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 & Voltaire

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Invité
Sujet: & Voltaire & Voltaire EmptySam 3 Mar - 20:14

identité
« C'est un poids bien pesant qu'un nom trop tôt fameux.  »

PSEUDONYME: Voltaire, et elle n'arrive même pas à le prononcer sans accent anglais.
NOM : Arway – ce qui sonne un peu comme Arouet, le nom de... Voltaire.
PRÉNOM(S) : Valentine, Terry. Les orphelins surnomment affectueusement Voltaire justement par Terry, une simplification des dernières syllabes de son pseudonyme, et le hasard a fait que son surnom correspond à son deuxième prénom.
QI: 180.
SEXE : ❒ M ✔ F
DATE DE NAISSANCE : 21 / 11
ÂGE : dix-sept ans.
ORIGINE : nationalité sud-africaine.
ANCIENNETÉ : cinq ans.
MANIE : Voltaire est une fétichiste des plumes. Elle les porte en bijoux, elle en a dans ses poches, elle en a dans les cheveux, et sentir la caresse du duvet sur son visage la détend et peut l'aider dans ses réflexions.
& Voltaire 1010


& Voltaire He0910


physique
« Je préférerai toujours les choses aux mots, et la pensée à la rime. »

Couleur des cheveux : blond clair, teinte en gris.
Couleur de la peau :  heu blanche beige ?
Tatouage/Piercing ? : seulement deux boucles d'oreilles simples.
Couleur des yeux : marron.
Taille en centimètres : cent soixante-trois.
Corpulence: normale quoi.


caractère
« On est gai le matin, on est pendu le soir. »

joviale
rêveuse
    tête-en-l'air
    AUCUN TACT
Vivre heureux, ça doit être la seule ambition dans la vie de Voltaire. Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux, et Voltaire le sait bien, mais elle ne sait pas que ce credo mène en général à un avenir désastreux. Et Voltaire ne connaît rien de ces mots, affreux, terreux, ulcéreux, malheureux, douloureux, lépreux, désastreux, ça n'existe pas pour elle. Il faut être quand même sacrément fou pour être un orphelin doublé d'un génie, être entouré d'orphelins qui sont eux-mêmes des génies, et avoir pour amis ces mêmes orphelins qui sont des rivaux dans une compétition pleine de cruauté et prétendre accéder à un état d'esprit qui correspondrait vaguement au bonheur. Et ça, c'est elle, une fille qui éclate de rire pour vraiment rien, et qui peut à la seconde d'après s'endormir sur son banc pour avoir trop dépensé d'énergie. Ce n'est pas que Voltaire ne soit jamais malheureuse, mais il y a cette lentille convergente qui transforme toutes les douleurs du monde en une espèce de songe sublimé. Et Voltaire c'est ça, elle prône sa philosophie pour trébucher sur une peau de banane et exploser de rires les quatre fers en l'air. Elle fait tout pour être la plus voltairienne possible, comme ces cheveux cendre ou cette chemise à jabot qui ne va pas du tout avec ses baskets orange fluo. Elle glisse, se cogne, se rattrape, re-glisse, trébuche, dérape, dérange, désordonne, et elle ne le fait pas exprès, la pauvre, c'est juste qu'elle ne regarde jamais devant elle, trop occupée à se tenir le ventre dans un état d'hilarité extrême. Et les orphelins connaissent bien Voltaire, parce que c'est une chic fille très tolérante, très très bavarde et très marrante. Enfin, elle passe le plus temps à rire qu'à faire rire. Les orphelins la connaissent bien aussi surtout parce que cette tête-en-l'air a autant de chance que quelqu'un qui en passant sous une échelle voit un chat noir, se rend compte que c'est vendredi treize, se fait crotter dessus par un pigeon, ouvre son parapluie en rentrant chez lui, casse son miroir et perd au loto. Voltaire a une chance de dingue, ou plutôt, une malchance de dingue, elle se prend des rateaux en marchant dans le parc, elle ne voit pas les flaques d'eau, elle a cassé, perdu et coincé tous ses porte-bonheurs, elle se prend des tartes qui ne lui sont pas adressées et jamais elle n'a pu être ponctuelle, parce qu'un piano lui barrait la route, ou un chien lui a volé son sac, ou une mamie lui a demandé de l'aide, ou elle a fait tomber sa boîte de coton-tiges. (Ca a l'air de rien, mais ranger prestement des coton-tiges dans leur boîte cylindrique est une tâche qui relève de l'impossible.) Mais Voltaire prend ça dans le côté cool de la vie, et elle sait que c'est pas la peine pour elle d'acheter des jeux à gratter. Parfois, tout de même, même les golems ne sont pas invincibles, elle est déprimée un peu par cette malchance de cocu, et elle fume comme un pompier. Mais pompier, ce n'est pas très élégant, surtout pour quelqu'un qu'on appelle Voltaire, alors ce serait bien si on disait "Voltaire fume comme un penseur" ou "Voltaire fume comme un philosophe." Ce qui serait un pléonasme doublé d'un contresens. Alors ce serait plus simple de dire "Voltaire fume et rit beaucoup" ou "Voltaire fume comme un penseur et rit comme un pinson", mais les pinsons ça ne rit pas. En plus les pinsons sont cousins des pigeons qui lui crottent dessus, et ça, ça la fait pas rire.


classe
« Si l'opinion est la reine du monde, les philosophes gouvernent cette reine. »


Définissez vous en une phrase.
Dans un souci d'objectivité, je pense qu'il faudrait poser la question à mes amis...
Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
Un poisson rouge.
Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
Totem et Tabou de Sigmund Freud.
Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
« Je comprends ce que tu ressens... »
La petite manie dont vous vous passerez bien ?
Caser des citations partout.
Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.
Lécher les bottes du professeur pour m'accorder un délai supplémentaire si j'ai pas la flemme...



histoire
« J’ai fait un peu de bien, c’est mon meilleur ouvrage.  »

"C'est la faute à Rousseau" disait le grand-père de Valentine dès qu'elle brisait involontairement un vase, un carreau ou un service à thé. Et dieu sait si ça arrivait souvent. A chaque fracas de verre, à chaque rugissement tonitruant de meuble qui tombe, à chaque cri de la vieille Wendy, c'était "la faute à Rousseau." Valentine vivait chez son grand-père. Quand Valentine rentrait à la maison, ça sentait la purée, les pâtes, le potage aux tomates, la salade, le vinaigre, le bouillon, le mouton, le persil, le poivre. Et quand elle rentrait à la maison, elle criait "JE SUIS LA" au cas où personne n'entendrait qu'elle claquait la porte à en faire trembler les murs et ces pauvres plantes suspendues à la marquise de verre. Quand elle rentrait à la maison, elle posait son sac, enlevait ses chaussures et elle passait devant la cuisine, elle passait devant la salle à manger, elle passait devant les buffets poussiéreux, elle allait voir la pièce la plus au fond du couloir et faisait un bisou sur la joue de son grand-père. Son grand-père levait la tête et acquiesçait avec un imperceptible sourire que seule Valentine décelait, et il restait méditer devant un ouvrage datant de la seconde république française. Et s'il n'y avait ni grand-père ni grimoire qui sentait le vieux, elle s'asseyait dans la cuisine et attendait son grand-père qui revenait avec un grimoire sous le bras. Et son grand-père lui racontait ses formidables journées, comment il avait failli avoir un accident de voiture, comment il avait trouvé une édition originale datant de l'époque de Jules Verne, comment il avait gardé son sang-froid devant des clients pas polis et comment il avait fait le plus vite possible pour revenir à la maison.
Le grand-père de Valentine était bibliothécaire. Il pouvait prendre sa retraite, mais il faisait ça pour l'amour des livres. La vieille Wendy lui disait qu'il n'était pas raisonnable et qu'il allait mourir de surmenage. La vieille Wendy, c'était un peu comme la bonne de la petite maison et c'était aussi une amie d'enfance de son grand-père. Mais rien à faire, son grand-père n'écoutait personne. Valentine s'était arrêté de se mêler de ses affaires. Si son grand-père aimait ça, il ne fallait pas l'empêcher de faire ce qu'il voulait. Dix ans qu'elle habitait chez lui et jamais, jamais il ne s'était fâché contre elle. Et pourtant, il avait de quoi. Ce n'était pas tant la fortune dépensée à racheter les couverts, assiettes et autres, c'était plutôt l'opposition de la petite-fille à l'amour de son grand-père. Il avait beau essayer lui offrir de Roald Dahl ou même Lewis, rien à faire. Valentine détestait lire. Ses dictées et autres exercices gramaticaux aux notes catastrophiques désespéraient le vieux littéraire, et elle ne savait pas écrire deux mots sans trouver le moyen d'y fourrer sept fautes d'orthographe et de ponctuation. Mais Valentine était une enfant gaie et très plaisante, et elle réchauffait les vieux jours de son grand-père et de Wendy, alors ils ne disaient rien. "C'est la faute à Rousseau" disait-il, quand il vit le dernier bulletin de sa petite-fille.

Il n'a pas fallu s'étonner quand les mains ridées du grand-père ont cessé de feuilleter ses pages jaunies pour toujours, lui qui l'avait toujours fait avec beaucoup, beaucoup trop de zèle. Wendy a beaucoup pleuré, et Valentine lui serrait ses larges mains couleur chocolat. Mais elle n'a rien dit quand les marbriers sont venus, rien dit chez le fleuriste, rien dit à la bibliothèque, rien dit aux gendarmes, rien dit au prêtre, rien dit à personne. Sauf à la vieille Wendy, qui voulait qu'elle appelle sa mère, ou que Valentine vienne vivre avec elle, dans la campagne.
Valentine se sentait terriblement coupable. Elle pensait que si son grand-père ne l'avait pas à sa charge, il aurait pu mener sa vie beaucoup plus longtemps. Wendy aurait pu mieux s'occuper de lui, et il n'aurait pas été aussi fatigué qu'il ne l'était. Parce que ça se voyait, il oubliait de couper sa moustache et il avait des cernes, ses dents puaient un peu, pauvre grand-père ! La mort l'attendait déjà quand madame Arway est venue déposer sa fille chez lui. Elle se disait que c'était à cause d'elle, elle aurait dû le raisonner, ou bien elle aurait dû rester chez sa mère. Alors revoir cette mère qui était un peu responsable aussi, de la disparition de sn grand-père, c'était impossible pour elle. Elle dit non à Wendy, non aux deux propositions, et elle a été placée dans un foyer pas loin, en attendant.
Le grand-père de Valentine s'appelait Victor, comme son idole, un certain Hugo. Il avait des doigts fins, des doigts de bibliothécaire qui savent chercher lives essais et recueils, il avait une très bonne vue, même vieux, et il avait une voix profonde qui rendait n'importe quelle lecteure passionnante. C'était un homme formidable. Wendy avait mis dans la valise de Valentine un livre compact avec une très petite écriture et des pages très fines, comme une bible, c'était l'histoire de Jean Valjean, de Cosette, de Gavroche. Il y avait des feuilles insérées entre certaines pages, des notes qu'il avait faites, et elles sentaient la cannelle. Valentine a lu, tout lu, surtout les notes, mais le roman lui-même aussi.
"C'est la faute à Rousseau" si son grand-père était si fatigué, si il ne s'est pas reposé pendant ses derniers jours, si finalement, tous les livres qui faisaient sa fierté l'avaient happé. Et c'était sa faute à elle aussi, de ne pas s'être occupé de lui.

Alors quand elle se retrouva devant Roger, elle ne sait pas vraiment comment, elle dit: "C'est la faute à Voltaire."

Jusqu'à leur arrivée, Voltaire n'a été qu'un individu sans volonté, que le souvenir assommant d'un grand-père hantait. Elle repensait sans cesse à ce pauvre grandpa qui avait disparu deux semaines avant de vraiment partir, comme les vieux chats qui se cachent pour mourir. En réalité, elle avait du mal de se détacher de son ancienne identité. Victor Arway devait garder un œil sur sa petite-fille, et elle se sentait presque honteuse de devoir prendre un autre nom. Mais la Wammy's House avait de suite adopté Valentine, une fille peut être un peu trop excentrique et un peu trop complexée par ses connaissances et ses aptitudes littéraires inférieures à ses camarades. On savait comment s'y faire. Il a suffi de laisser trainer des pinceaux à la portée de main de Voltaire pour qu'elle puisse se changer les idées. Pour peindre des paysages lunaires, des fleurs exotiques, des frelons vert acide, un ciel de nacre, une nappe d'eau translucide, et des hommes au rire radieux. Elle faisait tout ça en regardant le parc boueux de la Wammy's. 
Les orphelins et les professeurs ont su, comme avec chaque enfant, redonner de la confiance et de la vie à cette fille de douze ans trop perdue et petit à petit, il a fallu prendre du recul par rapport à son passé, comme chaque enfant l'avait fait. Mais d'autres facteurs ont également contribué à l'épanouissement de Voltaire. 

Il y eut d'abord Zadig.
Elle le rencontra au tribunal des words. Personne n'avait l'idée de revenir là après les cours, les pas résonnaient et il faisait froid dedans. Elle voyait quelqu'un d'affalé sur son banc, le visage caché par les cheveux, les mains qui pendaient dans le vide, exactement comme quelqu'un qui venait d'être pendu. 
— C'est toi Zadig ?
Il ne répondait pas. Elle voyait en Zadig le reflet de Voltaire. Le reflet de la Voltaire de douze ans. Elle voyait un individu avachi, un regard de vieillard dans les yeux d'un adolescent. La seule chose qui pouvait sortir les orphelins aux yeux embués de leur état, c'était le contact humain, elle le savait bien. C'étaient ces autres orphelins qui lui avaient tendu la main, offert des douceurs et donné de l'aquarelle, et grâce à eux, elle se sentait chez elle. Il fallait se remonter les manches et faire de même avec ce garçon qui avait l'air plus vieux qu'elle.
— Moi c'est Voltaire. 
Il ne bronche pas. Il l'agacerait presque, si sa bonne volonté ne fût pas aussi excessive.
Dès qu'on avait su que le dernier arrivé s'appelait Zadig, on a appelé Valentine et on s'est empressé de le lui dire. Et elle avait cherché celui qui serait son protégé. On n'avait jamais vu de tête d'enterrement pareil, apparemment. Mais Voltaire était là, les orphelins s'étaient attachés à leur peintre en herbe au rire facile. Elle se sentait vraiment responsable de lui, comme si elle fût réellement François Marie Arouet, créateur de Zadig, comme si vraiment, la destinée de l'orphelin récemment arrivé dépendait d'elle. Elle se voyait déjà dorloter et chérir cet enfant qui venait d'arriver, auquel elle donnait une dizaine d'années, elle se voyait déjà le couver comme une poule et le prendre en main comme les orphelins l'avaient prise en main. Pour une fois, elle était contente d'être Voltaire, sans qu'on lui fasse de blagues vaseuses sur les œuvres du vrai Voltaire. 
— Je ne t'imaginais pas aussi vieux. 
Elle s'était assise à côté de ce Zadig mutique qui en avait rien à fiche de son auteur.
— On m'a dit que tu étais Allemand. Raconte-moi ta vie. 
Il ne l'a pas racontée tout de suite, du reste, ils avaient du temps. Au fil du temps, Voltaire put entendre des bribes de la destinée de Zadig, lui montrer ses quelques gribouillis, et écouter ses anecdotes. Elle prenait très au sérieux son rôle d'assistante sociale. Quand il racontait qu'il avait passé une bonne soirée ce jour-là à Kreuzburg avec ses amis, elle sentait une chaleur tiède dans son ventre, et quand sa verve explosait contre cet ami qui l'avait trahi, elle sentait ses poings se serrer de colère. Il lui semblait avoir vu ces scènes avec tellement de réalisme qu'elle s'était dit que ce blondin dont Zadig parlait n'était qu'un connard et que si elle le rencontrait un jour, elle lui ferait payer les affronts qu'il avait fait subir à Neville. 
Puis il y eut Candide. Et en le voyant, Voltaire a été tellement estomaquée par tant de finesse et de gentillesse, qu'elle s'est dit que jamais Candide ne pouvait, ou n'avait pu faire de mal à quelqu'un. 


HRP
quelle cassooooooos


& Voltaire Toicn10
    SURNOM(S) : GUN
    DATE DE NAISSANCE : QUATRE FEVRIER
    ÂGE : DIX SEPT
    SEXE : FEMELLE
    AVATAR : MEUFS RANDOMS
    DÉCOUVERTE DU FORUM : LOL
    EST-CE VOTRE PREMIER FORUM RP ? LOL


Dernière édition par Voltaire le Ven 6 Avr - 22:16, édité 2 fois
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Pure Pure
& Voltaire 384660Alter2

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Wammy’s: H / A
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Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: & Voltaire & Voltaire EmptyDim 11 Mar - 13:57

Bonjour et rebienvenue parmi nous !

Ton personnage est soit un WORD soit un ALTER, mais je suppose que ton choix se portera plutôt vers la première classe, hm ?

Pourrais-tu, je te prie, ajouter quelques lignes à son histoire concernant ses cinq ans passés à la WH
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Invité
Sujet: Re: & Voltaire & Voltaire EmptyMer 14 Mar - 19:47

merci Puripure hug hug hug
(le pire, c'est que j'ai vraiment hésité.)
bien sûr que Voltaire fait partie des L /o j'ai ajouté un paragraphe.
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Pure Pure
& Voltaire 384660Alter2

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Wammy’s: H / A
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Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: & Voltaire & Voltaire EmptyMer 14 Mar - 20:22

Genre en cinq ans elle s'est pas fait de pote, juste battre pas Moriarty ? (comment ça je vois le mal partout ?). Elle pense quoi de la WH et tout ? Du fait que son papy il soit mort et tout machin bidule ?
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Pure Pure
& Voltaire 384660Alter2

Feuille de personnage
Wammy’s: H / A
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Âge: 17 & 25 ans
Sujet: Re: & Voltaire & Voltaire EmptyMer 21 Mar - 22:38

Toujours en cours ?
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Ginger
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Sujet: Re: & Voltaire & Voltaire EmptyMer 28 Mar - 10:26

Bonjour,

La fiche est elle toujours en cours ?
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Invité
Sujet: Re: & Voltaire & Voltaire EmptyVen 30 Mar - 23:32

Je vous fais ça rapidement sous peu C:
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Invité
Sujet: Re: & Voltaire & Voltaire EmptySam 7 Avr - 12:29

(Ah putain comment mon message précédent est un pléonasme infini)
J'espérais pouvoir mettre des images mais vu l'état de mon ordinateur on va se contenter du texte xD (je n'ai jamais mis aussi longtemps à finir une fiche.)
DONC VUALA. En espérant que cette fois-ci sera la bonneeeeee.
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Ginger
& Voltaire 895289Shape2

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Sujet: Re: & Voltaire & Voltaire EmptyDim 8 Avr - 22:03

Voltaire est chou, cette fiche est jolie comme tout, je veux voir un topic entre Zadig, Candide et Voltaire.
Voltaire est adorable et attachante.

Je te valide 8D
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& Voltaire

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