard et que son instituteur proposa qu’on teste son QI dans le but de, peut-être, l’envoyer dans une école pour surdoués, ce fut le drame. La communauté formait un tout et il était hors de question qu’un membre la quitte avant sa majorité, voir ne la quitte tout court. Et il en allait de même en ce qui concernait le fait de sauter des classes. Les enfants devaient grandir ensemble et au même rythme, même si cela entraînait de l’ennui au niveau scolaire pour certains d’entre eux. Vous voyez, il y a toujours des limites à la perfection, telle qu’elle soit.

Des années floues et ennuyeuses suivirent. Les résultats scolaires d’Alphaïce étaient anarchiques. Vingt sur vingt en Histoire. Deux en sport. Zéro en mathématiques. Tout cela lui semblait juste agaçant. Les autres étaient bizarres. Surtout ceux qui ne venaient pas de la communauté. Ils causaient de télévision, de jeux vidéos et d’autres choses qui étaient interdites et remplacées par des jeux plus innocents. Seuls les livres offraient la liberté et une vision différente de celle de l’univers fermé où on le forçait à vivre. A neuf ans, l’enfant refusa d’aller prier un matin, préférant fermer à clé la porte de sa chambre pour s’y enfermer avec des ouvrages. Cela provoqua une sorte de scandale. Son intelligence était réservée à la communauté et il n’avait pas le droit de s’en servir de façon égoïste comme il le faisait. Les adultes étaient manipulateurs et stupides, c’est ce que l’albinos décida en entendant le discours du patriarche. En réponse, il se contenta d’entrouvrir sa porte pour, ensuite, lui tirer la langue. Charmant garçon, n’est-ce pas ?

* * * * * *

Les événements qui suivirent sont voilés, un peu flous. Soudainement, l’attention lui fut retirée. Plus personne ne devait se faire violence pour ne pas lui hurler dessus. Un congrès avait lieu en Amérique et la branche qui se trouvait là-bas de la communauté invitait les fidèles anglais à s’y rendre. Seuls les adultes, et encore, pas tous, s’y rendirent. Ne restèrent qu’une poignée de grands dont les problèmes de santé les forçaient à rester, des jeunes filles présentent pour garder les enfants et les mômes. James n’était pas du voyage. Son attitude de ‘pseudo-rebelle’ fit qu’il fut privé de voyage. Et, au lieu de pleurer sur son sort, le jeune homme en profita pour aller s’éclater dans une boîte et fumer des pétards avec ses potes, qui eux étaient normaux et pas des robots lobotomisés. D’ailleurs, comme Alphaïce insistait de plus en plus pour être un véritable petit garçon et pas une copie conforme des autres, son ami décida de le rendre unique. Ceci avec une teinture bleue achetée au supermarché. Et ce fut en ce jour béni que l’interdiction de crier sur les enfants devint une vieille légende oubliée. Et le pauvre petit se fit secouer comme un prunier par une vieille dame qui ne semblait pas comprendre que la ratatouille qu’elle avait servi quelques heures plus tôt allait bientôt tâcher ses godasses si elle ne cessait pas.

On ne commença à se poser des questions que lorsqu’un voisin arriva en beuglant qu’il fallait allumer la télévision parce qu’un drame était arrivé. Il était bien gentil le monsieur, mais personne ne possédait d’exemplaire de cet appareil de Satan chez lui. Alors la communauté de déplaça jusqu’aux maisons voisines, où les portes leur furent ouvertes le temps des nouvelles. Une fusillade en Amérique venait de faire vingt-deux morts et trente-six blessés au cours d’un séminaire religieux à New York. De l’hystérie aux évanouissements, toutes les réactions y passèrent. Alphaïce, qui se tenait dans l’embrasure d’une porte, se laissa lentement glisser sur le sol avant de ramener ses genoux contre lui. Le pourcentage de chance que ses parents aient été tués était plutôt élevé… Il ne pleura pas, enfin, pas tout de suite. Non, à quoi bon verser des larmes pour rien ? Ce ne fut que lorsque les corps furent rapatriés que la sentence tomba. Morts. Et le patriarche, qui n’avait rien, soi-disant parce que Dieu l’avait protégé des balles pour qu’il continue à les guider, fit un long discours sur le fait que les autres étaient sans doute plus heureux dans leur vie réelle que sur Terre.

Le livre qui était si sagement posé sur les genoux du garçon toucha l’homme en plein visage. Bien fait. James s’autorisa de légers applaudissements avant qu’un regard noir de la part de sa génitrice ne le force à cesser. Alphaïce était en colère pour plusieurs raisons. D’abord, ce type avait vraisemblablement fuit en entendant les coups de feu et il ne bénéficiait pas d’une quelconque protection divine, cela il venait de le démontrer d’une façon très simple. Ensuite, c’était un manque de respect total envers les morts. Enfin, celui qui avait presque onze ans voulait ses parents avec lui. Même s’ils étaient aussi idiots que les autres, c’était les siens. Ils ne pouvaient pas être morts. Le fait que cela était immuable le révoltait. Les pleurs commencèrent à ce moment là et ne stoppèrent qu’une semaine plus tard, lorsqu’il fut capable d’accepter la réalité. Les tombes étaient jolies. Toutes blanches avec des inscriptions dorées. C’était futile, parce que les corps qui se décomposaient s’en fichaient pas mal. Pourtant, il était content que ça soit beau. Il aimait s’asseoir dos aux grandes plaques de marbre et lire. Pour être plus proche de sa famille. Qu’importe le fait que cela n’apporte rien. On peut tous être crétin de temps en temps.

* Plus tard, l'on parla de nouveau de tout cela aux informations. Cette fois, peu de gens voulurent voir les nouvelles mais Alphaïce, accompagné de James, se rendit chez un voisin, celui qui les avait prévenu et qui avait enregistré le passage de l'affaire dans le journal télévisé pour... Il ne savait vraiment pourquoi. Peut-être pour en savoir plus. Pour ne pas être laissé à l'écart parce qu'il était soi-disant trop jeune. Il n'y avait que six minutes de vidéo. Ce qui était court mais précieux. Le malade qui avait fait ça avait été arrêté. Mis en prison. Son identité avait été trouvée en traçant les déplacements des balles et des éclaboussures de sang sur les murs de la salle. James se leva pour aller vomir devant les images des murs tâchés, ce pauvre sensible, mais Al' se contenta de regarder, l'estomac retourné et incapable de comprendre comment des balles et du sang pouvaient ainsi révéler la réalité. Le dernier segment de la vidéo montrait le visage du tueur tandis qu'il était emmené par la police. Dire que ce genre de choses arrivait si souvent, d'après le voisin qui faisait la conversation à James dans la pièce voisine. Cela ne devait plus se produire. D'autres enfants ne devaient pas vivre ça. C'est ce que le gamin décida ce jour-là. A la bibliothèque, il ne trouva aucun livre qui traitait du sujet. Mais, en se connectant sur un des ordinateurs de l'endroit, l'enfant découvrit une source énorme d'informations sur le sujet. Il aurait adoré faire des expériences sur le sujet, mais son intelligence le mettait déjà assez à part comme ça.

Une voiture arriva un jour. C’était étonnant parce que la ville était un peu perdue et peu de gens s’y arrêtaient. Un homme la quitta avant de venir voir notre sale gosse, qui venait de se faire reteindre sa chevelure en bleu par James. Il écouta ce que l’individu avait à lui dire sagement. Son talent ne devait pas se perdre et cet endroit n’était pas ce qu’il y avait de mieux. Peut-être que si le patriarche avait eut autre chose que de beaux discours, le garçon serait resté. Si James ne l’avait pas encouragé à se barrer, en apprenant la nouvelle, il aurait été capable de vivre dans cette jolie cage dorée. Personne ne savait où Alphaïce Shepherd se rendait. Lui-même n’était pas vraiment sûr de tout cela. Cependant, sa réponse fut l’acceptation. Bien sûr, avant cela, on lui fit passer des tests plus approfondis, jusqu’à trouver son QI, qui était bien assez élevé pour lui offrir un ticket d’entrée pour la Wammy house.

* * * * * *

Une voiture arriva un jour. C’était étonnant parce que la ville était un peu perdue et peu de gens s’y arrêtaient. Un homme la quitta avant de venir voir notre sale gosse, qui venait de se faire reteindre sa chevelure en bleu par James. Il écouta ce que l’individu avait à lui dire sagement. Son talent ne devait pas se perdre et cet endroit n’était pas ce qu’il y avait de mieux. Peut-être que si le patriarche avait eut autre chose que de beaux discours et de faux sourires, le garçon serait resté. Et puis, le 'chef autoproclamé' de la communauté possédait cette mauvaise manie de mentir. S'il restait, Alphaïce savait qu'il n'obtiendrait jamais la moindre liberté quand à son intellect. Même si James ne l’avait pas encouragé à se barrer, en apprenant la nouvelle, il n'aurait jamais été capable de vivre dans cette jolie cage dorée.Personne ne savait où Alphaïce Shepherd se rendait. Lui-même n’était pas vraiment sûr de tout cela. Cependant, sa réponse fut l’acceptation. Bien sûr, avant cela, on lui fit passer des tests plus approfondis, jusqu’à trouver son QI, qui était bien assez élevé pour lui offrir un ticket d’entrée pour la Wammy House. Même s'il avait un potentiel évident, la maison exigeait qu'on puisse en avoir une idée précise après tout.

Endroit impressionnant dans lequel il est arrivé il y a quelques mois maintenant. L’intégration est lente. Les autres font peur. Et pourtant, le défi est là. Surpasser les autres, ou tout du moins tenter, est passionnant. Acid adore ça. Son nouveau nom aussi. D’ailleurs, pour être sûr de ne pas l’oublier, il a commencé à manger des sucettes au citron au goût très acide. Enfin, à la base, ça ne devait être que les premiers jours ça, mais, à présent, il ne peut plus s’en passer.

SURNOM(S) : Sali DATE DE NAISSANCE : 13 / 01 / 1991 ÂGE : Vingt ans. SEXE (✔) : ❒ M ✔ F AVATAR : Ienzo/Zexion de Kingdom Hearts DÉCOUVERTE DU FORUM : Par une charmante personne nommée Nia ~ NOTE SUR 20 DU FORUM : 19

Bonsoir et Bienvenue Acid !

Je n'ai pas encore lu la totalité de ta fiche mais c'est en progrès, et j'aime ce que je lis.

Toutefois je peux dès maintenant te donner les résultats de test : Acid est entre Riddle et Expert et comme il n'aime pas les matières scientifique je pense que ton choix se portera sur Expert, hm ?

Sinon je suis vraiment, vraiment désolée, nous avons oublié de le préciser, mais nous n'acceptons pas d'albinos alors peut-être pourrais-tu expliquer ses cheveux naturellement blanc par une décoloration due au chagrin... ?

Toutefois je vais demander aux administratrices s'il est possible d'accepter ce petit albinos tel quel. <3

Bonne nouvelle !

Toutes les admin sont d'accord, tu peux conserver ton personnage, ton histoire et le fait qu'il soit albinos !

Ouf, j'ai eu peur.

Bonsoir~

Et merci infiniment! *s'incline*
Bien sûr, j'aurai édité si cela avait été nécessaire mais je suis soulagée de ne pas avoir à le faire.

Sinon, je pense qu'Expert est ce qui convient le mieux à mon personnage. Je dois donc, en conséquence, lui trouver une spécialisation et l'intégrer à sa fiche, c'est cela?

J'ai décidé de ma spécialité (J'y ai réfléchi pendant que vous décidiez de mon sort *rire*) :
Analyse des expressions corporelles pour déceler les émotions des gens.
Et j'ai rajouté quelques lignes à ce sujet dans l'avant-dernier paragraphe.

Bah euh en fait ça fait un peu trop Alter... tu vois ?

*va s'enterrer*

Ah oui, en effet. Je suis navrée, ce genre de bourde m'arrive tout le temps (mal comprendre ce qui est demandé). Je vais supprimer et éditer dès que j'aurai trouvé quelque chose qui convient. Mes excuses pour le dérangement.

Si je mets 'analyse des traces de sang', ça ira mieux?

Mais nan mais j'aurais du préciser, excuse-moi.

Oui en plus ça ferait genre Dexter ! /sbaf Mais faut bien expliquer sa spécialité de façon logique alors. Un passe-temps étrange pour un enfant de onze ans, mais ça peut être vachement sympa !

Ce n'est rien, voyons~!
Et oui, genre Dexter! La télévision alimente mon imagination. J'ai rajouté un paragraphe sur le sujet. Avant dernier de l'avant dernière partie et j'ai rajouté une étoile bleue devant pour aider à la repérer. Voilà, en espérant que ça soit convenable cette fois.

Ca me va, te voilà finalement validé, désolée pour tous ces contre-temps !