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 «Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C)

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Fantasia Fantasia

Feuille de personnage
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Sujet: «Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C) «Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C) EmptyVen 7 Sep - 22:41




JE SUIS PAS SUPERMAN, JE SUIS SUPER VOYAGEUR MAIS TOI TU ES SUPER-POMME. TU ES LA POMME DE MA VIE.


MarinaMuseAldaya

«Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C) Iconsss7
PSEUDONYME : Muse
NOM : Aldaya
PRÉNOM(S) : Marina
QI: 150
DATE DE NAISSANCE : 1/04
ÂGE : 17 ans
SEXE (✔) : ❒ M ✔ F
ORIGINE :Uruguayenne
ANCIENNETE:Un ans et demi.
MANIE : Collectionner les mots dans un petit sachet. En fait dès qu'elle trouve un mot joli ou sympa, elle l'écrit sur un bout de papier avant de le ranger dans son petit sachet (et parfois dans une grande boite sous son lit si jamais le sachet devient trop gros)


LES SEULS GENS QUI EXISTENT SONT CEUX QUI ONT LA DÉMENCE DE VIVRE, QUI VEULENT JOUIR DE TOUT DANS UN SEUL INSTANT.


Noir de jais, peau blancheYeux bleus (myope) 1m70Svelte (diabétique) Un petit oiseau blanc tatoué sur son poignet droitOreilles percéesUn deuxième trou à l'oreille droite
U.C
Musicienne Créative Fraiche Curieuse MaternelleCroyante NonchalanteImpulsive Cynophobique GourmandeFrivoleRancunièrePuérileGrossière
U.C


I READ SOMEWHERE HOW IMPORTANT IT IS IN LIFE NOT NECESSARILY TO BE STRONG BUT TO FEEL STRONG.



-...J'aime bien l'Angleterre au niveau de la culture, de la langue, même pour la bouffe...Mais alors niveau climat, mon Dieu c'est invivable. Je préfère de loin le climat de l'Uruguay en plus la mer était plus jolie là bas.
-Ca existe l'Uruguay ?
-Han comment tu peux pas connaître ? Raah ça m'énerve de voir que certains ne connaissent même pas l'existence de mon pays d'origine mais en même temps je suis pas mieux. Y a pas si longtemps je croyais que Monaco était une ville de France et pas une principauté. Bah.
-C'est en Amérique du Sud ?
-Yep. Un petit pays à côté de l'Argentine. Et je suis fière d'être uruguayenne compris ? Je suis patriote envers mon pays jusqu'au bout de mes ongles vernis, je voudrais trop y retourner, c'était tellement beau là-bas. Bon c'est pas tout rose mais ça reste un beau pays avec des bonnes valeurs. Déjà on est super catholique, moi je le suis mais en Angleterre on est protestant...Carajo jt'jure rien que ça, ça me rend nostalgique. Là bas je m'appelais Marina Aldaya, j'avais un papa, une maman et une petite soeur. Maintenant je suis orpheline, je vis ici et je m'appelle Muse.
-Qu'est ce qui c'est passé pour que tu te retrouves ici ?
- Ben pas grand chose. Juste une suite d'événements cons et stupides. Mais si je t'explique pas du début tu vas rien comprendre. Tu vois je suis née à Montevideo, en Uruguay un premier avril. Ma famille était une famille aisée, vu qu'on vivait à Carrasco, un quartier chic, et que mon père était le chef d'une fabrique de cigarettes.
-Elle marchait bien son entreprise ?
-Ouais ça marchait bien. Quasiment toutes les cigarettes vendues en Uruguay sortaient de ses usines. Maman était très jolie et très gentille, elle s'occupait bien de moi et semblait très amoureuse de papa. Je me souviens de notre villa : elle était blanche avec pleins de fleurs au balcon et dans le jardin. C'était maman qui s'en occupait avec le jardinier, elle trouvait qu'un jardin sans fleur c'était comme une vie sans passion : triste. On avait aussi une autre maison à Punta del Este, la ville balnéaire près de Montevideo. J'ai passé de super bons moments avec mes parents sur la plage ou avec mes amis durant les vacances. Puis quand j'ai eu onze ans, Maman et Papa ont eu un autre enfant, une petite soeur pour moi.
-Comment s'appelait-elle ?
-Inès. Inès Aldaya. Elle était toute mignonne, une véritable petite poupée. Elle avait les mêmes yeux que moi et papa mais elle avait hérité des cheveux blonds de maman, un adorable petit poupon. Bon je reconnais, elle était une petite chipie par moment, genre quand qu'elle déchirait mes feuilles de cours ou pleurait la nuit...c'était pas triste, surtout quand elle faisait ses caprices mais bon, elle était qu'en même gentille et elle avait une véritable admiration pour moi.
-Tu étais la grande soeur, c'est normal.
-Je sais mais quelque fois c'était énervant parce que je pouvais pas être tranquille avec mes amies, mais ce serait mentir que de dire que j'aimais pas ça. Je jouais à la maman avec elle, j'adorais lui conter des histoires, explorer les recoins de la maison avec, la faire rire...c'était ma petite soeur, c'était Inès quoi.
-Et à l'école comment ça se passait ?
-Ben au niveau des amis, je n'avais pas de problèmes. J'étais dans un établissement privé pour fille, j'avais beaucoup de camarades avec qui je passais les week end à faire les boutiques ou à aller au cinéma mais j'avais aussi des potes garçons. Ils venaient d'un établissement privé mais pour les mecs, en plus je les connaissais parce qu'ils étaient des voisins enfin bref...pour ce qui est du contact avec les autres je crois pas avoir eu des problèmes, j'ai toujours gardé un bon souvenir de ma scolarité parce que j'avais beaucoup d'amis. Mais pour le domaine scolaire c'est autre chose.
-Comment ça ?
-Tu vois j'ai des bonnes notes seulement quand je suis intéressée par la matière ou par le sujet qu'on étudie, en gros faut éveiller ma curiosité sinan je suis aussi fraîche qu'une moule sur un rocher en plein soleil. Donc on va dire que j'étais dans la moyenne, y a que pour les langues où j'ai toujours était dans les meilleures. Déjà j'adorais ma langue maternelle, l'espagnol quoi, mais je me suis aussi passionnée pour le français puis pour l'anglais et l'italien aussi. Bref j'ai toujours aimé les langues, même le grec et le latin j'adore, polyglotte c'est ce que je veux être. Je veux vivre des langues.
-Tu as déjà une idée du métier que tu voudrais faire ?
-Oui traductrice littéraire enfin j'étais contente de la vie que j'avais quoi puis y a un an et demi tout c'est cassé la gueule.
-Comment ?
-Oh à cause de ma mère...qui avait décidément bien caché son jeux. J'avais bientôt seize ans, Inès en avait cinq, on était heureuses et on pensait que nos parents s'aimaient...Ptin les nouilles qu'on était, heureusement qu'Inès ne connaissait pas toute la vérité. Enfin j'ai découvert que ma mère était une grosse menteuse, c'était un jour de printemps, je rentrais chez moi après une journée passée avec mes amis et mon petit copain. Je pensais que j'étais seule, Inès était chez notre grand-mère et papa à son travail, sauf que maman était à la maison. Et pas toute seule : elle embrassait un inconnu sur le canapé, quand j'ai vu ça...j'ai rien dit, je suis partie de la maison discrètement et j'ai marché en ville, j'ai vu un film puis finalement je suis revenue à la maison. L'amant de ma mère était partie et elle parlait avec mon père comme si de rien n'était...j'avais envie de vomir, de tout dire mais j'ai préféré garder le secret, jouer le jeux.
-Tu n'en jamais parlé avec ta mère ou ton père ?
-Non avec personne, j'aurais peut être dû. Parce que deux semaines plus tard ; elle a quitté le pays avec son amant. Elle nous a laissé tomber ; ses enfants, son mari, sa vie...tout. Elle a abandonné tout pour vivre son histoire d'amour.
-Comment ton père a réagi ? Ca dut être dur pour toi et ta petite soeur, non ?
-J'étais triste mais le sentiment qui prédominait c'était surtout la colère envers ma mère. Je lui en voulais d'avoir transformé mon père en un légume malheureux. Je lui en voulais de faire pleurer ma petite soeur la nuit, je lui en voulais de ne pas être là alors qu'Inès l'appelait en pleurant le soir. C'était moi qui faisais la cuisine, moi qui allais consoler Inès, moi qui secouait mon père. Je haïssais ma mère de m'obliger à réparer ce qu'elle avait brisé.
-Qu'est ce qui c'est passé ensuite ?
- Papa aimait maman, il l'aimait comme un fou. C'était son amour d'enfance et elle l'avait tellement blessé par son infidélité qu'il n'a pas pu le supporter. Sa vie ne semblait plus avoir aucun sens, il nous aimait mais pas assez pour l'empêcher de se suicider.
-...Je suis désolé.
-...Pas grave, je ne lui en veux pas. C'est à ma mère que j'en veux. C'est elle qui a déclenché tout ça, si elle avait été honnête avec nous au lieu de mentir...peut être que rien de tout ça ne serait arriver.
-Et pour ta soeur ?
- Normalement Inès et moi nous devions aller chez ma tante à Buenos Aire en Argentine, ma grand-mère étant trop vieille pour s'occuper de nous. Mais un anglais est venu ramener sa fraise et m'a dit que je pouvais aller en Angleterre dans un orphelinat pour surdoué, tout ça parce qu'il avait reçu le test de QI que ma psychologue m'avait fait faire peu après la mort de papa. Ma tante m'a encouragée à prendre cette décision...et j'ai choisi d'abandonner Inès...je me rappelle à l'aéroport...Mon Dieu comme elle pleurait, j'avais choisi de partir là-bas parce que je me disais que ça me permettrait de trouver un emploi stable, que ça m'ouvrirait des portes pour plus tard...et comme ça je pourrais mieux m'occuper d'Inès...je me demande si j'ai fait le bon choix.
-Ca va faire combien temps que tu ne l'as plus revue ?
-Un an et demi, et je prie Dieu chaque jour de bien prendre soin d'elle et de me faire pardonner...Pardon pour l'avoir abandonnée comme papa et maman.
-…
-...
-...Je suis désolé pour toi...
-...Nan c'est moi qui suis désolé. Je t'ai raconté ma vie alors que tu devrais faire ton boulot de gardien de musée. D'ailleurs à la base je te demandais où se trouvait la salle sur l'exposition de Monet.

END


ET SI JE SOURIAIS ET ME JETAIS DANS VOS BRAS. VERRIEZ VOUS ALORS CE QUE JE VOIS MAINTENANT ?


«Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C) Th_phchiu30 «Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C) 24083816
Princesse Peach is in that plaaaaace. Euh que dire sinon que j'ai un vagin et une paire de boobs (petite mais une paire de boobs quand même). Je suis majeure avec deux ans d'âge mentale dans ma cervelle et un harem d'hommes fictifs dans ma tête//pan. Je collectionne les poneys, les perles des dreadlocks de Jack Sparrow, les répliques de dessins animés, l'anneau, la carte du maraudeur et les livres sur le Titanic. Je suis une hobbit de Poussouffle étudiant en hypokhâgne et qui rêve plus tard d'aller élever des chèvres en Pathagonie pendant qu'elle écrira ses romans et ses rps...Sinon je suis dévouée corps et âme à notre bon vieux WH, tentant de le servir en remplissant mon rôle de modo (comme je peux*tousse*) et en le peuplant de mes personnages tous plus étranges les uns que les autres. Comme ma charmante Muse qui a pour avatar BRS ou des brunes random et sinon vive Nesquick (c'était mon dernier mot Jean-Pierre)..




Dernière édition par Muse le Sam 1 Déc - 17:52, édité 1 fois
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Pure Pure
«Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C) 384660Alter2

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Sujet: Re: «Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C) «Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C) EmptySam 13 Oct - 11:06

Toujours en cours, poupée ? Je déplace en attente ?
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«Ô Muse, tu ne vis pas pour être une esclave mais la souveraine de ton existence.» (U.C)

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