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 Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion.

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Invité
Sujet: Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion. Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion. EmptyMer 16 Nov - 13:18

je n'ai pas pu m'empêcher de reprendre pilgrim. le caractère est un peu court, pardon ;; quant à l'histoire ... elle date du mois de mars. je vous présente donc toutes mes excuses pour sa qualité médiocre. JE ME RATTRAPERAI EN RP ♥

Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion. 252182thof


Imma Pilgrim
in an holy land.

PSEUDONYME : Pilgrim
NOM : Parsley
PRÉNOMS : Théodore Francklin
QI : 179
DATE DE NAISSANCE : 30/04
ÂGE : Dix-sept ans
SEXE : M
ORIGINE : Anglaise
ANCIENNETÉ : toute récente
Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion. 132570th14988156


Every whisper of every waking hour

I'M CHOOSING MY CONFESSIONS
Couleur des cheveux : Châtain clair
Couleur de la peau : Blanche
Tatouage/Piercing ? : Aucun
Couleur des yeux : Vert
Taille : 182cm
Corpulence : Banale


Trying to keep an eye on you

LIKE A HURT LOST AND BLINDED SOUL
Extraverti
Charmant
Discret
Franc
Sensible
Magnanime
    Grincheux
    Pugnace
    Défaitiste
    Fils-à-papa
    Susceptible
    Acerbe
Théo c'est le garçon qu'on croise au coin de la rue, le gars qui passe et qu'on ne regarde pas. C'est le mec banal, bien trop normal, qu'on ne prend même plus la peine de dénoter. Le grand benêt dégingandé. Pourtant quand on s'adresse à lui, on remarquera peut être cette petite lueur espiègle au fond des yeux, ou ce rictus au coin des lèvres qui appelle au baiser. Oh. Peut être qu'on se souviendra de lui, finalement. Il est sympa, Teddy. Il a l'allure dégagée, l'humour facile, la chaleur fraternelle de l'ami sincère. Il a la diplomatie dans le sang, Pilgrim. Papa et Maman ont ratissé la terre des prestigieuses ambassades britanniques pour déléguer à leur fils le don de la cordialité, et les quelques secrets d'une popularité méritée.

Mais Théodore c'est aussi le gosse mondain, le fils à papa qui dégage la capiteuse odeur du piston, l'arriviste qui crie à l'ambition. L'apothéose du premier de la classe qui ajuste son nœud de cravate avant de s'avancer dans l'halo de lumière éthérée du beau monde, pour récolter les éloges, décrocher les lauriers des hautes sphères olympiennes, et enchaîner dans une même rengaine à chaque cocktail, chaque soirée huppée qui déborde de noms notoires, et autres célébrités. L'adolescent au rêve de grandeur et de renommée. Le gosse coincé entre un père entiché de voyages, et une mère affable, perdue devant la vie.

Cependant Théo, au-delà de ses utopies juvéniles, demeure claquemuré dans son huis-clos cliché. Le mythe de l'enfant-roi, rongé par l'orgueil et l'égocentrisme. Le fils bourgeois, au parfum d'indolence et d'ennui, qui s’affadit au contact douceâtre de la monotonie de la vie. Comme une fringale de liberté. Un besoin de quelque chose, d'un-je-ne-sais-quoi pour échapper à la somnolence de l'existence. Alors, il utilise un langage cru, s'initie aux rituels barbares des prolétaires, s'enivre de bière pas chère et baise la petite rousse d'à côté, s'entoure de connaissances, toute la panoplie des « fils de » , se trouve une petite amie jolie, pas trop chiante, qui s'habille chez Burberry ou Chanel.

Théodore, au fond, ce n'est que le visage buriné d'une jeunesse désoeuvrée.





Baby, you can drive my car.

YES I'M GONNA BE A STAR.

Définissez vous en une phrase.
  1. Non.

Vous offrirez quoi à Noël à votre meilleur ennemi ?
  1. Une corde.

Parmi ces livres ci-dessous, lequel serait le plus susceptible d'être votre livre de chevet ?
  1. Finnegans Wake de James Joyce.

Ce que vous devez impérativement arrêter de dire. Sérieusement.
  1. « Plus vite ! Hé que ça saute ! Allez ! Merde ! »

La petite manie dont vous vous passerez bien ?
  1. Caser des citations partout.

Il y a forcément quelque chose que vous auriez dû faire depuis longtemps et n'avez toujours pas fait.

  1. Quelque chose que je dois faire ? Euh. Non non, j'ai fini ma classification, ma maquette de l'ADN, tout est bon. Non ?




And then life will tear me apart.

AGAIN.
Laisse moi deviner...

Elle fronce les sourcils, à peine. Juste le temps de d'afficher un semblant de réflexion. Connerie.
Je lève les yeux au plafond. Et, soudain, sans surprise, la sentence tombe.

Toi, t'es le genre fils à papa qui prend son pied dans ces réceptions pédales. Je me trompe, Théodore ?
C'est ça. Et toi, Dalia, tu ne serais pas la garce qu'on a forcée à venir ?

Je lui offre un vicieux sourire ; elle me le rend presque aussitôt. Elle ajoute quelque chose ; je me mordille la lèvre pour ne pas répliquer. Et elle se tire. L'oeil critique, je détaille sa silhouette, ses talons trop hauts, son sac D&G à paillettes, sa robe de call-girl à 5000£, ses cheveux longs qui puent la décoloration... Tsss. Elle se prend pour qui ? Paris Hilton ? Il ne manque plus que le chihuahua en chemisier Chanel. Je blasphème tout bas, et apostrophe le premier garçon à nœud papillon qui passe. J'arrache d'une main nerveuse une coupe de son plateau d'argent et engloutis cul-sec le Armand de Brignac qu'elle contient. Je lui rends brutalement le verre, vide désormais, et réprime un juron. Et dire que Kayleigh s'imagine que je pourrais la tromper avec ça.

Comme si elle avait deviné que je pensais à elle, Dalia tourne la tête dans ma direction. Nos regards se croisent. Ses yeux brillent. De haine sans doute ; de provocation aussi, peut être. Mes iris aussi, doivent être pas mal à voir.

Je ne pensais pas que ce fusse possible.

Détester quelqu'un à ce point.


SO RAISE YOUR GLASS IF YOU ARE WRONG
IN ALL THE RIGHT WAYS.


Théo, tu m'écoutes ?
Mais oui...
Non tu m'écoutes pas ! Tu penses encore à elle, avoue !

Et vlan, en plein virage, la gifle débarque de nulle part. Elle a même pas mis son clignotant. Bitch.

Kayleigh... !
Je sais que tu me trompes avec cette pute de Bontë !
Hein ?
Jamie et Rich m'ont tout dit !
Quoi ?
T'as pas arrêté de la mater samedi soir ! Je le sais, je le sais !

Elle me vrille de ses grands yeux furieux, cet air de chiot enragé. Je déglutis. Si ses prunelles avaient été des kalachnikov, je ne serai plus qu'un tas de chair fraîche, criblé de balles encore fumantes. Elle est gentille pourtant, Kayleigh. Avec ses belles boucles brunes, ses iris mordorés, sa petite bouche en cœur. Mais je ne supporte plus ses manières de salope des beaux quartiers, sa voix criarde, suraiguë, l'hypocrisie de ses sourires. Et sa jalousie intempestive, ses crises de nerfs. Qu'est-ce qui lui prend aujourd’hui ? Elle a ses règles ou quoi ?

Kayleigh. FERME-LA.

Elle se tait une seconde, l'air renfrogné. Je prends une grande inspiration, et me radoucis un peu.

Qu'est-ce qui te prend ?
Jamie m'a assuré que tu te tapais Dalia.
N'importe quoi.
Qu'est-ce qu'elle a de plus que moi ?!

Je lâche un profond soupir, et sirote une gorgée de gin tonic. Je jette un coup d'oeil par la fenêtre, et patiente avec une certaine anxiété, la tornade qui pointe son nez.

C'est parce qu'elle est blonde, c'est ça ?! C'est ses seins ?! Mais Théo, c'est qu'une traînée !

Je fais la moue. Qu'est-ce qui lui a pris à James ? Il sait très bien que Kay prend tout au premier degré. Putain, qu'est-ce qu'il est allé lui raconter...
Et en plus ... je déteste Dalia Bontë.

Kay, Bontë s'est fait tout le quartier... C'est pas du tout mon style. Et... tu sais très bien que j'ai toujours préféré les brunes.

Et lui offrir un sourire coquin ; tandis qu'elle se laisse séduire, grimpe sur mes genoux, et scelle ses lèvres aux miennes.



CAUSE I FEEL LIKE A PRISONER
TRAPPED INSIDE THIS BROKEN WORLD.



Théodore ? Théodore ! Où es-tu ?
Là. J'arrive.
Dépêche-toi s'il te plaît ! J'ai monsieur le ministre à te présenter.
Oui. Je sors dans deux minutes !

Ma promesse ricoche doucement contre les murs. Et, le silence.
Tout contre moi, elle éclate d'un rire léger. Je sens son souffle chaud contre ma joue.

Je savais bien que t'étais qu'un putain de fils à papa.
Oh, ta gueule.

Elle rit. Son hilarité résonne jusque dans ma poitrine.
Je ne la quitte pas du regard. Mon front effleure le sien, ses mèches blondes se mêlent aux miennes ; et je ne me détache pas de ses yeux, ses yeux trop bleus, même quand je réponds aux appels incessants de mon paternel. Je la contemple, juste. Et laisse ma haine s'écouler dans mes veines. J'essuie ma lèvre saignante d'un revers de main. J'ai le souffle court ; elle aussi. Et mon pouls bat contre mes tempes, ricochet de ma démence.

Bon. Tu vas me laisser sortir Théodore ? A moins que tu ne veuilles un plan cul là, sur la cuvette ?

Elle grimace un sourire. Ce même petit sourire en coin, sardonique qu'elle m'avait offert le premier jour. Je me rembrunis. Je ne sais pas ce qui me retiens de lui en coller une. Pas grand chose sûrement, vu la marque écarlate qui réchauffe sa joue blafarde. C'est la première fois que je me bats avec une fille. Enfin, je n'ai pas vraiment de scrupules. Dalia n'est pas une fille ; c'est une salope. Nuance. Mais je dois avouer qu'elle se défend pas mal ; j'ai la lèvre en feu.

Plutôt crever.

Quand je pense que Kayleigh m'a largué à cause de toi, sale blondasse.

Elle ricane. Encore. Ça a l'air de bien l'amuser. Elle tend la main, frôle ma bouche meurtrie du bout du doigt, l'oeil pétillant. Elle se rapproche, et... Je me braque et recule d'un coup, pour la laisser se dégager. Un rictus en coin aux lèvres, elle sort de l'habitacle, et me claque la porte au nez...

Seul, le front accolé à la porte, j’assène un coup de poing rageur au mur blanc.
Putain. Il y a des claques qui se perdent...



DAMN DAMN DAMN
I WISH YOU WERE HERE.



Teddy ?
Oui, m'man ?
Ton père et moi sommes mutés au Caire. Mission diplomatique.

Je dévale les dernières marches du bel escalier en acajou de la demeure familiale, et la rejoins dans l'entrée. Je lui jette un regard interloqué.

Hein ? Mais. vous partez quand ?
Dans trois semaines.
Je pars avec vous.

Ma réponse a claqué dans l'air comme un revolver. Elle lève la tête vers moi, et me couve des yeux. Puis elle lâche un léger soupir.

C'est hors de question Théo.
Pourquoi ?
Parce que tu es à Eton, et tu vas y terminer tes études.
Mais...
Tu ne quitteras pas le Royaume-Uni chéri.
Maman !
Tu as dix-sept ans. Réplique-t-elle. Tu peux vivre ici tout seul. Et Melvin restera ici ; nous ne partons pas plus de quelques mois, un an tout au plus. De plus, tu es pensionnaire à l'année. Tu ne verras pas la différence.

La majorité des adolescents de mon âge ont sûrement rêvé des milliers de fois d'une telle occasion : se défaire de l'autorité parentale pour douze longs mois. Trois cent soixante-cinq jours de liberté, huit mille sept cent soixante heures de pure jouissance ; ma réaction aurait pu paraître débile. Hm. Mais, mes vieux ne sont pas comme les autres. Ils ont disparu pendant près de quinze jours après s'être perdus dans une forêt primaire d'Amérique du sud, il y a deux ans. On se demande comment. Ils ont du perdre leur guide, ou volontairement échapper à sa vigilance pour vivre intensément leur passion dans quelques fourrés. Quoi qu'il en soit, ils ont été retrouvés par un hélicoptère de la police colombienne après avoir survécu quelques temps grâce à des pygmées aborigènes. Vous comprendrez mon scepticisme. Et s'ils allaient se perdre dans une pyramide ? Ou se faisaient kidnapper par des terroristes ?

Enfin, je tenais juste à te prévenir.

Elle dépose un rapide baiser sur ma joue, et disparait sans même me laisser le temps de riposter. Je lève les yeux vers Melvin, le majordome et ami de mon père depuis près de vingt ans, qui m'adresse un triste sourire.



DON'T GIVE UP ON THE DREAM, DON'T GIVE UP ON THE WANTING
CAUSE I WANT YOU


Théo... Plus vite, plus vite.

Une main déchire sa robe, une autre défait le drap, et deux corps s'animent. Un peu plus vite, un peu plus fort. Mon t-shirt s'envole, un bouton saute, les fermetures glissent, mon pantalon décolle, sa culotte aussi. Des cris étouffés, des respirations saccadées, et au loin, un bout de ciel bleu. Le paradis ? Il n'y a que nous. Le lit. Elle. Moi. Sa bouche rosée effleure mon prénom, ses cheveux blonds caressent ma joue, ses ongles vernis me lacèrent la peau. Mes lèvres cherchent les siennes, sa main la mienne. Et des râles amoureux, des soupirs rauques, torturent le sommier à l'agonie. Deux êtres qui se collent, se frottent, s'entrechoquent. Deux âmes qui communient.
Et le désir s'éteint, peu à peu...
Je me retire, et m'affale. Je la regarde, alangui ; elle me scrute, le souffle un peu court, énamouré. Elle lâche un baiser mouillé sur ma tempe. Je chuchote son prénom.

Ses yeux s'enflamment. Et elle soupire, avec une tendresse un peu triste.

Théo. Combien de fois devrai-je te le dire... Moi c'est Grace, alors... steuplé, ne m'appelle plus Dalia.



THAT'S ME IN THE CORNER, THAT'S ME IN THE SPOTLIGHT
I'M LOSING MY RELIGION.


A-Allô monsieur Théo ? … C'est. C'est Melvin.
Bonjour !
Monsieur … je.
... Melvin ?
Théodore … Vos parents...
Mes parents quoi, Melvin ?
Ils-Ils... viennent d-de...
De quoi ? Melvin !
d-décéder.

Une demi-seconde, le temps s'arrête. Je lâche le combiné. Le téléphone s'écrase sur le parquet ciré, comme au ralenti. Comme au cinéma. Une stupide de scène de ciné. Une putain de scène de film.

Une place touristique du Caire.
Un attentat suicide.
Treize morts.
Dix étrangers. Plusieurs belges, allemands, quelque chinois ou japonais, trois français, et... deux britanniques.

Anthony et Margaret Parsley.

Et le temps se fige.
Et le cœur qui, dans un murmure, se brise.



I THOUGHT I HEARD YOU LAUGHING, I THOUGHT I HEARD YOU SING.
I THINK I THOUGHT I SAW YOU TRY.


La Wammy's House.

Je ne sais pas. Je ne sais pas trop pourquoi ça me fait quelque chose de savoir qu'elle est là, elle aussi. Que je ne suis peut être plus aussi seul que ce que je m'imaginais.

Je courre comme un dératé. J'ai son prénom sur les lèvres. Dalia. Dalia. Dalia. Une porte s'ouvre à la volée.

Mon coeur rate un battement, manque de s'arrêter.
Soudain, il n'y a plus rien au monde que ces deux-là. Deux corps qui se chevauchent dans un même cri, une même union, une même mort délicieuse, et moi, je reste là, comme un con.
Elle est là. Elle s'arrache la voix sur son prénom. Elle lui griffe le dos, lui déchire la peau. Dainty et Seth.

J'ai la tête toute vide. Ma main tremble. Ma gorge se noue. Pourtant, pour la première fois, je fais ce qu'elle attend de moi.

Je lui fous la paix, et disparais.


now, i'm just a pilgrim in an unholy land.


AUJOUD'HUI COMME DEPUIS TOUJOURS, JE M'APPELLE THEO. J'AI DONC DROIT DIX FOIS PAR JOUR AU "THÉO JASMIN", "THÉO LAIT", ET, MAINTENANT QUE J'AI COMMENCÉ L'ATHLÉTISME, MA COPINE M'APPELLE "THÉODORANT". MERCI A MES PARENTS. VDM




I AM AN ANGEL OF THE LORD.

SURNOM : camielagroupie.
ÂGE : disouite.
SEXE : palourde.
AVATAR : Pays-Bas • APH.
DÉCOUVERTE FORUM : préhistorique.
EST-CE TON 1ER FORUM RP ? : ( ♥ )
Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion. 484094fezz



Dernière édition par Pilgrim le Mer 16 Nov - 13:48, édité 1 fois
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End Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion. End10
End
Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion. 490550Shape3

Feuille de personnage
Wammy’s: House
Double Compte:
Âge: 17
Sujet: Re: Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion. Pilgrim • that's me in the spotlight i'm losing my religion. EmptyMer 16 Nov - 13:47

Re-Bienvenue sur WH* ♥

Lire ça avec Duran Duran en fond c'est juste jouissif, + Netherlands (genre. un peu le mec le plus sexy d'Hetalia j'ai envie de dire), j'avais de la fièvre, bref, tu viens de la faire monter à 38 DD8< pardon je raconte ma vie mais j'aime vraiment.

En plus au début j'avais pas capté que c'était Dainty... j'étais là Dalia Brontë ça me dit quelque chose... attends... OUI OUI C'EST MOI QUI LUI AI INVENTE SON NOM CHUT.

Bon tu as le choix entre Alter et Word, mais comme on est en pénurie de Word je te met dans ce groupe, j'espère que ça t'ira :3

Et je te valide, allez, have fun, contente que tu sois de retour !
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